Les Fantasmes De Sandrine 13

13 – ADDICTION AU BDSM

Maître JP me téléphone au cours de la semaine. Le jour férié à la fin de semaine nous permet un grand week-end à Paris. J'adore la capitale et je remercie mon Maître de cette escapade. De plus, Alex mon mari, est absent et ne rentrera pas pour cette fin de semaine. Mercredi soir, je prépare ma valise. Si je prends des tenues pour sortir, je n'oublie pas mes accessoires de soumise. Mon Maître ne m'en a pas parlé, mais si l'envie lui prend, il peut organiser une soirée BDSM très rapidement. Jeudi à 18h00 nous montons dans le TGV. A 20heurs nous arrivons à l'hôtel. JP me gâte ! C'est un très grand hôtel de renommée mondiale. Nos bagages sont montés par des porteurs et JP m'ouvre la porte de notre chambre. Je suis soufflée. Ce n'est pas une chambre, mais une suite. Nous entrons dans un petit hall qui donne sur un grand salon. Du hall, deux portes qui donnent dans deux chambres équipées d'une grande salle d'eau ! Je ne peux me retenir :
• Mon Maître a prévu grand ou bien devons-nous recevoir quelqu'un ?
Je n'ai qu'un sourire comme réponse. Je n'en dis pas plus sachant qu'il ne pipera pas mot. Il me demande de me changer.
• Quelle tenue mon Maître souhaite-t-il me voir revêtir ?
• Ce soir, je te veux BCBG !
• Pas de soumission ce soir ?
• Non ! Je te veux classique, avec sous-vêtements, mais des bas ! Tu sais que je déteste les collants !
• Bien mon Maître, il en sera fait comme vous le souhaitez !
Il reste dans le salon tandis que je m'éclipse dans la chambre. Une douche, un maquillage soigné, un coup de peigne, je me transforme en femme d'affaires. Je reviens dans le salon. JP me regarde et ne se retient pas d'un sifflet approbateur :
• Sandrine, tu es superbe ce soir ! Je suis certain que tous les hommes vont avoir envie de toi et être jaloux de moi, et toutes les femmes seront jalouses de toi !
• Merci mon Maître adoré !
• Allez, nous allons diner !
Un taxi nous attend devant l'hôtel.

JP donne une adresse que je ne saisis pas. Nous roulons dans Paris. Je ne sais pas où nous allons. Dix minutes plus tard, le taxi stoppe devant un restaurant renommé de la capitale. JP m'ouvre la porte et me prend par le bras. Nous entrons. Il est connu, car le maître d'hôtel l'appelle par son nom et nous conduit à un petit salon. Nous serons donc seuls pour diner. Je l'embrasse et lui chuchote au creux de l'oreille :
• Merci mon bon Maître de cette soirée !
• De rien, ma soumise préférée…
Nous dinons tranquillement. Les mets sont raffinés et très originaux. De retour à l'hôtel, je me blottis dans les bras de JP. Nous allons nous coucher et nous faisons l'amour très amoureusement, tel un vieux couple. J'interroge mon Maître :
• Que se passe-t-il mon Maître ? Vous n'avez pas envie de me corriger ?
• Non, pas ce soir !
• Mais cela me manque !
• Tu es en manque de correction ?
• Oui, maître !
JP se met sur le côté et me demande :
• Lève-toi et met-toi face au lit !
Je suis vêtue d'une nuisette en voile très érotique. J'obéis illico. Je me positionne en soumise, les jambes écartées et les bras croisés dans le dos.
• Je te plais ?
• Oui, tu me plais !
• Comment je te plais ?
• Beaucoup ! Oui, tu es belle et désirable !
• Quel est votre souhait le plus cher, mon Maître ?
• Caresse-toi devant moi !
• Bien Maître !
Je commence ma séance de masturbation par des caresses à travers ma nuisette. Mes mains courent sur mon corps comme le feraient les mains de mon Maître. Mon corps s'électrise rapidement. Le contact de mes doigts à travers la soie me fait frissonner mon sexe s'humidifie, mes lèvres se gorgent de sang. Mon bassin se bascule vers l'avant, quémandant des caresses plus précises. Mais je ne précipite pas les choses. Mes mains découvrent mes seins. Mes doigts agacent mes tétons qui enflent, doublent de volume.
Je me caresse avec délicatesse, sans brûler les étapes même si j'en meurs d'envie... Je me recule et déplace l'un des fauteuils. Il fait face au pied du lit. Je m'installe, assise dans le fauteuil bleu. Mes cuisses très écartées reposent sur les accoudoirs. D'un mouvement de tête, je fais passer mes cheveux sur ma poitrine. Ils tombent jusqu'à mes seins. Ils me caressent très doucement les tétons. En me penchant un peu, j'ai une vue imprenable sur ma chatte béante, dilatée comme jamais. Mon clitoris est gorgé de désir. Je le flatte de l'index. Mon sexe imberbe expose mes lèvres béantes et roses à la vue de mon Maître. Ses yeux sont littéralement exorbités devant le spectacle que je lui donne. Mes doigts s'immiscent rapidement entre mes jambes J'enfonce un puis deux doigts dans mon sexe. La chaleur de mon antre me surprend chaque fois. Je suis brûlante ! Allant et venant, je continue mon manège jusqu'à ce qu'ils soient trempés et glissants. Je regarde mon Maître. Je me caresse l'intérieur du vagin et remonte la mouille vers le clito que je tourne délicatement en le pinçant. Mon autre main malaxe fermement ma poitrine. J'ai envie d'un doigt dans le cul. Ma main quitte mes seins et va titiller mon anus, tournant lentement autour avant de s'y introduire jusqu'au bout... Mon autre main s'acharne sur ma chatte. Ma fente ruisselle. Mes doigts courent de mes lèvres à ma poitrine. Les premiers frissons de plaisirs m'envahissent. Le plaisir me fait ouvrit grand la bouche. Je tire la langue à mon Maître. Il me dit :
• Je te trouve très belle ainsi !
De savoir que mon Maître apprécie ma prestation, me fait jouir. Je crie, hurle en disant des mots grossiers. Ma main pénètre mon sexe jusqu'à l'éclatement final. Je jouis ainsi pendant une dizaine de minutes. L'orgasme vient par vagues successives. Puis doucement, il se calme. C'est alors que mon Maître m'apporte sa pochette de toilette. Il en sort se mini bombe de mousse à raser. Il me la tend :
• Sert-toi de ça !
Je saisis l'aérosol et me l'enfonce d'un coup au fond de mon vagin.
C'est froid, très froid, et cette sensation est curieusement agréable. J'entame rapidement des va-et-vient, mon autre main caressant ma poitrine... L'orgasme vient, lentement, avec tendresse... Il m'emplit petit à petit... Ca y est... L'orgasme m'a comblée, du moins partiellement, car même si je suis satisfaite, j'ai envie de plus... Je continue de faire quelques va-et-vient avec la bombe de mousse à raser. Je le ressors, me retourne et m'installe à genoux sur le fauteuil présentant mon cul à mon Maître. Les épaules appuyées sur le dossier, je me cambre et pousse mon cul en arrière. Mon anus s'offre, s'ouvre. Je place l'aérosol sur mon anneau plissé et j'appuie. J'introduis lentement le gros cylindre dans mon cul, jusqu'au capuchon. Je le manœuvre rapidement sur toute sa longueur, de plus en plus vite... L'orgasme arrive, dur, brutal, violent... Je jouis intensément. Mon cul serre le tube métallique de 4 cm de diamètre. Je ne me retiens pas de crier mon plaisir. Je m'effondre sur le fauteuil. Je garde l''aérosol dans mon cul. Je sais que je ne pourrais pas le retirer avant que mon anus ne se décontracte, ce qui prend 4 à 5 minutes... JP me prend dans ses bras et m'allonge dans mon lit pour récupérer. Je découvre une sensation de plénitude, de satisfaction physique absolue... Comme c'est bon de jouir, de faire cela sous les ordres de mon Maître, de se sentir dominée et soumise jusqu'à l'orgasme. Je m'endors dans ses bras.
La lumière du jour me réveille. Je suis toujours dans les bras de JP. J'avoue qu'avec lui, j’ai découvert avec lui une sexualité différente à travers le BDSM. JP appelle le maître d'hôtel pour le petit déjeuner. Quelques minutes plus tard, il est servi dans le salon. J'ai faim et je me précipite. JP me stoppe dans mon élan :
• Eh ! soumise Sandrine où vas-tu si vite ?
• J'ai faim, Maître !
• Viens ici !
Je m'approche et instinctivement je m'agenouille devant lui. Il prend dans notre valise spéciale BDSM, mon collier et ma laisse.
Il ceint mon cou de la large lanière de cuir et prend la poignée de la laisse métallique. Il me demande de mettre mes bas et mes talons hauts. Quelques minutes plus tard, je suis de nouveau à ses genoux. Il tire la laisse et me promène nue dans l'appartement, à quatre pattes. Il me fait "visiter" toutes les pièces de la suite avant de revenir dans le salon. Il s'installe pour le petit déjeuner. Je reste à genoux près de son fauteuil. Cette attitude de mon Maître me met dans un état second. Je suis follement excitée et je mouille comme une folle. JP se penche vers moi et sa main passe entre mes cuisses. Il ne peut que constater l'état de ma chatte. Mon entre cuisse est trempée et une légère auréole se forme sur le tapis, sous moi, entre mes cuisses.
• Petite salope ! Cela t'excite !
• Oui Maître !
Il se lève et cherche dans sa valise. Il en sort le martinet. C'est la première fois que, dès le matin, mon Maître me corrige. Si la fessée est érotique par le contact de sa main sur ma peau, ce matin, les lanières de cuir m’effrayaient. Il s’approche de moi.
• Tu vois ce martinet, soumise ?
• Oui Maître…
• Ce matin, tu vas le connaitre. Te sens-tu prête à l'endurer ?
La peur m'envahit. Mais le ton de mon Maître ne supporte pas la contradiction. Je suis envoûtée. Je me lance :
• Oui, Maître ! Si vous pensez que je le mérite, corrigez-moi comme il se doit !
• Bien soumise !
• …Mais...
• Mais quoi ?
• Je vous demande de m'attacher !
• Bien !
JP fouille dans sa poche. Il en sort une cordelette de nylon noir. JP me passe la corde aux poignets et l'attache aux pieds du lit. Je suis écartelée et mes épaules touchent le sol. A genoux, mon cul est cambré et s'offre à mon Maître. JP tourne autour de moi, jaugeant ma crainte. Son souffle rauque m'indique son excitation. La correction commence. Une série de petites cinglées sur mes fesses rondes. La sensation est agréable, réchauffe ma peau. Le plaisir monte en moi. Je feule de bonheur.
• Tu aimes cela ?
• Oui Maître !
Le coup suivant ce petit échange verbal s'abat violemment sur mes fesses. Je ne peux retenir un cri de douleur.
• Silence soumise !
Le coup était fort et la douleur irradie dans mon fessier. Mais je me prends au jeu de mon Maître :
• Merci Maître !
Le martinet tombe méthodiquement, régulièrement sur mes fesses. J'en compte mentalement 20. JP cesse. Il s'approche et glisse furtivement sa main entre mes cuisses. Je serre instinctivement les cuisses. Je sais ce que va trouver la main inquisiteuse : je suis trempée !
• Écarte tes cuisses !
Je garde les cuisses serrées. Une nouvelle pluie de coups rapides sur mon cul me fait obéir. J'ouvre mes cuisses largement. JP constate l’humidité de ma chatte.
• La correction au martinet te fait mouiller ? Tu es une vraie chienne ! Je te rosse et tu mouilles comme une vraie salope !
Je suis nue, écartelée, je reçois une correction exemplaire au martinet et je mouille comme une folle ! J'ai été rarement aussi excitée que ce matin. Mais je regarde mon Maître. Une bosse déforme le devant de son pantalon. Ma position l'excite et me rend encore plus excitante. JP s'amuse avec le manche du martinet. Il me le glisse entre mes grandes lèvres. Il me branle. Ma réaction est instantanée. Je jouis violement. JP est surpris :
• Qui t’a autorisé à jouir, soumise ? Tu vas être punie pour cela!
JP est toujours derrière moi. Excitée, je me cambre pour recevoir le martinet sur mon cul. La surprise est aussi grande que la douleur est forte. Les lanières du martinet ont épousé mon sexe de bas en haut. Mon corps est électrisé. Mon sexe est fouetté avec violence. Malgré la douleur, le plaisir monte à chaque coup de martinet. Chaque échelon gravit dans la douleur, me comble de joie et de bonheur. Je ne crie pas. Je halète de plaisir.
• Je t'autorise à jouir, soumise !
Je me laisse aller à mon plaisir. Les lanières cinglent mes lèvres et mon clitoris. J’explose. L'orgasme est encore plus violent qu'à l'habitude. Quelques minutes plus tard, JP se penche vers moi et me demande :
• Tu as aimé ?
• Oui, Maître, surtout lorsque vous m'avez fouetté le sexe !
JP sourit.
• A la bonne heure !
Mais avant qu'il ne réponde, je lui demande :
• Vous me punirez d'autres fois encore, s’il vous plaît ?
• Quand j'en aurais envie !
• Mon Maître aimerait-il que je le suce ?
JP ne dit rien puis un sourire se dessine sur son visage. Qu'a-t-il pu bien inventer de nouveau ?
• Viens, ton petit déjeuner attend.
Il me libère. Je me redresse. Mes fesses sont endolories. Je me dirige vers le salon. Le petit déjeuner est servi. Mais mon Maître me guide. Je me retrouve à genoux devant la table basse. Il me sert mon thé et prend un croissant. Il l'ouvre en deux dans le sens de l'épaisseur. Il ouvre sa braguette et me demande :
• Tu vas me branler et me faire éjaculer dans ton croissant !
Je n'en crois pas mes oreilles. Mais je n'ai guère le choix. Je libère le sexe de mon Maître. Je le masturbe doucement puis de plus en plus vite. Je sens son envie grandir puis se libérer. Je pose son gland dans mon croissant. JP se vide en de longues giclées. Je lèche les quelques gouttes qui restent et referme consciencieusement la viennoiserie dorée. Je mâche consciencieusement la viennoiserie. Le goût du sperme de JP est bien fort sur ma langue. Je ne dis rien et mange entièrement mon croissant. J'avale ma tasse de thé. A peine ai-je déposé ma tasse que l'ordre claque :
• Va faire ta toilette ! Tu as une demi-heure ! Tu ne portes que tes bas et tes chaussures ! Quand tu as fini, tu restes dans la chambre en position d'attente !
• Bien Maître !
Je file dans la salle d'eau. Douche, shampooing, brushing, maquillage sont expédiés rapidement. J'enfile mes bas auto- fixant et mes talons hauts. Je termine par mon collier et ma laisse. Je m'installe dans la chambre, face à la porte d'entrée, les bras croisés dans le dos, les jambes écartées, cambrée et la tête haute, mais le regard baissé. J'attends que mon Maître vienne me chercher. J'attends patiemment, longuement. Enfin, la porte s'ouvre.
• Enfin, tu es prête ! Arrive !
Je me déplace en regardant le sol. J'entre dans le salon. Je m'immobilise. Soudain une voix, que je reconnais entre mille, m'interpelle :
• Bonjour ma petite femme adorée !
C'est Alex. Je n'en crois pas mes yeux et mes oreilles. Que fait-il ici ?
• Mais, je croyais que tu étais en Allemagne ce week-end !
• Eh bien non ! JP m'a demandé de venir passer le week-end avec vous ! J'ai accepté ! Tu ne m'en veux pas ?
• Non, mon chéri !
• Tu ne viens pas m'embrasser ?
Je me retourne vers mon Maître :
• Maître, puis-je embrasser mon mari ?
• Bien sur ma soumise !
J'approche d'Alex. J'enlace son cou de mes mains et nous nous embrassons comme de vrais amants. Ses mains glissent sur mes seins. Le contact de ses paumes sur mon corps m'électrise comme toujours. Mes tétons s'enflent immédiatement et se chargent de sang. Mais ses mains glissent sur mes fesses et me les empoignent fermement. Je ne peux retenir un cri de douleur. Alex m'interroge :
• Que t'arrive-t-il ? D'habitude, tu aimes bien ?
Je suis gênée d'avouer à mon mari que je viens de recevoir une correction au martinet au saut du lit. Maître JP m'ordonne :
• Explique à Alex, la raison de ton cri !
• Bien Maître ! Ce matin, j'ai manqué de respect à mon Maître. Je me suis levée sans lui dire bonjour, ni sans le saluer comme je le dois ! Alors, il m'a fessée au martinet… J'ai les fesses sensibles !
Alex sourit :
• Je comprends mieux ! Si tu as désobéit, il est normal que tu sois corrigée !
Puis se tournant vers JP :
• Tu as bien fait !
JP lui répond :
• Merci de ta collaboration, Alex ! Mais n'avais-tu pas une surprise pour nous ?
• Si, que je suis bête ! Je vais vous la chercher !
Il s'en va dans la deuxième chambre. Quelques secondes plus tard, il revient. Il tient en laisse une jeune femme, mince, rousse et elle est dans la même tenue que moi.
• Sandrine, je te présente, Morgane, ma jeune soumise !
• Mais… Mais…
• Quoi donc Sandrine ?
• Tu m'as toujours dit que tu ne pouvais pas corriger une femme !
• Oui, c'est vrai que je suis dans l'incapacité de corriger MA femme ! C'est pourquoi JP le fait pour moi ! Mais j'ai pris goût à la domination... Récemment, JP m'a conduit dans une séance très BDSM… Morgane était là, à la recherche d'un Maître… Nous nous sommes entendus sur le sujet… Et voilà !
• Morgane, Je te présente, Sandrine, ma femme et la soumise de Maître JP... Vous pouvez vous saluer !
Morgane ne fait ni une ni deux. Elle s'approche de moi et me colle une bise sur chaque joue avec ce commentaire :
• Bonjour Sandrine, vous êtes très belle ! Je comprends mon Maître lorsqu'il dit ne pas vouloir vous corriger !
Je ne sais que dire, je balbutie :
• Bonjour Morgane ! Vous aussi vous êtes ravissante !
Je la regarde avec intérêt. Quelle femme mon mari a pu se dégotter ? Morgane est rousse. Sa chevelure est dense, longue avec des anglaises qui lui couvrent les épaules. Ses yeux verts éclairent son visage et son sourire dévoile une rangée de dents régulières et blanches. Sa peau est constellée de taches de rousseur. Elle a de jolis seins ronds aux aréoles roses, surmontées de deux fraises granuleuses. Plus bas, sa taille est fine et le tout s'évase pour laisser la vue à des hanches fermes. Son sexe est totalement épilé et ses lèvres sont bien serrées. Elle n'a jamais eu d' ! Ses jambes sont bien roulées. Mon mari s'est trouvé un très joli petit lot ! J'en serais presque jalouse ! Mais ma contemplation est vite arrêtée. Mon Maître me rappelle à l'ordre :
• Sandrine, va mettre ton trench-coat ! Nous sortons !
Je file dans ma chambre et m'empare du vêtement désiré par mon Maître. Je l'enfile en revenant dans le salon. Morgane, elle aussi est vêtue du même genre de vêtement. Nous prenons l'ascenseur. Nous traversons le hall de l'hôtel. Je serre les pans contre moi. Je frissonne un peu. Nue sous un imperméable à la mi-novembre, vous comprendrez bien que je n'ai pas chaud ! Je vois que Morgane n'est pas plus réchauffée que moi. Dans quelques instants nous monterons dans un taxi, il y fera chaud. Mais mon Maître me prend par le bras; il refuse le taxi offert par le portier. Nous descendons la rue. Le froid remonte sous l'imper et le gèle les fesses. Alex et Morgane nous rejoignent. Nous marchons côte à côte. JP nous entraîne dans une bouche de métro. Les odeurs désagréables du métro parisien nous enrobent. Nous attendons quelques minutes la rame. Elle arrive. Nous montons. JP et Alex s'assoient et d'un regard, nous intime l'ordre de rester debout en face d'eux. Nous sommes en queue de rame. Morgane et moi tournons le dos au reste du wagon. Soudain, la main de mon Maître se glisse entre mes cuisses. Elle remonte haut, au-dessus de la bande élastique de mes bas. Elle ne s'arrête pas en si bon chemin. Elle se colle contre mon sexe et me le malaxe. D'un mouvement des doigts, il m'oblige d'écarter les cuisses. Il me masturbe dans un wagon de métro à la vue de tout voyageur. Je ne peux pas retenir mon désir. L'humiliation d'être pelotée devant tout le wagon m'excite copieusement. Mon bassin va à la rencontre de cette main. Je veux jouir, ici ! Le plaisir monte. La petite boule qui grossit dans mon ventre m'annonce l'arrivée des vagues de mon orgasme. Je vais jouir. Je m'apprête à serrer les dents pour ne pas crier. Mais la main cesse tout manège et deux doigts se referment sur mon clitoris et le pincent violemment. Une grimace défonce mon visage. Des larmes de douleur pointent aux coins de mes yeux. JP me chuchote :
• Tu ne vas pas jouir comme la dernière des salopes, dans un wagon de métro, devant tout le monde ?
• Non Maître !
Je jette un coup d'œil à Morgane. Une main d'Alex a trouvé le même chemin. Morgane ferme les yeux, se mord les lèvres. Elle non plus ne doit pas jouir. Pourtant, elle ne peut résister plus longtemps. Elle feule doucement, geint et remercie mon Alex, son Maître. Alex n'en reste pas là. Il retire sa main d'entre les cuisses rousses et tend ses doigts poisseux à la bouche de Morgane. Sans aucune hésitation, elle ouvre la bouche et suce les doigts, les nettoie de ses sécrétions vaginales. Nous arrivons à destination. Mon Maître se lève. Nous remontons à la lumière. Nous empruntons une rue étroite. Maître JP et moi marchons devant, Alex et Morgane nous suivent. Les boutiques défilent devant notre marche. Soudain, une devanture attire notre regard. Des sous-vêtements très luxueux sont exposés en vitrine. Mais mon Maître ne s'arrête pas. Il franchit une porte cochère et m'entraîne à sa suite. Une porte sur le côté est dissimulée dans un renfoncement. JP sonne. Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvre. Apparait une jeune femme :
• Maître JP, quel plaisir de vous voir, cela fait si longtemps… Entrez !
Elle nous ouvre largement la porte et nous nous introduisons dans un petit couloir. Elle ferme soigneusement la porte au verrou et nous guide vers une autre porte. Nous entrons. Stupeur ! Nous sommes dans la boutique de sous-vêtements. Partout, tout autour, des guêpières, des porte-jarretelles, des soutiens gorges, des slips de toutes formes ornent les murs. C'est une vraie caverne d'Ali Baba pour l'érotisme. Une fois que nous sommes entrés tous les quatre, la jeune femme s'adresse à JP :
• Maître JP, je suis très heureuse de vous revoir ! La dernière fois, vous m'avez fait faux bond et j'en garde un amer et triste souvenir !
• Et pourquoi donc, Véronique ?
• Vous m'aviez promis que je pourrais vous sucer et vous êtes parti avant ma récompense…
• Si ce n'est que cela …
JP ouvre son manteau et Véronique s'agenouille devant lui. Prestement, elle libère la ceinture, ouvre largement le devant du pantalon de mon Maître, extrait son sexe de son slip et l'empoigne à pleine main. J'en suis verte de colère. Non seulement, cette péronnelle se permet de sucer mon Maître sans demander mon avis, mais en plus cette espèce d'enfoiré, bande déjà comme un bouc en rut ! Devant mes yeux ébahis, elle absorbe la queue tendue de mon Maître et lui applique une fellation qui, je dois le reconnaitre est de grande classe. Il ne lui faut que quelques minutes, pour éponger le sexe de JP. Morgane regarde cette scène avec beaucoup d'intérêt. Véronique avale avec délectation le sperme de mon Maître et le nettoie avec dextérité et conscience digne d'une vrai pro. JP remballe son matériel rendu flasque par les soins de Véronique et interroge la donzelle :
• Ta maîtresse est-elle là ?
• Oui, Maître JP ! Elle va être contente de vous voir !
• Je ne sais pas !
• Préviens-là qu'un client la demande personnellement !
• Bien Maître ! Mais cela va me couter cher !
• Pourquoi donc ?
• Je serais fouettée de ne pas l'avoir prévenue de votre arrivée !
• Tant pis pour toi, il faut vivre dangereusement, Véronique !
Véronique décroche un téléphone mural, attend quelques secondes :
• Maîtresse, un client demande à vous voir !
Une voix déformée demande :
• C'est qui ?
• Il refuse de dire son nom, Maîtresse !
La réponse fuse :
• Quel est cet emmerdeur qui vient me déranger quand je crée un modèle ! J'arrive !
Le "cloc" du combiné que l'on raccroche violemment résonne dans la pièce. Véronique est un peu inquiète :
• Je vais me faire corriger pour ce mensonge, Maître JP !
Une cavalcade retentit dans l'escalier en colimaçon dans le coin du magasin. Une tornade toute vêtue de noire déboule dans la boutique. Elle est moulée dans un pantalon de cuir noir, et des bottes hautes montent jusqu'à ses genoux. Au-dessus, un chemisier blanc peine à compte tenir une poitrine ronde et haute. Une chevelure opulente d'un noir profond tombe sur ses épaules. Une voix chaude retentit :
• Où est ce client ?
Puis la surprise se lit sur son visage :
• JP, que fais-tu là ?
Puis aussitôt :
• Véronique, pourquoi ne m'as-tu pas prévenue?
Un regard noir et perçant assassine la jeune vendeuse. Véronique balbutie :
• Maître JP n'a pas voulu, Maîtresse !
• Tu sais ce que cela va te coûter ?
• Oui Maîtresse !
Puis revenant à mon Maître :
• Que veux-tu, cher JP ?
JP me regarde :
• Chère Delphine, je souhaite équiper ma soumise, Sandrine, de corsets digne de ce nom ! Et mon ami, Alex, Souhaite faire de même avec sa soumise, Morgane…
• Bien, ceci est dans les cordes de la maison ! Quel style souhaitez-vous ?
• Pour Sandrine, je veux du noir en cuir très souple, très serré… Et toi, Alex quels sont tes souhaits ?
• Pour Morgane, je cherche du cuir aussi, mais je le souhaite vert comme ses yeux… Si cela est possible !
Delphine prend la mouche rapidement :
• Cher Monsieur Alex, ici, tout est possible, même si, Véronique et moi devons y passer la nuit…
Alex s'excuse de sa remarque :
• Je ne pensais pas vous contrarier avec ma remarque, et je suis sûr que vous saurez faire le ton de vert que je souhaite …
Mais déjà, Delphine est passée à un autre sujet :
• Véronique, présente les modèles en cuir !
La jeune femme part, ouvre des tiroirs, sort un nombre incroyable de pièce de lingerie en quelques secondes. Elle apporte des corsets noirs. C'est pour moi ! Elle me les présente :
• Lequel préférez-vous ?
Delphine la reprend :
• Ce n'est pas à la soumise qu'il faut poser la question, c'est à son Maître, petite sotte !
• Excusez-moi, Maitre JP, Que pensez-vous de ce modèle ?
• Il faut que Sandrine essaie…
Il se retourne vers moi. Je n'ai pas le choix. J'ouvre mon trench-coat et apparait comme au jour de ma naissance dans la boutique. Delphine siffle d'étonnement :
• Tu l'as fait venir ici dans cette tenue ?
• Tu le vois bien !
• Tu n'as pas changé ! Toujours aussi exigeant !
Delphine choisit un modèle en cuir noir, très fin et décoré de surpiqures. La pièce de lingerie en cuir épouse mon corps. Véronique me demande :
• Tournez-vous, madame !
Véronique sert doucement les lacets. C'est alors qu'intervient Delphine, la corsetière.
• Petite gourde ! Il faut serrer le dos pour que le corset prenne sa place. Un corset comme celui-ci doit être resserré régulièrement, progressivement toujours les jours, un peu plus fort et le porter en permanence. Il faut s'entraîner pendant longtemps. Bien sûr, cela fait mal au début. Ensuite, on s'habitue. Occupe-toi de Morgane !
Delphine commence à tirer sur les lacets. La sensation est incroyable. Je sens ma taille se réduire petit à petit, au fur et à mesure que le serrage commence. JP me regarde avec des yeux amoureux. Il admire le modelage de mon corps avec ce carcan.
• Doucement Madame !
• Petite douillette !
Elle me laisse quelques secondes pour reprendre mon souffle. Delphine reprend le serrage. Elle m'encourage :
• Allez, un peu de courage ! Il faut souffrir pour être belle pour ton Maître !
Le corset se réduit encore. C'est incroyablement magique, et surtout, terriblement excitant. Ma taille est souple et doucement s'adapte à la parure. Le corset me serre très fort.
• Hoo ! Doucement, Madame ! Attendez un peu, s'il vous plaît…
Delphine attend que je reprenne mon souffle. Une curieuse sensation d'essoufflement me crée un plaisir diffus. J'adore ! Depuis le début du laçage, je regarde ma taille diminuer. Je relève la tête. Je suis face à un grand miroir. Je me découvre en pied. J'aime bien la silhouette que le corset me donne. J'aime aussi beaucoup ma poitrine qui se soulève à chaque inspiration, c'est très excitant, troublant. Dans le miroir, je croise le regard de mon Maître. Il me parle :
• Tu n'imagines pas le plaisir que tu me fais !
• Tout le plaisir est pour moi, Maître ! Je suis ici pour votre plaisir...
Delphine propose à JP :
• Veux-tu serrer le corset de ta soumise ? Tu sais toujours faire ?
• Bien sûr ma chère ex-soumise…
Il vient dans mon dos. Une fraction de seconde, je sens un léger relâchement des lacets et je me doute que le serrage allait devenir plus ferme, plus mâle ! Je lui demande :
• Tirez sur les lacets, mais surtout, faites-le très lentement, Maître…
JP reprends le serrage. Je le regarde dans la glace. Il est fasciné par la réduction de ma taille. Je me fais encore plus soumise :
• Il faut encore me serrer plus, Maître…
Mais, JP ne serre plus :
• C'est assez ainsi !
Mais c'est Delphine qui réagit :
• JP, tu étais plus dur avec moi quand j'étais ta soumise !
JP la fusille du regard :
• Si tu ne l'es plus, tu sais pourquoi !
Delphine se mord les lèvres. JP continue :
• Explique à tout le monde pourquoi tu n'es plus ma soumise !
Delphine est gênée. Elle se dandine d'un pied sur l'autre.
• J'ai été pendant 5 années la soumise de Maître JP. Un jour, il m'a demandé de l'épouser. J'ai refusé, bêtement. Je le regrette depuis, chaque jour…
• Tant pis pour toi !
Delphine, le regard au sol, parle d'une voix douce et faible :
• Maître JP, si vous êtes d'accord et si votre soumise l'accepte, je veux bien être soumise à vous-même si je ne suis que votre seconde soumise…
JP la regarde avec étonnement pendant quelques secondes avant de lui lancer avec deux doigts d'ironie :
• Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
• Oui, Maître !
• Pourquoi accepterais-je ?
• Je vous promets d'être la soumise la plus parfaite…
• Plus parfaite que Sandrine ?
• Oui, Maître…
Il se tourne vers moi :
• Sandrine, que dis-tu de cela ? Delphine considère qu'elle peut être plus parfaite que toi !
J'hésite un peu à répondre :
• Je ne sais pas, Maître… Delphine est peut-être meilleure soumise que moi !
• Devant tes atermoiements, nous allons tous, vérifier les dires de Delphine !
Se tournant vers Véronique, il ordonne :
• Véronique, retire le chemisier de ta Maîtresse !
Sans un seul mot, Véronique se présente devant sa Maîtresse. Ses mains agiles font rapidement sauter les boutons. La poitrine ronde est dévoilée, libre de tout soutien-gorge. Véronique baisse le chemisier, bloquant les bras de Delphine le long de sa taille. JP se place devant Delphine. Ses mains empaument les globes ronds et fermes.
• Tu as toujours d'aussi beaux seins… Fermes, sensibles…
Je constate en effet que ses tétons se sont gonflés et se dardent. JP les pince gentiment. Il se recule et se tourne vers Alex :
• Alex, je sais que tu aimes corriger au martinet les jeunes et jolies femmes… Je t'offre Delphine… Corrige-la fermement !
• Merci JP !
JP demande à Véronique :
• Véronique aurais-tu l'amabilité de donner à Alex, un martinet !
Véronique hésite. Son regard interroge celui de Delphine. Elle lui répond d'une voix rauque et dure :
• Qu'attends-tu sotte !
Véronique ouvre une petite armoire. Elle se saisit d'un martinet de cuir noir et le tend à Alex. Avec une grande surprise, je vois mon mari s'emparer de l'objet. Il s'approche de Delphine.
• Delphine, je vais te corriger, mais avant j'aimerais connaître ton avis sur le prix à payer, sur le prix que tu dois payer pour que JP accepte ta demande…
En bonne soumise, Delphine se cambre, gonfle sa poitrine, relève la tête mais garde le regard au sol :
• Je pense que dix coups sur chaque sein doit être un minimum, Maître Alex…
• C'est en effet un bon début… Tu compteras chaque coup ?
• Oui Maître…
Alex se recule et un premier coup cingle l'extérieur du sein droit. Delphine laisse échapper une plainte dans un souffle et annonce d'une voix déformée par la douleur :
• U… un !
Un sourire se dessine sur les lèvres d'Alex. Je n'ai jamais vu une telle jubilation sur le visage de mon mari. Alex est assez loin de Delphine et les lanières touchent la peau de la poitrine du bout des lacets de cuir. La douleur doit être intense. La pluie de coups tombe régulière, frappant l'extérieur puis l'intérieur du même sein. Delphine grimace, serre les dents tout en annonçant chaque fois le nombre de coups. Alex s'arrête à dix.
• Comment trouves-tu cette correction, Delphine ?
Elle reprend son souffle et annone :
• Justifiée, Maître Alex…
• Bien, passons à ton autre sein, sinon, il va être jaloux !
• Oui, Maître…
Alex, avec une même ardeur fouette le sein gauche. Doucement, la couleur du globe se rapproche de son autre sein. Delphine compte inlassablement, acceptant la correction. Jamais elle n'a essayé de se soustraire aux lanières qui marquent de stries rouges la peau douce et soyeuse de ses seins. Elle reste cambrée, offrant sa poitrine aux sévices. Enfin, elle annonce un nouveau :
• Dix ! Merci Maître Alex…
Alex tend le martinet à Véronique qui le range dans l'armoire. JP lui demande une canne anglaise.
• Oh, non, Maître JP, c'est trop douloureux !
• Donne, vite !
Véronique s'exécute. JP examine l'objet que vient de lui tendre Véronique. C'est une belle canne en rotin et doit mesurer environ 1 mètre de longueur et 1 centimètre de diamètre. JP teste sa flexibilité.
• Véronique, déculotte ta maîtresse…
Véronique contre sa volonté, dépouille Delphine de son pantalon de cuir noir moulant. Elle entraine un minuscule string et s'arrête à mi-cuisses.
• Tourne-toi, Delphine ! Cambre-toi bien ! Appuie-toi sur la chaise !
Delphine obéit. Elle présente ses fesses rondes à notre vue. Elle se cambre un maximum, offre son fessier.
• Je vais te fesser à la canne… Tu t'en souviendras longtemps !
JP se recule et nous écarte afin de disposer de suffisamment d’espace pour l’élan du coup. Le mouvement du poignet est ample. La canne siffle dans le silence de la pièce. L’extrémité de la canne atterrit sur le haut de la fesse. Delphine hurle sa douleur et aussitôt elle lance :
• Merci Maître ! Continuez !
Une marque blanche se forme immédiatement sur la fesse, là où la canne a frappé. La marque rougit presque instantanément. JP vise lentement le postérieur joufflu. Mais il cherche à toucher le creux formé entre la fesse et le haut de la cuisse. Il attend une bonne trentaine de secondes entre chaque coup. Delphine crie après le coup. JP explique :
• La douleur ressentie s’intensifie dans les 30 à 45 secondes qui suivent le coup. La sensation est en général double. L'impact initial provoque une sévère douleur qui irradie ensuite sur une surface plus étendue.
Les traces, blanches au début, foncent doucement. Mais maintenant, ce sont des marques qui zèbrent régulièrement les fesses de Delphine. Une série de lignes parallèles habille Delphine, allant du milieu des fesses au haut des cuisses. La séance dure longtemps. Soudain, Delphine hurle et s'écoule, à genoux. Elle jouit et remercie son ex-Maître. JP cesse la correction.
• Monte te vêtir en soumise !
Quelques minutes plus tard, elle revient, en jupe noire, courte. Alex et JP décident d'aller manger. Delphine leur indique un petit restaurant. Morgane et moi ne pipons pas mot. Comment allons-nous faire pour déjeuner au restaurant dans notre tenue ? Ils invitent Véronique et Delphine. Morgane est équipée, elle aussi d'un corset d'un vert assorti à ses yeux. En sortant de la boutique, nous prenons un escalier situé juste à côté. Au dernier étage, une porte. Delphine sonne. C'est un jeune homme, très efféminé qui nous invite à entrer. Il choisit un petit salon. Nous nous répartissons autour de la table. JP demande au maître d'hôtel de prendre nos vêtements. Morgane tend sa grande veste, moi, mon trench-coat, Véronique son imperméable court et Delphine sa veste longue de cuir. Nous sommes deux en corset et deux en chemisier et jupe. Alex nous dit:
• Mesdames, prenez place, asseyez-vous !
Si Morgane pose ses fesses sans soucis, il n'en est pas de même pour moi. Le martinet a laissé des traces. Le maître d'hôtel propose un coussin que mon Maître refuse. Délicatement je pose mes fesses sur la paille des chaises. Je grimace un peu. Mais soudain, je pense à Delphine. Comment va-t-elle pouvoir s'assoir ? A cet instant, JP ordonne à Delphine :
• Assois-toi !
Delphine prend une grande respiration et lentement, délicatement commence à poser ses fesses sur la paille quand JP lui ordonne encore :
• Relève ta jupe !
Delphine relève sa jupe et commence à se baisser quand JP l'interrompt dans son mouvement :
• Delphine, montre à monsieur la raison pour laquelle tu peines à t'asseoir !
Un haut de cœur trahit la honte de Delphine. Elle se tourne et dévoile ses fesses marquées. Le jeune homme n'en revient pas :
• Vous avez du beaucoup manquer de respect à votre Maître, Madame ! Félicitations Monsieur !
JP ordonne toujours :
• Assis-toi, chienne !
Et contrairement à toute attente, le repas se déroule cordialement, avec une courtoisie étonnante. A la fin du repas, nous nous quittons tranquillement. Pourtant, Delphine interroge JP :
• Avez-vous pensé à ma requête ?
JP la regarde avec une lueur ironique :
• Je vais y penser dès que j'aurais un moment ! Au revoir Véronique, au revoir Delphine, pense bien à moi !
• Je crois que je vais me souvenir de votre visite, Maître !
Nous rentrons rapidement à l'hôtel. Je ne comprends pas cette précipitation qui anime nos Maîtres. J'interroge Morgane du regard. Elle non plus, n'a pas d'explications. Nous franchissons la porte de la suite. Aussitôt JP m'ordonne d’un ton sec :
• En tenue de soumise !
Je ne traine pas, vu l'humeur de mon Maître depuis ce matin. Je file dans ma chambre et enfile mes poignets et chevilles de cuir. Dès mon retour, je constate que Morgane est elle-aussi dans la même tenue. Alex demande à Morgane sur le même ton :
• Allonge-toi sur la table basse !
Morgane obtempère. Elle pose ses pieds sur la table, les bras écartés et attend la suite des évènements. JP m'explique ce qui attend de moi :
• Ma chère Sandrine, tu vas préparer Morgane pour ton petit mari chéri !
• Comment cela ?
• C'est simple ! Tu vas faire en sorte que Morgane soit très excitée et ainsi permettre à Alex, ton mari, de pénétrer la chatte ou le cul de Morgane ! As-tu bien compris ?
Je suis scotchée. Je vais devoir gougnotter la soumise de mon mari pour qu'il en profite et qu'elle y prenne du plaisir !
• Maître, vous me demandez beaucoup !
• Je sais, mais c'est ainsi ! Tu n'as pas le choix ! Exécution immédiate !
En maugréant, je m'approche de la table basse. J'enjambe Morgane et m'installe tête bêche sur elle le plus confortablement possible, la tête entre ses jambes ouvertes. Je glisse mes mains sur les cuisses de Morgane, les remontent lentement et englobe ses fesses. Morgane bascule son bassin en avant et m'offre son sexe. Elle a un joli sexe, bien régulier. J’écarte du bout de la langue, les lèvres pour trouver juste en dessous les autres les plus fines. Morgane se lâche un peu :
- Oui, lèche-moi bien… Bouffes ma chatte, abreuve-toi à ma source !
En haut je trouve son clitoris, toujours bien bandé. Des bruits de succion et les gémissements de Morgane envahissent la pièce. Elle pose ses mains sur ma tête et me force à la lécher. De mes mains, je malaxe les deux fesses musclées. Je l’aspire longuement, elle commence à gémir. J'ai le visage enfoui entre ses cuisses. Le clapotis de ma langue dans la chatte trempée résonne à mes oreilles. Moi qui ne trouvais aucun plaisir à sucer les femmes, je commence à y prendre goût. Morgane commence à prendre du plaisir :
- Bouffe-moi bien la chatte, enfonce ta langue, suces mon clito, mords le, fais-moi jouir !
Je continue jusqu’à son sursaut quand elle jouit. Morgane explose rapidement dans un premier orgasme sonore. Je n’arrête pas: ma langue est déjà dans sa gaine agitée encore de spasmes. Je fais le tour du propriétaire, puisque maintenant tout son sexe est à moi. Ma langue va d’abord vers le fond pour ne pas y arriver: je me contente de lécher le haut, juste à l’entrée de son vagin. Morgane réagit encore en jouissant.
- Oh oui, tu m'as fait jouir comme une folle… Bourres-moi la chatte…
Avec mes mains, je la force à s'ouvrir en grand et plonge vers sa chatte luisante. Je gratifie Morgane d'un cunnilingus magistral. Alex intervient verbalement dans notre échange :
• Tu es une vraie experte, Sandrine !
Mes mains s'activent sur les cuisses et les seins de Morgane. Je les malaxe et étire ses tétons fripés. Ma main droite prend maintenant possession de sa chatte. Morgane écarte encore plus ses cuisses déjà largement ouvertes. Doucement, d'un doigt, je pénètre son vagin. C'est une vraie fournaise, brûlante et détrempée. Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, les seins pointés vers le plafond, Morgane gémit sans discontinuer. Devant le plaisir qu'elle prend, je continue. Maintenant, j'entre un deuxième puis un troisième doigt dans la chatte béante. Morgane m'encourage :
- Oui, c'est bon, continues. Branle-moi bien…
C'est à mon tour de me lâcher :
- Détends-toi et tu vas me sentir en toi sans tarder...
Ma main va et vient à l'intérieur de son vagin. Morgane oscille du bassin en rythme avec les mouvements de mon poignet. JP qui n'avait pas encore parlé, annonce :
• Sandrine, ouvre bien Morgane, qu'Alex puisse entrer sans difficulté !
Je retombe sur terre brutalement. Mon Maître veut que j'ouvre la chatte pour que le sexe d'Alex la pénètre ! JP continue :
• Sandrine, appelle Alex, qu'il vienne baiser Morgane que tu as si bien préparée…
J'hésite, mais je sais que c'est reculer pour mieux sauter. JP m'obligeras à le faire, de gré ou bien de force. Et actuellement, je ne suis pas, enfin mes fesses ne sont pas prêtes à recevoir une nouvelle correction. J'appelle Alex :
• Alex, viens, ta soumise Morgane est prête…
Alex est surpris de mon obéissance :
• Sandrine, tu me surprendras toujours… J'arrive ! Morgane est-elle vraiment prête ?
• Oui, Alex !
• Quelle salope ma femme !!!
Sans aucune pudeur, je relève ses genoux. Sa chatte s’ouvre naturellement de par la position. Alex avance et le zip de la fermeture éclair de sa braguette sonne dans la pièce. Il libère sa queue de son slip et approche. La queue d'Alex est à deux centimètres de sa fente. J'empoigne la queue et la frotte de haut en bas sur les lèvres carmin du sexe de Morgane. Puis je positionne le gland entre les limbes humides. Alex pousse doucement. Morgane demande :
• Vas-y …
Je ralentis l'ardeur de mon mari :
• Tu ne lui mets pas tout… Laisse-la s’habi…
• Ok Sandrine ! Laisse ta main sur ma bite ! Règle la pénétration !
Morgane jouit en gémissant et murmure doucement :
• Doucement, tu es gros mon Maître… Sandrine, laisse-le s'enfoncer encore un peu… Ressort ! Revient ! Continue… C’est bon ! Je suis complètement ouverte ! Défonce-moi toute !
Je suis scotchée. Devant mes yeux, le sexe de mon mari pénètre une autre chatte que le mienne ! Et il y prend du plaisir ! Mais je suis une soumise qui obéit à mon Maître. De mes deux mains, je prends les fesses de mon mari et tire vers le sexe de Morgane. Je l'incite à la pénétrer plus profondément. La queue d'Alex se couvre des secrétions vaginales de Morgane. Mais je continue. Je lèche le clitoris de Morgane. Elle vient et pousse un cri interminable. Son jus coule de son sexe et nappe sur son périnée. Une folle idée me vient. Je lui caresse les fesses et glisse un doigt entre ses fesses et pratique de petits mouvements circulaires sur son anneau. J'essaie de l'insinuer dans son anus. Elle répond en ondulant du bassin et en poussant sur mon doigt qui disparaît bientôt dans son petit trou serré. J'y fais quelques va et vient pour le dilater. J'ai très envie qu'Alex la prenne par derrière. Morgane, sans le savoir, nous informe de ses désirs :
• Occupe-toi de mon cul !
Ces mots crus m'excitent encore plus, surtout prononcés par une femme. C'est moi qui pose le gland de mon mari, sur son petit trou. Alex pousse en avançant son bassin. J'écarte largement les fesses offertes. La queue rigide d'Alex l'empale. Elle est tellement excitée que le gland puis toute la queue se retrouve rapidement en elle. Elle reste quelques secondes immobile, le souffle coupé, puis reprend ses mouvements de va et vient. Je la maintiens toujours fermement aux hanches pour qu'Alex la laboure. Le salon est empli de ses gémissements et des râles de bûcheron d'Alex. Je vois la jouissance monter dans la queue de mon mari. Je mordille son clitoris, déclenchant immédiatement son orgasme. Elle hurle son plaisir. Alex explose en elle. C'est alors que je demande à Morgane de s'occuper de moi :
• Morgane, pense un peu à moi ! Suce-moi !
Mais la voix dure de JP répond à mon appel :
• Il n'en est pas question, Morgane ! Laisse Sandrine sur son envie !
Je gémis de déception :
• Non, Maître, s'il vous plait…
• Tais-toi !
Le ton est sans appel. Je ne dis rien. L'ordre suit :
• Debout, soumise !
Je me lève, laissant Morgane épuisée par l'orgasme et prends la position d'attente de la soumise. JP sort de la pièce. Il revient avec un paquet cadeau :
• Tiens, c'est pour toi !
• Merci Maître !
Je déchire le papier cadeau et découvre l'objet offert : c'est une ceinture de cuir et de métal !
• C'est quoi Maître ?
• Une ceinture de chasteté ! Tu en as besoin !
Je ne dis rien. Je me surprends d'être une soumise, sa soumise. Je prends plaisir à devoir obéir, à devoir porter pour mon Maître et amant, une ceinture de chasteté. Je ne vais pas apprécier, car j'aime être nue et me toucher dès que je le peux. Le port de cet objet ne fera qu'augmenter mes envies de caresses et de sexe. Quand j'aurais trop envie, je devrais le supplier pour qu'il me libère de cet objet. En femme frustrée, je devrais attendre ses bons vouloirs pour qu'il profite de moi comme il en aura envie, de mon sexe ou de mon cul. JP me demande :
• Alors qu'en penses-tu de cette idée ?
J'hésite à répondre et puis je me lance :
• Je dois avouer que l'idée est très excitante... Quand devrais-je la porter ?
• Tu vas la porter dès maintenant, toute la journée, sous ta jupe, au travail… Je ne t'en libèrerais que le soir à ton retour chez toi ! Au fait, Alex m'a demandé de vivre chez toi jusqu'à la fin de l'année… Tu sais qu'il s'absente professionnellement. Enfin, il emmène Morgane avec lui !
Je suis baba ! Mon mari part pour les deux mois de novembre et décembre avec sa soumise et je n'en savais rien !
• Pas d'objection, Soumise !
• N… non…
• Bien avance !
Je m'approche de mon Maître. Il ouvre la ceinture et me l'attache autour de la taille.
• Ecarte tes cuisses !
Une partie large épouse mon entrejambe. Je ne peux pas serrer les cuisses. Le cuir me mâche la peau tendre de l'intérieur des cuisses.
• N'aie pas de craintes ! Cette ceinture comprend de petits orifices pour permettre les fonctions naturelles, mais ceux-ci, ne permettent pas d’y glisser un doigt. Tant pis pour toi… Impossible que tu te masturbes…
Les deux parties de la ceinture s’emboîtent et JP claque le cadenas fixé entre mes cuisses. Je ne pourrais pas oublier cette contrainte.
• Comment trouves-tu ton cadeau ?
• Merci Maître, je suis très excitée de la porter pour votre plaisir…
• Cette ceinture de chasteté joue un double jeu : l’abstinence et l’assurance de ta fidélité… et aussi la stimulation du désir de te faire prendre comme une chienne que tu es !
La mise en place de cet objet de m'a humiliée, surtout face à mon mari. Mais quel plaisir d'être exhibée devant sa soumise… Je sais que je vais devoir porter cette ceinture en permanence. A tout moment, on pourra se rendre compte que je porte cette ceinture. On pourra me juger, me prendre pour ce que je suis pour mon Maître, c'est-à-dire une soumise à dresser, à éduquer. Mais malgré ces "risques", je suis fière parce qu'ainsi, je suis sa soumise. Et que je prends du plaisir, du bonheur dans l'esclavage. Depuis les quelques minutes que je suis équipée, je meurs d'envie, je n'arrête plus de penser au sexe. J'attends avec impatience, qu'il m'enlève ma ceinture, qu'il me baise, sans ménagement, qu'il me prenne, qu'il se plante au fond de ma chatte en feu, qu'il gicle au fond de mon ventre, qu'il prenne son plaisir. JP m'annonce encore :
• A compter de maintenant, tu ne porteras que des mini-jupes, avec des bas, sans string ou culotte…
• Bien Maître ! J'accepte vos conditions. Mais avoir les fesses à l'air va me gêner…
JP éclate de rire. Je vais pleinement assouvir ma soif de soumission en portant en permanence une ceinture sans en avoir la clé, au bon vouloir de mon Maître et amant. J'apprécie la subtilité sensuelle de cette nouvelle épreuve que m'impose mon Maître. Quelques minutes plus tard, Morgane et Alex sont revenus dans le salon. Entre temps, JP a commandé le repas. Il nous est servi alors que les deux soumises sont cantonnées dans leurs chambres respectives. Nous dinons en tenue de soumise, corset, bas escarpins. Je porte en plus ma ceinture de chasteté. Nous devisons de chose et d'autres jusque vers 22 h00. Il est l'heure de se coucher. Dans la chambre, mon Maître me libère de ma ceinture. Je vais enfin avoir une séance de sexe… j'en meure d'envie ! Mais il m'attache les poignets au montant du lit et installe entre mes chevilles, une barre d'écartement. Je suis couchée sur le dos et je ne peux pas frotter mon sexe sur le drap. Je reste avec mon envie de sexe. Je peine à m'endormir. Lui s'endort comme un bébé…
Le lendemain, je suis de nouveau équipée de ma ceinture, de mon corset, de mes bas et de mes escarpins, le tout couvert par un tailleur BCBG. Nous reprenons le train et rentrons dans notre province.

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