Les Fantasmes De Sandrine 10

• 10 - LA SURPRISE (2)

Je me suis réveillée ce samedi matin vers 10 heures. Ai-je rêvé ? Cette nuit de folie dans le donjon, notre donjon est-elle réelle ? Est-ce bien JP qui m'a dominée cette nuit ? J'enfile mon peignoir sur ma nudité. Je descends dans la cuisine. Alex et JP sont là, déjeunant tranquillement en parlant de la pluie et du beau temps. Un peu sidérée de les voir comme larrons en foire, je passe derrière Alex et l'embrasse tendrement. Je m'assois. JP m'interpelle :
• Et moi, je n'ai pas droit à la bise ?
Je jette un regard à Alex. Aussitôt, il me lance :
• Tu ne fais pas la bise à ton Maître adoré ?
Soufflée par la remarque d'Alex, je me lève, contourne la table et me penche pour embrasser JP sur les joues. Je sursaute. JP passe une main sous mon peignoir et me flatte les fesses. Je me redresse, comme piquée par une mouche. JP me sourit et me lance :
• Sandrine, ma petite soumise, tu n'es pas heureuse que je m'occupe de tes fesses ?
Je n'ose pas répondre. Mais un regard d'Alex me contraint de dire :
• Merci Maître !
Alex commence à me parler :
• Sandrine, reste debout dans la position de soumise !
Je m'installe donc, les pieds largement écartés, les mains croisées dans mon dos. Je me cambre pour faire ressortir ma poitrine, relève ma tête et baisse les yeux. JP me félicite :
• Bien Sandrine ! Tu es très obéissante !
Alex reprend :
• Depuis hier soir, je suis le plus heureux des hommes. Ta soumission à JP m'apporte tout le plaisir que je souhaitais. Je crois que pour toi, le plaisir d'être soumise te comble et t'apaise. Nous venons d'en discuter longuement avec JP. Nous avons pratiqué un grand nombre de jeux. Es-tu satisfaite ?
J'hésite avant de répondre. En effet, cela fait longtemps que j'ai réfléchis à cette éventualité : quelles sont mes limites ? Jusqu'où vais-je avoir envie d'aller ? Je me l'avoue en secret.

J'aimerai aller plus loin, essayer d'être une vraie "O" comme dans le livre de Pauline Réage. Mais accepterais-je d'être livrée comme soumise à d'autres personnes inconnues ? Malgré mes envies, je m'interroge sur ce qu'en pense Alex. Comment va-t-il prendre le fait que je perde toute dignité, que j'accepte des humiliations dégradantes, que je sois jetée en pâture à d'autres dominateurs, que je souhaite être donnée comme une putain à des hommes ?
• Oui mon amour ! Mais…
• Mais quoi ?
• Je… je… enfin j'aimerai aller plus loin, si tu es d'accord…
Je vois Alex s'interroger dans son fonds intérieur. Quelle va être sa décision ? Va-t-il accepter pour mon plaisir et dépasser ses limites ?
• Tu le veux réellement, Sandrine ?
• Oui Alex, je le veux !
• Ok Sandrine, JP et moi, allons te faire progresser dans la soumission ! Mais tu sais que tu ne devras jamais refuser quoi que ce soit ? Que seul le mot de sécurité permettra l'arrêt des jeux ! Et que lors que tu le prononceras, tout s'arrêtera !
• Oui Alex, je le sais et je l'accepte ! Je me remets totalement entre vos mains !
• Bien, Sandrine ! Tu as pris ta décision et nous la respectons. Nous allons te permettre de progresser à grands pas dans ton masochisme et de découvrir de nouveaux plaisirs. Tu ne connaîtras jamais l'ennui, l'uniformité et l'habitude ! Nous te ferons découvrir des nouveautés, de nouvelles sensations et des plaisirs de plus en plus extrêmes…
Tout en entendant le discours d'Alex, je me pose des questions dans ma tête. J'ai mis le doigt dans une sorte d'engrenage ! Ne va-t-il pas me dévorer, m'anéantir ? Cette idée m'obsède ! Je la repousse. Je suis en confiance avec Alex et JP, alors advienne ce qu'il arrivera ! Je suis bien décidée à en profiter un maximum, à vivre le temps présent !
C'est alors que JP pris la parole.
• Sandrine, si tu en es d'accord, tu vas, après avoir pris ton petit déjeuner, remonter dans ta chambre et te vêtir une soumise.
Nous allons nous changer et t'attendre patiemment. Ensuite, nous aviserons de cette journée…
Je ne peux que répondre en soumise :
• Bien mes Maîtres adorés !
Après m'être restaurée, je file à l'étage me préparer : une douche et un shampoing et le choix de ma tenue. Enfin prête je redescends. Mes deux hommes sont au salon, sirotant un apéritif. A peine suis-je entrée que leurs regards me déshabillent, enfin, seulement du peu de je porte : mon serre-taille de cuir, mes bas et mes chaussures à talons hauts. Bien entendu, mon collier, ma chaîne et mes bracelets de poignets et de chevilles. Je prends ma position en face d'eux. Ils me regardent tels des maquignons devant une bête sur un champ de foire. Ils poursuivent leur conversation. Puis au cours de la conversation, Alex se lève. Il me demande d'avancer jusqu'à lui. Je lui obéis. Il m'attache les chevilles aux pieds de la table du salon. Il me demande :
• Assoies-toi sur la table !
J'exécute sa demande. Le marbre blanc est froid et me fait frissonner.
• Allonges-toi !
Je pose doucement mon dos sur la table. La chair de poule gagne tout mon corps.
• Tends tes poignets !
Alex fixe mes bracelets de poignets aux deux autres pieds de la table. Je suis totalement immobilisée. J'imagine brusquement la vision que j'offre à mes deux hommes : mes cuisses écartées, mon sexe glabre aux lèvres charnues et carmin, mon ventre plat, mes seins ronds surmontés de mes tétons qui trahissent déjà mon excitation et mon visage de jeune femme BCBG. Je les regarde. Ils ont des mines de sadiques, prêts à profiter de moi. Ils sont fascinés par mon corps, par mon immobilisation et par ma disponibilité totale. Alex s'approche de moi. Il me prend les seins à pleines mains. Il me pétrit, me malaxe mes deux globes jumeaux avec frénésie. Il les presse, les écarte, les resserre à nouveau. Puis, il se penche sur mon torse. Il saisit l'un de mes tétons entre ses lèvres et le suce. Je ferme les yeux de plaisir.
Mais ses dents interviennent aussi. Mon téton est mordillé. Puis bloqué entre ses dents, Alex me tille ce téton avec l'extrémité de sa langue dure à souhait. Une sensation immédiate sur l'autre téton me fait ouvrir de nouveau les yeux. JP a rejoint Alex. Des élancements irradient mes tétons. Le plaisir est fulgurant. Puis la frustration est là. Mes deux tortionnaires cessent d'un commun accord ma douce . JP s'éloigne pour revenir aussitôt. Il tient dans sa main un martinet. Il joue à faire glisser les lanières sur la peau, entre mes seins, sur mon ventre, entre mes cuisses, sur mon sexe. Je tremble de peur et de plaisir cumulés. Je gémis. C'est à cet instant que tout bascule. Je change de monde. Je m'entends demander dans un murmure :
• Maître, corrigez-moi !
JP continue ces caresses excitantes. Le contact des lanières de cuir agacent mes sens. Je ne peux me retenir et implore JP :
• S'il vous plait Maître, frappez-moi, corrigez votre soumise comme elle le mérite, comme elle doit l'être !
Alors, progressivement, les caresses se transforment en petits coups cinglants. Ils m'arrachent des gémissements de plaisir. Sous les coups, mes seins gonflent de plaisir. L'excitation me gagne au plus au point. C'est la première fois que mes seins sont fouettés. La répétition de ces coups de martinet provoque en moi la montée d'un plaisir étonnant. JP continue sans cesse. Ma jouissance arrive. Je sens mon visage se crisper sous cette arrivée de plaisir. Je tourne mon visage de droite à gauche sous le bonheur qui me prend. Soudain, ma tête est bloquée d'un coté. Un sexe se presse à ma bouche. J'ouvre largement mes lèvres et aspire la chose massive et chaude. Le sexe de JP est à son paroxysme. Mes lèvres le serre étroitement. JP s'agite dans ma bouche. Il me baise la bouche tout aussi violemment que s'il baissait mon ventre ou mon cul. Je le tête avec voracité. Je veux qu'il me donne sa semence. Cela ne dure guère. Son sexe saute dans ma bouche. Les premiers signes de son plaisir arrivent.
Il gicle dans ma gorge, abondamment. Je déglutis. J'avale son sperme avec délectation. Puis je m'effondre, terrassée par le plaisir. Je somnole pendant un long moment. Lorsque je reprends pied à la vie, je suis libre de mes mouvements. JP est là. Il m'aide à me relever. Il me guide vers la salle à manger. Alex a préparé le repas. Nous déjeunons tranquillement. Je suis servie comme une princesse. Je ne bouge pas. JP prépare le café que nous prenons dans le salon. Je profite de ces instants de plaisir et de bonheur partagés. C'est plus d'une heure après que JP vient vers moi. Il me demande :
• As-tu récupéré de ta séance matinale ?
• Bien sûr, Mon Maître…
• Bien, nous allons descendre au donjon… si tu le veux bien …
• Oui Maître !
Je me lève de ma chaise et place mes mains dans mon dos. JP saisis la poignée de ma laisse et m'emmène dans le hall d'entrée. Il ouvre la porte dissimulée dans le panneau décoratif. De nouveau l'escalier de pierre s'illumine. Je suis JP. Mes talons claquent dans le silence du sous-sol. Le donjon est éclairé par des bougies. Une ambiance particulière se dégage de ce lieu. Il me guide vers la croix de St-André. Je suis dos à elle. Instinctivement, j'écarte mes pieds pour être en contact avec le bois lisse et ciré de cet instrument. JP m'immobilise les pieds et les poignets. Je suis à sa merci. Curieusement, Alex n'a pas suivi. Nous ne sommes que tous les deux, JP et moi. Un bandeau noir de soie vient me cacher la vue. Aussitôt l'ouïe se fait plus fine pour tenter de pourvoir au manque de visibilité. Des mains sur mes seins réveillent ma libido. Je sens mon sexe s'humidifier. Les mains s'attaquent à un de mes seins plus précisément. Il est caressé, peloté, malaxé. Mon téton se gonfle et darde. Deux doigts le saisissent, l'étirent. Soudain la masse de mon sein est saisie. Et brusquement, la douleur fulgurante sur mon téton. Je ne peux retenir un cri. Une morsure violente de mon téton. JP me parle d'une voix douce :
• Qu'est-ce que tu es douillette ! Ce n'est qu'une pince !
Je voudrais bien le voir à ma place ! Mais la douleur s'atténue à peine que mon deuxième sein subit les mêmes châtiments : caresses, pelotage… J'attends avec crainte la morsure de la seconde pince. Elle arrive. Je serre les dents et arrive à soutenir la douleur sans crier ! JP me félicite :
• C'est bien petite esclave !
Je reste quelques instants dans le silence. Je cherche de l'air pour reprendre mon souffle et assimilé la douleur. Doucement celle-ci mue, se transforme en un plaisir doux et particulier. Une sensation me saisit. Une personne est là, tout près de moi. Mon impression est vraie. Elle se manifeste immédiatement. Les pinces posées sur mes tétons sont remuées. La douleur reprend le pas sur le plaisir. Puis dès que les pinces ne bougent plus, le plaisir reprend ses droits. Les vagues de plaisir alternent avec la douleur. C'est horrible ! Horriblement douloureux mais tellement bon et surtout jouissif ! Mon sexe s'inonde. J'ai l'impression de me pisser dessus ! Ma mouille coule le long de mes cuisses. C'est alors qu'une main est venue. Elle découvre ma chatte lisse. Mes lèvres sont caressées. Un doigt trouve sans difficulté l'entrée de ma grotte secrète. Il est trempé de mes secrétions. L'une de mes lèvres est saisie, tirée. Pour éviter la douleur, je projette mon ventre en avant. Deux doigts serrent cette partie très intime de mon sexe. Et là je hurle ! Une pince vient de refermer sur la lèvre. Je halète. Je reprends ma respiration. Cela va. La douleur s'estompe. Mais aussitôt, l'autre lèvre subit le même sort. La personne qui m'a placé ces pinces s'amuse avec elles. Elles sont agitées doucement entraînant douleur et plaisir à la fois. Puis cela cesse. Quelques secondes plus tard, une nouvelle douleur différente de celles que je connais. JP me parle :
• Je viens de placer des poids sur les pinces posées sur tes lèvres.
Je plante mes dents dans ma lèvre inférieure. Je ne lui ferais pas le plaisir de crier. Je reste stoïque, silencieuse. Cette situation dure un grand moment. La sensation d'étirement de ma chair se calme. Mais JP s'amuse à faire osciller les poids. L'étirement renaît et provoque de nouveau un tiraillement de mes lèvres. Je me tais. Mais en même temps que les mains de JP jouent avec mes poids accrochés à mes lèvres intimes, une main saisit la pince serrée sur mon téton droit. De petits étirements me font gémir. La même sensation se reproduit sur mon autre téton. Et puis je sens mon téton droit être tiré vers le haut. On passe quelque chose dans l'anneau de mon collier. Mon autre téton est tiraillé. Et soudain mes deux tétons sont tirés vers le haut. Je comprends. Un lien a été attaché à chaque pince et passe dans l'anneau de mon collier. Et l'on raccourcit ce lien, entraînant les pointes de mes seins vers le haut. La douleur est surprenante et une fois le lien attaché court, le plaisir de souffrir naît et s'installe dans mon ventre. J'ai mal. Derrière mon bandeau, mes yeux s'emplissent de larmes. Mais il n'aura pas le plaisir de me voir pleurer. Je suis bien à l'abri derrière la soie noire. Combien de temps dure cette séance ? Je ne la sais pas. Plus tard, les poids sont retirés des pinces fermées sur mes lèvres. Puis c'est au tour des pinces d'être retirées. L'afflux violent dans ces parties pincées entraîne une douleur horrible à supporter. Je crie ma souffrance. Puis tout se calme lentement. Mais de nouveau, les lanières de cuir du martinet viennent frôler ma chair. Cette sensation m'excite encore. Je tends mon ventre, réclamant une caresse plus forte. Je ne peux me retenir et quémande :
• Maître, j'ai envie d'une correction au martinet !
La voix de JP résonne à mon oreille :
• Tu en as vraiment envie ?
• Oui, Maître ! Corrigez-moi plus sévèrement que ce matin !
JP me répond :
• Ce n'est pas moi qui vais t'administrer la correction que tu demandes !
Je crie :
• Je ne veux pas que ce soit Alex !
JP me dit :
• Ce n'est pas Alex… c'est un autre Maître !
• C'est qui ?
Mais la réponse est claire. Un premier coup m'atteint entre les cuisses. Je me débats. J'essaie de m'enfuir de me libérer. Sans résultat ! Un deuxième coup arrive alors que la douleur cuisante du premier vient juste de s'atténuer. JP me parle :
• Sandrine, tu es trop curieuse !
Les coups recommencent. Combien de cinglées de cuir ai-je reçu avant de perdre conscience de ma correction ? Je ne sais pas. Mon ventre me brûle, mon sexe est en feu. Doublement en feu ! Cuit par la morsure des lanières de cuir et brûlant de désir. J'ai envie d'être prise, envie que l'on me baise ! Je ne peux pas l'avouer, mais mon ventre est mu de soubresauts. Il se projette en avant, en avant des coups de martinets et en avant de mains baladeuses, de mains qui me fouillent ! Puis plus rien. Le calme total. Plus de bruit. Je suis détachée sans avoir de relations sexuelles. On me guide au milieu du donjon. JP me parle de nouveau :
• Présente-toi !
Je secoue la tête de droite à gauche en signe de négation. Je ne veux pas me présenter, pas m'exposer, pas me vendre à une personne que je ne connais pas. JP m'ordonne de me présenter. Je continue à dire non de la tête. Mes tétons sont saisis et pincés douloureusement. Malgré toutes mes réticences, je me cède :
• Je m'appelle Sandrine… je mesure 1,75 m pour 59 kilos… Je suis la soumise de Maître JP… J'accepte tout ce qu'il souhaite et veut… Je suis à sa disposition… J'accepte tout ce qu'il me demande, toutes ces exigences ! Je prends plaisir à tout ce qu'il m'ordonne…
JP me tance vertement d'un coup de martinet sur les fesses :
• Ta présentation physique laisse à désirer… Recommence !
• Je m'appelle Sandrine… je mesure 1,75 m pour 59 kilos… Je suis la soumise de Maître JP… Ma bouche est à votre disposition… Elle sait être douce sur votre peau, sur votre sexe et sait accueillir votre gland… Elle sait aussi vous pomper pour extraire votre semence et m'en régaler…
Je me cambre et place mes mains sous mes seins pour les offrir :
• Mes seins sont là pour vous satisfaire… Vous pourrez les sucer, les caresser, les mordre, les tordre leur faire subir tout ce que vous souhaiterez…
Je m'allonge sur le dos, ouvre largement mes cuisses, me cambre, m'appuie sur mes pieds et de mes deux mains, écarte les lèvres de mon sexe :
• Mon sexe est disponible… Il peut recevoir tout ce que vous souhaiterez y faire pénétrer… Des olisbos, des godes, vos sexes… Vous pourrez aussi le corriger, le fouetter, le r…
Je me tourne, me place à genoux et des deux mains sur chaque fesse, j'écarte pour laisser voir mon anus :
• Mon cul est à votre disposition... Vous pourrez le fouetter, le caresser… Vous pourrez aussi l'utiliser pour satisfaire vos instincts… Il est prêt à recevoir vos sexes…
Je reprends ma position, debout, pieds écartés, bras dans le dos.
• J'accepte tout ce que mon Maître souhaite et veut… Je suis à sa disposition… J'accepte tout ce qu'il me demande, toutes ces exigences ! Je prends plaisir à tout ce qu'il m'ordonne…
Je me sens rougir de honte. Comment ose-je me présenter ainsi, debout, en serre-taille, bas et escarpins, les mains croisées derrière mon dos devant un inconnu, un nouveau Maître que je ne connais pas ? Le bandeau me sauve, m'empêche d'affronter le regard de ce nouveau maître. Avouer mes désirs et mes envies me trahissent. Depuis que j'ai terminé ma présentation, le silence règne dans le donjon. Pourtant un bruit de pas trouble la quiétude. Un bruit de chaussures trahit le mouvement d'une personne. Un homme passe derrière moi. Une voix que je ne connais pas, retentit et me jette une série d'ordre :
• A genoux ! Épaules au sol ! Mains dans le dos !
Je n'hésite pas une seconde. J'obéis. Je prends la position demandée : le cul en l'air, bien cambrée, mes mains croisées au creux de mes reins. J'aime ces ordres qui m'obligent à m'exposer. L'humiliation m'envahit et me ravit de bonheur. Un nouvel ordre fuse :
• Cambre-toi !
J'obéis. Je tends ma croupe fièrement. Des mains viennent de se poser mon petit cul. Elles écartent mes fesses. Elles courent sur mon arrière-train. Je me cambre un peu plus pour donner d'avantage ma croupe. Je commence à frissonner. Je sens ma chatte s'émouvoir de ces caresses. Ça me plaît, ça m'excite ! Mon anus est violé. Un doigt vient de s'y glisser. J'aime cette douce violence. Il va et vient entre mes fesses. Je me sens devenir très très chaude. Mais il stoppe le mouvement. Que fait-il maintenant ? Que va-t-il m'arriver ? Je n'ai pas le droit de me retourner, de savoir ce qui va m'arriver. J'entends un tiroir s'ouvrir. Que cherche-t-il ? Cette situation est en train de me plaire de plus en plus. On revient vers moi. Une main s'appuie au creux de mes reins, m'intimant de me cambrer encore plus. Un objet dur et froid se présente à l'entrée de mon anus. La pression sur ma rondelle s'accentue. Mes fesses s'écartent pour laisser entrer... mais quoi, qu'est-ce que c'est ? Je ne le sais pas, mais c'est gros ! L'objet entre en moi : c'est long ! La chose entre en vie. Elle vibre. C'est un vibro ! J'en ai la chair de poule. Il est enfoncé tout au fond de mon rectum. Je me suis écartelée. Ça vibre, la sensation est étonnante. La main le saisit et le fait aller et venir. J'écarte plus les jambes pour qu'il me l'enfile encore plus loin. Je me conduis comme une vraie salope ! Il me laboure le fondement. Je sens ce gros gode buter tout au fond de mon cul. Oooh....... ce que c'est bon ! Mes chairs se dilatent de plus en plus. La main, qui tient le gode, tape contre mes fesses tellement je suis ouverte. Je n'en peux plus. Je me sens partir. Quel pied ! Ça monte, ça vient.....
• Oui, plus fort, plus fort ! Encore, encore, ne vous arrêtez pas ! Défoncez-moi le trou du cul !
Ça y est ! Je pars. Je jouis ! L'homme ne me laisse aucun répit ! Pourtant d'un seul coup, c'est le vide en moi ! Pour peu de temps ! C'est sa bite qui prend maintenant la place ! J'ai le cul complètement défoncé. Son sexe est énorme. Ses couilles butent contre ma chatte toute détrempée. Ses mains s'accrochent sur mes hanches.... Je suis une putain, une salope, une vraie soumise au bon vouloir de mon Maître JP.
• Punissez-moi ! ! ! Défoncez-moi le trou du cul !
L'homme est déchaîné. Je n'ai jamais été sodomisée aussi violemment.
• C'est bon, c'est bien... continuez comme ça !
JP encourage mon violeur :
• Enculez-la bien profondément cette soumise !
Sa bite prend du volume et dilate mon petit trou du cul. L'homme grogne. Je sais qu'il va se vider dans mon anus. Je vais jouir à nouveau.
• Oui... Plus fort, plus fort... Frappez-moi les fesses... Insultez-moi ! Traitez-moi de garce, de salope, de pouffiasse !
Je vais partir encore ! Et sa bite qui n'en fini pas de grossir ! Ça y est ! Son sperme est en train d'inonder mon cul... C'est chaud ! C'est brûlant.... L'homme sort de mes entrailles sans ménagement. Le retrait est douloureux. Je souffle un peu. Mais je n'ai pas le temps de réfléchir à quoi que ce soit. Les coups pleuvent. On me fesse à la main. Instantanément, je compte. Je reçois vingt claques sur les fesses.
• Relève-toi !
Je suis debout, les jambes écartées. L'homme joue avec mes tétons. Il les maltraite. Puis, il commence à me traiter de "salope", "de petite chienne" ! Je prends un immense plaisir à être humiliée devant mon Maître et devant Alex, l’homme que j'aime le plus au monde. L'humiliation me procure un plaisir extrême. Je pense que mon Maître va m'obliger, me contraindre à me soumettre physiquement à cet homme inconnu. Cette perspective m'excite terriblement. JP me bâillonne avec une boule de caoutchouc. Je ne suis qu'un objet, qu'une chose pour son plaisir. La boule dépasse de ma bouche. Je dois avoir l'air de ce que je suis : une salope désirable et j'espère irrésistible. J'aimerai que mon Maître m'exhibe devant des inconnus pour leur montrer à quel point la femme que je suis, est soumise à ses désirs. Je reste un long moment seule. Ma chatte dégouline, encore trempée. Car même s'il ne m'a pas touché le sexe, mon humiliation et ma honte m'ont rendue folle d’excitation.
Tout cesse enfin. Les pas s'éloignent. Il remonte l'escalier. La porte claque légèrement. Le Maître qui m'a dominé est parti. Je ne saurais jamais qui il était. Soudain, une présence devant moi. Le parfum de l'homme m'indique qui il est : JP, mon Maître. Il me retire mon bandeau. Je lui souris. Je le regarde avec amour, les grands yeux ouverts. Je lui prouve à quel point je l’aime, comme j'ai envie de me donner à lui complètement, totalement. Il dépose un baiser sur le front. Ses mains parcourent mon corps. Il aime passionnément mes seins, fermes et ronds, d’une douceur étonnante. Tout en la caressant il lui murmure :
• Tu es pardonnée ma chérie, tu as été punie, tu es bien soumise et je suis fière de toi, j’aime quand tu es obéissante. Pour te récompenser je vais te faire jouir avec mes doigts…
Je ne peux rien dire, seulement le regarder, un peu angoissée à l’idée de jouir sur sa main sans être pénétrer.
Il s'installe devant moi. J'écarte les jambes avec impudeur. Il glisse deux doigts sur mon con. Il constate que je suis vraiment trempée. Aussitôt, un doigt entre sans aucune difficulté. Il commence à me masturber, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Je commence à gémir malgré le bâillon. Un autre doigt glisse et rejoint l'autre.
• Je t’interdis de jouir, ma petite salope !
Maintenant quatre doigts vont viennent au plus profond de moi, de plus en plus rapidement. Le bâillon m'empêche de hurler. Pourtant j'en crève d'envie. Je me sens me dilater de plus en plus. Je sens que de plus en plus, la main de mon Maître tente de faire entrer sa main toute entière. A chaque fois qu’il va et vient dans ma chatte, il s’enfonce de plus en plus, avec une douceur infinie. Je veux le supplier de me laisser jouir, mais je ne peux rien dire et même si j'avais pu, je sais que je n'en ai pas le droit. Pour mon bien à moi et pour le plaisir de mon Maître, je sais que je dois attendre. La main de son Maître envahie de plus en plus mon antre. Je plante mes yeux dans les siens, lui prouvant mon amour et mon désir de lui plaire. J'avais déjà vu des vidéos de femmes fistées. Mais, l'idée d'avoir une main entière dans ma chatte me faisait peur. Mais pour parfaire mon éducation, j'ai accepté que mon Maître le fasse. Il met sa main en forme de bec pour commencer à insérer le pouce. Ma chatte se resserre par réflexe et les muscles de mon vagin refusent de s'ouvrir d'avantage malgré ma bonne volonté. Mon Maître continue ses va-et-vient durant une dizaine de minutes pour enfoncer sa main jusqu'aux phalanges, le plus gros diamètre. Puis appuyant sur mon bas-ventre, il commence à donner des coups forts de main et force ma chatte pour enfoncer sa main. Je crois défaillir. Une brûlure immense envahit mon sexe dilaté. Soudain, une sensation très curieuse. Je me sens emplie totalement, complètement possédé par mon Maître. Le plaisir m’envahit et vient du plus profond de moi. Je veux jouir et mon maître le sait bien. Il continue quelques va-et-vient au fond de ma chatte, en faisant bouger ses doigts à l’intérieur. Ses doigts bougent à l'intérieur pour écarteler encore plus ma chatte. Il commence à frotter mon clitoris avec son pouce, doucement. Il s'enfonce d'avantage. Il me regarde droit dans les yeux et lui dit :
• Vas-y ma soumise, jouis, jouis fort, inondes-moi…
Je me concentre sur la caresse de mon Maître.
• Laisse toi aller, une bonne salope doit aimer se faire fister. Je vais t'initier à la dilatation, une esclave soumise doit être dilatée chaque jour pour que ses trous puissent être assez larges pour recevoir ce que leurs maîtres veulent.
Je sens les muscles de ma chatte s'habi à cette dilatation et j'apprécie d'être aussi remplie. La main bute tout au fond de moi et son autre main masse mon clito de plus en plus fort. Je gémis et l'idée d'être une trainée qui va jouir en se faisant fister par son Maître m'excite encore plus. Il sait que mon con va couler, se vider en de longs jets puissants. Sa soumise est une véritable fontaine, une fontaine de plaisir. Je suis vraiment au bord de la jouissance. Je ne peux pas attendre plus longtemps. Je jouis fortement en hurlant de plaisir inondant la main qui me donne mon plaisir. Jamais JP ne m'avait vu jouir aussi fort et aussi intensément. Il sourit. Il est très fier de moi. Il a un air de satisfaction total, une immense satisfaction fait rayonner son visage et il lui dit :
• Ça y est, tu es devenue une vraie soumise !
JP ressort sèchement sa main de mon ventre. Ma chatte se retrouve béante.
• Ne te touche pas !
Une douleur persistante tient mon sexe, mais elle m'est agréable. Je suis fière que mon Maître ait commencé la dilation de mes orifices, car avoir des trous accueillants avait toujours été un fantasme pour moi.
JP me libère de mes liens. Il me guide vers l'étage. Il fait déjà sombre.
• Va dans ta chambre, lave-toi !
Après avoir fait mes ablutions, je m'allonge sur mon lit et s'endors. Je me réveille au milieu de la nuit. Son Maître est là, contre moi. Il m'enlace de ses bras. Je me colle contre lui, sentant la chaleur et la douceur de sa peau. Je sens à quel point il l’aime.

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