Les Fantasmes De Sandrine 19

• 19 – LA VENTE AUX ENCHÈRES

C'est le 15 juillet vers 20h00 que nous laissons Morgane et Alex à Roissy Charles de Gaulle. Après un adieu à mon mari, je tance rudement Morgane :
• Occupes-toi bien de lui ! S'il est malheureux et que je l'apprends, je vais t'arracher les yeux !
Et pour lui prouver que je lui fais une confiance absolue, je l'embrasse sur la bouche. Elle répond à mon baiser. Alex et JP s'étreignent entre hommes. La tristesse est là. Mais nous les quittons pour ne pas leur montrer notre chagrin.
Le retour est triste. Mais la vie est ainsi faite. Le travail reprend la semaine suivante. Nous avons de leurs nouvelles et tout se déroule correctement. JP m'apprend qu'il doit partir pour Buenos-Aires. Le siège social le réclame pour le mois d'août. Il est vrai que dans l'hémisphère sud, c'est l'hiver. Ainsi je vais passer mon mois de congés, seule. Je décide de partir voir mes s aux USA.
Les congés arrivent vite. JP part et deux jours plus tard, c'est mon tour.
Mais tout a une fin et je suis de retour au travail. JP revient. Mais il ne me semble pas dans une forme éblouissante. Je le questionne. Il m'explique :
• Mon père est le PDG de la société. Il est vieux et souhaite me laisser la place. Enfin, souhaite, plus exactement il ne me donne pas le choix. Le conseil d'administration est d'accord. Je prends mes fonctions le 1er octobre.
Je suis clouée par cette nouvelle. En deux mois, je perds tous ceux qui ont fait ma famille, mes amis, ma vie ! JP n'a pas le choix. Je lui demande s'il envisage quelque chose à mon sujet :
• Non Sandrine, je ne peux pas te ramener avec moi. Tu as ton travail et je me vois mal te présenter à mes parents. Ils seraient choqués que je ne prenne pas une argentine comme épouse !
Là je suis décomposée. Mais c'est la vie et je n'ai pas de choix possible. Je vais rester seule ! Mais JP ne souhaite pas me laisser ainsi. Il me propose une solution :
• Sandrine, afin de ne pas te laisser ainsi, seule, je te propose de te donner à un autre maître.

Tu pourras continuer ta vie de soumise !
• Je suis ta soumise, un point c'est tout !
• Je ne te demande pas ton avis, soumise ! J'ai décidé de te vendre !
• Cela se fera le dernier week-end de septembre ! Ce n'est pas discutable !
Nous sommes le samedi du dernier week-end de septembre. JP me demande de me mettre en valeur. Je me vêts en soumise, bas, serre-taille, collier, laisse… Mais mon Maître souhaite que je m'habille BCBG. J'enfile donc un tailleur noir, un chemisier blanc et un soutien-gorge et un boxer ne couvrant que le haut de mes fesses, laissant mes globes fessiers libres de tout attouchement ! Nous partons dans le Cayenne. Juste avant notre départ, JP enroule autour de mon cou, un superbe carré de soir Hermès et l'installe dans le décolleté de mon chemisier. JP emporte ma mallette de jeux. En route, il m'explique :
• Chaque mois dans un château de la région, club bien connu des pratiquants du BDSM, est organisée une vente aux esclaves. Voici comment cela se déroule ? Tu seras présentée au public susceptible de t'acquérir, sur une estrade. Les éventuels acheteurs s’installent au fur et à mesure de leur arrivée. Ils peuvent d’admirer les soumises qui sont au marché ce jour-là. Chaque soumise est présentée par son Maître. Le Maître indique les particularités, atours de sa soumise. Parfois, c'est la soumise qui se présente…
JP cesse son discours. Je le vois venir avec ses grands sabots ! Il veut que ce soit moi qui me présente, sachant que je déteste cela.
• Je préfèrerai que ce soit vous qui me présentiez !
JP ne dit rien, me laisse mijoter…
• Nous verrons cela le moment venu ! Quand l'heure de la vente se dessine, Jean-Louis, le maître de cérémonies, rappelle à tous les acheteurs, les règles de base de la vente. Ensuite, Jean-Louis va chercher la première soumise à vendre. La présentation sert aussi de faire-valoir de la soumise. Les acheteurs veulent voir la marchandise, voir ce qu'ils vont acheter.

Je ne dis plus rien. Une demi-heure plus tard, JP met le clignotant. Il emprunte une allée bordée de tilleuls. Au bout de cette allée, une grille barre le passage. JP sort son portable et compose un numéro. Dès la communication établie, il annonce :
• C'est JP !
Aussitôt, la grille s'ouvre largement. La voiture avance et se gare dans la cour. Il y a une bonne vingtaine de véhicules déjà stationnés dans la cour. C’est un véritable château qui se profile dans la nuit. Il est éclairé très harmonieusement.
Nous gravissons les quelques marches de l'escalier à double volute. JP frappe à la porte avec le gros heurtoir métallique. La lourde porte s'ouvre. Une hôtesse vêtue d'une robe longue blanche nous invite à pénétrer dans le hall. Je constate que sa jolie robe est constituée de panneaux de tissus et laisse apparaitre son corps à chaque mouvement : une cuisse ronde galbée d'un bas résille, un sein rond libre de toute entrave…  
L'hôtesse nous guide immédiatement vers le fond du hall. Sous l'escalier qui désert l'étage, une porte en bois massif s'ouvre vers un escalier de pierre éclairé de torches. L’ambiance est déjà posée dès le hall franchi. Le volume dégagé par l'escalier est impressionnant. Nous arrivons sur un palier. L'hôtesse me demande de la suivre. J'interroge JP du regard. Il hoche la tête. Je suis donc la jeune femme en robe blanche. A chaque pas, je peux admirer ses fesses l'une après l'autre, haute et ronde, un vrai appel à une main d'homme ! Elle ouvre une porte et me demande d'entrer. La porte se referme derrière moi. Un homme à la mine patibulaire, vêtu de noir, m'accueille. Il m'interroge :
• Ton nom de soumise ?
• San… Sandrine…
• Ton âge ?
• 42 ans
• Tu es la soumise de qui ?
• De Maître JP.
• Ah c'est donc toi ! Ta réputation est connue de tout le monde du BDSM français…
Il s'approche de moi. Il glisse une main dans l'ouverture de ma veste de tailleur et me palpe les seins à travers mon chemisier.

• Tiens, c'est ton maître qui t'as demandé de te vêtir comme une bourge ?
• Oui !
Deux doigts se serrent sur mon téton avec un ordre :
• On dit "oui Monsieur" ici, compris ?
• Oui, oui Monsieur !
• Tu comprends vite !
Son inspection continue. Sa main quitte mon sein pour relever ma jupe et découvrir ma petite culotte blanche. Il part d'un grand rire sonore. Il m'indique une porte. Il l'ouvre. J'entre et découvre avec étonnement une dizaine de femmes. Elles attendent. L'homme nous parle :
• Mesdames, mesdemoiselles, vous resterez ici jusqu'au début de la vente. Je viendrai vous chercher les unes après les autres en fonction de votre ordre de vente. Vous avez de quoi vous restaurer, vous désaltérer, de quoi attendre patiemment votre tour. Si vous désirez quelque chose, frappez à la porte, je viendrai et tâcherai de vous satisfaire. Mais si vous dépassez las bornes, sachez que je suis ici, le Maître des lieux et donc, j'ai tous les droits sur vous !
Un moment de silence parcourt l'assemblée de toutes ces femmes.
• Avez-vous bien compris ?
Chacune opine de la tête. L'homme se dirige vers la porte quand une femme l'interpelle :
• Monsieur, il n'y a que mon Maître qui a des droits sur moi !
L'homme revient vers elle. Il la domine d'une bonne tête, et dit :
• Pardon, madame, je n'ai pas compris ce que vous venez de me dire ?
Le regard de l'homme est d'une dureté inimaginable. C'est une brune de mon âge. L'homme tourne autour d'elle. Le malaise est palpable. L'homme lui passe la main aux fesses. Il palpe longuement le cul rond et charnu de la femme. Puis brusquement, ses mains remontent vers sa poitrine. Il empaume les seins à travers le chemisier noir de dentelle. Les doigts dégrafent les boutons laissant apparaitre un soutien-gorge de dentelle noire qui a de la peine à contenir deux seins ronds et volumineux. La femme n’ose bouger. Elle subit les attouchements sans une parole.
Elle comprend que cet homme a un pouvoir illimité sur chacune d'entre nous. Les mains s’égarent sur la partie découverte des rondeurs. Les doigts constatent la fermeté des globes et trouvent les tétons tendus sous la fine dentelle du soutien-gorge. Les doigts les roulent, les triturent. La femme détourne la tête, honteuse d'être tâtée comme le ferai un maquignon. Soudain, un ordre fuse :
• Enlèves ton soutien-gorge !
Le ton employé est sec, sans appel. Je frémis de ce qu'il risque d'arriver à cette femme.
Elle n’a pas le choix. Elle dépose son chemisier délicat. Ne sachant où le poser, elle le laisse choir sur le sol de pierre. Ensuite, elle passe ses mains dans son dos, dégrafe l’agrafe du dos et retire son soutien-gorge. Un deuxième ordre fuse au ton tout aussi péremptoire.
• Mets tes mains sur ta tête !
Les gros seins frémissent. Tous les regards convergent sur cette poitrine lourde, imposante. L'homme lui palpe longuement les seins, les malaxe. Il titille les tétons. Puis une main descend vers la jupe. Elle remonte vers le ventre. La femme pleure doucement. Un mouvement brusque me fait comprendre que les doigts viennent de pénétrer dans son sexe sans aucun ménagement. L'homme sourit devant la détresse de la femme. Il lui dit :
• Rhabille-toi !
La femme s'empresse de de revêtir. L'homme se retourne face à nous et nous balaie du regard, toujours aussi impénétrable.
• Avez-vous bien compris mes ordres, mesdames ?
Un silence de mort répond à sa question.
• Bien, je vois que vous avez compris...
L'homme quitte la salle. Pas une femme ne bouge. Aucune d'entre nous ne souhaite bénéficier du traitement de faveur que notre collègue vient de subir. Nous attendons dans un calme étonnant. Je m'interroge : Pourquoi toi, mon Maître qui m'a amenée ici ? Pour me vendre à qui, comment ! La salle est sombre et j'avoue avoir un peu peur. Mais j'ai confiance en mon Maître, alors j'attends patiemment. Nous restons toutes là, sans bouger, attendant la suite des évènements. Combien de temps restons-nous dans cette pénombre avant que la porte s'ouvre ? Je n'en ai aucune idée, j'ai perdu toute notion de temps et je me suis assise sur des tabourets disséminés dans la pièce. Mes compagnes sont elles aussi installées le plus confortablement possible. Nous n'échangeons aucun mot, aucun regard. Soudain la porte s'ouvre. L'homme que nous connaissons toutes, prend une femme par le coude et l'entraine. La porte se referme. Le silence règne de nouveau. La même scène va se répéter une dizaine de fois. La dernière fois, je reste seule dans la pièce. Le temps s'écoule doucement. Je prends mon mal en patience. Soudain, la porte s'ouvre de nouveau. L'homme entre avec un demi-sourire aux lèvres. Il m'intime un ordre :
• Debout, Soumise Sandrine, c'est ton tour !
Je suis rapidement sur mes pieds. L'homme s'approche de moi. Il me regarde droit dans les yeux. Son regard est toujours le même, dur, impitoyable. Je sais que je ne dois pas tenter de résister. Je ne bronche pas quand il me prend le coude et m'entraîne vers la sortie. Nous sortons dans le couloir. L'air est frais. En marchant le long de ce long corridor, j'ai le temps de penser à ce qui m'arrive. Comment en suis-je arrivée là, à subir, sans dire un mot, cette vente venue d'un autre monde ? Par amour pour toi, toi mon Maître qui guide ma vie depuis maintenant l'homme qui partage ma vie depuis 10 ans ! J'aime ces moments où je ne m'appartiens plus, où je ne suis plus qu'à toi, même si tu m'offres à d'autres. Parfois tu me fais subir des supplices humiliants et douloureux. Mais cette situation me plait et me procure des moments de plaisirs intenses, des instants où mon bonheur éclate, bien plus violent que dans des étreintes traditionnelles. Ces plaisirs que je découvre à chaque nouvelle expérience sont à chaque fois différents, intenses. Ils décuplent mes jouissances, mes peurs, mes craintes, mais surtout la honte qui me submerge. Alors quand tu m'as dit que tu allais me vendre, j'ai encore ressenti en moi cet appel de sens, cette envie de te suivre. Je n'ai comme à mon habitude posé aucune question, j'ai juste acquiescé, pour te renouveler cette confiance aveugle que je te voue. Pour te faire encore savoir, s'il en était toujours besoin que je te suivrais partout. Nous entrons dans une petite antichambre, comme les coulisses d'un théâtre. Je perçois des bruits de voix.
L'homme me somme d'attendre en silence. Quelques marches donnent sur une estrade. Un rideau fermé masque la visibilité sur cette salle dont proviennent les bruits de voix. Je reste là pendant un temps qui me semble extrêmement long. Puis de salve d'applaudissements retentit. J'ai brusquement une crampe à l'estomac ! C'est mon tour ! L'homme est de retour à mes côtés. Il tire sur mon coude et je ne peux que le suivre. Je gravis les trois marches qui me mènent sur l'estrade. Le rideau s'ouvre. Je suis en pleine lumière. Je ne distingue rien, aveuglée par les projecteurs. Combien sont-ils à me regarder arriver ? Mes yeux s'habituent enfin un peu à l'aveuglante luminosité des spots tous dirigés sur moi. Il doit bien y avoir trente ou quarante personnes qui attendent que débute « ma vente ». Un autre homme attend, un micro à la main. L'homme qui me tient, me positionne au centre de l'estrade, là où convergent les spots. Je te cherche mais ne te vois pas. C'est alors que commence un hallucinant échange entre une sorte de Commissaire-Priseur et la salle. Alors commence une situation irréelle, terrifiante. Le Commissaire-Priseur se met à parler à un auditoire que je ne vois pas. Tout se déroule dans une atmosphère lourde. Il annonce que la vente va commencer. Il énonce les règles, la vente des vêtements, le coût des vérifications et comble de la déchéance, la vente de moi, ma vente à la bougie ! Le dernier qui parlera m'aura ! Il me présente à l'assistance. Il me prend par le bras, me fait tourner sur moi-même. Soudain, une peur énorme m'envahit, me fait trembler comme une feuille. Je t'appelle :
• Maître, s'il vous plait?
Aussitôt ta voix proche me rassure.
• Que veux-tu soumise ?
• Merci de me mettre mon bandeau !
JP fouille dans sa poche et place mon bandeau sur mes yeux, occultant toute vision. Le Commissaire-Priseur continue et annonce :
• Voilà, Mesdames et Messieurs, Sandrine, la soumise tellement connue de notre ami JP. JP la vend car il quitte définitivement la France. Il ne souhaite pas la laisser aux mains de n'importe quelle personne. C'est une jolie bourgeoise ! Elle est au plus offrant qui disposera d'elle comme bon lui semblera. La réputation de Soumise Sandrine est reconnue. Nous allons commencer par découvrir le corps de cette femme. Qui veut retirer sa petite veste ?
Un silence s'installe. Le Commissaire-Priseur harangue l'assistance pas très chaude pour retirer ma veste. Enfin, une voix mâle s'élève :
• Pour 100 euros c'est possible ?
Vu le manque très net de candidats, la vente de ma veste est accordée. Des pas résonnent sur les marches de l'estrade. Une main frôle ma poitrine et libère les deux boutons. Les pans de ma veste sont rejetés en arrière, bloquant mes épaules et mes bras. L'homme passe derrière moi et tirant les pans vers le bas, me dépouille de mon premier vêtement.
• Bien, le foulard intéresse une personne ?
• Moi !
C'est une femme ! Elle monte. Ses talons hauts claquent. Elle est derrière moi. Elle souffle dans mon cou une haleine fraîche. Ses mains passent sur mes seins et glissent dans le décolleté. Elles tirent sur la soie fine et légère. Le foulard est tiré en arrière me procurant une caresse douce. A cet instant, le foulard dévoile mon collier et ma laisse qui disparait dans mon chemisier. Des commentaires fusent :
• C'est une vraie soumise, JP !
Le commissaire reprend ma vente :
• C'est au tour du chemisier…
Curieusement, la vente s'anime. Les prix montent, bien au-delà de la valeur du vêtement. Un homme arrache la vente pour dix fois la valeur du morceau de chiffon qui me couvre. L'homme monte. Il passe derrière moi. Evidemment, il faut bien que la salle profite du spectacle. Une main glisse dans mon décolleté. Les doigts font sauter un à un les boutons. Mais il garde les pans serrés contre ma poitrine. L'autre main tire les pans de ma jupe. Chaque main saisit un pan au niveau du col et elles s'écartent violemment. Je suis en soutien-gorge, exposée à l'assistance. Des applaudissements résonnent. Le Commissaire-Priseur reprend.
• Et maintenant qui va avoir le plaisir de retirer la jupe de Sandrine ?
De nouveau la vente s'anime et repart. Les prix montent. Les acheteurs pensent voir quoi pour s'enflammer ainsi. Un homme gagne. Il gravit les marches de l'estrade. Le plancher vibre sous ses pas. Ce doit être un balèze ! Comme ses prédécesseurs, il passe derrière moi. Ses doigts s'insinuent dans ma jupe au niveau de la ceinture. Ils dégrafent l'attache. Lentement, le chuintement de la fermeture à glissière résonne dans la salle. Les mains, accrochées à ma ceinture, descendent lentement. Mon boxer blanc apparait, puis le haut de mes cuisses et mes bas ! Des "bravo" retentissent. Je rougis derrière mon bandeau. Je lève mes pieds l'un après l'autre pour que l'acheteur de ma jupe me libère de ce chiffon. Mais la vente reprend. Le Commissaire-Priseur annonce la vente de mon soutien-gorge. C'est alors de la folie douce ! Les prix grimpent rapidement. Je suis persuadée que Chantal Thomass serait certainement étonnée de voir le prix atteint par un de ses soutiens-gorges ! Pendant mes élucubrations, la vente a été faite. C'est un homme qui monte vers moi. Mais sa voix rocailleuse m'informe qu'il n'est pas français ! N'allez pas croire que je suis raciste, mais son accent me fait penser à un homme de l'Europe de l'Est. Le commissaire annonce :
• Bonsoir Igor !
• Bonsoir Charles !
• Voici donc un étranger dans notre cercle restreint… Igor est Albanais, et il nous fait le plaisir d'être parmi nous ce soir ! Vous avez gagné un soutien-gorge, mon cher Igor !
• Charles, ne mégotons pas ! C'est bien ainsi votre expression ?
• Oui Igor !
• Alors je double la mise et j'ôte le slip !
Une rumeur gronde aussitôt, mais le dénommé Charles calme la salle :
• Igor est seulement de passage en France et ne pourra bien naturellement achetée Sandrine ! Alors accordons-lui ce maigre plaisir !
Le fameux Igor est auprès de moi. Je le sens. Il est plus grand que moi. Il passe derrière moi. Il me chuchote à l'oreille :
• Alors petite salope, tu sais que tu es adorable en sous-vêtements blancs… Mais ils me gênent… Je vais donc t'en débarrasser !
Un claquement métallique résonne auprès de mon oreille droite. Un frôlement et une sensation froide sur le haut de mon sein me font craindre le pire. Ma bretelle droite est tendue, soulevant mon sein droit. Puis la main bouge et soudain, un claquement sourd. Ma bretelle claque mon épaule. Je réalise que ma bretelle vient d'être tranchée par un couteau. Le bonnet de mon soutien-gorge reste en place. La même manœuvre recommence de l'autre côté. Puis un bras m'entoure, se plaque contre ma poitrine. Et la lame froide passe dans mon dos. Le crissement trouble le silence. Le couteau claque en se refermant. Igor retire ce qu'il reste de mon soutien-gorge mais cache de son bras mes seins au public qui clame à grands cris
• Igor, monte nous ses seins !
Igor passe ses doigts sur les rondeurs et att mon téton. Il a un hoquet de surprise. Il me demande à l'oreille :
• Tu es percée aux tétons ?
• Oui monsieur ! C'est mon maître qui me l'a fait !
• Tu aimes ce bijou ?
• Oui monsieur !
• JP joue-t-il avec eux ?
• Oui monsieur !
• Je peux jouer moi aussi ?
• Je suis à votre disposition, monsieur !
Aussitôt je regrette d'avoir accordé cette prérogative à Igor. Mon téton est violemment pincé entre le pouce et l'index, puis tordu d'un demi-tour. La douleur est fulgurante. Igor n'en reste pas là. Il recommence avec l'autre téton. Puis il les libère face au public excité. Igor s'adresse au public :
• Pensez-vous que cette salope apprécie cette caresse ?
Des cris retentissent dans un brouhaha incompréhensible. Igor demande le silence.
• Taisez-vous mes amis ! Je sais que Sandrine aime que cela ne soit pas trop soft. Il parait qu'elle aime jouir, qu'elle mouille facilement et qu'elle apprécie la cravache.
Dans la salle j'entends des cris, des mots brutaux du genre :
• Corrige la, Igor !
Igor obéit et me maltraite les tétons de nouveau. Je ne peux pas retenir une grimace et un gémissement.
• Nous allons voir si elle aime ce traitement… Une main descend le long de mon corps et glisse sur ma hanche et passe sous mon boxer entre mes cuisses.
Igor me force à écarter les jambes. Un doigt trouve l'entrée de mon ventre. Il me doigte violemment et je mouille avec abondance. Ce sentiment m'apporte l'excitation de l’étrange, le don de moi-même, confiante de mon corps et de mes sens ! Je ne peux cacher mon excitation. Mon ventre se jette en avant, s'offrant au doigt inquisiteur. Le rouge me monte aux joues, je suis tétanisée, honteuse d'être ainsi montrée. Puis tout cesse sans que je ne puisse jouir sous la caresse d'Igor. Mais il ne veut pas s'arrêter en si bon chemin. Une sensation froide sur ma taille me fait frémir. C'est encore la lame du couteau d'Igor. La lame passe sur le coté de ma hanche, écarte la dentelle et le crissement de la découpe du tissu fin. La main d'Igor maintient le frêle rempart. La même manœuvre se déroule le l'autre côté. Igor laisse tomber son couteau qui se plante dans le plancher de l'estrade. Il garde un long moment, ses mains sur mes hanches maintenant mon boxer. Et soudain, il écarte ses mains. Mon dernier rempart à ma nudité tombe mollement entre mes pieds. Des applaudissements retentissent mettant mal à l'aise ma modestie. Ensuite les cris fusent :
• On veut voir son cul, montre-nous son anatomie !
Je suis le point de mire de tous les regards. Je n'ai vraiment aucune idée de quoi ils ont l’air. Je me sens indifférente à ce qu’il se passe. Igor saisit ma laisse et me fait tourner sur moi-même. Lorsque j'ai fait un tour entier, il m'oblige encore à un demi-tour. Puis, il tire sur la chaîne, vers le bas. Ce mouvement m'oblige à me pencher vers l'avant. Un ordre arrive :
• Reste courbée ainsi !
Ses mains se posent sur mes fesses et les écartent. Ma raie s'ouvre. Le public découvre l'œillet brun de mon anus qui se niche au fond. Je reste un long moment dans cette position humiliante. Je prends plaisir à être montrée ainsi. Puis une personne dans l'assistance crie :
• Montre-nous ses seins !
Igor tend ma laisse. Je me redresse et suis le mouvement de la laisse. Je suis de nouveau face à la foule. Une boule énorme au creux de mon estomac gène ma respiration. Je sais qu'une personne de l'assemblée présente va s'offrir une esclave pour le reste de ma vie d'esclave. Je sais que je vais devoir lui obéir, être fouettée, être son objet pour un maître pour son plus grand plaisir. Je ne suis pas rassurée mais l'excitation est grandissante. Le plaisir de l'inconnu, d'être à la merci d'une personne que je ne connais pas ! Igor saisit mes poignets et les tire en arrière. Mes seins bombent en avant, pointent, arrogants vers le public qui fixent ma poitrine. Igor claque l'intérieur de ma cuisse avec l'ordre qui va bien :
• Ecarte bien tes cuisses !
J'obéis dans un mot ! Igor, de deux doigts, ouvre mon sexe, et lance :
• Regardez mes amis, cette salope de Sandrine porte un piercing sur le capuchon de son clitoris ! C'est assez rare pour être signaler ! JP explique nous !
Que va dire mon Maître ! La voix chaude résonne :
• Mon cher Igor, il serait peut-être plus judicieux de la demander à l'intéressée !
Je reconnais bien là mon Maître ! Quel enfoiré ! Il me laisse expliquer pourquoi et comment le capuchon de mon clitoris a été percé ! Je commence en chuchotant. Igor me rappelle à l'ordre :
• Plus fort ! Toute l'assistance doit t'entendre Soumise !
• C'est le cadeau de nouvel an de mon Maître. Il m'a offert ces cadeaux sans que je sois mise au courant. C'est le plus beau cadeau que je n'ai jamais eu de ma vie !
Igor vient jouer avec mon piercing. Comme à chaque fois, la barrette vient caresser mon clitoris et déclenche des envies magistrales et surtout une sécrétion abondante ! Igor ne se prive pas :
• Mes amis, cette ravissante salope mouille comme une vraie chienne ! Désormais, mes amis, je laisse cette salope à Charles, notre Commissaire-Priseur pour commencer la vente !
Charles reprend le micro et parle à l'assistance. Il commence la mise à prix :
• La mise à prix de ce merveilleux bijou est à 5 000 euros !
Je suis totalement interloquée ! Je vaux cette somme-là ? Mais pendant que je pense à ma valeur et espèces sonnantes et trébuchantes, les enchères commencent à grimper. La boule de mon estomac suit aussi la montée des prix, de mon prix ! Ma peur aussi bien entendu. Une femme demande :
• Peut-on voir la marchandise de près ?
Charles lui répond :
• Ma très chère Sylvie, je t'invite à venir voir la "bête" !
Une honte grandit brusquement. Je suis considérée comme du bétail. La dénommée Sylvie arrive à mes côtés. Mon téton est immédiatement pincé doucement. La caresse est agréable. Mais aussitôt, les doigts serrent plus fermement. J'essaie de soustraire ma poitrine d'un mouvement de recul du buste. Ma rebuffade est instantanément réprimée par un à-coup sur ma laisse de la part du Commissaire-Priseur avec un ordre :
• Ne bouge pas salope !
Je serre les dents. La femme continue de martyriser mes seins. J'essaie de ne pas bouger. La garce ne se contente pas de mes seins. Une main se pose sur mon entrejambe. De deux doigts, elle att l'une de mes lèvres et tire vers le bas. Je ne peux retenir un petit cri de douleur autant que de surprise. Elle insiste et me fait mal. Je sens qu'elle y prend un plaisir certain. Les larmes me montent aux yeux. Elle jubile de voir couler sur mes joues des larmes que je n'ai pu retenir.
• Regardez-moi cette mijaurée ! Elle est douillette ta soumise, JP !
Une gêne immense me submerge. J'ai honte de ne pas être à la hauteur ! Pourtant dans la salle, les spectateurs sont ravis de la scène qui se déroule devant leurs yeux. La fameuse Sylvie retourne en salle. Les enchères continuent. Ma valeur grimpe tranquillement. Je vaux maintenant 5000 euros ! Charles me fait parader sur l'estrade. Un homme demande s'il peut constater la docilité de la soumise. Charles l'invite à constater par lui-même. L'estrade gémit sous le poids du nouvel arrivant. Il demande à Charles :
• Fait la tourner ! Je veux voir son cul !
Je m'exécute sagement sous la tension de ma laisse. Quel choix ai-je, si ce n'est celui d'obéir ? L'homme appuie sa main entre mes épaules et m'intime l'ordre :
• Penche-toi salope que je vois ton cul !
J'obéis et penche en avant mon buste. Une main me claque sur les fesses. Sans aucun ménagement ! La même main passe entre mes fesses et un doigt pousse sur mon anneau fripé ! J'essaie d'amoindrir la douleur en avant un peu. La laisse me rappelle à l'ordre et à l'obéissance. L'homme retourne en salle. Les enchères reprennent. Malgré ce que je subis, j'essaie de faire bonne figure. Mais je ne peux avoir de haine envers toi. Je suis ta soumise et je respecte ton choix de me mettre dans cette situation. Cette condition de soumise me plait et je m'enferme dans mon monde. Tout le reste n'est qu'un immense brouhaha. Je me ferme à cette séance particulière.
Charles me demande de m'asseoir. Guidée, je pose mes fesses sur l'assise. Je sens le cannage s'imprimer dans ma peau. On prend ma cuisse droite et on la lève et la dépose sur l'accoudoir. Même manœuvre pour l'autre jambe. J'imagine le spectacle que j'offre au public. Mon sexe béant, orné de mon piercing du capuchon de mon clitoris, s'ouvre aux regards concupiscents ainsi que ma rondelle fripée. Charles joue avec mon piercing et le résultat est instantané. Charles commente :
• Regardez mes amis, cette ravissante petite salope mouille comme une chienne en chaleur !
En effet, la cyprine déborde de mon sexe, nappe mon périnée et s'insinue dans mon anus. De nouvelles ondes bien connues irradient déjà mon bas-ventre. Je deviens folle de désir, de plaisirs. Mon cul est maintenant pénétré. Deux doigts au premier assaut, puis un troisième suit immédiatement. Je n'ai aucun mouvement de résistance, bien que j'aime être bien préparée de ce côté-là. Mais mon corps s'abandonne, laissant mes deux orifices grands ouverts et accueillants. Je suis comblée. Je n'en peux plus. Mes mains saisissent les poignets pour favoriser les caresses.
Je me surprends, dans des instants brefs de lucidité, à accen les mouvements des doigts qui investissent mes cavités. Je sens dans mon ventre les allers-retours des doigts, devant, derrière, leur rencontre en moi. Je suis leur jouet, leur poupée de chiffon.
Brusquement, je sens une présence à mes côtés. Le zip de sa braguette me surprend. Un engin pas très raide se présente à mes lèvres.
Je n'ai pas envie de le prendre entre mes lèvres. Une main se pose sur ma nuque et appuie de toutes ses forces.
Son sexe mou se frotte à mon visage. Comme je ne fais pas assez vite ce qu'il souhaite, le sexe quitte mon visage. La gifle qui me cingle la joue me rappelle que je suis là pour obéir. Le sexe pousse sur mes lèvres. Je les ouvre pour la laisser entrer. Je la suce sans ardeur ni entrain. L'homme n'est pas d'accord avec la mauvaise pipe que je lui pratique. Il se retire au bout de quelques allées et venues. Il saisit mes cheveux, bascule ma tête en arrière et me lance :
• Si tu crois que cette minable pipe que tu me fais, va me satisfaire, tu te trompes !
Je suis tirée vers le haut par les cheveux. Une impulsion m'oblige à me retourner. Soudain, un claquement sec accompagné une brûlure sur mes fesses me surprend. Une lanière de cuir vient d'entrer en contact avec la peau douce et satinée de mes fesses. Je me crispe en attendant l'arrivée imminente d'un autre coup. Les coups se suivent, avec la rigueur d'un métronome. Je crie, je hurle sous les heurts brutaux de la cravache. Mais, malgré la douleur qui irradie mon corps, malgré la honte qui m'envahit, j'attends avec impatience le prochain impact. Mes larmes souillent mon visage. La boule qui a pris place au creux de mon ventre gonfle, gonfle d'avantage encore. J'ahane sous la grêle de coups qui brutalise mes fesses. Mon corps réagit à cette situation incroyable, à cette tension qui m'étreint. Ma mouille perle à l'orée de mon minou. Le plaisir qui monte dans mon corps n'a rien de commun, il est d'une violence incommensurable et surtout incompréhensible au vu des conditions. J'ai envie plus encore de cette sensation inexplicable de jouissance suprême. Suis-je normale de vouloir cette douleur pour atteindre le nirvana ?
Enfin la correction se termine. On me tire vers le bas. Je n'agenouille. Le même sexe se présente à mes lèvres.
Cette fois, mes lèvres s'ouvrent et accueillent le nouvel arrivant. Je le cajole, le suçote entre mes lèvres. Il se fraye entre mes mâchoires. Il accède rapidement au fond de ma gorge. L'homme me soutient la nuque et commence un long va-et-vient. Il me baise la bouche. Entre mes lèvres, je sens le chibre augmenter de volume. La respiration saccadée m'annonce l'arrivée proche de l'éjaculation. Il va jouir au fond de la gorge. Sa main dans mes cheveux me maintient fermement. Je ne peux pas espérer détourner la tête. Le sexe trésaille et laisse échapper sa semence par de longues coulées chaudes et gluantes. J'ai des hauts le cœur, mais je suis tenue vigoureusement le visage. Je n'ai pas d'autre choix que de boire le philtre jusqu'à la dernière goutte. Pour parfaire mon plaisir et ma honte, je lèche avec délectation ce sexe que l'on m'impose. Puis c'est le calme qui revient dans l'assistance.
Comment puis-je vivre ces instants de maltraitance avec plaisir et envie ? Je l'ignore mais cela fait partie de moi et je ne veux pas m'en défaire. Je reste dans un état second.
Soudain un tonnerre d'applaudissement me rappelle à la réalité. L'estrade grince. Une personne monte. Charles l'accueille :
• Ma chère Sylvie, toutes mes félicitations ! Tu as enlevé le gros lot ! Tu es l'heureuse propriétaire de Soumise Sandrine dès la fin du mois de Septembre, exactement, dès que notre ami JP quittera le sol français. Avant, elle reste sa propriété ! Mais comme convenu, ce soir, elle est à toi ! Je te donne la laisse de ta future soumise !
La laisse change de main et me tire aussitôt vers l'arrière de l'estrade. Le brouhaha dans la salle reprend.
• Tu es à moi maintenant pour la soirée ! Je vais profiter de toi et de ton corps ! J'en veux pour mon argent. Mets-toi à genoux !
Une traction sur la laisse m'intime le mouvement. Je prends la position attendue par ma nouvelle Maîtresse. Un bruit de tissu attire mon attention. Une main agrippe mes cheveux et m'attire vers l'avant. Je me retrouve la bouche collée à un bas-ventre féminin.
• Suce-moi !
Ma tête est appuyée fermement sur son mont de vénus. J'ouvre la bouche et cherche de la langue son intimité. Je la lèche comme une bonne chienne que je suis. Elle se lâche un peu et sa cyprine commence à souiller mon menton. Je prends son clitoris entre mes lèvres, je l’aspire doucement. Sa réaction est rapide. Elle projette son bassin en avant m'offrant son berlingot. Je me soûle de sa liqueur. Je la dévore comme si j’étais cannibale. Je passe mes mains sous ses fesses pour l'empêcher de bouger. Ses cuisses écartées prennent possession de moi. Elles me serrent la tête. Son ventre se contracte sous ma caresse. Je prends des initiatives qu'elle apprécie. Je lui mets trois doigts dans la chatte et lui lutine le clitoris. Elle se laisse totalement aller et jouit sans honte de mes œuvres. Elle est toute à moi. Je lui broute la chatte. Pour atténuer le plaisir qui monte dans le ventre de ma future nouvelle maîtresse, je la saisis par les fesses. Puis doucement, mon index avance vers son anus. Je la touche, caresse autour, dessus et depuis peu dedans. Je pousse mon avantage un peu plus loin devant aucune réaction de refus. Je lui entre un puis deux doigts dans son intimité défendue. La réaction est surprenante. Je sens son anus s'ouvrir comme une fleur, libérant le passage à mes doigts fouineurs. La coquine en profite et me laisse jouer avec ses fesses et son cul. Je me risque à des inventions plus obscènes. Le pouce de mon autre main vient rejoindre mes doigts et je lui pilonne le cul. Ma maîtresse se tord sous les ondes de plaisir qui se déchaînent en elle. Elle prend son pied ! Quelques dizaines de secondes plus tard, ma nouvelle maîtresse reprend pied à la vie. Elle me repousse la tête en arrière avec un commentaire blessant mais élogieux :
• Chienne, tu suces bien ! Tu vas être récompensée !
Elle s'adresse à l'assistance :
• Mesdames, Messieurs, vous allez pouvoir profiter de ma nouvelle soumise ! Je vous l'offre en pâture ! A moins que JP ne le souhaite pas ?
J'espère que JP va me sauver de cette situation. JP lui répond :
• Ma chère Sylvie, elle t'appartient ce soir et ensuite seulement à mon départ fin septembre !
JP s'approche de moi et m'embrasse dans le cou. Je l'interroge :
• Suis-je une bonne soumise ?
JP retire doucement mon bandeau et plonge son regard dans le mien :
• Oui, tu es une vraie soumise, et très salope !
Il me répond avec son sourire désarmant :
• Pas trop salope ?
• Non ! Et j’adore quand tu es pute. Et toi, tu aimes ça ?
• J’avoue que j’aime ça !
• Alors si tes amis veulent se faire vider, tu peux leur dire que je suis prête !
• Si tu le veux… Je vais t'offrir à tous les personnes de l'assistance…
Je blottis ma tête dans le creux de son épaule. Je sens le rouge me monter aux joues. Un léger sourire se dessine sur mes lèvres. JP saisit ma laisse et me fait descendre l'estrade. Je suis au cœur de l'assistance et je m'en rends immédiatement compte. Les commentaires vont bon train :
• Elle a un super cul !
• J’espère qu’elle sait s’en servir !
• Elle a une belle gueule et de beaux seins, j’aime bien !
• Elle est bien roulée, elle me fait déjà bander !
Je ne peux supporter les regards de ces gens. Je regrette déjà mon bandeau. Alors pour échapper à ces yeux, je baisse le regard et admirent mes chaussures ! Et aussitôt des mains effleurent mon corps. Mais tout change rapidement. Elles triturent mes seins, pelotent mes cuisses, claquent mes fesses. Des doigts inquisiteurs furètent mes orifices intimes. Deux doigts me titillent la chatte, un autre investit mon cul. Les mains sont partout. Mais ce sont des mains de dominateurs, de Maîtres. Mes tétons sont pincés, brutalisés avec les doigts, avec des ongles. Je gémis sous cette dernière douleur. Une voix féminine me répond :
• Tais-toi, salope !
JP tire sur ma laisse jusqu'à une sorte de table basse. Il m'installe les jambes dans des goulottes et me penche vers l'avant. Mes avant-bras se positionnent dans d'autres goulottes je suis confortablement installée, à quatre pattes. J'ai peu de temps pour épiloguer sur ma position : je suis à quatre pattes, la bouche et les fesses à hauteur de sexe humain ! Des hommes s'approchent. Le premier m'enfonce son sexe dans la bouche en maintenant la tête avec ses mains. Sa bite pénètre jusqu’au fond de ma gorge. Il est très excité et il ne tarde pas à se vider au fond de ma bouche en sursautant. En soumise obéissante, j'avale son foutre légèrement salé. Je le suce pour le nettoyer, mais il se retire rapidement de ma bouche accueillante ave un commentaire :
• Aller, ne le fait pas briller comme un sous neuf, je vais m'occuper de tes autres orifices ! J'espère qu'ils sont aussi agréables !
Un autre homme se présente :
• A mon tour !
Sa queue est énorme ! Ma bouche est distendue pour le laisser entrer et un haut le cœur me prend au moment où ses poils pubiens caressent mon nez ! Il est monté comme mon Maître ! Il commence à me pistonner, lentement mais bien profondément. Je peine à avaler ce chibre. Mais c'est à cet instant, qu'une sensation curieuse apparait vers mon arrière train. Deux mains se posent sur mes hanches, les attnt à pleine main. Un gland se pose sur ma rondelle et presse. Une poussée violente et il me pénètre d’un violent coup de reins. Je ne peux retenir un gémissement étouffé par la queue qui m'emplit la bouche. Il se targue d'un commentaire graveleux :
• T’aimes ça, hein, salope !
Il me pistonne de plus en plus vigoureusement. A chaque aller-retour, il est à la limite de sortir de mon anus, puis, il se rue dans mon boyau dilaté. Heureusement, il n'est pas de la taille de celui qui me viole la bouche. Ce double pilonnage engendre une agréable sensation de plaisir. La boule au creux de mon ventre se réveille. Mon sexe délaissé pour l'instant s'humidifie. Les deux hommes profitent de moi aussi intensément que possible. C'est pourtant celui qui profite de ma bouche avec son sexe énorme qui me procure le plus de plaisir. D'un coup, alors qu'il est bien au fond de ma bouche, il se libère et crache son sperme au fond de ma gorge. J'avale deux giclées épaisses et il retire son chibre. Mais il éjacule encore sur mon visage. Mes yeux, mes narines, et mes joues sont enduites d'une semence abondante et épaisse. Je ne peux pas m'essuyer, ce qui ne gêne pas un autre homme d'envahir ma bouche laissée libre. A peine de nouveau ma bouche prise, que mon enculeur vide sa purée dans mon rectum. Il décule et essuie sans délicatesse son gland souillé sur mes fesses. Et le manège continue. Un autre homme plante sa queue dans mon sexe. Il est tellement humide que la pénétration se fait sans aucune difficulté. Mais autour de moi, des personnes profitent de mon corps. Des mains jouent avec mes seins, me pincent les tétons. Je gémis de douleur et de plaisirs mêlés. Combien de temps s’est écoulé depuis notre arrivée ? Je l'ignore et je ne sais pas combien de temps je serais donnée en pâture à cette assistance ! Deux mains prennent ma tête et me maintiennent. Une bite se pose sur mes lèvres et pousse. Je ne peux pas l'empêcher d'envahir ma bouche. Des doigts investissent ma chatte dilatée et quelque peu tuméfiée. Mon anus n'est pas laissé en reste et bénéficie d'introduction ferme de doigts. Pendant une dizaine de minutes, ma bouche accueille le sexe qui se vide en longues giclées crémeuses. J'avale consciencieusement la purée que l'on me donne généreusement. Et cela continue. Des doigts s'introduisent dans ma chatte et dans mon cul. Un commentaire fuse :
• Mes amis, avez-vous déjà joué au billard ?
Des rires accompagnent la tirade. Les doigts libèrent mon intimité et mon anus. L'homme qui souhaite jouer au billard continue son invective :
• Elle va devoir écarter ses fesses pour nous faciliter le passage !
Un ordre fuse dans mon dos:
• Ecarte tes fesses !
Je m'appuie sur le support et empoigne mes fesses à pleine main. Je les tire, découvrant mon anus plissé à toute l'assemblée. Aussitôt, un objet froid et gluant se positionne à l'orée de mon petit trou du cul. Un plug est introduit de force dans mon cul. Pour soulager la douleur, je pousse pour qu’il rentre mieux. Je me cambre pour faciliter l'intromission. Le mouvement de mon corps génère immédiatement un commentaire :
• Regardez si cela lui plait ! Elle a l'air d'aimer se fait bourrer le cul !
Le plug trouve sa position dans mon rectum. A peine ce dernier entré, qu'un homme me pénètre en levrette. Il s'active fermement et rapidement, il se répand dans mon ventre. C'est alors une succession de bites qui honorent ma chatte. Combien de queues ai-je absorbée ? Combien se sont vidées dans mon ventre ? Je n'en sais fichtrement rien ! C'est alors que des doigts saisissent la collerette du plug et le retirent. Des voix d'hommes rigolent avec des commentaires inquiétants :
• Là, elle n’a va plus avoir un trou du cul, cela va être un vrai hangar à bananes !
Les rires fusent. On me présente mon nouveau compagnon de jeu ! C'est un gode noir de dimensions respectables : il doit mesurer au moins 20 à 25 cm de long, quant au diamètre, il doit s'approcher des 6 à 7 cm ! Une sensation froide envahit mon anus. On m'enduit d'un produit lubrifiant ma rondelle fripée. Puis une pression légère. On commence à m'introduire lentement le plug. Afin de ne pas souffrir, je me cambre exagérément, offrant mon postérieur. En même temps je pousse en m'ouvrant au maximum. La douleur arrive presque immédiatement malgré tous mes efforts. Mon anus peine et se dilate doucement sous la pression du gode. Le violeur me renseigne :
• Il en reste la moitié dehors, alors ouvre-toi bien !
J'espérai qu'il était presque en entier en moi. Je serre les dents et me concentre sur la dilation de mon sphincter. Je pousse. Deux mains se posent sur mes lobes fessiers et me les écartent presque violemment. Le cul écartelé, le plug entre jusqu'à la garde. Je souffle fort pour accepter de monstre. Pendant quelques minutes, on me laisse tranquille. Et soudain, une vibration dans mon anus. C'est un vibro masseur électrique. L'objet semble vivant des ondes de différentes natures me procurent instantanément des sensations étonnantes et délicieuses. Je me tords sous le plaisir qui me submerge. Aussitôt je suis remise à plat dos sur la table. Mes jambes sont relevées et un sexe emplit ma chatte. J'imagine la scène : moi à plat dos avec un plug anal de grosse taille dans le cul pendant que ces messieurs continuent de baiser sans ménagement les uns après les autres. Cette situation étonnante me crée un plaisir immense. Le plug anal me donne une présence supplémentaire avec ses vibrations continuelles. Un nouvel orgasme me transperce et me laisse pantelante. Mais la séance continue. Les hommes sont toujours aussi puissants et nombreux. Mon sexe me fait mal. Sans doute le trop grand nombre de sexes qui m'ont pénétrée ont assécher mes muqueuses. Mais de façon régulière, les orgasmes se suivent comme les vagues incessantes de la mer. Ils montent et j'explose de bonheur, malgré la douleur. Au bout d'un long moment, on me retire le plug sans ménagement. Un bruit incongru retentit dans la pièce. Des rires fusent. Je suis de nouveau retournée et mise à genoux sur la table. Je constate qu'un homme est déjà couché sur le dos. Immédiatement, il me pénètre la chatte. Je suis bien pleine. Sa queue est de belle taille et en plus le gredin sait s'en servir. En même temps, il me suce les seins. C'est ce n'est pas du jeu. Les caresses combinées de ma chatte et de mes seins me font perdre très rapidement les pédales. Le plaisir est grand. Il arrive vite et il me comble de bonheur. Mais je sens une main se poser sur ma tête. Aussitôt, un sexe se présent à ma bouche. Je n'ai pas le choix et j'ouvre grand les lèvres. Le sexe envahit ma bouche. Les deux hommes accordent leurs poussées. Lorsque mon sexe est pénétré, ma bouche est libérée. L'homme tient ma tête à deux mains. Il a peur que je m'enfuis ! Soudain, un gland se pose contre mon anus. Une pression légère et il s’enfonce dans mon cul. Je me doutais bien que cela allait arriver. Mon cul bien ouvert par le plug la pénétration se fait avec un minimum de douleur. Les trois hommes se synchronisent. Ma chatte se vide, tandis que mon cul et ma bouche absorbent les chibres massifs. Mon bas-ventre est plein, dilaté de toutes parts par les deux sexes épais. Les trois hommes accélèrent la cadence. Je ne peux me retenir. Les orgasmes se suivent et me terrassent. J'ai envie de crier, mais avec ce que j'ai dans la bouche je ne peux rien dire. C'est tellement bon que des larmes de bonheur coulent sur mes joues. Puis c'est l'apothéose ! Un orgasme d'une rare violence me laisse anéantie. Je me laisse tomber sur l'homme pendant qu'ils se vident en moi. Mon cul, ma chatte sont inondées et ma bouche accueille de belles rasades de sperme. L'homme se retire et finit de se vider sur mon visage. J'en ai partout, dans les cheveux, dans les yeux sur les joues. Des larmes de sperme coulent jusqu'à ma bouche. Malgré ma fatigue, je lape ces quelques gouttes et me régale de cette semence acidulée. L'homme qui m'a enculé lance alors :
• Mon cher JP, c'est bien vrai ! Ta salope est un vrai fusil à trois coups !
Je souffle quelques minutes. L'homme sous moi, rampe pour se libérer. Je me retourne et m'allonge pour récupérer. Les hommes se sont tous vidés et me laisse tranquille. C'est alors qu'une curieuse sensation m'arrive. Je passe du monde viril et brutal des hommes à autre chose !
Un tissu se frotte à mes joues. J'ouvre les yeux et admire, à l'envers, une petite jupe. Des doigts font sauter les quelques boutons. Plus rien ne s'oppose à ce que l'on offre ! C'est ma nouvelle maîtresse qui souhaite profiter de sa nouvelle soumise. J'entends son souffle. Il se fait court. Ses doigts ouvrent son sexe rose. Son entre-jambe se présent à ma bouche. Je lèche l'intérieur de ses cuisses, là où la peau est si fine, si délicate. Je la sens pantelante, désireuse de mes caresses. Elle tire sur le capuchon de son clitoris. Elle veut que je joue avec lui. Mais non, pas tout de suite. Son clitoris attendra encore un peu. Ma langue glisse entre ses grandes lèvres. Cette sensation la fait s'ouvrir encore plus. Pour la satisfaire encore plus, de mes doigts, je maintiens écartées ses lèvres incarnates. Ma langue s’insinue entre ses petites nymphes. Elle coule aussitôt. Elle inonde ma bouche. Ma langue se fait dure et pénètre doucement son antre humide. Ma langue quitte ses ravissantes petites lèvres et remonte vers son bouton d'amour. Je le regarde, gonflé, irrigué de sang. Il attend avec impatience ma langue. J'ai envie de faire durer ce supplice. Je reviens à ses lèvres. Elle gémit. Elle va devoir encore patienter. Je lape encore et encore ses lèvres. Puis je veux son plaisir. Ma langue revient sur son clitoris. Elle s'enroule autour de son bouton dardé. Je le branle doucement pour l’exciter plus encore. Titiller son petit bouton est un bonheur inattendu pour moi. C'est la première fois que je prends du plaisir à sucer une femme ! Ma langue tourne autour de son clitoris, sans jamais le toucher vraiment. C'est par de petites touches insignifiantes que je fais monter son plaisir. Je veux qu’elle me supplie de venir lui donner du plaisir. Mes frôlements vont la rendre folle de désir. Soudain elle me rappelle qu’elle est ma maîtresse. Elle prend mes cheveux à pleine main et elle applique avec force ma bouche contre son sexe dégoulinant de cyprine. Je lui mange le sexe avec gourmandise. J'aspire son clitoris. Le plaisir la frappe alors. Elle suffoque sous l’intensité de son plaisir. Elle ne sait plus où elle est, ni qui elle est. Son regard devient fixe. Son esprit n'est plus là. Nous sommes là, seules au monde. Seul Son plaisir nous accompagne. Quelques minutes plus tard, elle m’aide à me relever. Elle m'embrasse avec une force et une violence qui m'émeut. J’ai l’esprit qui chavire alors que je sens monter entre mes reins cette chaleur si particulière, celle qui précède l’orgasme. Elle le sent et ses doigts trouvent mon clitoris. J'aime cette manière si particulière qu’elle a de me prendre. L’orgasme me terrasse.
C'est la fin de cette soirée. JP me ramène à la voiture. Je m'endors aussitôt. Dès notre arrivée, il me porte dans mon lit. Je m'endors.
Toute la période avant le départ de JP est un pur bonheur. Il vit à la maison, car son appartement est en vente. Je suis heureuse. Je vis mes derniers jours avec Le MAÎTRE qui m'a fait ce que je suis : une soumise !

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