La Sexualité Compulsive De Florence : Les Sept Camionneurs. (Partie 13/ 15)

Lorsque j'étais rentrée de chez Sylvain, le dimanche soir, j’avais retrouvé mon chéri. Alex était heureux et impatient que je le lui raconte :
— Alors Flo comment c’est passé ton week-end ? Me demanda-t-il en me prenant dans ses bras.

Tout en nous câlinant et en nous déshabillant lentement, je lui narrais les séances BDSM, je ne pouvais rien lui cacher sur le sujet, les zébrures rouges sur mon corps témoignaient d’elles même. Au fur et à mesure de mon récit, je lui confessais être très excitée et mouiller comme ce n'était pas permis, sous les coups de martinet ou de cravache. En écoutant attentivement, je sentais son pieux se raidir, Alex se plaça entre mes cuisses et me servit un délicieux cunnilingus. Il constatait que je prenais un énorme plaisir lorsque Sylvain me baisait ou m'enculait.

Plus je lui décrivais les assauts de mon amant, plus le rythme de son léchage s’élevait suivant son excitation, plus cela entrainait les montés de ma jouissance. Alors que je lui donnais les détails édulcorés de l’après-midi, avec les trois hommes de la cité, auxquels Sylvain m'avait offerte, Alex avec une érection à son apogée, me pénétrait et me prenait suivant la cadence de mon histoire. Je n’avais pas osé tout lui dire, par honte certainement, mais surtout par manque de temps, je ne pouvais plus réfléchir, mon chéri était en train de me faire voir les étoiles. Pourtant j'avais eu ma dose de sexe durant ces deux jours, cela ne m’avait pas empêché de prendre un orgasme phénoménal.

Après une semaine de travail, j’étais heureuse d’aller le retrouver pour le week-end. À cette occasion, Sylvain m'avait demandé de prendre dans mon sac de voyage : des dim-up à fine résille, qu'un string mais très transparent, un bustier en dentelle, un corsage transparent, des jupes courtes dont au moins une très courte, des débardeurs et des sandales à talons. Et pour le trajet, je portais une mini-jupe et un top très léger qui laissait transparaitre la pastille sombre de mes aréoles, un petit blouson par-dessus et des sandales à lanières aux talons aiguilles de presque 10 cm.

j'avais jugé superflu, la plus fine des lingeries.

Sylvain m'attendait impatiemment, nos retrouvailles furent brèves mais d'une intensité indescriptible, une semaine sans me voir, pour lui c’était insupportable. Tellement son excitation était forte, à l’idée de retrouver sa chienne de soumise, lorsque j’étais devant sa maison, je crus qu'il allait me baiser sur le perron. Après nous être rafraîchis d’une boisson non alcoolisée, nous étions allés diner dans un petit restaurant proche des arènes de Nîmes. Il m'avait demandé d'emporter avec moi, les bas-résilles, ma mini-jupe, ras les fesses et le bustier translucide mais cela m'avait surpris quand il rajouta : le string aussi.

A la fin du repas, il me fit aller me changer dans les toilettes, je sortis de table, je pris le petit sac de plage dans lequel se trouvait mes vêtements de rechange, j'allais pour prendre mon blouson posé sur le dossier de la chaise, lorsqu’il me fit non, d’un mouvement de tête. Après m’être changée, de retour à ma place, je traversais la grande salle habillée pratiquement comme une pute. Malgré l’heure avancée de la soirée, il y avait encore de nombreuses personnes attablées, des hommes et des couples pour beaucoup. Avec ma démarche chaloupée, je fus la cible de tous les regards. Le temps que Sylvain règle l'addition au comptoir, avec les yeux des clients toujours posés sur moi, je devinais les propos que devait tenir l'assistance, en me voyant vêtue ainsi.

Arrivés dans la voiture, il me passa mon collier de chienne autour du cou. Puis m’apercevant qu’il prenait l'autoroute direction Marseille, je ne fus pas inquiète mais curieuse, je lui demandai :
— Où allons-nous mon chéri ?
— Tu le sauras bientôt, en attendant avant de me sucer, dis-moi ce que tu es !
— Je suis ta chienne soumise, ta salope, je t'appartiens et je suis ta pute, bien sûr.
— J'aime t'entendre me le dire !

Nous n’avions pas roulé cinq minutes lorsqu’il ralentissait déjà en s'engageant sur une aire de repos.
Il se stationna devant les toilettes où très peu de véhicules étaient garés là. Les seules voitures présentes, semblaient vides de tout occupant, ce n’était pas le cas sur le parking poids lourds, de l’autre côté. De nombreux camions et semi-remorques se trouvaient sur leurs emplacements, il n’était pas encore très tard, certains chauffeurs discutaient entre eux près de leur cabine.

Par mesure de sécurité, Sylvain avait fermé les portières, avait mis les veilleuses et avait tenu que le plafonnier reste allumé. C’était un signe conventionnel de la présence d’une femme s’offrant en spectacle. Il me dit de me pencher sur son entrejambe afin de lui faire une pipe, tout en montrant le maximum de mon intimité. Je m’exhibais à l’intérieur de l’habitacle, Sylvain avait les yeux sur la bretelle d’autoroute s’assurant qu’aucune voiture de police ne vienne sur les lieux, tout en vérifiant la venue des curieux qu’il espérait.

Il n’avait pas fallu attendre longtemps, quelques minutes plus tard, trois types étaient à côté de la voiture, me matant les fesses et la fellation que j’administrais à mon homme. Très vite rejoint par deux autres routiers, les cinq hommes nous regardaient faire, Sylvain ouvrit la vitre côté passager. Dès cet instant, certaines mains au bout des bras tendus, me caressaient, des doigts avaient crocheté mon string afin de s’introduire dans ma chatte qui suintait, j’étais très excitée.

Sylvain ne put résister bien longtemps à mes lèvres, ma langue et ma bouche qui s’activaient autour de sa verge tendue à bloc. Il éjacula et vida tout son sperme, jusqu’à la dernière goutte que je pris un malin plaisir de boire devant tous ces voyeurs. Une fois rhabillé, Sylvain me dit de sortir après avoir retiré mon string. Il m'ordonna de leur dire pourquoi j'étais là et ce que j'étais. Debout devant eux, les bras sur mes hanches, je leur dis d’un ton provocateur :
— Je suis la salope, la chienne, la pute de Monsieur.

— Tu demandes combien ? demanda un d’entre eux.
— Je suis ici pour me faire baiser, mon Maitre ne vous demandera rien, sauf de mettre une capote.

N’étant pas français, deux des routiers traduisaient mes propos aux autres. Sylvain me prit la main et m’entraina à l'arrière des sanitaires dans un petit bosquet où se trouvait une table de piquenique muni de deux bancs, le tout en béton lisse. Dans le silence de la nuit, raisonnait le bruit épars de la faible circulation, mais aussi bien moins distinctement des râles, gémissements, des soupirs et des voix.
— Il y a au moins une autre salope qui se fait baiser, tu ne seras pas la seule. Me dit Sylvain tout en me caressant affectueusement le dos et les fesses.

Nous étions suivis des cinq routiers, bientôt rattrapés par deux autres, ayant deviné de ce qui allait suivre. Je montai sur la table et me mis à m’exhiber dans des postures plus que subjectives, devant les sept routiers chauds comme la braise. Pendant mon numéro, telle une artiste sur une scène de boîte de nuit, leurs mains et leurs doigts n’attendirent pas le feu vert, ils me fouillaient la chatte, me pelotaient les seins et le cul.

L’âge de tous ces routiers allait de vingt-cinq à cinquante-cinq ans, avec des physiques bien différents. Il y avait des grands, des petits, du genre sportif, au bedonnant, en passant par des trapus et des minces. Le plus hardi d’entre eux ayant un accent latin, me tira la jambe et m’attrapa. Je m’étais retrouvée assise sur le banc, devant sa queue que j'essayais d'avaler en entier, il m'agrippa les cheveux et tira ma tête vers lui en avançant son bassin, j’étais déjà en gorge profonde, pendant que j’en branlais deux autres. Comme pour les types d’hommes, il y avait tous les calibres de bites.

Des mains me trituraient les seins et me caressaient les fesses, je mouillais fortement. Je me levai en me penchant en avant présentant mon cul au premier venu en disant :
— Baisez-moi comme une chienne ! Donnez-moi vos bites à sucer et à branler.


Alors que la queue du premier était toujours entre mes lèvres, autour du gland que je suçais, avant de descendre doucement sur la hampe veineuse remplissant ma bouche. J’avais quelques hoquets lorsque j’avalais sa bite jusqu’à la garde. Puis un type que je branlais, étant pressé de prendre ma bouche, tira le bénéficiaire et pris sa place. En même temps, les queues des autres se succédaient dans mes entrailles, certains va et vient étaient brutaux d’autres amples tout en douceur. Tous les types étaient prévenus, ils ne devaient pas cracher dans leur capote mais tous ensemble, à la fin de la séance. Je remontais lentement ma bouche sur la queue suivante, prenais une inspiration et descendais à nouveau jusqu'à la base du pénis suivant.

Le rythme était pris, à tour de rôle, les camionneurs se faisaient masturber puis lécher avant de finir dans ma chatte complétement inondée de cyprine. Une longue verge m'étranglait, j’avais des hauts le cœur, de la bave dégoulinait entre mes lèvres, le type se retira en me disant dans un français approximatif :
— Je vais t’enculer maintenant.
— Vas-y défonce moi le cul, fais-moi jouir !

Le mec était balaise, il me prit par la taille et me coucha sur la table, je ressentis la froideur du béton sur mes seins. Je lui souris, il se pencha sur moi, écarta de ses deux mains, mes fesses. Je sentis sa bite descendre ma fente passant entre mes lèvres, titiller mon clito avec le bout de son gland, je ruisselais. Puis il remonta, trouva ma rondelle étoilée et d'une seule poussée, pénétra en entier me remplissant le rectum. J'avais des papillons dans le ventre. J’astiquais deux bites de mes mains et la tête sur le côté, en aspirait une troisième. Il entama une série de vas et viens amples, j'ondulais pour mieux le ressentir me marteler les chairs, je couinais de bonheur. Des queues se bousculaient devant mon visage, j'en suçais une, puis une autre et encore une suivante, toutes celles qu'on me présentait au fur et à mesure.

Pendant ce temps, Sylvain était aux aguets, il appréhendait la venue des flics mais surveillait en même temps que les routiers respectent bien le port du préservatif, il savait que je tenais à préserver ma santé avant tout. Les autres, qui ne profitaient pas de mon corps entretenaient leur érection en se tenant la bite dans leur main. Leurs regards étaient posés sur les protagonistes baisant à n’en plus finir devant eux. À un certain moment, Luis, le plus hardi, qui avait lancé l’assaut, s’allongea sur l’herbe et dit fortement moitié en espagnol, moitié en français :
— T'aimes ça, te faire péter le fion, salope de pute ! Viens sur moi.

Le type m’enculant se retira de mon anus dans un bruit de succion, sans réfléchir, je m’allongeai sur Luis, lui tournant le dos, sa queue n’eut aucune difficulté à pénétrer ma rondelle déjà très dilatée :
— Allez les gars, je prends son cul, baisez-lui la chatte !

Ce fut le plus vieux, le plus prompt à venir me remplir le vagin. La cadence s’accélérait et devenait plus puissante, je sentais des couilles battre mon clito, j’étais aux anges, tellement absorbée par mon plaisir, j’étais dans l’incapacité de sucer les bites que les autres camionneurs me présentaient devant mon visage. J’obtins l'orgasme fulgurant qui montait en moi depuis un moment, je criai mon plaisir dans la nuit clair et calme, je les avais arrosés de mon jus avant qu’ils ne soient remplacés par deux autres.

Je repris mes esprits, deux routiers me limaient plus amplement d'une façon câline. J'appréciais cela, après cette jouissance puissante qui venait de me dévaster. A chaque pénétration mes soupirs devenaient plus audibles, signe que mon plaisir remontait de mes entrailles et dans un souffle je leur demandai :
— Oh oui, allez-y plus fort ! Démontez-moi ! Oui, comme ça ! Baisez-moi, enculez-moi comme une chienne ! Tapez-moi ! Faites-moi mal ! Je suis qu'une pute, ah oui !

Les deux types m’avaient écouté, ce n’était pas des français, mais ils semblaient toutefois avoir compris. Ils me défonçaient comme je le souhaitais, ma chatte dégoulinait de plus belle, je jouis une nouvelle fois. Je ne mettais même pas rendu compte que deux autres routiers avaient pris place, en me labourant littéralement, ils allaient et venaient brutalement au plus profond de mon ventre, je commençais à m’épuiser.

Deux minutes plus tard, je me retrouvais en levrette, le plus costaud de tous, placé derrière moi, ouvrit mes grandes lèvres à l’aide de deux doigts, posa son gland et l’appuya à l’entrée de ma vulve en s'engouffrant lentement mais sûrement dans ma chatte trempée, j’en gémis de plaisir. Il s’agrippa à mes hanches et entama un va et vient, accompagné par mes gémissements. On me présenta des queues raides, que j'essayais vainement de sucer de mon mieux. Les hommes se bousculaient au portillon, à tour de rôle, pour glisser leur bite dans ma bouche. Les sexes se succédaient une nouvelle fois dans ma chatte sans que pour l'instant un seul ait éjaculé.

Après de longues minutes que je ne pourrais estimer, je me retrouvais allongée sur l’herbe anéantie. Les sept routiers s’étaient positionnés, debout autour de moi, leur bite dans la main. Ils se branlaient tous énergiquement, comme pour savoir qui enverrait la sauce le premier. Je reçus sur moi le jet de sperme initial, puis un autre, le mec venait de décharger à lui seul, une quantité impressionnante de foutre qui me souilla le visage. Suivi d’un autre et d’un autre encore, c’était telle une pluie de sperme qui s’abattait sur moi, leurs couilles étaient vides mais ils insistaient, espérant cracher encore un peu de leur foutre mais s’en était bien fini, ils ne pouvaient plus, j’avais pris ma ration de liqueur d’homme. Des genoux au visage j'étais constellée de grosses taches de sperme, mes bas-résille comme mon bustier en dentelle en était couvert.

Je demandai de quoi m'essuyer, mais n’obtins pas de réponse, sans un remerciement, ils avaient tous rangé leur outil dans leur pantalon, s’éloignant vers leur camion en discutant à haute voix. Ce fut les mots de salope et putain qui revenaient le plus souvent dans leur propos. Ils avaient désormais, tous une bonne histoire à raconter à leurs copains qui ne les croiraient probablement pas. Toujours allongée dans l’herbe, recouverte de ce liquide visqueux sur ma peau et mes vêtements, j’étais pratiquement dans les nuages, lorsqu’une claque atterrie sur mes fesses, je poussai un cri de surprise, plus que de douleur, c’était Sylvain qui attendait :
— Tu es bien la chienne que j’espérais, tu as été formidable.
— Mon maître serait-il satisfait de sa petite salope de chienne ? Me prendra-t-il la chatte et le cul, ce soir en rentrant ?

Dans ce bosquet du parking de l’aire de repos, à l’abri des regards, toujours allongée dans l’herbe, après cette baise infernale avec ces sept camionneurs et cette pluie de sperme sur mon corps, je demandais de quoi m'essuyer. Sylvain me tendant la main pour me relever, me dit :
— Viens allons aux sanitaires.

Pendant le trajet du retour, Sylvain m’interrogea, il était très impatient de connaitre mes ressentis :
— Alors tu as aimé te faire prendre par ces routiers, tu as joui plusieurs fois à ce que j'ai pu voir.
— Oui, j'ai pris beaucoup de plaisir. J'espère que toi aussi tu as aimé regarder ta chienne se faire démonter.
— Bien sûr ! Tu serais prête à recommencer ?
— Oui, mais là ! C'est de toi que j'ai le plus envie, tu es le seul à me faire mourir de plaisir, je ne me lasserai jamais des orgasmes que tu me donnes.
— Et comment ! Je vais te combler ma belle salope. Demain-soir tu veux qu'on retourne sur l'aire d'autoroute, mais celle de l'autre sens de circulation.
— Oui si tu y tiens ! Je te promets d'être encore plus salope. J'aime être ta chienne.

Le lendemain, le samedi soir, toujours habillée en pute, nous avions remis cela. En arrivant sur l'aire de repos, il n’y avait aucune voiture, mais une bonne vingtaine de poids-lourds étaient stationnés. Voyant un groupe de cinq chauffeurs papotant entre deux bahuts, Sylvain refusa l’exhibition dans la voiture comme la veille et me fit sortir de la voiture :
— Va les rejoindre, je te suis.

Vu ma tenue, les explications furent inutiles, surtout lorsque Sylvain leur lança qu'il avait amené sa chienne à baiser. Les camionneurs me firent signe de les suivre jusqu'à un terre-plein engazonné derrière les 38 tonnes. Une haie haute et épaisse masquait la voie rejoignant l'autoroute. Sylvain n’était pas le seul à emmener sa femme se faire prendre par des routiers, sur les trente mètres disponibles, trois salopes se faisaient baiser par un groupe de chauffeurs sous les regards du mari.

Comme la veille, j'avais sucé, branlé et fut prise par tous mes orifices, parfois doublement. Quel bonheur ! j'avais joui cinq à six fois, probablement plus, sous les assauts violents des camionneurs étrangers. Leur français n’était qu’approximatif, mais je comprenais parfaitement leurs paroles proférées à mon encontre, me traitant de chienne, salope ou encore pute et de vide couilles ! Je fus une nouvelle fois recouverte de sperme, j’étais à genoux et avec un regard de garce, je leur demandai :
— C'est bon tout votre foutre sur moi, mais il faudrait que vous me laviez maintenant. Allez pissez-moi dessus !

N’ayant pas compris, ce fut Sylvain qui commença, l'arrosage fut copieux de la tête aux pieds, ils eurent la délicatesse de ne pas viser mes yeux. Je changeai ma position en réalisant le « pont » en appuis sur mes mains et mes pieds, bras tendus, genoux écartés et fléchis, le corps arqué vers les étoiles, ma chatte à l’air libre. Je reçu les nombreux jets sur moi, visant plus particulièrement ma bouche, mes seins et ma vulve, durant trois à quatre bonnes minutes. Direction les sanitaires, je sentais la pisse, je devais rincer mon haut et ma jupe à la grande eau.

Je remis mon bustier en dentelle qui me collait à la peau, il laissait ainsi, une vue imprenable sur ma poitrine pratiquement nue. Je me sentais un peu plus propre et plus présentable, pour rejoindre la maison. Main dans la main, nous traversions la petite route pour prendre notre voiture lorsque deux routiers sortants de nulle part, interpelèrent Sylvain :
— Nous vouloir baiser aussi…Possible ?

J’avais très envie de rentrer, je regardais mon amant en lui faisant non de la tête. Je voyais bien que cela ne gênait pas Sylvain, il se tourna vers moi et avec un signe du menton :
— Tu es ma chienne entièrement dévouée. Alors fais-leur une pipe.

Dans le hall des sanitaires, tour à tour, les deux routiers slovaques avaient baisé ma bouche et afin de ne pas me salir de nouveau, j’avais tout avalé en quelques minutes. Afin de ne pas mouiller ses sièges de voiture, Sylvain dû m'enrouler dans une vieille couverture. En arrivant à la maison, ce fut directement habillée que je filai sous la douche. Cette nuit-là, Sylvain fut très doux avec moi, il ne me pénétra pas mais ses mains surent être magiques sur ma peau, un délicieux plaisir. Ce week-end-là, fut pour moi un festival de bites et une avalanche de sperme, un souvenir inoubliable.

En rentrant, Sylvain se surpassa, durant deux longues heures, jusqu’au petit matin, il joua avec mon corps, me maintenant dans un état d'excitation maximal toujours à la limite de la jouissance mais la retardant le plus possible. Le plaisir était savamment dosé entre douleur et douceur, je l'implorai de faire jouir, dans ma frénésie délirante, lui disant :
— Je ne veux plus te quitter, je veux faire la pute pour toi, je t'aime à en mourir.
L'orgasme arriva enfin, il fut grandiose m'emportant dans mes rêves les plus pervers, me laissant inerte, je m’endormis comme une masse, terrassée par tant de jouissances.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!