Denise La Soumise : Son Nouveau Maitre. (Saison 2 Épisode 1/ 4)

À cette époque, Denise n’avait pas encore 40 ans, elle était encore, toujours aussi belle et bien faite. Ça faisait cinq années que le couple d’éleveurs n’avait plus de maître avec la disparition de Marcel. Si cela manquait à Denise, Alain son mari, après avoir découvert le plaisir de la soumission, comprit que lui aussi, ça l’affectait. Denise qui s’ennuyait, trainait sur internet, elle y passait beaucoup de temps pour trouver quelques amants qui pourraient éventuellement la satisfaire car Alain, éjaculateur précoce et très peu résistant, ne pouvait assumer, elle était en manque de sexe.

Elle avait passé une annonce et trouva rapidement des hommes qui lui envoyaient des mails et avec lesquels elle tchatait en direct, c’était vite devenu assez hard et cela l’excitait, elle se masturbait en même temps. Ce qui ne l’empêchait pas de prendre son plaisir avec des hommes qui venaient à la maison pour une raison ou une autre. Jusqu’au jour où un homme d'une commune voisine avait commencé à tisser des liens avec elle. Lors des discussions, elle commença à s’y attacher, il était marié et très gentil, petit à petit les messages devenaient un peu plus érotiques et Denise prenait son plaisir manuellement, elle était heureuse de trouver un homme qui savait lui raconter des histoires bien cochonnes.

Mais elle en avait d’autres, avec lesquels ils se racontaient en direct leur masturbation et leur éjaculation mutuelle devant leur ordinateur. La relation avec Claude était particulière, pourtant elle n’était que virtuelle mais il plaisait beaucoup à la jeune femme. Alain sachant très bien ce que faisait Denise sur internet et voulant faire plaisir à sa femme, l’incita à poursuivre ces relations platoniques et pornographiques, sur les forums.

Comme ils avaient besoin d’un nouveau maître, il demanda à Denise d’en trouver un qui pourrait l’éduquer dans la soumission. Après un ou deux essais infructueux Denise lui avait proposé un de ses contacts et Claude pouvait être celui qu’ils recherchaient car il lui avait déjà proposé au début de leur relation virtuelle.



Elle lui avait donc demandé s’il voulait devenir son maître. Dominant dans l’âme, Claude était enchanté. Il devint de plus en plus autoritaire et lui ordonna de stopper immédiatement les autres relations virtuelles qu’elle avait avec d’autres internautes et Alain alla dans son sens.

Après avoir avoué à son nouveau maitre qu’elle jouissait en lisant ses mails ou ses messages, il lui demanda s’il pouvait la regarder en direct se masturber, il lui dit d’acheter une webcam. Cela l’avait quelque peu gênée de le faire mais Alain l’aida beaucoup dans cette démarche. Depuis elle se montrait à Claude lorsqu’elle se caressait les seins, se pinçait les tétons, puis lui dévoilait son corps et bien entendu, elle finissait par se caresser le clitoris et enfilait ses doigts dans sa chatte jusqu’à ce qu’elle éjacule devant la caméra. Lui, ne s’était jamais montré, il ne voulait pas car il était marié et cela ne gênait pas Denise.

Claude lui avait envoyé en contre remboursement un gros phallus et un vibromasseur. Elle devait se satisfaire avec ces sextoy devant la caméra.
Quelques temps plus tard, elle avait reçu un courrier par la poste dans lequel il y avait deux photos d’elle. Sur la première, on la voyait s’enfiler le phallus en silicone dans le vagin et sur la deuxième, elle jouissait avec le vibromasseur posé sur son clitoris.

Sur le mot qui accompagnait ces photos, Claude lui ordonnait de plus coucher avec aucun homme sous peine de divulguer ses photos à son entourage et à sa clientèle. Elle ne devait donc se satisfaire uniquement avec ces sextoy et en sa présence par écrans interposés. Elle suivit à la lettre toutes ses recommandations, elle n’avait plus aucun rapport sexuel, autre qu’avec son Maitre par l’intermédiaire de la webcam, de son vibromasseur et de sa verge en silicone. Mais ce qui ne l’empêchait pas de prendre beaucoup de plaisir, tout ceci devant les yeux de son mari.

Six mois plus tard, il lui avait fait changer toute sa garde-robe, les jupes devaient être beaucoup plus courtes et ses chemisiers plus transparents.
Elle ne devait plus porter de sous-vêtement. Lorsqu’elle se baissait, on voyait son sexe totalement épilé, glabre comme celui d’une petite fille. Puis Claude commença à lui téléphoner, en général une fois par jour. Pour la première étape de soumission, Denise trouvait cela sympa de se caresser les seins, le sexe avec les doigts mais très vite, il prit l’habitude de l’appeler à tout moment en lui demandant qu’elle se masturbe pendant qu’il écoutait. Son mari l'avait surprise en ligne avec lui, il avait laissé faire, il était heureux pour Denise.

Même avant de se coucher en présence d’Alain, il lui parlait des heures et lui faisait prendre du plaisir avec ses doigts puis avec le phallus ou le vibromasseur. Il lui donnait du plaisir en solitaire pendant plusieurs mois, elle était à ses ordres. Une fois, en pleine nuit le téléphone sonna, Alain alla décrocher, Claude lui dit fermement :
— Passe-moi Denise

Sans rien lui dire de plus, Alain en soumis, la réveilla et Claude lui ordonna d'aller chercher le vibro afin qu’elle se masturbe près de son mari. Honteuse, elle obéit, il était parvenu à l'exciter par ses mots qu’elle en oublia son mari à côté, la regardant prendre plusieurs orgasmes de suite. Alain la voyant ainsi, se branlait à son tour. Jusqu’au jour où le maitre dit à Denise avec le haut-parleur du combiné : « ton cocu de mari ne dis rien, regarde la lopette que tu as à côté, il te faut un vrai mâle. » Puis il avait dit à la soumise : « Dis-moi que tu m’aimes. Je suis ta petite salope. » Denise répétait sans jamais se tromper.

Lorsqu’il avait su qu’Alain se masturbait, il avait exigé que son mari ne la touche plus, il lui avait ordonné de porter une cage, ce qu'il avait accepté. Comme pour les sextoy, Alain reçu sa cage de chasteté par la poste en contre remboursement. C’était Claude qui avait la clef, elle était très confortable mais elle l'empêchait de bander. Le mari s'endormait pendant que le maitre passait toute la nuit avec Denise se procurant du plaisir.
Elle devait toujours avoir le combiné à portée de mains car il pouvait appeler à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit et le comble était que Denise aimait cela, elle devenait entièrement soumise à son nouveau Maître.

Claude avait attendu un an, il sentait que Denise était totalement docile et était prête à passer à l’étape suivante, il lui imposa donc de porter sa marque par un tatouage personnalisée sur le pubis car il marquait ainsi ses soumises. C’était une couronne et l’animal en dessous était au choix. Après avoir discuté avec Alain, toujours encagé, Denise choisit un chat. Il y avait peu de tatoueur dans la région, il avait fallu en trouver un dans une ville à plus de 40 km. Après le premier rendez-vous avec lui, le tatoueur avait regardé ce qu’il devait réaliser et leur avait expliqué le déroulement de l’opération.

Le rdv était pris, le couple d’éleveurs s’y était rendu quelques jours plus tard. Ce jour-là, Alain voulait assister pour voir comment se faisait un tatouage mais Denise très obéissante lui dit :
— Non Alain ! Claude ne veut pas que tu sois présent.
— Il ne le saura pas, si tu ne dis rien.
— Non ! Je ne veux pas, je risque d’être punie.

Denise s’était retrouvée comme lorsqu’elle allait chez le gynécologue, les jambes écartées devant un homme qu’elle ne connaissait pas, elle était humiliée mais excitée lorsque celui-ci lui touchait le pubis, pendant qu’Alain restait dehors en regardant par la vitrine mais ne vit rien du tout.

Le tatoueur fut très professionnel, Denise aurait bien profité de quelques doigtés de sa part, mais il n’en fut rien, il connaissait bien Claude et c’était de cette façon, qu’il avait appris que le mari était absent lors du tatouage. À partir de là, le Maitre avait décidé de voir sa marque et voulut rencontrer Denise pour la première fois dans une chambre d'hôtel afin de vérifier la qualité du tatouage.

Claude avait appelé Denise afin de lui donner toutes les consignes.
Il lui donna le jour et l’heure du premier rendez-vous. Elle devait réserver et payer la chambre dans l’hôtel choisi par le Maître, le lundi après-midi. C’était une grosse journée pour Alain qui ne put venir avec elle. Claude le savait, il fit en sorte qu’elle vienne seule. Pour cette rencontre, il lui avait imposé sa tenue, son petit corsage rose transparent et une jupe plissée, très courte noire avec des bas et des escarpins à hauts talons :
— Tu arriveras à 14 heures pile dans le hall, tu y resteras dix minutes exactement avant de prendre l’ascenseur. Je t’observerai pour vérifier si tu respectes les consignes.

En arrivant dans la chambre, elle devait être entièrement nue, sauf les bas et les escarpins et allongée sur le lit, les yeux bandés et les jambes écartées en grand. La porte devait rester entrouverte. Lors de sa venue, elle alla trouver le réceptionniste et lui fournit sa réservation. Celui-ci lui donna d’autres information que Monsieur Claude H. lui avait donné. Elle devait s’installer sur le fauteuil face à la porte de l’ascenseur et écarter les cuisses afin que toutes les personnes montant ou descendant des étages puissent voir sa nudité sous sa jupe. Le passage était assez emprunté, à cette heure de l’après-midi, beaucoup de couples illégitimes venaient passer un moment agréable dans ces chambres. Résignée par l’impatience de voir enfin son Maître, Denise accepta sans rechigner, le réceptionniste en première ligne avait pu ainsi se rincer l’œil.

À 13h45, elle monta dans la chambre et s’installa sur le lit suivant les consignes. Elle était très excitée d’attendre son amant, s’imaginant se faire prendre par cet homme dont elle ne connaissait de lui que le son de sa voix, sans jamais avoir vu son visage. Elle tremblait lorsqu’elle entendait du bruit de pas dans le couloir, car elle avait laissé la porte ouverte, un inconnu pouvait venir sans prévenir mais qu’est-ce que ce fut stimulant.

Le bandeau sur les yeux, elle ne vit pas arriver son Maître, mais elle entendit la porte de la chambre se refermer. L’homme s’était approché de Denise, elle sentit son parfum et son souffle lorsqu’il lui avait déposé un baiser furtif sur ses lèvres.

Elle mouillait de désir sur ce lit, elle devenait de plus en plus impatiente. Elle ressentit que l’homme ne la touchait pas avec les mains, il avait une baguette avec un morceau plat à l’extrémité qui effleurait ses seins. Claude ne parlait pas et observait ses réactions, Denise avait comme des spasmes et la chair de poule sous les caresses de la baguette qu’elle pensait être une cravache. Il passa celle-ci sur le pubis, il admira le tatouage de la jeune soumise, elle sentait son souffle sur son sexe :
— Parfait ! Dit-il. Retourne-toi et mets-toi en levrette.

Il glissa son ustensile sur sa fente de plus en plus mouillée de la jeune femme, puis dans la raie de ses fesses, elle n’était pas loin de la jouissance, tellement la situation était excitante :
— À samedi prochain ma petite salope adorée ! Dit-il avant de partir. Je te donnerai les instructions. En claquant la porte.

Denise avait les larmes aux yeux, elle attendait tant ce moment, cela faisait près de deux ans mais elle savait au plus profond d’elle-même que son bonheur était avec Claude, son vrai Maître. Et lorsqu’elle avait lu le petit mot qu’il avait laissé avant de partir, elle fut rassurée. Elle allait pouvoir très bientôt, prendre du plaisir avec lui :
« Réserve cette chambre pour samedi prochain et sois présente à 20h45 dans les mêmes conditions qu’aujourd’hui. Surtout, ne te masturbe pas jusqu’à notre prochain rendez-vous. »

Elle comprit ce jour-là, qu’elle l’aimait plus que tout, même bien plus fort que son mari Alain qui pourtant la soutenait dans cette épreuve.

Si comme Denise vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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