Denise Soumise De Nature : Dès Son Plus Jeune Âge (Saison 1 Épisode 1/4)

Denise était arrivée en France après l’indépendance de l’Algérie en 1962, elle était très jeune à l’époque, la dernière de la famille. Son père ayant disparu, elle était revenue au pays avec sa mère, sa sœur ainée et son frère. Ils habitaient dans un petit village de campagne en Mayenne où elle suivit toute sa scolarité sous les sobriquets des s de son âge. La pied-noir était son surnom, elle fut très vite rejetée et humiliée par les autres, c’était la raison pour laquelle, elle se renferma sur elle-même et devint plutôt effacée et timide.

À son adolescence, elle se rapprocha de Joaquim, un fils d’un émigré portugais qui se trouvait dans le même cas que Denise, il avait deux ans de plus. De fils en aiguille, ils s’étaient rapprochés puis comme beaucoup de jeunes de 18 ans, ils avaient flirté. Joaquim était courageux, il aidait beaucoup son père. Il avait aménagé une petite chambre dans le grenier de la ferme où ils se retrouvaient tous les dimanches après-midi. Au début, ils s’embrassaient beaucoup, mais très vite, Joaquim lui demanda de caresser et de branler sa verge, elle découvrait pour la première fois le sexe d’un homme et son éjaculation. Tout ceci était très excitant pour elle, elle mouillait toujours fortement sa culotte. Il l’avait à son tour caressée, elle avait apprécié sa jouissance. Par la suite, Joaquim l’avait présenté à ses parents, c’était sa petite copine et tout de suite, ils avaient apprécié la jeune fille.

Par la suite, il lui avait demandé de le sucer, Denise toujours obéissance avait accepté, les fellations et les cunnilingus étaient devenues monnaies courantes, ils prenaient beaucoup de plaisir ensemble. Après la perte de sa virginité, elle était devenue la petite femme du jeune lusitanien. Malheureusement, cette famille était repartie vivre au Portugal.

Sa vie sexuelle n’était pas tout à fait normale et en dehors, Denise n’était pas une fille très sage et disciplinée comme on pouvait l’imaginer.

Certainement à cause des moqueries qu’elle subissait et le manque de père avaient probablement fait d’elle une femme qui recherchait chez l’homme la protection dont elle avait besoin. Elle avait un caractère d’une dominée, elle se soumettait aux lois des hommes virils et machos, mais pas que. Même sa grande sœur profitait d’elle.

Denise venait de coucher avec Joaquim, alors qu’elle était encore jeune pour l’époque. Sa sœur plus âgée qu’elle, adorait se faire baiser, elle aussi avait un copain mais sa mère était très sévère et ne voulait pas qu’elle soit seule avec lui car elle se doutait qu’elle perdrait vite son pucelage avec cet homme plus âgé. La maman ne savait pas que Colette l’avait déjà perdu depuis bien longtemps. Ce jour-là, elle voulait faire l’amour à Bernard, sachant que Denise n’était plus vierge, la grande sœur l’obligea à venir avec elle, la menaçant de la dénoncer à leur mère.

Colette laissa Denise toute l'après-midi entre les mains de Michel, un copain à Bernard, qui avait 21 ans mais très laid. Celui-ci avait gentiment fait connaissance avec la jeune Denise, comme Joaquim, il lui montra sa verge, bien plus grosse et plus épaisse que le jeune portugais avec beaucoup de poils autour. Fascinée par son sexe et déjà soumise, elle fit tout ce qu’il lui demandait. Elle avait commencé par lui caresser les testicules et son membre et l’avait branlé doucement en prenant son temps. La tête à quelques centimètres de son gland, elle ne se rendit pas compte qu’il allait éjaculer, elle reçut les jets de sperme en plein visage sous les rires de Michel qui jubilait de plaisir.

Puis il lui demanda d’ôter sa jupe, son pull et sa culotte, elle était nue. À aucun moment, Denise n’avait montré le moindre mécontentement ou refus d’obéir, il l’avait couchée au sol et à son tour, il la masturba assez sauvagement à l’aide de ses trois doigts dans sa petite chatte trempée d’excitation. Elle connut avec lui son premier orgasme.
Elle s’arc bouta, tendit tous les muscles de son corps et une quantité de liquide sortit de sa vulve à grands jets. Michel n’avait jamais vu ça, il recommença et quelques minutes plus tard elle giclait de nouveau.

Cela avait redonné une forte érection au jeune garçon qui lui demanda sans gêne :
— Tu veux me sucer, t’as déjà fait ?
— Ouais ! dit-elle timidement.
Elle prit la grosse queue de Michel dans la main, elle approcha sa bouche avec une certaine appréhension, elle avait peur de mal faire. Délicatement, elle ouvrit la bouche en grand et avala son gland :
— Mets la plus profond ! Lui dit-il.

Obéissante, Denise l’enfonçait en faisant attention de ne pas lui faire mal avec ses dents, elle passait sa langue comme lui avait expliquer Joaquim :
— Encore plus, bon dieu ! Ordonna-t-il, en prenant sa tête entre ses mains en la tirant vers lui.

Avec des hauts le cœur, Denise se forçait de la maintenir le plus longtemps possible. Elle ressortit la verge d’entre ses lèvres, des grands filets de glaires sortaient de sa bouche avant de la remettre un plus profond dans sa gorge. Cette fois, elle ne put enlever sa tête, Michel se déversait en elle, en la tenant fermement en disant :
— Avale tout avant de ressortir.

Puis il recommença à la caresser, cette fois de ses quatre doigts, la jeune Denise mouillait et mouillait encore, il lui força, de son pouce enduit de cyprine, son petit trou du cul. Elle jouit encore une fois en inondant le parquet. Michel croyait qu’elle urinait tellement ça sortait en force et en quantité de sa petite chatte. Il s’était amusé avec elle jusqu’à ce que sa sœur et son copain revienne. Denise était contente d’avoir fait plaisir à Michel qui l’avait embrassé en lui disant merci.

Le week-end d’après, ce fut Denise qui se proposa de venir tenir compagnie à Michel pendant que Colette se faisait baiser par Bernard. Ce jour-là, elle avait eu droit à son premier vrai doigté dans l’anus, elle avait reçu trois de ses gros doigts dans le cul, elle avait eu très mal mais avait supporté sans rien dire, elle avait connu une nouvelle fois des orgasmes foudroyant, Michel se faisait un plaisir de la masturber car il ne voulait pas la baiser pensant qu’elle était encore vierge.
Il adorait ses fellations et de gicler son sperme sur son visage ou dans sa bouche.

Depuis que Joaquim avait quitté sa vie, elle retrouvait le plaisir des caresses de Basile, dans l’autocar qui les menait à l’école. Discrètement, la main du garçon passait sous ses jupes et la main de Denise dans le pantalon de Basile, ils se faisaient jouir. Elle attendait donc avec impatience ces voyages en bus, avant et après les cours. Puis, plus tard, les samedis soir, c’était les bals populaires, elle adorait danser les slows avec les garçons qui l’invitaient. Elle se frottait un maximum contre son cavalier en se remuant sensuellement jusqu’à ressentir l’érection du bienheureux jeune homme, prendre forme et durcir.

Le contact de cette queue bandante à son honneur lui procurait un désir très fort. À la fin de la soirée après avoir embrassé et caressé le garçon dans le noir au fond de la salle du bal, le copain d’un soir l’invitait à sortir, comme elle ne savait pas refuser, elle profitait de son sexe. Le garçon la prenait le plus souvent debout appuyée contre le mur de la salle des fêtes, les jambes écartées la petite culotte au sol. Après tous les préliminaires qu’ils venaient de vivre, le jeune homme la pénétrait facilement mais malheureusement pour elle, le garçon trop excité éjaculait trop tôt, elle ne profitait pas suffisamment de la verge plantée en elle pour jouir pleinement.

Ce fut dans un de ces bals qu’elle rencontra son futur mari. Il lui avait tout de suite plu mais Alain était quelqu’un de gentil et très timide. Denise n’avait pas voulu coucher avec lui, sans que celui-ci le demande, elle ne voulait pas passer pour une trainée. En attendant, elle patientait donc et pour son plaisir, elle baisait quand d’autres gars, plus téméraires lui demandait ses faveurs, toujours en cachette.

Denise fréquentait Alain depuis un long moment, elle languissait de baiser avec lui mais celui-ci lui avait dit qu’ils ne feraient pas l’amour avant le mariage.
Ce soir-là, elle était invitée chez lui, lors d’un repas de famille. Yves le grand frère, l’ainé de la famille, flasha sur sa jeune belle-sœur, celle-ci le remarqua très vite, à chaque occasion, il lui mettait la main aux fesses en souriant ou la coinçait lorsqu’ils étaient seul et lui pelotait les seins qui commençaient à devenir impressionnants. Il était toujours en train de la regarder avec son air pervers en sortant le bout de sa langue entre ses lèvres serrées. Denise n’osait rien dire, il ne se gênait plus de lui caresser le cul en disant devant ses copains :
— Vous avez vu le cul qu’elle a, ma future belle-sœur. Je la sauterais bien.

Il l’humiliait et Alain était tout aussi gêné, lui non plus ne la ramenait pas devant son grand frère, il laissait dire en lui expliquant qu’il blaguait. Le soir du réveillon du jour de l’an, Denise était entre Alain et Yves à table. Pendant tout le repas, ce dernier lui caressa la cuisse puis voyant que la jeune ne disait rien, il alla plus loin et plus encore.

Sa main était passée sous sa jupe et à l’intérieur de sa petite culotte. Ses doigts entraient dans sa fente humide, Denise commençait à avoir du plaisir, elle remuait sur sa chaise. Yves sentant qu’elle désirait qu’il continue, la masturbait devant les yeux ébahis de son fiancé. Alain regardait mais ne disait absolument rien. Denise rouge de honte voulait que ce plaisir se poursuive, mais Yves voyant qu’elle allait jouir retira sa main et lui dit à son oreille : « Je recommencerai dans un moment. » Puis comme il lui avait dit, il recommença. Elle était humiliée, mais ces caresses lui faisaient du bien et lui donnait du plaisir. Elle aurait tant voulu que son futur mari le fasse lui-même qu’elle se contentait de son frère.

Son beau-frère était devenu son cauchemar même s’il lui donnait du plaisir dans ses caresses, elle aurait préféré les mains d’Alain mais il n’osait pas la toucher. Elle regrettait le soir de l’an où elle avait embrassé Yves après avoir joui dans sa culotte. Car maintenant, il la faisait chanter en voulant la dénoncer à son jeune frère. En effet, tout ceci se poursuivit jusqu’à son mariage, lorsqu’elle venait à la maison, il lui demandait de venir dans sa chambre pour, soi-disant faire du ménage et il lui demandait si elle voulait bien enlever sa culotte pour se masturber devant lui. Au départ c’était assez difficile pour Denise mais Yves l’impressionnait tant qu’elle céda. Lorsqu’elle se masturbait, il enlevait son pantalon, se caressait la verge tout en la regardant puis venait placer ses mains pour la remplacer. Elle jouissait fortement sous ses doigtés, cela impressionnait beaucoup son futur beau-frère qui lui demandait ensuite de le masturber.

Toujours très obéissante, Denise le branlait jusqu’à ce qu’il éjacule entre les cuisses de la jeune femme. Elle appréciait tellement qu’elle aimait retourner dans sa chambre se caresser et se faire masturber de la sorte, elle lui faisait volontiers des fellations et buvait jusqu’à la dernière goutte la semence qui lui déchargeait dans la bouche. Il lui était même arrivé de la surprendre lorsqu’il lui avait présenté un copain à lui. Elle n’avait pas refusé un seul instant de se faire du bien en éjaculant sa jouissance, cela l’excitait puis elle avait branlé les deux pénis en érection qui se présentaient devant elle. Puis ce fut au tour d’un cousin, où elle fit exactement la même chose. Tous les dimanches jusqu’à son mariage, c’était le même rituel. Denise en avait pris goût malgré l’amour qu’elle portait à Alain.

Si comme Denise vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. cyp.perruche@orange.fr

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