Denise Soumise De Nature : Surprise Dans Le Noir. (Saison 1 Épisode 4/4)

À la mort de Marcel, son Maitre incontesté, la belle Denise aux formes avantageuses, n’avait que 35 ans. Elle eut la chance d’être une de ses principales héritières. Financièrement tous les problèmes d’argent pour ce couple de paysans, s’étaient volatilisés comme par enchantement. Mais de ce fait, Alain son mari avait beaucoup plus de travail avec la porcherie, néanmoins, sexuellement Denise était en grand manque car son Maitre qui la comblait plus que de raison, lui manquait énormément. Pendant près de quatre ans, son mari ne pouvant la satisfaire, elle trouvait des hommes pour se soulager. Les premiers venus faisaient l’affaire, des techniciens venant régler les machines à la ferme, des représentants et ils étaient nombreux à l’époques, même le vieux vétérinaire avait profité de sa chatte mouillée en permanence. Mais aucun de ses partenaires masculins ne lui procurait ce plaisir recherché : la domination.

Il lui fallait être humiliée, rabaissée pour jouir fortement. Car lorsqu’elle recevait les hommes venant occasionnellement à la ferme, elle les aguichait en s’habillant très court et ouvrant son corsage pour montrer son 95 D. Ces hommes ne voulaient que la posséder, ils essayaient de la séduire puis lorsqu’ils voyaient qu’elle n’attendait que cela, ils lui passaient la main aux fesses et dès qu’ils voyaient qu’elle les tendait pour recevoir d’autres caresses, ils poursuivaient la découverte de son corps qui était admirable, il faut le dire. Après un baiser qu’elle ne recherchait pas ment, elle leur faisait rapidement et gentiment une fellation mais ils étaient trop pressés d’éjaculer sur elle ou dans sa bouche après l’avoir pénétrée, pour lui donner le plaisir qu’elle recherchait. Malheureusement, elle était dans l’obligation de se masturber pendant qu’ils la baisaient sans penser à elle.

Elle se remémore une histoire qui lui était arrivée, ce soir-là, elle était allée seule à une soirée anniversaire chez Gisèle une bonne amie.

Lors d’une discussion avec elle, Denise lui avait tout avoué sur ce qui lui manquait côté sexuel, elle désirait être possédée voire même presque agresser par plusieurs hommes qui la baiseraient sans la moindre retenue. Gisèle n’en revenait pas et en avait parlé à son frère, elle ne pouvait imaginer une chose pareille. Elle s’était dit que ce n’était qu’un fantasme. Jean le frère de Gisèle était parti, il ne restait que des femmes. Denise ne prendrait pas son pied ce soir.

Denise en rentrant de nuit en voiture, à quelques kilomètres de son domicile, sur la petite route vit qu’une voiture lui faisait des appels de phares. Croyant à un problème technique, elle s’arrêta sur le chemin longeant la route, faisant office de parking occasionnel. La voiture qui la suivait se stationna à une dizaine de mètres de sa voiture et Denise vit sortir Jean, elle fut rassurée car elle avait peur d’être tombée dans un piège. « Enfin ! il vient pour me baiser » s’était-elle dit en souriant.

Elle se dirigea vers sa voiture, mais au fur et à mesure qu’elle s’approchait, très vite elle comprit qu’il n’était pas venu seul. Elle reconnut les deux hommes, qui passaient leur tête par la vitre ouverte, ses deux copains étaient tous les deux sur la banquette arrière. Voyant que Denise n’avançât plus, Jean qui était resté devant son véhicule, s’approcha d’elle :
— Allons plus loin, mes potes vont rester dans la voiture.
— Tu viens pourquoi Jean ?
— Ne dit pas que tu ne sais pas.
— Pourquoi tu n’es pas venu seul alors ?
— Ah ! Bernard et Thomas ne te veulent que du bien.
— C’est les deux chasseurs qui ont abusé de moi chez Marcel, je les connais oui et tu crois qu’ils vont rester sagement dans la voiture ?

Denise fit demi-tour et retourna à sa voiture, elle n’avait pas prévu cela, elle ne voulait que prendre un peu de plaisir avant de rentrer à la maison. Jean la suivait, juste avant d’arriver à sa voiture, il la poussa sur le capot de la voiture :
— Ça suffit, maintenant fais-moi au moins une pipe.
Lui dit-il en la maintenant par le bras.

Ne voulant pas le contrarier, elle accepta, elle était devant le véhicule, ses fesses reposant sur le capot de sa Fiat Punto, son tronc penché sur le bas ventre de Jean qui avait sa bite en pleine bouche pendant qu’il lui tenait la tête avec ses deux mains. Thomas et Bernard étaient à côté, ils avaient tous les deux, baissé leur pantalon :
— On ne m’avait pas menti, t’es une bonne suceuse de bites. Dit Jean avant de rajouter. Suce-les aussi.

Denise prit peur, elle savait maintenant que si elle refusait, ils pourraient peut-être devenir très méchants, mais cela l’excitait et elle était contente de branler deux queues pendant qu’elle léchait la troisième. Les trois hommes étaient en pleine érection et eux aussi étaient très excité. Ce fut Bernard qui lui arracha son chemisier, Thomas le soutien-gorge et Jean sa jupe courte. Denise mouillait fortement et se leva afin de faciliter la tâche à Bernard la débarrassant de sa petite culotte.

Elle donnait l’impression d’aimer être à leur merci. Une fois nue avec uniquement ses chaussures, ils l'avaient fait se retourner, la tête et les bras contre le capot, les mains tenant les essuie-glaces, les fesses tendues en arrière. À tour de rôle, ils allaient et venaient en elle, son vagin coulait tout seul puis au troisième partenaire, elle cria sa jouissance. Les trois hommes s’étaient arrêtés pour regarder, les expulsions de liquide qui sortaient de sa vulve, comme si elle urinait :
— Elle aime ça cette putain. On va l’enculer maintenant. Dit Bernard
— Oh que Oui ! rétorquèrent jean et Thomas qui se tenait la bite.

Sans préparatif particulier, Bernard présenta son gland rouge sang devant l’anus de Denise et s’enfonça directement en poussant un grand râle. Ses va et vient étaient brutaux, ses couilles frappaient son cul à chaque pénétration profondes, Denise gémissait de bonheur, elle retrouvait du plaisir, ce qui ne lui était pas arrivé depuis la mort de Marcel.
Avant d’éjaculer, Bernard laissa sa place à Thomas qui la baisait par le cul toujours aussi sauvagement, comme son prédécesseur il ne se vida pas les bourses, laissant ainsi la place à Jean qui l’enculait sans ménagement et emmena Denise à un nouvel orgasme :
— Ils ne se trompent pas ceux qui disent que tu es une salope. T’en es bien une. Tu es quand même bonne. Dit Jean en lui déposant un baiser sur la joue.
— Attends ce n’est pas terminé. Dit Bernard. On va lui boucher les trois trous en même temps.

Denise avait le sentiment étrange d'être abusée comme une poupée gonflable mais elle adorait ça. Elle ressentait de l’indignation mais aussi de la colère. Pourtant, elle prenait du plaisir et c’était tellement excitant d’être à la merci de ces trois types qui profitaient de sa bouche, de sa chatte et de son cul. Jean s’était allongé sur le capot Denise s’empalait sur sa verge plantée dans son anus en lui tournant le dos pendant que Thomas lui défonçait le vagin et que Bernard lui baisait la bouche. Denise allait jouir, elle trouva un moment pour crier :
— Oui ! Défoncez-moi, c’est trop bon !

Elle jouissait en même temps que Bernard giclant son sperme sur ses seins après cette fellation que Denise venait de lui faire, il remit sa queue dans sa bouche car il sentait une nouvelle petite montée de sperme.
— Quelle petite pute tu fais, comme tu aimes baiser.
— Oui salope ! je vais t’en foutre plein le cul. Dit Thomas
— Tu vas nous vider les burnes comme une chienne. Rajouta Jean.

Les deux garçons s’étaient une nouvelle fois arrêtés, ils étaient prêts, lorsqu’elle jouit une énième fois sous les coups de boutoirs ressentis dans ses deux orifices. Ils enlevèrent leurs capotes et se branlèrent jusqu’à lui envoyer leur sperme en longs jets sur son visage et sa poitrine qu’elle leur tendait, en maintenant ses deux seins serrés de ses mains.

Elle avait connu en l’espace d’une heure, fist-fucking, sodomie, double pénétration, ses trois trous furent utilisés simultanément.
Denise avait même reçu des claques sur les fesses, sur les cuisses et ce n’était pas des petites gifles, elle avait le cul tout rouge. Elle savait qu’elle était une femme objet, une videuse de couilles et le comble c’était que cela lui plaisait, elle n’avait jamais eu autant d’orgasmes en si peu de temps. Elle se rendait bien compte que plus elle était sous la domination des hommes, plus elle était humiliée, rabaissée, bafouée, plus elle avait honte et plus cela l’excitait, plus elle mouillait et plus elle jouissait. C’était la catin de service.

Thomas, Bernard et Jean repartirent sans même un mot gentil pour Denise, ils refusèrent même sa proposition de venir chez elle recommencer une fois par semaine quand elle leur avait dit :
— Les prochaines fois, ne mettez pas de préservatifs, je veux recevoir votre semence dans mes entrailles.

Lorsqu’elle fut seule sur le parking, Denise pleurait, elle était nue et ne retrouvait plus ses vêtements, les trois garçons lui avaient volés. Elle avait trouvé un vieux chandail dans le coffre et l’enfila pour rentrer chez elle. Lorsque Denise se présenta devant Alain son mari qui s’impatientait, elle était recouverte de sperme, jusque dans les cheveux. Elle lui raconta en détail comment elle s’était faite surprendre par trois gars qu’elle ne connaissait pas. Il l’avait pris dans ses bras et ils avaient pleuré ensemble avant d’aller se coucher.

Ce fut à ce moment-là que Denise se réfugia sur le net, à l'époque, elle alla sur des forums d’AOL. Elle n’en avait pas fini de la soumission. De faire écrire ces quatre premiers récits, fut pour Denise, une réelle épreuve. Elle se sentait sale, souillée au plus profond d’elle-même, elle en avait honte lorsqu’elle les avait relus. Lorsqu’elle pensait que des lecteurs allaient prendre du plaisir sur ces textes et de les imaginer en train de se masturber, cependant, cela l’excitait mais elle en était écœurée.


Si comme Denise vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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