Denise, Soumise Par Force : Offerte Par Son Maitre. (Saison 2 Épisode 2/4)

Denise, cette belle femme de 40 ans en cours d’initiation à la soumission, attendait avec
impatience l’appel téléphonique de son Maitre. Elle n’était pas autorisée à le joindre,
cela faisait déjà quatre jours, qu’elle n’avait pas de nouvelle de Claude. Elle
désespérait, elle se demandait : Qu’est-ce qu’elle avait pu faire de mal ? Voulait-il
encore d’elle ? Pour que son Maitre l’abandonne ainsi, c’était bien la première fois que
cela arrivait. Pourtant, elle savait qu’elle devait se rendre le lendemain à l’hôtel,
elle s’en était préparée psychologiquement, elle s’offrirait sans compter à son amant,
elle se donnerait corps et âme pour lui.

Le vendredi soir à 21h50, Alain dormait devant la télévision, toujours encagé, il
n’avait pratiquement plus d’érection, lorsque le téléphone sonna. Denise qui n’avait pas
quitté le combiné de sa main pendant toute cette semaine, décrocha immédiatement.
— Es-tu prête à devenir ma soumise ? Veux-tu vraiment être ma salope ?
— Oui Maître, je vous aime ! Je suis à votre disposition 24 heures sur 24. Je ferai
n’importe quoi pour vous, vous êtes mon Maître.

Denise n’avait pas fait semblant, elle pensait ce qu’elle disait, elle était
entièrement dévouée à Claude et lui témoignait son amour en se soumettant totalement à
lui. Claude l’avait complimentée, lorsqu’elle lui avait dit qu’elle n’avait pas joui de
la semaine, qu’elle avait respecté à la lettre toutes les consignes. Il fut très doux et
tendre en la félicitant de son bon comportement avec lui, il lui avait même dit que lui
aussi l’aimait beaucoup mais pas de la même façon. Denise était bien prête à tout faire,
afin de le satisfaire. Néanmoins, lorsqu’il lui annonça que si elle voulait le mériter en
faisant l’amour avec lui, elle devait réaliser une dernière épreuve, un gage de
soumission totale :
— Je vais offrir ton corps à deux amis, tu ne les verras pas avec ton bandeau.

Je serai
là et t’observerai, tu feras tout ce qu’ils te demandent. Es-tu prête à cela ?

Denise ne savait plus quoi penser, elle était prise entre deux sentiments, celui de
l’humiliation car son Maître l’offrait comme du bétail mais c’était une marque d’amour
car il savait qu’elle allait prendre beaucoup de plaisir avec deux hommes dans une
chambre d’hôtel. Elle accepta de suite :
— Oui Mon Maître, je suis à vous et je ferai suivant vos désirs.
— Très bien ma salope adorée, je savais que je pouvais compter sur toi. À demain, tu ne
regretteras pas. Tu seras bientôt à moi.

Ses mots l’avaient rassurée, Denise s’était préparée toute l’après-midi, à 20h55,
elle monta dans la chambre et s’installa dans le lit suivant les consignes. Les yeux
bandés, allongées entièrement nue et jambes écartées, sur le lit. Elle était très
excitée, elle attendait que son Maître vienne avec les deux hommes avec lesquels elle
devait s’offrir, elle voulait satisfaire Claude en prenant du plaisir avec ses deux
inconnus. Denise était tout sourire lorsqu’elle entendit la porte de la chambre d’hôtel
se refermer. Comme la première fois, il vint déposer un petit baiser sur les lèvres de sa
soumise. Elle entendit bien trois hommes parler dont la voix de son Maitre qui leur
demandait :
— Comment la trouvez-vous ma nouvelle salope ?

Elle n’avait pas vu mais les deux gars se frottaient déjà les mains en voyant le
joli corps de cette femme offerte à eux pour un bon moment. Ils s’approchèrent et purent
apprécier la marchandise en lui pelotant les seins, les cuisses et la fente déjà bien
humide :
— Vous n’êtes pas là pour la caresser, mais pour la baiser comme une pute, elle est à
votre disposition. Dressez là, j’en ai besoin pour mon bar. Faites-en une putain.

Ces paroles dites sur un ton froid et sévère, firent peur à Denise qui s’était mise
à trembler, ils n’étaient pas là pour son plaisir mais au leur, elle était encore
humiliée mais cela l’excitait, elle ne comprenait pas.
Tout changea lorsque les deux
types avait écarté ses jambes au maximum et lui avait menotté les jambes aux pieds du
lit, elle eut très mal et cria. Elle reçu un grand coup de cravache sur la cuisse :
— Attention sale chienne, si tu résistes encore, tu vas le regretter. Dit son Maitre en
lui claquant un nouveau coup sur l’autre cuisse. Tout en poursuivant : Tu ne voudrais pas
qu’Alain en subisse les conséquences ?
— Non Mon Maitre ! Faites de moi votre putain.

Denise avait envie de pleurer, un des deux hommes lui faisait mal, il lui mettait
des gifles sur ses seins et ses fesses, pendant que l’autre avait approché sa bite de sa
bouche en lui disant suce-moi bien profond. Sa queue semblait très large, elle dut ouvrir
en grand la bouche. Non seulement elle était épaisse, mais elle était longue, il lui
enfonçait complètement, elle avait des hauts le cœur, elle avait des difficultés pour
respirer.

Pourtant, elle essayait de bien faire, il se retirait quelques secondes, puis se
renfonçait pendant qu’elle passait sa langue, elle était pressée qu’il éjacule car elle
savait que c’était le but. Le deuxième homme se coucha sur elle et la pénétra sans
préparatif, heureusement qu’elle avait mouillé par l’excitation en les attendant.
Lorsqu’elle sentit les mains derrière sa tête l’approchant au maximum contre le pubis de
l’homme qui la maintenait, elle comprit qu’il lui envoyait tout son sperme. Elle se
devait de bien tout avaler afin que Claude ne soit pas déçu.

Immédiatement après, elle ne sentit plus le type qui qui lui remplissait le vagin,
il se trouvait dorénavant dans sa bouche et fit la même chose, sa queue semblait être la
jumelle de la précédente, il s’enfonçait au plus profond de sa gorge et éjacula quelques
minutes plus tard :
— C’est parfait ma salope, tu as bu jusqu’à la dernière goutte, je t’en félicite.

Maintenant tourne toi. Dit Claude en lui enlevant les menottes. Encule-là Roger et sans
capote, tu ne crains rien.

En effet, le Maitre lui avait fait faire un dépistage la semaine précédente et ses
amis faisaient régulièrement les mêmes tests. Roger avala sa bière d’un trait, sans
ménagement, il prit Denise par les chevilles, la tira avec force hors du lit afin qu’elle
se retrouve à genoux au pied le cul à sa disposition. Elle eut un gémissement de douleur,
elle reçut un nouveau coup de cravache de Maitre :
— Putain ! Tu vas te laisser faire ou quoi ? Tu veux arrêter ?
— Non mon Maitre ! Je suis votre chienne, qu’il me défonce si c’est votre désir.

Après que Denise lui avait redonné une érection en le suçant, en le masturbant et
en lui massant les testicules, Roger s’agenouilla derrière elle et toujours sans
préparatif, enfila son gros gland dans son anus. Denise se mordait les lèvres, elle
ressentait de la douleur mais ne voulait pas crier. Lorsqu’il était au plus profond de
ses entrailles, elle commençait à ressentir du plaisir, son pouls s’accélérait, sa
respiration était plus forte, son désir montait. Denise allait jouir lorsqu’elle cria sa
douleur, Gabriel venait de lui écraser les deux tétons en accrochant deux pinces
métalliques. Elle eut droit une nouvelle fois, à deux coups de cravaches sur ses fesses :
— On peut continuer ma petite cochonne ?
— Oui Mon Maitre ! C’est trop bon, qu’il m’encule profond.

Roger poursuivait ses va et viens, le plaisir revenait, elle mouillait, la douleur
était passée ou elle l’oubliait plutôt. Mais celui-ci retomba lorsque Roger se retira de
son rectum :
— Encore, j’en veux encore. Dit Denise.
— Ça ce n’est pas à toi de décider. Suce Gabriel maintenant.

Les deux hommes s’étaient amusés pendant plus de trente minutes et inversaient les
rôles, ils avaient tous les deux éjaculé dans son rectum sans lui procurer la moindre
jouissance :
— Alors les gars, qu’en avez-vous pensé ?
— Elle est prête, c’est une bonne chienne Claude.
Lança Gabriel.
— Super la catin ! Une bonne pute pour le bar, crois-moi. Dit Roger en se frottant les
mains.
— Alors maintenant, faites-la jouir, elle l’a bien méritée.

Pendant plus d’une heure, Denise prit du plaisir sous les doigtés anaux et
fisting diverses mais aussi par les claques sur les fesses et morsures des tétons, tout
en étant insultée. Elle reçut une nouvelle fois leur queue dans la bouche pour les faire
bander, ils en redemandaient. Ils l’avaient baisée encore et encore, à tour de rôle, elle
était comme leur marionnette. Denise était heureuse, elle ne pensait plus à rien qu’à son
plaisir, elle jouissait de plus belle. Ils avaient tous les deux giclé leur semence dans
sa bouche, devant les yeux de Claude qui admirait sa soumise, il en était fier, il
réussissait à l’avilir, de la soumettre et était sur le point d’y parvenir.

Denise était épuisée, effondrée sur le lit lorsque les deux copains de Claude
avaient quitté la chambre d’hôtel. Elle pensait que son Maitre allait enfin la prendre à
son tour, mais il n’en fut rien. Il vint vers elle, lui déposa un petit baiser sur ses
lèvres et lui enleva son bandeau. Quelle surprise, lorsqu’elle vit Claude pour la
première fois. Cet homme de 45 ans tiré à quatre épingles était beau, les cheveux noir
coupé court, son visage tout en étant sévère avait une peau douce. Son corps sans être
musclé était longiligne et svelte, sans un excès de graisse, il devait faire du sport, il
était très élégant :
— Ça t’a plu ma salope adorée ? Tu ne regrettes pas ?
— Non Mon Maitre ! Je vous aime et vous pouvez m’offrir à votre guise, je serai toujours
prête pour vous.
— Allez ! Prends une douche et habille-toi. Je te ramène.

Arrivée à la maison, Denise était heureuse, son Maitre lui avait donné la clé de la
cage de chasteté qui enfermait le sexe d’Alain depuis plus d’un an. Il allait enfin
pouvoir revivre ses masturbations. Ce soir-là, après de nombreuses caresses manuelles et
buccales de sa femme, il ne peut bander. Ce ne fut que le lendemain qu’Alain, en
entendant le récit complet avec tous les détails que Denise lui avait narrer en le
branlant qu’il avait pu éjaculer mais son érection n’était plus aussi dure qu’auparavant.

Si comme Denise vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par
Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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