Les Fantasmes De Sandrine 14

14 – OFFERTE A TROIS MAITRES


Pendant toute la semaine, je suis restée équipée de ma ceinture de chasteté la journée et immobilisée la nuit. Bien entendu, mon état sexuel empire. Je suis excitée comme je ne l'ai jamais été. Mais mon Maître m'a aussi privée de toute correction. Depuis sept jours, je n'ai droit à aucune séance BDSM ni séance sexe. Je suis très énervée, excitée, en état de manque total. Le week-end se déroule comme les autres jours. Toujours aucune compensation sado-maso ni sexuelle de la part de mon Maître. La deuxième semaine ressemble exactement à la première. Je suis privée de tout. Vendredi arrive et JP me parle :
• Cela fait longtemps que tu souhaites que je te donne à d'autres maîtres…
En effet, depuis longtemps, nous avions eu des discussions avec mon maître, sur ce sujet. Mais JP ne semblait pas très tenté par l'expérience. Je m'étais fait une raison.
• Oui, Maître…
• Bien, demain, je ne pourrais te conduire où il faut. Tu devras te vêtir en soumise, c'est-à-dire, corset seins nus bas, talons hauts et collier-laisse… et bien entendu, ceinture de chasteté…
Il continue ses explications :
• Présente-toi à 14 h 00 très précises à cette adresse !
Il me tend un bristol et un petit paquet. Je dois me rendre à 70 kms de là dans le chef-lieu du département voisin.
• Tu mettras un tailleur BCBG sur cette tenue ! L'enveloppe tu la donneras à la personne qui t'accueilleras.
Le ton ne supportant pas de réponses, je ne fais qu'acquiescer. Nous allons nous coucher. Je suis toujours écartelée.
Le lendemain, je me réveille vers 8h30. Je prends mon petit déjeuner. JP est déjà prêt.
• Je file, je vais être en retard !
Je l'arrête :
• Maître ! Que devrais-je faire là-bas ?
• Obéir, seulement obéir !
Un baiser du bout des lèvres et il disparait. Je remonte dans ma chambre. Je me prélasse dans ma douche, me bichonne, et m'habille.

JP m'a préparé les vêtements qu'il veut que je porte : le corset, un soutien-gorge, tiens très curieux ! Mais c'est celui qui est un peu juste. Mes seins sont légèrement comprimés et débordent sur les côtés et ont tendance à sortir des balconnets par le haut. Mes bas Dim Up, mes escarpins… Enfin, je m'équipe en soumise… Puis, j'enfile le tailleur de femme d'affaires et redescend, harnachée comme le souhaite mon Maître. Je me détaille dans la grande glace de l'entrée. JP a aussi préparé un léger en-cas. Je grignote sur la paillasse de la cuisine. Il est 13 h 00. Je me parle :
• C'est bon, Sandrine, tu peux y aller !
Je m'installe au volant de ma mini et démarre vers ma destination. Il est 13 h 45 quand j'arrive à destination. Je cherche une place de parking. Il pleut. J'enfile mon trois-quarts. Je reviens déposer le ticket du parcmètre derrière mon pare-brise. Je me presse un peu. J'arrive à l'adresse indiquée sur le bristol. Au dos, il y a des informations. Devant le numéro 12 de la rue de la Rouerie, une porte cochère, un digicode. Je dois frapper le code "8539". Le bruit caractéristique d'une ouverture automatique résonne dans la rue. La porte se dégage. J'entre. Je suis dans un passage vouté. Sur le côté, un autre passage et au fond, une porte métallique. Je suis face à cette lourde porte. Je dois mettre mon bandeau sur mes yeux avant de sonner. Le regard totalement occulté, j'appuie sur la sonnette. Un "ding-dong" retentit. Quelques secondes plus tard, un bruit de verrou retentit. La porte s'entrebâille en grinçant. Une main saisit ma laisse et me tire en avant. Une voix résonne dans le local :
• Bonjour Sandrine ! Tu es à l'heure !
• Merci, Monsieur !
• Pose ton imper !
Je me déleste de ce vêtement. On me le prend :
• Je l'accroche au porte-manteau… tu le reprendras au retour… tu n'en auras pas besoin, cet après-midi !
J'attends la suite des événements :
• Tu sais pourquoi tu es ici ?
• Non monsieur !
• Tu es là pour te plier à nos désirs !
"Nos désirs", ils sont donc plusieurs ! Mon Maître est un enfoiré ! Il réalise le fantasme qui me hantait depuis très longtemps : être jeté en pâture à plusieurs maîtres en même temps ! Dès cet instant, les premiers frissons m'envahissent.
La laisse se tend de nouveau. Je suis le mouvement. Mes talons résonnent dans le corridor que nous empruntons. J'aime sentir la tension sur mon cou qui m'intime l'ordre de suivre cet homme, comme une chienne. Le sol du corridor n'est pas égal et je trébuche sur les pavés. L'homme me parle :
• Tu es drôlement tendue dis-moi !
Un bruit de serrure m'indique la fin du couloir. Nous entrons dans une pièce. Il me guide, puis me laisse seule. Il me donne les instructions pour ce qui va suivre :
• Soumise Sandrine, ton Maître JP nous a demandé de t'occuper de toi toute cette après-midi… Tu serais, assez obéissante, mais il te souhaite encore plus obéissante… Tu sais ce que cela veut dire ?
• Oui, Monsieur…
Les frissons recouvrent de nouveau mon corps. Il continue la litanie de leurs désirs :
• Tu vas te présenter… Tu vas leur dire bonjour… Tu devras être polie… Je veux qu'ils soient conscients de la raison de ta présence… Il faut que tu leur fasses comprendre, par ton attitude, que tu es là pour satisfaire toutes leurs envies, tous leurs besoins… Tu devras juste te comporter comme il se doit, comme une bonne soumise, les laisser faire tout ce qu'ils désirent… Tu es ici pour être à leur entière et totale disposition… Compris, Sandrine ?
• Je comprends ce que vous attendez de moi, Monsieur…
• Très bien, tu peux commencer !
Je me demande comment je vais faire. Les femmes ainsi présentées donnent plus dans la vulgarité que la délicatesse. Mon Maître est exigeant. Il place toujours la barre très haute. Mon cœur bat la chamade mais je me détends. Je commence :
• Je m'appelle Sandrine et je suis la soumise de Maître JP… J'obéis à ses ordres et si je suis ici maintenant c'est parce qu'il me l'a ordonné… Je suis à votre disposition toute cette après-midi et je ferais tout ce que vous me demanderez... Ma bouche est pour vous… Elle peut vous sucer, avaler votre semence ou toute autre action de votre choix…
• Bien, Sandrine… Commence par nous faire voir ce que tu vas nous offrir…
Je libère les boutons de ma veste de tailleur.
Elle aussi est un peu juste. Les pans s'écartent sous la poussée de ma poitrine. Mon chemisier lui aussi est tendu à son maximum, les boutons sont tendus et les interstices entre eux laissent deviner mon soutien-gorge. L'un des hommes me dit :
• Tu es très belle !
Je ne peux répondre qu'un remerciement :
• Merci Monsieur…
• Pas de quoi… Continue !
Une légère claque sur la fesse m'intime l'ordre de continuer. Je déboutonne mon chemisier. Chaque bouton lâché, mon soutien-gorge pousse en avant le tissu. Un commentaire fuse :
• Eh bien, ma cocotte, tu en as gros sur le cœur !
Les autres personnes rient du "bon mot". Il est vrai que j'imagine le spectacle que je leur offre : mes seins bien ronds, un peu lourds, tendent à craquer mon soutien-gorge de broderie anglaise.
• Débarrasse-toi de ta "balance à écrevisses" !
Toujours de rires… Je passe mes bras dans mon dos et fais sauter l'agrafe de mon soutien-gorge. D'un mouvement d'épaules, les bretelles glissent et je récupère le sous-vêtement entre mes mains. Je le jette au sol et me positionne, bien cambrée, le buste en avant. Je dois être très sexy ainsi exposée. Mes beaux seins s'épanouissent sur mon torse avec mes larges aréoles brunes clairement visibles. Les hommes ne disent plus rien. Je les sais un peu subjugués par le galbe de mes seins. Je me laisse admirer sous toutes les coutures. De profil, mes seins sont encore plus impressionnants, surtout mis en valeur par le haut de mon corset qui entoure mes globes. Mais la réaction des hommes est de courte durée. Le naturel revient au galop :
• Continue ta présentation !
La honte me fait monter le rouge aux joues :
• Mes seins sont à votre disposition… Vous pouvez les peloter, les malaxer, les pétrir comme bon vous semble… Mes tétons sont particulièrement sensibles… Vous pourrez les tordre, les pincer, les mordre ou bien les sucer, à votre choix…
• Bien ! tu es charmante ! Superbe, ton corset… Tu ne vas t'arrêter en si bon chemin, Sandrine…
• Non, Monsieur…
Je passe les bras dans mon dos, glisse mes doigts le long de la ceinture de ma jupe, fais sauter les crochets, et descends la fermeture éclair dans un silence de plomb.
Ma jupe tombe à mes genoux, je l'enjambe et la jette comme mon soutien-gorge. Je reprends ma position, cambrée pour mettre ma poitrine en avant et mes fesses saillantes. Un silence de mort envahit la pièce. Ils viennent de découvrir que je porte une ceinture de chasteté ! L'homme qui m'a conduite ici, reprend la suite des évènements :
• Dis-nous Sandrine, quel est cet engin que tu portes ?
L'humiliation est à son comble. C'est la première fois que je m'exhibe devant des hommes dans cette tenue.
• C'est une ceinture de chasteté, Monsieur…
• Pourquoi portes-tu cela ?
• C'est mon Maître qui le veut !
• Et cela t'es utile ?
• Oui, Monsieur !
• Comment cela ?
• Cela fait 15 jours que mon Maître m'a équipée de cette ceinture. Depuis, je n'ai pas fait l'amour, je n'ai pas pu me masturber, je ne me suis pas fait sodomiser. Mon Maître m'a aussi privée de toute correction !
• Bien… Mais cela va nous gêner pour jouer avec toi cet après-midi…
• Seul mon Maître a la clé de déverrouillage…
• N'as-tu pas un pli à me remettre ?
• Si Monsieur… Dans mon trois-quarts…
• Bien, je vais le chercher, mets-toi en position !
Je me repositionne, cambrée au maximum, seins en avant, cul ressorti, les mains derrière la tête, et les jambes écartées ! J'entends les pas résonner dans le couloir. J'attends patiemment. L'homme revient.
• J'ai ce qu'il faut…
Il trouve mes jambes pas assez écartées, à son goût. Je ressens des petits claques sur l'intérieur de mes cuisses. Elles m'incitent à ouvrir le compas de mes jambes. J'accentue l'écartement de mes cuisses. Je le sens très près de moi. Il introduit la clé de déverrouillage et me libère de ma ceinture. Une main légère se glisse entre mes cuisses. Il m'inspecte d'un doigt inquisiteur. Son majeur se glisse entre mes grandes lèvres serrées. Mon sexe est humide. Il le découvre et l'annonce à ses collègues :
• Salope, tu es déjà trempée !
Un autre homme s’approche. Un frisson me parcourt au moment où une main se pose sur ma cuisse, remonte vers l'intérieur et monte jusqu'à ma chatte. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir.
• Que dis-tu, Sandrine ?
J'annone :
• Je… je dis…
Deux doigts entrent violemment dans ma chatte. Il fait aller et venir ses doigts dans mon vagin et ceux-ci se trempent de ma mouille. Il me dit :
• Tu ne dis rien du tout ! A partir de maintenant, c’est nous qui dirigeons les opérations. Compris ?
J'avale difficilement ma salive. Il me tripote le clito et il est malaisé de ne pas me laisser à jouir.
• Oui…
• Oui qui ?
• Oui Monsieur…
Brusquement, sa main sort de ma chatte. Il me pose ses doigts humides sous mon nez. Je suis toute gênée.
• Ca sent quoi, Sandrine ?
• Je… je ne sais pas, Monsieur…
• Tu ne le sais vraiment pas ? Ça sent la petite chienne en chaleur… Nettoie mon doigt avec ta langue !
Immédiatement, je m’exécute. J'émets de petits bruits en léchant les doigts avec mes lèvres. Il enfonce lentement ses doigts dans ma bouche. Malgré que je ne puisse pas regarder les hommes, je me sens humiliée et je savoure cette situation qui me rabaisse. L'homme me dit :
• Tu sais, je crois qu’on pourrait foutre autre chose dans une si belle petite bouche, non ?
Je continue de sucer les doigts, mais ne réponds pas à la question. L'homme poursuit son inquisition :
• A ton avis, qu’est-ce qu’on pourrait mettre dans ta bouche ?
Je reste sans voix.
• Je crois que beaucoup de choses vont visiter ta jolie bouche… Petite salope
L'homme tourne autour de moi, doucement. Il s'arrête derrière moi. Une sensation court sur ma peau. Je la reconnais. C'est le cuir de l'extrémité d'une cravache. Le cuir remonte et descend de la nuque au creux des reins. Une poussée dans le creux des reins me fait ressortir le cul. Il passe devant et place la cravache sous mon menton. Je redresse sa tête. Il m'ordonne :
• Sandrine, tu dois toujours avoir la tête haute, compris ?
Je réponds d'une voix tremblante :
• Oui Monsieur !
La cravache descend entre mes seins, fait le tour de chacun d'eux. Une autre personne derrière moi me souffle dans le cou. Ses mains empaument mes globes jumeaux. Il malaxe ma poitrine à pleine main. Il titille mes tétons érigés, les tord doucement. L'un des hommes annonce :
• Je vois que tu as les seins d'une sensibilité extrême…
Je sais que, sous de telles caresses et surtout après quinze jours d'abstinence, je ne tarderais pas à manifester mon plaisir. Lorsque je le peux, je me fais jouir uniquement en me caressant les seins. Effectivement, le plaisir arrive. Je gémis doucement. Une bouche se pose sur l'un de mes tétons et l'aspire fortement. La caresse ferme est adoucie par le jeu du bout de sa langue. Je compte mentalement : la cravache et la bouche sur mon sein, ils sont donc deux à profiter de moi ! Je continue de gémir sous les caresses combinées des deux hommes. Mais soudain une main se pose sur mes fesses. Les doigts de celle-ci glissent dans ma fente inondée, écartent les petites lèvres gonflées de sève et investissent mon sexe. Mon vagin se contracte sous la caresse et une série de spasmes agite mon sexe tout entier. Chaque contraction expulse une vague de cyprine et inonde la main qui s'agite entre mes cuisses. Jamais je n'ai mouillé comme cela ! La main, qui délicieusement mes tétons fait naître des ondes de chaleur dans mon corps. Mais ils sont trois à se servir de mon corps ! Les doigts entre mes cuisses ne restent pas inactifs. Ils se posent sur mon clitoris dardé, irrigué de sang. Il est totalement sorti de son capuchon protecteur. La caresse est trop agréable. Mon corps se raidit. Cambrée par la vague de jouissance qui me submerge, ma tête trouve appuie contre le tortionnaire derrière moi.
Je ne peux retenir un cri qui résonne dans la pièce. L'un d'eux me dit :
• Tu peux gueuler tout ton sou, salope ! Personne ne peut t'entendre ici…
Je crie pendant toute la durée de mon orgasme. Les caresses ne cessant pas, ce dernier est long, très long. Malgré mes demandes, mes suppliques, aucun des hommes n'arrête les attouchements. Un plaisir violent me transperce et me plie les jambes. L'homme dans mon dos me soutient d'un bras puissant autour de ma poitrine. Je récupère pendant quelques minutes dans les bras de l'homme. Mais la séance reprend vite ses droits. Un ordre fuse :
• À quatre pattes !
Je m’exécute sur le sol de carrelage.
• Cambre-toi bien ! Fais saillir ton cul !
J'obéis. J'ai mal au creux des reins tellement je creuse mon dos. Une main saisit mes cheveux et le relève le visage.
• Je vais te baiser la bouche… Suce-moi bien ! JP m'a dit que tu étais experte dans cette caresse !
Un sexe me gifle les joues et le gland bute à l’entrée de ma bouche. J'ouvre largement ma bouche. Le sexe se rue dans ma cavité buccale. J'avale autant que je peux, cette queue imposante. L'un des hommes annonce :
• JP serait certainement content que nous filmions cette salope dans ses œuvres !
Non, je ne veux pas être filmée, même si avec mon bandeau je suis difficilement reconnaissable. Je tente de protester, mais l'homme qui me tient toujours par mes cheveux, me force à garder sa grosse queue en bouche. Elle est grosse, massive, courte mais elle occupe ma bouche, étire au maximum mes maxillaires. La contrainte m'excite. J'aime être obligée de faire ces choses dégradantes. Je lèche ses couilles, les mordille, ma langue va-et-vient le long de sa queue. Je reprends le gland dans ma bouche. Je salive sur ce sexe inconnu. Je lui pratique une fellation digne d'une pute professionnelle. L'homme m'encourage :
• Tu es une vraie petite pute, une vraie chienne !
Ils me traitent de tous les noms. Je suis heureuse d'être dégradée, traitée comme une moins que rien. Je suis dans mon rôle de soumise ! Depuis que je suce avec avidité cette queue, une main s'est faufile dans mon entrejambe et me tripote le sexe. Je constate avec un certain effroi que cette situation m'excite au plus haut point. Je suis trempée. Mon sexe dégouline souille l'intérieur de mes cuisses et le haut de mes bas. La queue se retire de ma bouche. On m'indique qu'il faut que je me déplace sur le côté. Je découvre un homme, couché sur le dos. J'ai compris. Je l'enjambe. Son sexe bat entre mes cuisses. Il ne faut pas longtemps pour découvrit l'entrée de ma grotte. Elle bée, assoiffée de sexe, de grosses queues, de bites ! La queue me pénètre. Je suis pleine. Elle bute contre le fond de mon sexe, me créant une légère douleur agréable. Je continue de sucer la queue offerte et celle qui investit mon sexe me baise, me défonce. Les deux hommes ont accordé leurs mouvements. Lorsque j'avance pour avaler la bite tendue devant ma bouche, le sexe se retire de ma chatte et vice-versa. Mais on me passe un doigt sur la rondelle fripée de mon anus. La sensation inattendue me rend dingue. Je me cambre encore plus, offrant mon anus à cette caresse. Le doigt me pénètre le cul doucement. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier. Si le contact du départ me rend dingue, l'arrivée d'un deuxième intrus me panique un peu. Mais la caresse est toujours aussi douce, puissante mais agréable. Je me détends, libère le muscle anal. L'homme ne veut manifestement pas en rester là. On m'introduit un troisième doigt dans l'anus. Progressivement, l'homme me dilate le cul, me l'ouvre. Avec trois doigts dans l'anus, ma rondelle souffre. Elle arrive ses limites. Une remarque fuse :
• Mais où JP a-t-il pu trouver une telle petite salope ?
Des rires ponctuent la remarque. Une sensation de fraîcheur touche mon anus. L'homme derrière moi me crache sur la rondelle pour m'humidifier encore plus. Je sais ce qu'il va m'arriver. A ce moment-là, l'homme retire ses doigts de mon cul. Il guide son dard vers mon anus. Il entre en moi, sèchement. Il me sodomise d'un seul coup, s'enfonçant en moi profondément. Je crie. Mais ce cri est rapidement remplacé par un râle de plaisir de sentir cette grosse bite dilater mon petit trou. Il accélère tranquillement. J'ai les larmes aux yeux tellement il me fait mal, mais j'ai tellement envie d'être prise. Il me laboure le cul. Je suce consciencieusement la queue du premier, m'enfile le sexe de l'autre dans ma chatte. Ma fellation vient doucement à bout du premier. Les soubresauts de la queue dans ma bouche annoncent la fin proche. Il se vide en de longs et puissants jets de semence épaisse et chaude. L'homme dans mon sexe, arrive à son tour. La jouissance le fait se cambrer. Il prend appui sur ses pieds. Je suis soulevée, empalée sur son sexe qui se vide. Je sens les contractions de sa queue. Le troisième ne se retient pas. Il vient à son tour dans mon cul. Je sens ses jets courts à l’intérieur de moi. L'homme derrière moi s'écroule me faisant choir sur l'homme en dessous de moi. Nous sommes en nage. Nous puons la transpiration. Je reprends mes esprits et mon souffle. Je sais bien que cela n'est pas fini et je me demande jusqu'où cela va aller, jusqu'où vont-ils me conduire, jusqu'à quelle déchéance ? Pendant quelques minutes, je reste avachie sur l'homme. Mais rapidement ce dernier bouge et me jette sur le côté. Je suis vide de tout sexe. Une main me saisit par le bras et me relève brutalement. Je retrouve mon équilibre sur mes hauts escarpins. Mon poignet est enserré d'un bracelet de cuir et le deuxième aussi ! Mes chevilles subissent le même traitement. Mes bras sont tirés vers le haut. Un cliquetis et je me retrouve les poignets bien écartés, étirés vers le haut, totalement immobilisée. Mes chevilles sont, elles-aussi immobilisées. Je suis écartelée entre quatre points d'attache, les bras en l'air et les jambes au sol. Les membres sont tendus au maximum. Je suis en croix... Soudain, une main se pose sur mes seins : une main d'homme. Elle me caresse la poitrine, me titille les bouts, déjà durcis par le plaisir... Une main s'attarde sur l'un de mes seins. Elle agace le bout, le fait rouler entre ses doigts, le tire, le caresse. Et brutalement une douleur fulgurante, sur l'extrémité de mon téton : on vient de me poser une pince et je crie de douleur et de surprise. Mon autre sein subit la même manœuvre. Peloté, malaxé, le téton agacé, étiré et la douleur fabuleuse de la pince qui se referme sur la petite extrémité délicate. La deuxième me prend au dépourvu mais cette douleur se mélange à mon plaisir, se liant en une confusion perverse de mes sens. L'homme continue de me tourmenter. Il accroche doucement à chaque pince, une chaine reliée à mon collier. Il tend la chaine, tirant sur mes tétons. Je sens le picotement vif de la morsure sur chaque mamelon. Un autre homme me fesse doucement. La douleur sur mes tétons s'active à chacun de mes mouvements, me faisant mouiller de plus en plus. Devant moi, un homme me triture le sexe. Il tire sur mes grandes lèvres. Elles sont grasses de mes secrétions. La douleur fulgurante d'une pince sur ma lèvre me coupe le souffle. Je me mords les lèvres pour ne pas crier. La main lâche la pince. Elle est lestée d'un poids qui tire ma lèvre vers le bas. Je gémis de douleur. Mais aussitôt, l'autre lèvre de mon sexe subit la même agression. La main de l'homme joue avec les deux masselottes qui lestent les pinces. Chaque fois qu'elles s'entrechoquent, les vibrations des ondes de choc remontent dans mon ventre. La douleur laisse place au plaisir et au bonheur d'être une femelle soumise. Mes poignets sont libérés, mes chevilles aussi. L'ordre fuse :
• A genoux !
J'obéis immédiatement.
• Cambre-toi !
Aussitôt, ma laisse se tend et on m'ordonne :
• Avance à quatre pattes !
Je commence à suivre l'homme qui tire sur ma laisse. Le sol rugueux me mâche les genoux. La honte m'envahit. Je suis conduite comme une chienne. Une excitation malsaine monte en moi. Je mouille de plus en plus. Ma démarche agite mon cul et les masses accrochées à mes lèvres vaginales s'entrechoquent. Au bout de quelques minutes de marche, l'une des pinces glisse sur la peau grasse et tombe au sol dans un fracas important. On me dit :
• Tu es vraiment désobéissante… On t'équipe gentiment et tu défais tout ce que nous faisons…
Derrière moi, on me fesse un peu et m'oblige à me cambrer. Ma lèvre libérée est de nouveau tiraillée. On dit :
• Je crois que tu dois faire le nécessaire pour que les pinces ne glissent pas !
• Ok, je fais ce qu'il faut !
Immédiatement une douleur aigue me transperce. Je comprends aussitôt. Les pinces au début sont équipées de capuchons de caoutchouc. Mais les secrétions les font glisser. L'homme derrière moi a retiré les capuchons. Les dents aigues des pinces mordent dans ma chair sensible.
• Comme cela, tu pourras les garder, même si tu remue ton cul comme une vraie pute !
Je tourne encore pendant une bonne dizaine de minutes dans la pièce. Puis je suis guidée au milieu de la pièce. La laisse tirée vers le haut m'indique l'obligation de me relever.
• Ta position !
Je trébuche un peu et me cambre, relève ma tête. L'homme me passe la main entre les cuisses. Les pinces tirent sur mes lèvres. Il enlève la première pince sur mes lèvres. Curieuse sensation de l'arrêt de la douleur de la morsure et le retour génère une autre douleur. Il continue par l'autre pince. Puis il remonte sur mes seins. Il me libère les seins, m'occasionnant une dernière fulgurante douleur lorsque le sang recommence à circuler. Je m'écroule à genoux et jouis comme une chienne, comme une malade de sexe. Des petits coups de martinet sur les fesses me réveillent. Je suis relevée et maintenue en position.
• Ecarte tes cuisses !
Je n'ai pas le temps d'obéir qu'une main empaume mon sexe. Un drôle de jeu commence. Une sensation glacée me pénètre. On m'introduit un gode métallique dans le vagin. On me prévient :
• Serre bien ton sexe ! Ne laisse pas tomber le gode ! S'il tombe tu auras 20 coups de cravache sur les fesses ! compris ?
• Oui Monsieur…
Inutile de dire que mouillée comme je suis et dilatée par les précédentes intromissions et le sperme qui a inondé mon vagin, je ne vais pas pouvoir empêcher la chute de ce plug.
• Serre ton sexe, sinon gare à tes fesses…
Je sais qu'il ne plaisante pas. Je tente désespérément de retenir le fichu objet qui glisse de moi. Au moment où il tombe au sol, le bruit est énorme face au silence de la pièce. Mais je n'ai pas le temps de songer aux décibels émis par le choc du plug au sol. La cravache cingle mes fesses. Clac ! La badine s'abat inexorablement sur mes fesses. Elle m'arrache des cris de douleur. L'homme ne chôme pas et martyrise mon cul. Les dix coups administrés, l'homme m'indique :
• Je te replace ton gode. Tu vas serrer tes muscles internes pour qu'il ne tombe plus ! Parce que je vais accrocher un poids au gode !
• Non, Monsieur, s'il vous plait… Je ne pourrais pas…
• Alors tant pis pour toi !!
Mon vagin est de nouveau envahit par l'objet métallique. Je serre mon sexe. La main accroche un poids. Je serre de toutes mes forces. Je sens que malgré mes efforts, je ne peux pas retenir le gode de glisser vers le bas. J'avertis mon tourmenteur :
• Il ne tient pas... J'ai beau serrer, il glisse !
Une remarque est aussitôt lancée :
• Petite salope, tu vas retenir ton plug ?
Je peine à articuler :
• Oui Monsieur…
Mais je ne peux rien faire. Le plug tombe de nouveau. De nouveau, dix coups rougissent sur mes fesses. Il me renfonce le plug, forçant mon sexe de ses gros doigts. Il me l'enfonce très profond. Mais il glisse de nouveau. Dix nouveaux coups zèbrent sur mon cul déjà très rouge. Tout recommence. Je ferme les yeux et me concentre de toutes mes forces. Cette fois, je serre très fort et j'arrive à retenir l'objet en moi. Le silence est d'or. Pourtant un rire éclate. L'homme approche. Sa main passe vers mon sexe. Il saisit mon clitoris et le fait rouler entre ses doigts. Le plaisir est immédiat. Je gémis de bonheur. Mais je comprends son jeu. Le but de cette caresse est une manœuvre sadique pour me faire mouiller et déclencher la chute de l'objet. Ce qui devait arriver, arriva. Je sens le plug glisser de nouveau. Il tombe.
• Décidément, tu es vraiment bonne à rien ! Je vais augmenter la punition ! Tu vas recevoir vingt coups !
La correction me coupe le souffle. Mais mon Maître m'a demandé d'obéir et malgré que je ne sois pas immobilisée, je reste stoïque, complètement offerte. Mais je hurle ma douleur.
• Nous allons recommencer, petite salope ! Tu n'es pas une vraie soumise !
Le plug est de nouveau introduit vigoureusement dans mon sexe. Mais la douleur des coups et la peur de cette nouvelle correction ont asséché mon vagin. La pénétration me fait mal. Ma mouille ne lubrifie plus, elle colle ! En serrant mon ventre, le plug lesté ne tombe pas.
• Bien, tu vois quand tu veux, tu peux ! On va voir combien de temps tu vas tenir !
Je serre les muscles de mon ventre et les dents. Je suis tellement concentrée que je ne vois pas l'heure tourner. Mon esprit est obnubilé par une seule chose : le plug doit rester dans mon sexe !
• Eh bien, tu peux dire que tu te débrouille bien !
Mon tortionnaire est de retour. J'ignore combien de temps a duré mon supplice. Le gode est retiré fermement de mon sexe. J'ai la sensation que mes muqueuses asséchées sont collées au plug et le suivent dans son retrait. Je ne retiens pas un cri de douleur. Pendant un long moment, plus rien ne se passe. Puis les hommes reviennent vers moi. Ils passent derrière moi. Une main me caresse les fesses. Mais elle s'intéresse surtout à mon petit trou. Un doigt se pose contre ma rondelle. Pas un de mes orifices ne sera épargné cet après-midi. J'attends patiemment que le doigt pétrisse mon cul. Une nouvelle arrivée se fait sentir : un pouce rejoint le premier doigt et ils s'insèrent en moi, dans mon petit cul bien serré pourtant. Les deux doigts commencent un va et vient lent et profond. Mon excitation remonte. Une autre main me caresse le clitoris sensuellement. Je me sens prête à jouir une nouvelle fois mais la caresse merveilleuse s'arrête à ce moment-là, me laissant pantelante et trempée. Un objet froid et gras se présente à l'entrée de mon anus. Je frissonne. Que va-t-on me faire subir ? La chose me pénètre lentement. J'ai l'impression qu'on m'écarte les entrailles. Mon sphincter anal commence à souffrir, au fur et à mesure que l'intromission se poursuit. J'ignore quelle taille fait ce que l'on m'introduit dans le cul, mais c'est très gros ! Mon anus est dilaté comme jamais il ne l'a été. Je gémis de douleur. Mais je ne veux pas supplier d'arrêter car je veux que mon Maître soit fier de moi. Implacablement, l'homme continue à me perforer le fondement. Doucement, il entame de lents va-et-vient, qui s'introduisent de plus en plus loin l'objet en moi. Je déguste la pénétration : elle est douloureuse ! Petit à petit, je sens mes muscles anaux s'écarter et se soumettre à l'intromission. Il faut bien une dizaine de minutes pour que l'objet se fasse une place dans mon rectum. La dilation est maximum. Puis doucement, la douleur diminue. L'objet entre en moi entièrement. Ma rondelle se referme un peu sur l'objet. Quand c'est terminé, j'ai la sensation que je vais exploser. Je sens cette chose lourde dans mon cul. Un bruit de chaine retentit. On m'explique :
• Nous venons de t'introduire un plug anal ! Chapeau ! Pas un cri ! Tu viens de prendre un plug de 7 cm de diamètre dans le cul ! Pour que tu n'aies pas l'idée de l'expulser, on te le verrouille : une chaîne autour de la taille et une autre chaîne bien serrée entre les jambes !
On me force à m'agenouiller. Un sexe se présente à ma bouche. Je dois l'emboucher et le sucer. L'homme me bloque la tête. Il se sert de ma bouche comme un sexe. Il se vide rapidement et je dois avaler les jets de sperme qui m'étouffent un peu. Je crois pouvoir reprendre mon souffle, mais l'homme m'att fermement la nuque et m'oblige de lui nettoyer la queue dans les moindres recoins. A peine ai-je terminé le travail de nettoyage, qu'un autre homme le remplace. Je dois subir la même humiliation. J'imagine le spectacle que j'offre : à genoux, les cuisses écartées, les yeux bandés, contrainte d'avaler giclées sur giclées entre deux hauts le cœur… J'ai à peine fini d'éponger le deuxième que le troisième se présente. Même punition ! Il ne prend pas de gants ! Il me maintient fermement la tête et son sexe bute au fond de ma gorge, m'imposant un haut le cœur à chaque poussée. Une chance, il doit être très excité car il éjacule très vite. Son sperme me tapisse la bouche. Je recrache le boudin qui se dégonfle, propre comme un sou neuf. Ils se laissent aller à des commentaires sur la scène. Ils détaillent mon corps et sa posture mais je me rends compte rapidement que l'espoir que la séance soit finie est vain ! La honte d'être traitée comme une moins que rien me vient à l'esprit. Mais j'apprécie vraiment l'état de soumission dans lequel je suis. Ce qui est excitant, c'est surtout le fait que je suis à la merci de ceux qui m'entourent, totalement disponible pour leurs toutes envies ! Je suis remise en position de croix, les bras écartés en haut et les chevilles fixées au sol, loin d'une de l'autre. Les hommes se déplacent autour de moi. Que va-t-il m'arriver ? Un homme parle :
• On n'en a pas fini avec toi ! Qu'en penses-tu ?
• Je suis à votre disposition, Messieurs…
Il me demande :
• Tu sais pourquoi tu es là ?
• Non monsieur…
• Ton maître t'a confié à nous afin que nous t'apprenions les bonnes manières. Il nous a signalé un gros défaut chez toi !
• …
• Tu n'es pas obéissante comme il le souhaite !
Je sens mon cœur s'emballer et je murmure d'une voix étranglée :
• Oui… Monsieur…
• Nous allons t'apprendre à te soumettre totalement…
• Bien Monsieur !
• Tu vas obéir à tous nos ordres, nos désirs ?
• Oui Monsieur…
• Tu es une vraie salope alors ?
Je me surprends. Je me laisse aller à des débordements étonnants pour une femme mariée. Je me lâche totalement verbalement :
• Oui, je suis une salope ! Regardez comme je suis excitée… Je suis toute mouillée !
Ma remarque provoque le rire des trois hommes. Ainsi immobilisée, je fantasme. Je prends du plaisir à être prise d'assaut par plusieurs hommes. Un désir de pluralité me conforte dans mes convictions de soumise. J'aime être contrainte à la jouissance avec ces pénétrations multiples. Mon corps tendu attend le plaisir pervers que j'attends avec impatience. Pour continuer mon éducation, on me pose un bâillon-boule. Aveuglée par mon bandeau et la boule dans ma bouche commence rapidement à me faire baver. Attachée les mains au-dessus de ma tête, ils peuvent me travailler comme ils le souhaitent, sans se fatiguer ! L'homme parle :
• Salope, tu as du répondant ! Nous sommes décidés à aller jusqu’au bout, jusqu'au bout de ton éducation. Je sais que tu satisferas le moindre de nos désirs…
La honte qui m'envahit, est mêlée à un autre sentiment. Je vais bientôt savoir à quel point ces jeux de soumission me plaisent. Suspendue au centre de la pièce, vêtue de mon corset de cuir noir de mes bas noirs et de mes escarpins, je suis offerte et sexy. L'homme annonce :
• Mes amis, JP nous offre sa soumise pour l'éduquer… Nous allons en profiter entièrement, totalement ! Une soumise comme elle ne se rencontre pas très souvent !
A cet instant, je sais que mes fantasmes de soumission seront désormais satisfaits. Satisfaits mais non assouvis et je sais que je continuerais à être la soumise de mon Maître. Un silence se fait dans la pièce. Soudain, je sens une présence près de moi. Une cravache effleure mes lèvres, me fait entrouvrir les lèvres. Elle force un peu l'entrée de ma bouche. Elle joue avec moi. Je l'embrasse. De ma langue, je la caresse, la titille. D'un mouvement, j'att le bout et le mordille. L'homme tire un coup sec pour que je lâche la cravache. Il me caresse doucement les joues avec la cravache. La cravache descend le long de mon cou et glisse entre ses seins. Elle caresse mes seins ronds, s'attarde sur mes tétons tendus de désir. L'homme me prévient :
• Je vais te fouetter les seins !
Des frissons me parcourent, dressant les poils de mes bras… Le cuir de la cravache joue longuement avec mes seins… Il les frôle, les caresse, les dessine. Ces caresses m'arrachent des gémissements de plaisir. La cravache claque brutalement la peau de mon sein. Le bruit sec retentit. Bizarrement, le bruit me fait plus peur que la douleur. Une série très rapide d'une dizaine de coups forts et secs s'abat sur mon sein. Une douleur envahit mon globe maltraité, mais celle-ci largement supportable. Silence et arrêt de ma correction. Pas un bruit. Je m'écoute haleter. Un moment s'écoule... Puis un coup violent s'abat sur mon sein. La morsure du cuir sur ta peau est forte. Je ne peux retenir un cri refoulé dans ma gorge par le bâillon-boule. Mais soudain, c'est l'autre sein qui se trouve agressé. Il subit la même chose. Je sens sur la peau de mes seins, la trace laissée par ces coups de cravache, nette, précise. Je suppose qu'elle doit être colorée de rose, voire de rouge ! Une nouvelle série m'est assenée, mais cette fois à l'aide d'un martinet. La sensation est différente. Les lanières courtes et étroites cinglent plus méchamment mes seins. Je mords dans la boule de caoutchouc qui me bloque les mâchoires. Violemment, une vague de plaisir me terrasse. Je me laisse tomber au bout de mes bras, secouée par les spasmes de jouissance de mon orgasme. Un moment de calme me laisse reprendre mes esprits quelques instants. Mais la pause est de courte durée. La cravache court sur mon ventre. L’embout de cuir caresse mon nombril, plonge vers mes cuisses. Le cuir souple parcourt de haut en bas chaque cuisse, passant de l'intérieur à l'extérieur. Restant entre mes cuisses, le cuir remonte et frôle mon sexe. J'attends depuis longtemps la rencontre du cuir et de mon sexe. Le plaisir me fait tendre mon corps. Ma tête bascule en arrière, mon ventre se projette en avant, m'offrant à cette caresse tant désirée. Mais deux coups claquent sur l’intérieur de ses cuisses. Je m'ouvre encore plus. La cravache arrive sur mes lèvres suintantes de ma mouille. Le cuir les masse puis, les claque, de plus en plus fort. Je me cambre devant cette conjugaison de douleur et de plaisir mêlés. Un coup d'une rare force me frappe le sexe à plein cuir. Je hurle dans la boule. Une main vient prendre la place de la cravache. Elle constate que mon excitation n'a pas feinte, bien au contraire. Mon sexe ruisselle. La main se retire et aussitôt, la cuir de la cravache revient et me pénètre le sexe. Il s’assura de son excitation en passant sa main entre ses cuisses. Le bâillon étouffe mon cri de surprise. Mon nouvel gode se retire de nouveau. Et la correction continue. C'est une volée de coups de martinet qui me réchauffe la chatte. Combien de coups ai-je reçu ? Je n'en sais rien ! Les coups se suivent, cuisants, durs, blessants ! Mes dents doivent s'imprimer dans la masse noire qui m'empêche de hurler. Les lanières étroites et courtes châtient mon sexe. Elles sont très douloureuses… Soudain, plus rien ! La punition s'arrête. Je souffle quelques minutes. Mon cœur cesse de sursauter dans mon poitrine. Je n'ai pas joui tellement la douleur est forte. Jamais je n'ai reçu une telle correction ! Curieusement, on me libère du bâillon. Ma correction aurait-elle pris fin ? Mais la cravache reprend du service, dans mon dos. Elle descend le long de ma colonne vertébrale, lentement. Elle s'attarde sur le creux de mes reins. Elle me frôle, me découvre, s'attarde. Elle descend sur mes fesses, me claque doucement. Elle passe rapidement à l'intérieur de mes cuisses. Le cuir me frotte l'entrejambe tuméfié et me fait grimacer. La cravache remonte lentement vers ma croupe offerte et luisante de transpiration. Elle s'attarde longuement sur le creux de mes reins et sous mes fesses. On me demande de me cambrer, offrant ainsi ma croupe. L'homme annonce :
• Sandrine adore qu'on lui fouette les fesses... Cela l'excite… Pas vrai, soumise ?
• Oui, monsieur !
• Alors nous allons te fesser… Nous allons utiliser différentes cravaches toutes plus cuisantes les unes que les autres…
• Bien Monsieur…
• Tu sais compter, je pense…
Résignée, je murmure :
• Oui Monsieur…
• Et bien alors tu vas compter jusqu'à quarante…
Une contraction incontrôlable m'étreint le ventre à ces mots. Si j'avais quelque espoir que mon éducation de cet après-midi était terminée, ces mots viennent de le détruire. Mais, je le sais bien, mon Maître ne se contente pas de peu et il a dû donner des ordres en conséquence !
Après m'avoir demandé de nouveau de bien me cambrer, le châtiment commence. Une cravache tombe sur ma fesse droite. La douleur n'est pas violente mais réelle.
• Un !
De nouveau la cravache retombe. Cette fois-ci, le coup est plus violent. Une douleur fulgurante irradie ma fesse gauche.
• Deux !
Nouveau coup sous mes fesses, dans le pli entre la cuisse et le bas de la fesse, endroit particulièrement sensible et délicat. La douleur me transperce.
• Trois !
Encore une fois, la cravache tombe sur ma fesse gauche. Ce coup plus violent m'arrache un gémissement de douleur
• Quatre !
Ma fesse droite se trouve de nouveau cinglée.
• Cinq !
J'ai l'impression d'avoir les fesses en feu. Cela ne fait aucun doute. La rudesse des coups vont laisser de belles zébrures sur la peau fragile de mes rondeurs arrières. Mais la douleur m'emporte dans un délire. Je perds toute retenue. Je suis heureuse de me faire corriger. L'homme, méthodiquement, assène les coups avec une régularité de métronome. La voix hésitante et chevrotante de par la violence des coups, j'égraine le compte des coups reçus.
• Six !
Mes fesses sont de plus en plus sensibles et la douleur s'accroit à chaque coup davantage.
• Huit... neuf.... dix....
Mes fesses s'embrasent. Chaque coup est plus cuisant.
• Douze...Treize...
La douleur devient plus forte mais mélangée au plaisir d'être soumise m'excite de plus en plus. Quelle sensation étrange !!! Un mélange de jouissance et de douleur, de peur et d'excitation ! Maintenant je ressens une douleur lancinante et malgré cela, ma chatte ruisselle d'excitation.
• Dix-sept... Dix-huit...
Les deux derniers coups sont encore plus violents. Je grimace. J'ai très mal.
• Dix-neuf… Vingt !
La correction cesse. Je ne comprends pas. L'homme me parle :
• Je passe le manche à mon ami !
Un bruit de déplacement m'alerte sur le changement de fesseur.
• Compte bien salope !
Le premier coup s'abat, sec, violent. Le cuir mord la peau douce de mon fessier... Je me cambre davantage.
• Un…
Un second coup est plus cuisant que le précédent. Je me mords les lèvres pour ne pas crier…
• Deux !
Je supporte difficilement les cinq premiers coups. Je serre pourtant les dents. Je veux leur montrer ce que je peux tout endurer pour lui, pour mon Maître. Les coups sont de plus en plus cinglants. Malgré cela, une sensation m'envahit. Comment décrire cette sensation ? C'est un abandon total. Orgasme et jouissance s'enchainent par les coups de cravache assénés sur mon postérieur. La correction dure, dure… Les coups sont cuisants, insupportables… Les 40 coups sont donnés. Quand je dois dire "quarante", je le crie, je le hurle !
Et là, plus de claquements dans l'air, la correction est finie. Les larmes me montent aux yeux. Elles coulent sur mes joues. Je pleure. Je pleure de plaisir. Le plaisir me submerge. Jamais je n'ai eu une telle jouissance, jamais une jouissance n'a été aussi forte de toute ma vie. Je pleure sous la douleur, mais je suis secouée d’un orgasme fulgurant. Je ne peux pas dire combien de temps cela a duré. Je suis déconnectée du monde. J'ai la sensation de ne plus m'appartenir. Je suis dans un état second. Le bonheur me comble et soudain, une sensation étrange m'arrive entre les cuisses. Je me vide ! Mon sexe libère un flot de mouille, moi qui ne suis pas une femme fontaine, j'entends les floc- floc sur le carrelage ! Personne ne m'a encore parlé ! Quand une voix me rappelle à la réalité :
• Félicitations, petite chienne soumise ! Tu es très résistante… et très obéissante ! Tes fesses sont marquées de très belles stries rouges foncées ! Je crois que tu vas les garder pendant un bon bout de temps ! Quand tu les verras, tu te souviendras de cette après-midi !
Je suis libérée de mes attaches. Je titube sur mes talons. On me soutient. Un homme annonce :
• Il te reste une dernière épreuve ! Mets-toi à genoux et viens !
Qu'ont-ils prévus de plus pour me casser, pour me mettre plus bas que terre ? A quatre pattes, je suis la personne qui tire sur ma laisse. Je suis conduite dans une autre pièce. On me relève, me dépouille de mon corset et de mes escarpins. Mes bas eux, sont dans un tel état qu'ils me les arrachent. Je suis totalement nue. On me guide :
• Agenouilles-toi !
Le sol est froid, lisse et glissant. De nouveau mes bras sont écartés et attachés sur les côtés. Je dois être un peu comme crucifiée. Mes cheveux sont rassemblés en une queue de cheval et attachés derrière moi. Je ne peux bouger la tête. On me retire mon collier et ma laisse. Un autre ordre fuse :
• Ferme les yeux ! Nous allons te retirer ton bandeau !
• Non, Messieurs, s'il vous plait, je ne veux pas rencontrer vos regards !
• Garde les yeux fermés, soumise !
On me retire mon bandeau. Je garde soigneusement les yeux clos. On parle :
• Voilà, messieurs et chers amis, Sandrine est prête pour sa dernière épreuve ! Nous pouvons y aller !
Des bruits de fermetures éclairs sonnent dans cette pièce. Et là c'est la surprise. Il me faut quelques longues secondes avant de comprendre mon dernier supplice : des jets chauds et odorants me coulent dessus. L'horreur me submerge. Ils me pissent dessus ! Attachée comme je le suis, je ne peux me soustraire aux jets d'urine ! Mais ne pouvant rien faire, c'est en moi que je trouve la force de supporter cette honte. Je suis dans un autre monde. Un monde où je ne m'appartiens plus. Cette épreuve, c'est mon Maître qui me l'impose. Je sens son emprise et sa domination totales sur mon plaisir et mon esprit. Ils urinent sur mon visage. Le liquide chaud couvre mon corps. Je gémis lorsque l'urine rencontre une strie de martinet ou de cravache. Sur les fesses, la douleur est plus violente. Puis leur miction s'arrête. L'homme me parle :
• Nous sortons de la pièce... Tu pourras ouvrir les yeux ! C'est une salle d'eau ! Prends une douche et refais-toi une beauté ! Quand tu seras prête, frappe à la porte, l'un de nous viendra te chercher !
Des pas s'éloignent, et la porte claque. J'ouvre les yeux. Je suis effectivement dans une grande salle d'eau. Je me relève et commence par me doucher à l'eau tiède. Il me faut un très long moment pour reprendre ma condition de femme. Je me pomponne, car même s'ils m'ont humiliée, je serais toujours au-dessus d'eux ! Sur un meuble, sont posés, mon corset, mes escarpins, mon collier et ma laisse, une pochette avec de nouveaux bas. Je m'habille de nouveau en soumise. Mais mon bandeau n'est plus là. Tant pis, je devrais affronter leurs regards. Je frappe et attends la suite. Quelques secondes plus tard, la porte s'entrebâille. Un ordre m'est lancé :
• Ferme tes yeux !
J'obéis. La porte pivote avec un chuintement. Ma laisse est saisit et me tire en avant. Un homme me dit :
• Ton Maître nous a donné deux objets. Un que tu devras porter jusqu'à ton retour et un que tu porteras jusqu'à la sortie de cet immeuble !
L'homme avance vers moi. Il me pose quelque chose sur le visage. Une légère crainte m'envahit. Il m'explique :
• C'est un masque merveilleux en cuir repoussé !
En effet, ce masque est en cuir très doux, souple. Il épouse parfaitement mon visage. Maintenant, je me souviens. Il y a quelques semaines, JP m'a protégé le visage d'un papier style "scellofrais" et m'a enduit le visage d'un plâtre liquide. Je ne devais pas bouger d'un millimètre. Le masque a été formé sur ce moule. Un autre ordre m'est donné :
• Tournes-toi et penche-toi en avant !
Je m'exécute.
• Prends tes fesses à pleines mains et écartes-les !
Une nouvelle vague de honte me comble de plaisir. J'obéis. Un objet froid se présente à ma petite rondelle. Une pression et mon anus se dilate de nouveau. La chose entre dans mon cul. La sensation est la même que lorsqu'ils m'ont introduit l'énorme plug anal. Mais celui-ci est plus petit et la douleur supportable. Le renflement est passé et mon muscle anal se referme sur la base. Il ne tombera pas ! On me pose ma ceinture de chasteté. Le clic du verrouillage résonne. On me dit :
• Sandrine, votre éducation de cet après-midi se termine... Nous allons vous reconduire à la sortie !
• Merci Messieurs !
On tire ma laisse. Je reprends le couloir. Arrivée au hall d'entrée, on m'indique :
• Je te laisse te revêtir… Inutile de mettre ton soutien-gorge ni ton chemisier ! Enfile ta jupe, ta veste et ton trois-quarts, il pleut !
J'enfile mes vêtements que l'on me tend galamment. Je suis face à la porte. On me retire mon bandeau. Un bras ouvre la porte.
• Au revoir Sandrine !
Je me retrouve dans le grand hall de l'immeuble. Je retrouve la porte. Je sors et dans la rue je retrouve la civilisation. Je marche vers le parking pour retrouver ma petite Mini. Le tissu de ma jupe frotte sur mes fesses. Le contact est un peu douloureux. Lorsque je m'assois, la chose change. La douleur est vive. Je pars en évitant tout mouvement intempestif de mon fessier. Je tends ma carte bancaire et mon ticket au préposé. Là encore les mouvements me rappellent que mon cul doit être tanné à souhait ! Le retour se fait normalement. Quelques kilomètres avant la maison, mon téléphone portable sonne et coupe la radio. Je réponds :
• Sandrine à l'appareil !
• Bonsoir, ma soumise adorée !
C'est mon Maître ! Sa voix suave m'emplit de joie !
• Oui, Maître ?
• Quand tu arriveras, je te veux en tenue de soumise devant la porte !
• Bien Maître !
• A tout de suite !
J'emprunte le chemin empierré qui conduit à notre maison. Le portail s'ouvre avant que j'ai pu actionner la télécommande. JP surveillait mon arrivée. Je me gare sous l'abri. Je me débarrasse de mon trois-quarts, de ma veste et de ma jupe. Je traverse la cour. Le froid de la fin du mois de novembre me fait frissonner. Je sonne. Mon Maître me fait entrer. Je me jette dans ses bras. Il m'embrasse à pleine bouche. Je lui rends son baiser. Je me mets à genoux devant lui et commence à lui dire :
• Merci, Maître pour cette séance d'éducation… Vous avez su trouver en moi, la soumise que je suis au plus profond de moi… Vous avez su libérer et me donner envie de dépasser les limites que j'avais et que j'ai peut-être encore… Je sais que vous m'aiderez encore dans cette recherche... Je suis heureuse d'appartenir à un réel dominateur… Merci de tout mon cœur !
Et pour ponc mon discours de remerciements, j'ouvre la braguette de mon Maître, en sort son sexe et lui administre la plus amoureuse des fellations. Il se vide rapidement en de longs et puissants jets de spermes dont je me délecte. Je lui nettoie consciencieusement la verge et la range. Mon Maître me relève. :
• Merci ma soumise ! Viens, je t'emmène dans la salle de bain…
Arrivés dans la salle d'eau, il me fait couler un bain chaud, me déshabille, et me dépose dans la baignoire. Je somnole pendant un grand moment. Plus tard, j'ouvre les yeux. Mon maître est là. Il me regarde.
• Je suis fière de toi !
• Merci Maître ! Qu'il est bon d'être guider, comprise et chienne en même temps. Tout est contradictoire, tout se mélange, le plaisir est à l'extrême !
Sa main plonge dans la baignoire. Elle trouve le chemin entre mes cuisses, que docilement j'ouvre. Ses doigts trouvent mon clitoris. Doucement, avec infiniment de précautions, il titille ma petite pointe de chair sensible. Le déclic est quasi-immédiat. Je sens la jouissance arriver. Non, c'est un orgasme fort, très fort, violent, brutal, bestial. Une vague d'orgasmes déferle dans mon corps. Je jouis coup sur coup. Je crie mon plaisir. Maintenant, je suis totalement dans ce monde d'abandon où je suis chienne et salope, mais où je me suis la plus belle femme pour mon Maître. Je reprends pied à la vie. Mon maître m'aide à sortir de la baignoire, me dorlote. J'enfile la robe d'intérieur qu'il a apporté. Longue et moulante, je suis bien. Ma confiance est totale. L'emprise de mon initiateur me rend docile et m'excite toujours aussi fort. Je le remercie et lui susurre doucement à l'oreille que j'ai de la chance d'avoir trouvé un Maître comme lui. Nous descendons dans le salon. Un feu flambe dans la cheminée. Mon Maître m'installe dans un fauteuil et part dans la cuisine. Il revient. Il a organisé un petit diner en amoureux. Je suis fatiguée. Nous partons nous coucher. Juste avant, il me retire le petit plug enfoui dans mon anus avec la remarque :
• Cette nuit, je te libère, tu seras totalement libre !
Je me pelotonne dans ses bras. Je le fixe avec ce regard intense d'une femme amoureuse et épanouie...
La nuit a été réparatrice. Je me lève tard. Mon maître a tout préparé. La journée se passe comme dans un océan de bonheur. Mais lundi est là. Je repars au travail. Mon Maître est déjà parti. J'arrive au travail. La voiture de mon directeur n'est pas là. Une autre voiture prend la place de parking. Arrivée dans mon bureau, je m'assois. Comme dans ma voiture, mes fesses me rappellent des souvenirs pour le moins cuisants. Quelques minutes plus tard, on frappe à ma porte :
• Entrez !
La porte me découvre mon grand patron parisien. Je suis étonnée.
• Bonjour Sandrine ! Venez !
Interloquée, je le suis ! Il entre dans le bureau de mon directeur et me dit :
• Passez derrière le bureau et prenez place !
Suivant l'ordre, je m'assois en oubliant que mes fesses sont plus que sensibles. Je grimace quand mon cul se pose dans le fauteuil de cuir pourtant très confortable. Une remarque de mon DG me surprend :
• Que vous arrive-t-il Sandrine ? Auriez-vous des épines dans ce fauteuil ? A moins que vous ne souhaitiez un fauteuil comme celui-ci ?
Sa remarque est accompagnée d'un mouvement de tête vers le coin de la pièce. Un fauteuil scandinave trône. C'est un assis debout. On ne pose pas ses fesses sur l'assise. Je me retourne vers lui :
• Pourquoi prendrais-je un siège comme cela ?
• Je crois que vos fesses doivent être sensibles, non ?
Mes joues me cuisent instantanément. Elles doivent avoir pris une jolie teinte rouge !
• Co… Comm…
Mon directeur me vient en aide :
• J'étais samedi après-midi au 12 rue de la Rouerie à N…
Je m'appuie au bureau tellement les jambes se dérobent sous moi. Ainsi, mon directeur faisait partie de mes tortionnaires. Je veux parler, mais il m'interrompt :
• Sandrine, je vais vous demander une chose... Cela sera la seule et unique chose que je vous demanderais de toute notre collaboration !
• Que voulez-vous ?
• Tournez-vous et relevez votre jupe !
Je suis suffoquée par la demande. Je ne sais que dire. Encore une fois mon directeur vient à mon aide :
• Voulez-vous que je demande à votre Maître ?
Je réponds immédiatement :
• Inutile, je sais que mon Maître vous accordera votre requête…
Je me tourne et relève ma jupe, lentement. Je dévoile à mon directeur, mes jambes gainées de mes bas noirs, mes fesses nues équipées de ma ceinture de chasteté ! Mon directeur ne peut se retenir :
• Le spectacle que vous m'offrez est merveilleux ! Mais je m'étonne que les zébrures soient presque effacées…
Je le renseigne :
• Mon maître m'a passé patiemment, un onguent de grande qualité et particulièrement efficace. Mais si les marques se sont beaucoup estompées, l'onguent n'a pas supprimé la douleur…
• Ma chère Sandrine, merci d'utiliser ce nouveau siège ! Vous pouvez baisser votre jupe et me faire face !
Je me retourne. Mes joues sont encore roses d'émotion.
• Prenez place, Sandrine ! Je dois vous annoncer que votre directeur a eu un souci de santé grave ce week-end. Il ne sera pas en mesure de reprendre son poste avant une longue période. Je vous nomme directrice par intérim ! Vous en aurez tous les avantages, mais aussi tous les inconvénients ! La première chose c'est que vous devrez venir au siège social à Paris tous les lundis matins. Vous ne devrez pas faire d'extra le dimanche soir ! Maintenant au travail ! Votre poste sera tenu par votre collaboratrice. Je vous charge de lui annoncer et d'avertir tout le personnel de ce changement dans l'organigramme. Bon courage !
Je n'ai pas eu le temps ni de le remercier, ni de dire quoi que ce soit, que mon directeur est déjà parti !

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