La Sexualité Compulsive De Florence : Adultère Avec Un Formateur. (Partie 9/ 15)

Après cette nuit de folie et ma première réelle expérience au candaulisme avec Alex, nous avions très envie de poursuivre dans cette pratique, j’avais réellement pris goût à m’exhiber et à baiser devant mon homme. Dès le vendredi suivant, nous étions retournés à la discothèque mais nous étions rentrés déçus et frustrés, je n’avais pas trouvé le partenaire idéal et à la hauteur de l’événement. Le lendemain, j’avais donc téléphoné à Luca afin qu’il vienne à la maison, Alex avait participé directement pour un savoureux trio. À la suite de cela, Luca était devenu un ami et un bon amant, il revenait plus souvent à la maison.

Il m’arrivait même d’aller chez lui où nous passions la soirée à baiser et je racontais tout à Alex avant de lui faire l’amour. Entre temps, tous les quinze jours, je m’exhibais toujours en me faisant peloter et fouiller devant les danseurs en discothèque avant de me faire baiser à l’extérieur de la boite. Mais chaque expérience n'était pas gage de réussite, pour tout vous dire, sur les huit sorties suivantes, quatre seulement m'avaient vraiment régalée. Malgré leur excitation, tous mes partenaires n’acceptaient pas la présence de mon conjoint, le problème était probablement là et pour remédier à cela, nous avions recours à notre trio favori. Hugo, Julien et Luca, très souvent disponibles et ayant gardé un bon souvenir de nous, ils acceptaient l’invitation et venaient volontiers à la maison.

Ces soirs-là, c’était un vrai feu d’artifice de sperme, avant, pendant et après le repas. Nos trois amis étaient des hommes très résistants munis de pénis très performants, ils ne débandaient pas de la soirée. Il faut dire que mes attouchements, mes provocations, mes fellations, mes positions étaient à l’origine de ces fêtes de l’éjaculation. Je réalisais ainsi, une nouvelle fois mon fantasme, d’être prise par mes trois orifices. Alex bandait très fort lors de la triple pénétration. Pendant plus de trois mois, je n’avais pas vu le temps passé et notre entente avec Alex était au beau fixe.

Si notre relation amoureuse était intense, nos baises après m’être donnée entièrement à mes amants devant ses yeux, étaient quant à elles, torrides.

Ce fut avec Lucas que j'avais eu le plus de relations sexuelles, cependant les congés des uns et des autres durant l'été, nous avaient éloignés et mon amant préféré s'étant trouvé une compagne, ne tenait plus à me rencontrer. Dès septembre, je n’avais pas hésité de passer deux soirées, seule chez Hugo puis chez Julien. Avec Alex, nous sortions une à deux fois par mois, les aventures se ressemblaient toutes, ne voulant pas tomber dans la monotonie, Alex m'avait bien proposé d'aller en club échangiste ou dans un sauna, mais je n'en avais pas très envie, j’avais la crainte qu'il baise une autre fille, car oui ! Si mon homme était partageur, ce n’était pas du tout mon cas !

Étant assistante de direction en relations humaines de l’entreprise, j’étais en charge d’organiser sur plusieurs semaines, la formation de tout notre personnel, aux risques incendie et aux gestes de premiers secours. Certains de nos employés de la gente masculine avaient vraiment un comportement machiste et misogyne, dans leurs réflexions et leurs propos vis-à-vis de nos hôtesses d'accueil ou de notre personnel administratif féminin. Il m’était même arrivé plusieurs fois, lors de mes visites dans certains services, que des mains baladeuses effleuraient mes fesses, pas de façon directe et perverses, mais le geste était là. J’en avais donc alerté le boss afin qu’il organise également, une autre formation sur les risques psycho-sociaux, dont le harcèlement moral ou sexuel. Étant dans l'air du temps et sachant que les conversations dans son entreprise, ne volaient pas bien haut, mon patron avait accepté mon idée.

Ayant reçu toutes les propositions et les devis des divers organismes, mon patron n’avait pas choisi le moins cher mais celui qui proposait également une sensibilisation sur les harcèlements. Début mars 2019, j’avais reçu l’intervenant assurant ces diverses formations, afin de préparer le contenu, le planning des sessions puis la préparation des groupes de travail.
Je devais donc passer pas mal de temps avec ce formateur, c’était un bel homme proche de la quarantaine, charismatique et surtout très attirant. Dès notre première rencontre, ce mec me fait fondre, j'en mouillais ma culotte ! Ce type me fit penser à Nick Nolte en brun, avec une belle carrure, larges épaules, plus de 1.80 m, des yeux bleus, un regard perçant et pénétrant et une voix sensuelle.

Lors de sa première venue, je le présentai à mon patron qui l'écouta brièvement, Sylvain lui proposa de l'inviter à déjeuner, n'étant pas libre mon patron déclina l’invitation et lui dit qu’il ne voyait aucun inconvénient à ce que je le remplace, j’étais folle de joie d’être en tête à tête avec lui. Dans mon bureau, j'avais pour le recevoir, ouvert un bouton supplémentaire à mon chemisier l'ouvrant ainsi jusqu'au bas de la gorge de ma poitrine. Le courant entre nous deux était bien passé, je le trouvais super craquant et terriblement excitant, je me sentais fébrile à ses compliments sur l'organisation des groupes. Je m’aperçus que lui aussi me trouvait à son gout. Je frissonnais au frôlement de sa main à chaque occasion. A midi, nous n’avions pas tout à fait fini la mise en place de la prochaine formation, il m’invita donc à déjeuner :
— Nous pourrons être tranquille pour continuer notre discussion et ce sera l’occasion pour moi de vous remercier de m’avoir choisi.

Durant le repas, je lui avais bien fait sentir qu'il ne me laissait pas insensible, tout naturellement, il m’avait carrément draguée, c’était un beau parleur, j’étais à son écoute et subjuguée par cet homme que je désirais. Sylvain me bouleversait les sens et je savais que quoiqu'il me demande, je le ferais pour le satisfaire. Sur le trottoir à la sortie du restaurant, il passa son bras autour de ma taille, je m’étais retournée et me plaquai contre lui pour souder ma bouche à la sienne, j’avais deviné que cela arriverait mais je ne savais pas quand. Si en arrivant le matin à 10 heures, il m'avait serrée la main et vouvoyée, à 13 heures, il me roulait un patin et me tutoyait.
Finalement quelques minutes plus tard, nous nous étions retrouvés, à coquiner dans sa voiture, au fond d'un terrain vague, en retrait du passage de la route.

Il sut s’occuper de moi, je succombais sous ses caresses et pendant le cunnilingus, j’avais joui appréciant ses doigts et sa bouche. Puis ce fut à mon tour de lui donner du plaisir, il avait aimé ma bouche, mes lèvres, ma langue et ma gorge, je m’étais très appliquée dans cette fellation. Nous avions dû sortir de la voiture, vu l’étroitesse de l’habitacle d’un véhicule commercial à deux places. Entre levier de vitesse et frein à main, il n’était pas facile de baiser convenablement. Si j’avais aimé sa bouche, ses doigts que dire de sa queue, son sexe était en rapport avec son physique, épais et long, pas loin du double décimètre. Et le diable savait s’en servir, il m'avait littéralement fait voir les étoiles, heureusement que j'avais des capotes dans mon sac à main car lui n'en avait pas sur lui.

Sylvain avait une belle allocution, néanmoins, je m’étais aperçu en moins d’une heure que les propos qu’il tenait en baisant étaient tout autres, il fut très grossier à la limite de la perversité et cela m’avait très excité. Je ne m’étais pas e pour répéter les phrases qu'il m'incitait à dire :
— Dis-moi que tu veux devenir ma chienne soumise. Dis-le

Le contact de cet homme dominant, ayant le potentiel d’assouvir mes fantasmes de soumission sexuels, me fit désirer Sylvain de manière très intense. Je n’hésitai pas un instant à lui dire ce qu’il voulait entendre, j’en avais l’intention, ce jeu me plaisait et ça m’excitait d’autant plus, que je rajoutai même, pendant qu’il me fourrait :
— Je vais devenir ta pute ! lui-dis-je

Ma jute coulait de mon vagin, recouvrant sa queue qui me démontait la chatte, je jouissais puissamment :
— Tu es ma salope maintenant ! Me dit-il en me perforant avec force. Prends ça. Tu aimes te faire niquer sale chienne ! Dis-le.

— Oui j’aime ça !!! Reste encore en moi, je jouis. Oh !!! Oui

Juste avant d'éjaculer, il se retira, enleva sa capote, me fit m’agenouiller, sans se soucier de la fragilité de mes bas, présenta sa bite devant ma langue que je tendais, en me disant :
— Ma chienne doit toujours recevoir et avaler mon foutre dans sa bouche.
Cela ne me posait aucun problème, j’aimais ça, j’avais aspiré entièrement son gland pendant qu’il déversait son sperme dans ma bouche.
Sur le trajet du retour au boulot il m'avait complimenté, ses paroles avaient rallumé le feu dans mon ventre, ma soumission était spontanée, il n'eut pas à me forcer afin d’accepter sa domination :
— J’apprécie les femmes qui savent ce qu'elles veulent. Les coquines comme toi doivent se montrer très dociles. Tu aimerais l’être ?
— Oh que oui ! Lui avais-je répondu.

De retour dans nos locaux, nous avions repris là où nous en étions, j’avais hâte de finir notre boulot, je mouillais d’envie depuis plus de d’une heure et demi. Dès qu’il s’était levé avant de prendre congé, je lui avais sauté au cou tout en fermant la porte à clé. Notre baiser était des plus passionnés, nous nous caressions tout en ayant nos bouches soudées l’une à l’autre. Très vite, je m’étais accroupie devant lui le pantalon baissé. Après une savante pipe, dès qu’il fut en pleine érection, il éjecta de sa main les quelques dossiers qui se trouvait sur le bureau, me releva, m’attrapa par la taille et me posa dessus fermement.

Étant en mini-jupe, je me retrouvais les fesses sur la froideur de la plaque de verre, bien au bord du plateau, à hauteur de son sexe tendu. Sylvain se plaça debout entre mes jambes écartées, il attrapa mes chevilles pour les positionner sur ses épaules, il écarta mon string et se ficha en moi d’un seul coup de rein. Cette position favorisait une pénétration profonde, l'effet était visuellement très stimulant pour nous deux et ne nécessitait qu'un déshabillage minimal. Son côté "animal" rendait la situation plus excitante encore.

Après plusieurs minutes à me labourer sans retenue et assez brutalement, en me pinçant fortement la peau de mes hanches, il se retira. En un tour de bras, il me retourna afin que je me retrouve sur le ventre, la joue contre le verre, la croupe bien arrière à l’extérieur du bureau. Il me ramonait le vagin tout en m’insultant, ces coups de reins étaient de plus en plus violents, il me claquait une dernière fois les fesses avant de se retirer, il vint se positionner devant mon visage pour éjaculer dans ma bouche. Il m’avait baisé trop rapidement à mon gout.

Avant de nous séparer, il demanda de nouveau si j'aimerais être dominée et si je voulais être sa soumise. Je répondais oui à tout et même à ce qu'il ne me demandait pas, j'étais tombée sous son charme. Les séances de formation ne débutant que la dernière semaine de mars et finissant début mai, à raison de trois par semaine, j’avais tout le loisir de le revoir.

Cependant nous nous appelions au téléphone et échangions des SMS torrides qui entretenaient le désir. Je lui avais avoué que j'aimais bien les relations sexuelles bestiales, sauvages, et les échanges crus que nous entretenions ou ses exigences vestimentaires pour le lendemain. Il testait déjà ma docilité en me dictant le style de vêtements que je devais porter. Je ne devais pas mettre de sous-vêtement ou seulement un petit string ridiculement transparent, un chemisier ou un haut translucide à transparent sur un soutien-gorge corbeille ou en tulle et dentelle. Le lendemain, je lui envoyais la preuve par selfie.

Nous nous étions retrouvés quatre fois avant le début des formations, dans sa voiture, en me dominant de plus en plus ce qui ne me laissait pas insensible. J'avoue que j'avais aimé me trouver sous son emprise et il s'en était vite aperçu. Durant nos ébats, il me répétait apprécier les femmes très dociles comme moi et qu’il désirait que je devienne sa soumise. Comme je répondais toujours dans l’affirmative, je lui plaisais beaucoup pour cette raison. Lors du dernier rendez-vous, sur le trajet jusqu’à mon domicile, je reçus un message : « J’espère te revoir mais en soumise cette fois. ».

Sa promesse de me faire découvrir d’autres choses et satisfaire mon fantasme de soumission sexuelle, me plaisait beaucoup. Arrivée chez-moi, avant de descendre de la voiture je lui répondis : « Oui ! Merci ! » Notre histoire commençait à s’écrire sérieusement. J’étais décidée à en parler à Alex mon conjoint, cependant, je ne sais pas pourquoi, je n’avais rien dit, alors que je lui avouais tous mes écarts de conduite et il était tout heureux que je lui raconte avant de me prendre immédiatement après et nous faisions l’amour comme de fous. Je vous raconterai comment je suis devenue la chienne soumise à Sylvain, dans quelques jours.


Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

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