La Sexualité Compulsive De Florence : La Folle Soirée Avec Les Chippendales (Partie 3/ 15)

Après mon premier emploi, mes compétences professionnelles m’avaient permise de travailler régulièrement, les CDD se succédaient plus ou moins régulièrement. J’avais troqué mes habits d’étudiante pour des tenues vestimentaires assez "working girl", vous aurez donc compris que le tailleur avait remplacé le jean baskets, j’étais rarement en pantalon. Si le travail pour moi était vital, le sexe avait toujours été une source d'épanouissement et une joie de vivre. Il faut dire que la nature m’avait gâtée, avec mes mensurations (1m67 pour 56 kg), ma belle poitrine (bonnets 90 C) ferme et ronde, mes fesses bien galbées, ma coupe de cheveux mi longue, d’un châtain foncé, entourant un visage souriant et mes yeux rieurs couleur noisette, je m’apercevais que je plaisais beaucoup aux hommes. Si je continuais à sortir les week-end avec Audrey et Magali, où nous vivions ensemble nos aventures sexuelles diverses et variées, certains soirs de la semaine, les hommes défilaient dans mon petit appartement à Montpellier.

Je n’avais que vingt-deux ans, j’étais féminine et sexy, je me faisais draguer en permanence et j’adorais cela. J’avais besoin du contact et de la chaleur de la chair et de voir briller le désir dans les yeux d'un homme. Mon expérience sexuelle me faisait choisir des types plus âgés, toujours élégants, beaux et sportifs. Cela allait du célibataire trentenaire, à l’homme de quarante ans, même marié avec , tout comme les garçons de mon âge, étudiants ou pas et même des jeunes des cités rencontrés en boite. Ce n’était pour moi que des histoires furtives mais intenses où je pouvais libérer mes jouissances. Franchement j'appréciais autant sucer une bite que de me faire lécher ... Et que dire des pénétrations, que ce soit par devant ou par derrière, j'en raffolais.

Pendant deux ans, je vécus ainsi sans jamais m’attacher à quelqu’un, pourtant durant l'été 2010, je rencontrai Luc. À partir de ce moment, j’avais ressenti ce que je n’avais jamais connu.

Je venais de comprendre que j’étais amoureuse de lui, j’étais persuadée que c'était mon grand Amour ! Deux mois plus tard j’en avais fini avec mes frasques et mes délires car j'en étais certaine, c'était Luc l’homme de ma vie. Tout alla très vite, lui aussi était amoureux, nous étions fous l'un de l'autre, si bien que nous nous marions un an plus tard en septembre 2011. Luc était électronicien travaillant pour une grande entreprise nationale et moi j'étais encore en contrat pour un nouveau CDD de six mois.
Je vivais avec un mari adorable : Luc était doux, gentil, patient, sociable, souriant, joli garçon. Nous étions en accord parfait sur de nombreux sujets, tant politique que distractif, nous aimions les mêmes choses, les mêmes loisirs, nous parlions beaucoup, nous échangions nos idées et nos journées de travail. Sexuellement parlant, je ne baisais pas avec lui, je faisais l’amour et il me satisfaisait totalement, je n’avais plus ce besoin de sexe sauvage, avec lui mes jouissances étaient tout aussi intenses.

Les deux premières années de mariage étaient passées à une vitesse folle. Audrey et Magali, mes deux amies de fac, étaient, elles aussi, casées et calmées, nous sortions en couples au restau, au cinéma ou nous nous invitions chez l’une ou chez l’autre, même les hommes étaient devenus des copains. Lors d’une de ces soirées, Audrey avait commencé à parler de nos frasques étudiantes, ayant un peu trop bu, Magali et moi-même avions poursuivi en dévoilant à nos hommes, certaines de nos péripéties sexuelles. Je n'aurais jamais dû lui en parler, cela avait mis le feu aux poudres car depuis ce soir-là, tout avait basculé dans sa tête.

Petit à petit je découvris Luc sous un autre profil, il devint de plus en plus suspicieux, possessif, contrôlant mes horaires, me reprochant mes tenues un peu trop sexy, il était devenu très jaloux. Les jours passaient tant bien que mal, il m'aimait profondément et me le prouvait tous les jours par sa tendresse et son empressement, néanmoins, son côté superviseur était bien là.
Même nos relations sexuelles avaient changé, il était plus violent comme s’il voulait me punir. Étant une femme de caractère, cela engendrait des disputes, jusqu’à des prises de bec tumultueuses.

Depuis quelques temps, l’ambiance était devenue délétère et néfaste, nous nous touchions plus. Luc me reprochait en permanence mes tenues vestimentaires, mon comportement, ma façon de voir les choses de la vie. Ce soir-là, il remit sur le tapis, une anecdote du soir de nos noces. En effet, Audrey et Magali avaient orchestrée la "jarretelle" et au fur et à mesure des surenchères, la dentelle élastique remontait un peu plus sur ma cuisse, tout en précisant : « Le gagnant aura le privilège de la retirer lui-même. » Luc n’avait pas apprécié ce jeu, et reprochait à Audrey d’avoir permis à l’assistance de voir la fine dentelle blanche de mon string, en retenant ma robe pour remonter tant soit peu la jarretelle. Le comble fut qu’il me reprochait d’avoir permis à son grand-oncle qui avait remporté la mise, d’avoir touché mon entrecuisse en attrapant le froufrou et de lui avoir laissé à loisir le temps d'admirer mon intimité si peu voilée par la dentelle du string. Puis il finit par critiquer mes deux amies :
— Toi, Audrey et Magali, vous n’êtes que des grosses salopes.

Ce soir-là, je n'avais pas voulu répondre pour ne pas envenimer cette discussion conflictuelle. Sans était trop pour moi, j’avais eu du mal à accepter ses propos, j'avais envie de le punir, mais je n'en fis rien préférant reprendre la discussion calmement. J’allais fêter mes 25 ans. J’étais née un 30 novembre et mes parents ne s’étaient pas beaucoup creuser la tête pour choisir mon prénom, ils m’avaient appelée tout simplement Florence : la "Sainte" du lendemain. Je savais que si Audrey et Magali organisaient une fête, connaissant leur sens de l’humour, elle serait de taille.

Pour cette soirée d’anniversaire, j’avais invité au restaurant, Audrey et Magali avec leurs compagnons respectifs : Armand et Grégory.
Pour l'occasion, je m'étais habillée sexy, je portais une jupe arrivant à mi-cuisse, un chemisier assez léger qui laissait entrevoir mon soutien-gorge, un ensemble noir string et soutien-gorge en tulle brodé très transparent, des bas autofixants et à mes pieds des escarpins. Comme nous étions fin novembre, j’avais enfilé un manteau. Bien entendu, j’eus droit à une petite crise de jalousie, il trouvait que ma jupe était trop courte et que mon chemisier était bien trop translucide mais avec douceur, patiente et savoir-faire, que si je me faisais belle et séduisante c'était uniquement pour lui, qu'il puisse être fier de sa petite femme, j’étais parvenue à le raisonner.

À la fin du repas, j'avais eu droit à quelques cadeaux de la part de nos invités, mais mes deux amies nous annoncèrent qu'elles avaient prévu une surprise pour mes 25 ans, Magali prit la parole :
— Nous allons à notre ancienne boite fétiche, ton cadeau se trouve là-bas.
— Tu ne vas pas sortir en boite comme ça. Dit Luc d’un ton assez menaçant.

Heureusement, les deux couples étaient venus à mon secours et étaient parvenus tant bien que mal à calmer mon mari. Ce qui ne l’avait pas empêché de faire la gueule, il restait tout seul dans son coin pendant que nous dansions sur la piste. Il n’avait même pas apprécié cette fille superbe, perchée sur l’estrade chauffant tous les mecs de la boite en effectuant son effeuillage. Pourtant assise enlacée à mon mari, je le chauffais par quelques caresses tout en commentant la performance de la fille se dénudant. Mais je n'arrivais pas à le débrider. Après ce show la musique reprit et je retrouvais mes amies sur la piste, tout en essayant du mieux possible de dissuader les éternels dragueurs. Le DJ annonça le show de deux stripteaseurs. Je ne l’avais pas rejoint pendant le spectacle de deux chippendales, curieusement la plupart des filles étaient restées au plus près de la piste de dance servant de scène. Je n’avais d’yeux que pour ces deux types, beaux comme des dieux.
Le premier était un métis du nom de Mike et l’autre, un certain Steve avec un corps magnifique.

Après leur show où j’avais pu admirer le physique avantageux des deux strip-teaseurs, nous étions retournés à notre table, Luc me faisait toujours la tête et ne m’adressait pas la parole. Quelques dizaines de minutes plus tard le DJ annonça :
— Ce soir c'est l'anniversaire de Florence, elle fête ses 25 ans ses amies lui ont offert un strip personnalisé avec Steve et Mike.
— Voilà ta surprise Flo. Me disent Audrey et Magali.
Là mon mec vit rouge, il fit encore plus la gueule et me dit :
— N'y vas pas Flo, on se barre.
— Luc, voyons on s'amuse et un quart de siècle ça se fête ... disent en cœur mes amis.

J'étais dans les bras de mes copines quand le DJ me demanda de le rejoindre sur la scène. Les deux chippendales arrivèrent avec un tabouret, ils me firent asseoir face à la salle et commencèrent à danser autour de moi tout en s’effeuillant. Je ne les quittais pas des yeux, je les regardais avec envie, ma vraie nature ressurgissait. Ils avaient compris, ils étaient loin de penser que mon mari, au fond de la salle, devait me maudire. Steve passa derrière moi, m'attrapant les bras afin de poser mes mains sur ses fesses, il se colla à moi et ondula, je sentais son sexe contre mon dos, tandis que Mike était devant moi, l’énorme bosse qui tendait le lycra de son minuscule string était devant mes yeux, il était monté comme un âne. Il passa ses mains sur mon buste, empauma mes seins puis descendit sur mon ventre pour remonter au milieu de ma poitrine. En un tour de main, il enleva les trois boutons de mon chemisier, l'ouvrant jusqu'au nombril puis en écartant les pans afin d’exposer ma poitrine au public. Sous la fine dentelle, j’étais certaine que tout le monde devait voir mes aréoles et mes tétons surtout ceux qui étaient placés au plus près debout au bar et sur le bord de la piste.

Mike s’écarta, se retourna et fit son show, laissant admirer au public ce que j’avais devant mes yeux quelques secondes plus tôt. Steve se planta devant moi m'écarta délicatement les genoux, ma jupe se retroussa tout en haut de mes cuisses, le gars vient entre mes jambes m'attrapa derrière la tête et vint coller son pubis sur mon visage sa queue frottait contre ma bouche. Lui aussi avait un sexe au-dessus de la moyenne, j’étais de plus en plus excitée, j’avais très envie de l’avaler. En deux temps trois mouvements, avec un jeu de jambes, il se retrouva derrière moi et me dit de passer mes mains autour de ses hanches tout en gardant les cuisses bien ouvertes. Je n'osais même pas imaginer ce que je devais montrer à travers de la transparence de mon string, j’avais adoré ce moment, mon côté exhibitionniste décuplait mon désir, c’était très excitant.

Je fus soulevée comme une plume, je m’étais retrouvée la tête en bas les cuisses entièrement dénudées sur les épaules de Steve, ma chatte contre sa bouche, il me l'embrassa, il devait se rendre compte que j’étais inondée de cyprine. J'avais quant à moi ma bouche contre son sexe, je ne peux faire autrement que d’écarter mes lèvres. Je me retrouvais ensuite dans les bras de Mike à califourchon sur ses jambes. Il actionnait son bassin de haut en bas comme s’il me baisait, je sentais sa grosse queue tamponner ma chatte, pendant que son collègue derrière moi, frottait sa bite contre mes fesses. J’étais prise en sandwich, je fermais les yeux m’imaginant ces deux types me pénétrant pour de vrai, je m’excitais, moi aussi j'ondulais pour mieux les sentir. Steve s’était allongé sur le sol, me prenant sur lui pendant que Mike mima l'accouplement entre mes cuisses ouvertes. C’en était trop, mon désir montait en moi et se traduisit par une nouvelle inondation de mon vagin.

C’était déjà presque fini, Steve et Mike firent la danse de la serviette tout en montrant au public leur string dans leur main. Côte à côte devant moi, m'obstruant la vue de la salle avec leur serviette, je ne pouvais voir que leurs belles queues tendues devant mes yeux. D’un coup de bassin approprié, je me retrouvai avec le gland de Steve à quelques millimètres de mon visage, je n’avais pas hésité un instant, j'ouvris ma bouche, lui faisant comprendre qu’il pouvait glisser sa verge entre mes lèvres. Il ne fit que trois ou quatre allers-retours avant que Mike m’enfonce son membre énorme que je m’étais empressé de sucer et de lécher. Malheureusement, ils refermèrent leur serviette autour de leur taille, me remercièrent en me faisant la bise avant de regagner les coulisses. Je n'avais pas eu le temps de refermer mon chemisier que le DJ était déjà en train de me demander mes impressions, tout en profitant sans gêne de mater ma poitrine.

J’étais comme une qui venait d’ouvrir son cadeau de Noël sous le sapin, j’étais tout sourire lorsque j’étais revenue remercier Audrey et Magali. Cependant, mon mari entra dans une colère noire, Luc m'insulta devant mes amis et les gens des banquettes proches. Il m'attrapa un bras en m’ordonnant de le suivre, il voulait que l'on rentre que j'avais suffisamment fait la pute pour ce soir. Voyant que je n’acceptais pas de quitter la discothèque, il se montra menaçant, heureusement Armand et Grégory essayèrent vainement de le raisonner. S’apercevant que je ne le suivrais pas dans ces conditions, il nous quitta en me disant :
— Allez va te faire troncher par tes deux stripteaseurs.

Cette soirée qui devait être magnifique, était quelque peu plombée, j’avais bien essayé de danser mais le cœur n'y était plus. Mes amis me raccompagnèrent à mon domicile, je les remerciais chaleureusement et montais jusqu'à la porte de notre appartement, mais n'ayant pas pris les clés, j'avais sonné longuement à la porte, mon mari ne m’ayant jamais répondu, j’étais donc repartie. C’était la première fois depuis que je connaissais Luc que je découchai. Il ne m'avait ouvert la porte que le dimanche matin sans m'adresser la parole de toute la journée. Le soir au repas, j'avais essayé d'engager la conversation mais c’était inutile, c'était reparti en live, avec une nouvelle prise de bec, il me traita de tous les noms :
— Tu n’es qu’une salope, une putain. Où as-tu dormi cette nuit, chez une de tes copines ?
— Je te laisse le deviner…

J’avais passé une semaine exécrable, nous nous parlions à peine, j’avais qu’une envie c’était de le reprendre dans mes bras. Le lundi suivant, je reçus un appel téléphonique à 19 heures de la part d’un collègue du boulot me demandant confirmation de ma présence au pot de départ en retraite du chef du service après-ventes :
— Compte sur moi Gilles, je viendrai jeudi soir.

Qu’avais-je dit là, dès que j'eus raccroché, mon mec piqua une nouvelle crise de jalousie, il était persuadé que je le trompais avec ce collègue, nouvelles insultes mais sa violence ne s’arrêtait pas là, je pris deux baffes en plein visage. J’avais du mal à accepter ce geste, c’était la première fois qu’il levait la main sur moi. Malgré son interdiction, je participai au pot de départ et pour lui prouver que je n'étais pas sa "chose", je m'étais habillée encore plus sexy que d’habitude.

Lorsque j’étais rentrée vers 23 heures ce fut un déluge d'insultes et de coups, j'avais pleuré toute la nuit, je ne pouvais plus lui pardonner, c’en était trop. Le matin j'avais fait semblant de me préparer pour aller travailler et dès qu'il quitta l’appartement pour se rendre à son travail, j'avais fait mes bagages, mon frère et Grégory étaient venus m'aider à emporter les quelques affaires et meubles qui m’appartenaient.
Ma décision de quitter mon mari était irrévocable, je ne pouvais tolérer de tels agissements de violence. J’étais allée chez le médecin faire un certificat médical, j’avais porté plainte au commissariat puis j’avais rencontré un avocat qui engagea la procédure juridique. Début janvier le divorce était prononcé tout en maintenant ma plainte. Depuis sa condamnation quelque mois plus tard, je ne l’avais jamais revu, d’après son entourage, il fut muté et avait changé de région. Mais ma vie ne s’arrêta pas là, la chance m’avait souri. Je poursuivrai mon histoire avec d'autres chapitres, rendez-vous dans quelques jours.


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