La Sexualité Compulsive De Florence : La Formation Incendie (Partie 11/ 15)

Fin avril, l’intervention de Sylvain pour les formations en entreprise, touchait à sa fin, il ne restait qu’une seule séance début mai. La semaine précédente, je devais participer au groupe de formation, composé uniquement de femmes, avec lequel, je m'étais prévue. Malheureusement, ce jour-là, mon patron tenait que j'assiste à une réunion importante avec les vendeurs afin que je puisse prendre les notes. Ce lundi, comme tous les matins, dès mon arrivée au travail, je préparai deux expressos et je me rendis dans le bureau du boss. Nous avions l’habitude de prendre le café ensemble en regardant et en commentant le planning de la journée. À la fin de notre entretien, mon patron me dit :
— Florence, vu que vous n'avez pu suivre la séance à laquelle vous étiez prévue, il est impératif que vous suiviez aujourd’hui la formation risque incendie et gestes de premiers secours.

Je compris que Sylvain avait bien manigancé son coup. La veille, le dimanche soir, avant de me coucher, j’avais reçu un texto de sa part. J’avais adoré ses exigences vestimentaires pour le lendemain, il me demandait de porter un petit blouson, une jupe courte boutonnée sur le devant sur des dim-up noirs et un chemisier très transparent, sur un soutif corbeille en tulle brodé, assortit au petit string entièrement transparent et mes habituels escarpins vernis à talons aiguilles.

Je pensais sincèrement passer à l’as, ce n’était pas le cas, je devais suivre les ordres. Je m’étais donc retrouvée avec huit employés de l'atelier, de surcroit, que des hommes et ce n’étaient absolument pas des lumières, le crème de la crème de l’entreprise, c’était bien ma chance. Je compris très vite pourquoi Sylvain avait tenu à me voir ainsi vêtue. Ma séance de formation ne commençait qu’à 10 heures, Sylvain m’avait demandé de le rejoindre dès que possible, il m’attendait dans la salle de cours où je l’avais rejoint à 9h15.

Ne l’ayant pas vu de tout le week-end, je lui avais sauté au cou dans un baiser passionné.

J’avais très envie de baiser avec lui, il me manquait après quelques baisers et caresses, il me fit m’assoir sur la table, défit tous les boutons de mon corsage et le premier bouton de ma jupe. Il s’agenouilla devant moi, baissa mon string et vint poser sa tête sur mon intimité. J’étais très excitée lorsqu’il me déshabillait, j’étais comme une gamine à chaque fois qu’il me touchait ainsi. De sa langue et de ses lèvres, il dévorait mon clitoris qui sortait de sa cachette, pendant que ses doigts experts, exploraient mon vagin.

Je mouillais copieusement, de son autre main, il me caressait mon sein qui s’était libéré de la fine dentelle de mon soutif, mon téton s’érigeait sous la pression exercée entre son pouce et son index. La tête penchée en arrière, les yeux fermés je ne pensais plus à rien, qu’au bonheur que mon amant me procurait. Ce cunnilingus était tellement magique, que je jouis rapidement en lâchant quelques râles et gémissements. Il se releva en me demandant de m’agenouiller à mon tour, je n’avais qu’une pensée en tête, le faire bander au plus vite afin qu’il me prenne, comme il savait si bien le faire.

Devant lui, sans attendre ses ordres, je débouclai sa ceinture, enlevai la pression et descendit le zip de sa fermeture éclair tout en abaissant son pantalon jusqu’à mi cuisses. La verge de Monsieur n’était pas flasque, mais pas encore tout à fait d’une dureté impressionnante. Je pris son pénis et délicatement, je commençai à descendre et monter ma main sur sa hampe, tout en décalottant son gland rosé. Il ressemblait à s’y méprendre à une belle fraise. Lentement, très lentement, je le masturbais, je continuais tout en passant le bout de mon index sur la goutte qui suintait du méat, ça coulait encore, je persévérais en étalant ce liquide pré séminal sur l’ensemble de son gland, jusqu’à la couronne. Sylvain s’arc boutait, me regardant faire, cette caresse délicieuse lui faisait monter son désir au plus haut point.

Sa respiration s’accéléra subitement, il était en totale érection.
J’étais pressée, mais je ne voulais pas précipiter les choses d’autant plus qu’il me prit la tête en m’imposant le rythme. Il reprit ses esprits, me regarda, me demandant de reprendre en souriant. Je me penchai sur son entrejambe, je pris du bout des lèvres le gland de son phallus et l’enfonçait progressivement, très lentement dans ma bouche. Puis me retirait avant de renouveler l’opération. Sylvain aimait mes fellations, il avait toujours dit : « Tu es née pour faire des pipes, tu es la reine en la matière. » je contractai mes joues en aspirant le bout de sa queue, il s’était arc bouté en arrière en pressant ma tête en essayant de baiser ma bouche au plus profond de ma gorge en disant :
— C’est trop bon ma salope, tu suces de mieux en mieux…

Je sentais la cyprine coulée de mon intimité, je prenais un vrai plaisir à réaliser cette fellation. Cela faisait plusieurs jours que je n’avais pas eu son pénis en bouche. J’enfonçai la hampe petit à petit entre mes lèvres, je sentais, vu la crispation des muscles de Sylvain que celui-ci ne résisterait plus longtemps à cette caresse buccale, il poussa ses mains sur l’arrière de mon crâne et fit quelques va et vient :
— Je te baise la bouche sale chienne, elle est trop bonne.

Ne pouvant répondre la bouche pleine, j’accélérais le mouvement d’avant en arrière, ses 17 cm était entièrement avalé, je ne voulais pas qu’il éjacule ainsi, je voulais qu’il me baise mais je compris que lui ne le désirait pas, il voulait que je reste sur ma faim. En effet, je ressentis le liquide chaud s’épandre par saccades. Je gardai le sperme quelques instant encore au fond de ma gorge puis le laissai s’échapper le long de la colonne de chair avant d’aspirer de nouveau ce liquide poisseux tout en triturant ses bourses pour les vider. Un dernier petit jet de semence ressortit de son gland, je le léchai avec ma langue et l’avalai.

Déjà 9h48, il me dit pendant que je me rhabillais de laisser le bouton de la jupe ouvert et de fermer tous ceux de mon chemisier afin que chacun des stagiaires puissent prendre plaisir à les défaire :
— N’oublie pas, règle 3, tu ne croises pas les jambes et règle 11, ton corps m’appartient.
Fais-en sorte que tous les types de la formation bavent en te regardant faire.

Avant que je sorte, il me conseilla d’arriver quelques minutes en retard afin que les stagiaires puissent tous, me voir arriver et m’installer. Les tables dans la salle étaient disposées en U devant le bureau de l’intervenant, au milieu se trouvait le tapis de sol pour les démonstrations. Quatre hommes étaient répartis à gauche et à droite du formateur, se faisant face. Lorsque je franchis la porte en m’excusant de mon retard, tous les regards s’étaient posés sur moi. Vu ma tenue et ma démarche chaloupée, les huit mecs me dévoraient littéralement des yeux, ils me reluquaient sans aucune pudeur :
— Bonjour Florence, installez-vous face à moi. Me dit Sylvain poliment. Nous pouvons commencer. Reprit-il.

Sans plus attendre, j’appréhendais, j’avais chaud, j’avais retiré mon petit blouson et comme il me l’avait ordonné, j’écartai légèrement mes jambes. Pendant le cours théorique, l’intervenant parlait mais de nombreux regards se tournaient vers mon entrejambe, ils pouvaient tous sans forcer, voir la transparence de mon petit string et la dentelle de mon soutien-gorge dont les seins semblaient vouloir sortir de leurs bonnets à chaque respiration qui s’accélérait sous l’excitation et la gêne. Sylvain expliquait les différents extincteurs et leur utilité par rapport aux différents types de feu, pendant que mes voisins lorgnaient mes cuisses et ma poitrine. À ce moment-là, Charly un de nos contremaitres proche de la retraite s’adressa au formateur, tout en me reluquant mais en fuyant mon regard :
— Le meilleur extincteur pour une femme ayant le feu au cul, c’est une bonne grosse queue. S’esclaffa-t-il en rigolant.

J’étais partie dans un éclat de rire, Charly venait de dire ce que je pensais, j’avais et j’attendais avec impatience que la bite de Sylvain vienne éteindre le feu que j’avais dans mon ventre. Toutes les personnes présentes dans la salle, s’étaient mises à rire aussi et tous en avaient profité pour exprimer leur petite blague cochonne.
C'est sur cette franche rigolade que nous nous séparions pour la pause déjeuner. Je pensais la passer avec mon amant, mais il avait une obligation qu'il ne pouvait rester avec moi, on se retrouvait à 13h30 pour la suite de la formation.

Je pense que le repas avait dû être un petit peu arrosé pour les huit stagiaires. L’ambiance était devenue détendue au moment des cours de pratique. Curieusement à cette séance, comme un fait exprès, Sylvain avait oublié de prendre le mannequin pour effec les simulations :
— Rassurez-vous, vous ne perdrez rien au change, Florence se fera un plaisir d’être notre cobaye.

Bien entendu, je fus mise à contribution, tout d'abord par le formateur voulant faire la démonstration. Devant les huit stagiaires, il me demanda de m’allonger sur le tapis de sol, je me retrouvais étendue sur le dos, les jambes droites, les bras en croix. Sylvain expliqua la démarche puis finit par dire :
— Après avoir prévenu les secours, vous devez vous assurer que la victime respire encore.

Il déboutonna et enleva trois boutons de mon corsage, je me retrouvais avec un décolleté très plongeant, laissant ainsi voir ma poitrine sous mon chemisier transparent et mon soutif corbeille en tulle brodé puis posa délicatement sa joue à l’emplacement de mon cœur. J’entendis Daniel, un agent d’entretien et Pierre, un mécanicien de maintenance, se trouvant proche de moi, dire d’un ton irrespectueux, discrètement mais tout de même audible pour moi :
— Quels nichons elle a, la Florence.
— T’as raison, t’as vu ses beaux nibards ! Elle est bonne hein !

Sylvain entendit mais continua le cours : « Voici la pratique à utiliser sur un sujet inanimé ne ventilant pas. Il mettait en application tous les gestes nécessaires face à une personne inconsciente, tout en expliquant à l’assistance comment faire : Vérification du pouls en posant ses deux sur mon cou et s’il n'y a pas de corps étrangers obstruant la gorge, il me plaça la tête en hyper extension et commença le bouche à bouche tout en posant sa main sur ma cage thoracique. Là encore, ce fut Charly qui ne manquait aucune occasion pour sortir sa blague à deux balles qui fit une nouvelle fois rire tous les stagiaires :
— N’en profitez pas pour mettre la langue Prof ?

Je vous laisse imaginer la situation de ce que j'avais pu montrer aux yeux globuleux des salariés. Ce fut pire encore, lorsque Sylvain poursuivant sa démonstration me releva le genou avant de me mettre en position latérale de sécurité. Ma jupe s’était remontée, il m’avait légèrement écarté les cuisses, laissant voir aux employés de plus près, mon minuscule string transparent. Les deux compères continuèrent leurs remarques sans s’occuper de savoir si je pouvais les entendre et s’exclamèrent :
— Putain la salope ! C’est une pute de se fringuer comme ça.
— Le patron ne doit pas s’ennuyer avec la Florence, je suis sûr qu’il se la tape dans le bureau.
— En plus elle a une bouche à faire des pipes, elle doit aimer, j’en suis certain. Je me la ferais bien !
— Moi aussi, c’est une bombe la Florence.

Je restai ainsi le cobaye pour tous les stagiaires qui ne manquaient de me mater, de nombreuses mains baladeuses s’étaient égarées sur l’ensemble de mon corps. L’agent d’entretien ne s’était pas gêné pour toucher mon sein en défaisant les boutons de mon chemisier, certains autres, avait carrément poser leur main sur un sein pour vérifier l'amplitude de la respiration, le contremaitre avait sorti sa langue pendant l'exercice de bouche à bouche et le mécanicien de maintenance avait posé sa main sur ma fesse au lieu de s’aider de mon genou afin de mettre en position latérale. Tous avaient eu le loisir d'observer ce que le petit triangle de mon string arachnéen laissait au regard. Mais je n’étais pas encore passé, Sylvain demanda aux stagiaires :
— Qui veut servir de mannequin à Florence ?

Comme je l’avais imaginé, toutes les mains s’étaient levées, le formateur avait donc choisi, il prit Jean-Philippe, le géant de 1,90 m et ses 110 kilos dont la bedaine était tout bonnement impressionnante. Il était originaire d’Alsace et son accent faisant rire tout le monde dans l’entreprise, il n’était pas très futé mais c’était un chic type. J’avais tout fait pour l’exciter, c’était à mon tour de m’amuser un peu, tout en satisfaisant Sylvain, il n’attendait que cela. Avant le bouche à bouche, j’avais déboutonné sa chemise tout en effleurant la peau de son torse du bout des doigts, lascivement.

Mes lèvres s’étaient posées sur les siennes sensuellement, je lui faisais de l’effet car en posant ma joue sur sa poitrine pour vérifier sa respiration, son cœur battait la chamaille. Lors de la mise en PLS, je me sentais minuscule à côté de ce colosse, à genoux à ses côtés. Afin de lui relever la jambe, je passai ma main droite sur le dessous de sa cuisse et la gauche à l’intérieur. Il était tellement large, que j’étais pratiquement penchée sur lui, mon avant-bras sur son sexe. Ce qui eut pour effet une belle érection que je sentais à travers le tissu de sa braguette. Pour me relever, je fis exprès de prendre appui de ma main sur son entrejambe :
— Hé tu me fais mal ? Me dit-il, puis il m’avait souri. Ce n’est pas grave, tes mains sont si douces me murmura-t-il avant que je le fasse pivoter sur le côté.

J'ai vu son regard se perdre entre mes cuisses légèrement écartées. Après cette formation, vu le sourire qu’avait eu mon amant pendant toute la séance, étant passé de formateur à Dominant, je compris qu’il avait pris un grand plaisir à m'humilier en se servant de moi comme cobaye aux huit ouvriers. Si au début, j’avais honte et était gênée de le faire devant des employés de mon entreprise, cette situation cocasse m’avait bien émoustillée et j’avais aimé m’exhiber, me faire quelque peu peloter et les regards sans équivoque des types, m’avaient échauffée. À la fin de la séance, mon téléphone sonna, je m'excusai en sortant de la salle et j'entendis Sylvain dire au groupe :
— En tous cas, elle n’a pas froid aux yeux votre collègue, elle ne doit pas être farouche.
— Ça doit être une belle salope la Florence. Lui répondit une fois encore le mécanicien de maintenance.
— Aucun de vous n'a tenté sa chance ? poursuit Sylvain.
— Vous comprenez, c'est quand même l'assistante du patron. Par contre vous avez toutes vos chances Prof avec elle, vous pouvez la baiser, elle vous regardait avec envie tout au long de la démonstration. Surenchérit l’agent d’entretien.

Sylvain était surexcité, il bandait dur depuis un long moment déjà. Lorsqu’il m’avait rejoint dans mon bureau avant de partir, en fin d'après-midi, nous avions passé trente minutes torrides où j’eu enfin ce que je recherchais, il m’avait baisée des deux côtés, j’avais pris un nouvel orgasme qui me mit de bonne humeur pour le restant de la soirée. Sachant que nous nous reverrions plus de la semaine, Sylvain en profita pour me donner rendez-vous :
— Tu viens chez moi vendredi à 19 heures, n’oublie pas. Me dit-il en m’embrassant.

Je vous raconterai dans quelques jours, ce week-end de chienne soumise à Sylvain.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Florence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Pour des raisons d’anonymat, les prénoms des personnages et certains sites ont été volontairement modifiés.

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