Série Insolite. Épisode 25 « Aurélien » : Sabine, La Fille Du Patron Ne Lui Suffit Plus. 4/15

Pendant la semaine passée à faire l’amour avec Aurélien, Claire Bonnet avait compris ce qu’était le sexe et ce qu’il apportait pour l’équilibre psychique d’une femme lorsqu’elle jouissait. Son jeune amant lui avait appris à lâcher prise et ce fut ainsi qu’elle connut vraiment l’orgasme. À 47 ans, il était temps pour elle de refaire sa vie, elle attendait dorénavant un homme qui pourrait lui faire revivre ses moments intimes et jouissifs. Il n’avait pas fallu longtemps à Claire pour comprendre qu’Aurélien était sa bonne étoile, non seulement, il l’avait aidé à se découvrir sexuellement, mais grâce à lui, elle rencontra son patron, Paul Prévost.

Ce matin-là, assise en face de lui dans son bureau, elle avait trouvé cet homme tout à fait charmant et d’une gentillesse hors du commun. D’après Aurélien, son patron vivait seul, il était donc disponible, elle n’en savait pas plus. Si tous les hommes qu’elle rencontrait se montraient hypocrites, prêt à tout pour la séduire, Paul fut au contraire très intentionné, à la limite de la timidité. Elle comprit rapidement qu’il n’était pas un coureur de jupons. Pourtant Paul tomba sous son charme, cette femme avec ses yeux magnifiques, l’avait comme envouté.

Lorsqu’elle était revenue au garage chercher sa voiture enfin réparée, c’était un soir de juillet, à la fermeture, il l’invita dans son bureau et lui offrit une tasse de café. Ils avaient discuté un long moment, le courant passait bien. Elle attendait de lui, qu’il l’invite à sortir mais il n’avait pas osé l’approcher. Ils s’étaient quittés en se serrant la main au grand dam de Claire qui attendait qu’il lui propose un rendez-vous. Cet homme de 56 ans lui plaisait beaucoup, elle sentait qu’il en était de même pour lui, elle ne le laissait pas indifférente, elle se devait de faire quelque chose.

N’étant pas une cliente régulière et ne la connaissant pas avant le dépannage, Paul eut la surprise de voir cette dame régulièrement, il en était heureux et se disait qu’il n’y avait pas de hasard, elle venait pour le rencontrer.

Toutes les semaines, elle venait faire le plein à la station et ne manquait pas de venir le saluer en personne. Ce fut la raison pour laquelle, fin août, il se décida de l’inviter à diner et à sa grande surprise, elle avait accepté immédiatement. Le samedi soir, ils s’étaient donnés rendez-vous place de la Liberté afin de dîner ensemble.

Elle avait choisi une petite robe bleu-ciel, légère assez courte et un corsage blanc où on devinait par transparence, la dentelle bleue de son soutien-gorge. Elle était tout simplement ravissante. Paul était, une nouvelle fois tombé en admiration. Claire trouva son ami très élégant dans son pantalon de toile beige et sa chemisette jaune pâle, ça le changeait de sa combinaison avec laquelle elle l’avait toujours connu. Ils se regardaient, des étoiles dans les yeux, ils étaient tout simplement amoureux.

Pendant le repas, ils s’étaient tenu la main pendant que Claire lui raconta tout de son passé, elle ne lui avait rien caché (hormis son aventure avec Aurélien), contrairement à Paul. S’il lui avait dit qu’il était en instance de divorce et qu’il avait une fille (Sabine), il cacha sa première aventure amoureuse et son ainée (Stéphanie). Par peur qu’elle le prenne pour un homme instable, il avait menti. À la fin du repas, ce fut main dans la main qu’ils regagnèrent la voiture de Paul et devant chez elle, au moment de descendre, elle s’était penchée sur lui et ils s’embrassèrent pour la première fois. Chacun voulait que ce baiser s’éternise, leurs bouches restaient soudées :
— On se revoit la semaine prochaine ? Dit-il en lui tenant la main.
— Paul ! Nous ne sommes plus des gamins, tu ne veux pas monter ?

Ce fut ainsi que quelques minutes plus tard, ils étaient allongés tous les deux, nus dans la chambre à coucher éclairée par une toute petite veilleuse. Les deux amoureux ne cessaient de s’embrasser et se caresser, cela faisait très longtemps que Paul n’avait pas eu une telle érection.
Claire comprit qu’il était temps, elle se positionna à califourchon sur lui et vint s’empaler sur son sexe qui lui pénétrait les entrailles. Elle montait et descendait à un rythme lent qui faisait de lui son esclave, il était prisonnier de ses cuisses qui se crispaient au fur et à mesure de ses mouvements.

Lorsqu’elle entendit ses râles s’accélérer, elle se releva et l’embrassa. Ils n’avaient pas encore joui, ils voulaient prolonger ce moment mémorable. Elle s’était mise à plat dos, il vint entre ses cuisses écartées et la pénétra de nouveau, elle était très mouillée, pendant les va et vient réguliers plein de tendresse, il lui caressait sa poitrine délicatement, en lui massant les seins sans les triturer, le bout de ses doigts passaient sur ses aréoles brunes en contournant les tétons qui se redressaient lentement. Claire fermait les yeux, elle adorait ce massage et la verge tendue de son amant allant et venant, remplissait à merveille son vagin.
— Vient, enfonce-toi bien. Je jouis mon chéri. Ha...Oui... !
Une grande giclée de cyprine sortit de son vagin, elle criait encore lorsqu’elle sentit son sperme coulé sur son ventre : « Oh ! Oui...C’est trop bon... »

En 2000, Paul Prévost était rassuré, le divorce fut prononcé, il avait retrouvé le sourire. Tout en conservant son appartement à Nancy, Claire venait dormir de plus en plus à la maison, tous les deux vivaient épanouis. Sabine passait au garage dès qu’elle en avait l’occasion, elle était amoureuse et relançait régulièrement Aurélien. Lui ne voulait pas sortir avec elle, il la trouvait beaucoup trop jeune, ce qui compliquait bien les choses. Lui n’avait pas besoin d’elle pour prendre du plaisir, il avait toujours autant de conquêtes, notamment certaines clientes, il était devenu accroc des femmes plus mûres.

L’année suivante, Véronique tomba enceinte, ce n’était pas du tout prévu mais c’était arrivé et elle tenait à conserver son . Thomas était aux anges, il allait devenir papa et naturellement proposa à la jeune femme de l’épouser.
Le mariage fut prévu en juin, deux mois après la naissance de la petite Gaëlle. Aurélien fut le témoin de Thomas et Émilie celui de Véro. Lorsque les mariés proposèrent à Aurel que son ex, serait sa cavalière, il refusa catégoriquement :
— Arrêtez de vouloir me caser avec Émilie, je sais qu’elle tient à moi, mais je ne veux plus lui faire croire quoi que soit.
— Tu as quelqu’un à nous proposer comme cavalière ? demanda Véro
— Non ! Vraiment je ne vois pas qui je pourrais amener.
— Pourquoi pas Sabine ? S’avança Thomas qui ne voyait pas de solution.

Ce choix ne l’enchantait pas, mais il aimait bien Sabine et il était sûr qu’elle serait heureuse de se trouver pour tout un mariage avec lui. Ce qui lui permettait surtout d’éviter Émilie. Sabine avait encore changé, elle était splendide, du haut de ses dix-huit ans. Lorsque son ami lui avait proposé d’être sa cavalière, elle était toute heureuse, elle allait profiter d’Aurélien toute une soirée. C’était probablement une chance pour elle pour refaire l’amour avec celui qui l’avait dépucelée. Toutes les tentatives précédentes avaient échoué, Sabine ne voulait pas que cela se reproduise.

Lorsqu’Aurélien l’avait vu ce jour-là, avec son visage d’ange très peu maquillée, dans sa robe courte de soirée à large décolleté sans soutien-gorge, dévoilant ses longues jambes fines, il crut rêver, elle était tout simplement magnifique. Cette jeune femme lui plaisait, c’était indéniable, il s’était toujours refusé de se l’avouer mais aujourd’hui il comprit que Sabine était une femme pour lui. Ils sortaient à peine de la mairie, qu’il la désirait déjà. Dès qu’elle lui prenait le bras ou qu’elle le touchait, il avait envie de lui sauter dessus et de lui faire l’amour.

La cérémonie religieuse étant terminée, il monta Sabine dans sa voiture et n’attendit pas plus d’une minute pour la prendre dans ses bras et l’embrassa passionnément. Sabine ne comprenait pas se revirement de situation mais était tellement heureuse de l’avoir dans ses bras, qu’elle en mouillait le fond de son string.
Elle caressa le sexe d’Aurélien juste après avoir pris place dans la Peugeot. Il avait très envie de la petite lycéenne qui l’avait déjà excité depuis une heure, cette caresse en disait long sur ses intentions.

Elle s’était frottée contre lui tout en lui prenant la main pour la poser sur sa cuisse, elle en profita pour écarter les jambes au maximum en venant au plus près de lui, afin qu’il atteigne son but. Elle savait comment pratiquer dans une voiture, ce n’était pas une débutante. Voyant que Sabine gémissait sous ses doigts pendant qu’elle lui triturait le tissu de son pantalon, il n’avait qu’une envie c’était de s’arrêter :
— Ne prends pas ce parking, allons derrière le garage. Lui dit-elle. En gémissant un peu plus.

Aurélien prit le chemin longeant la station et arriva dans le cimetière de voitures, sur un grand terrain vague appartenant à Paul Prévost et se gara.
— Tu as envie de moi, mon chéri ?
— Bien entendu, t’as vu dans quel état je suis.
— Je t’aime Aurélien.
Elle enleva sa ceinture de sécurité et lui sauta au cou. Ils s’étaient embrassés sensuellement, Sabine n’avait pas attendu pour lui faire une fellation, elle aimait cela. Il faisait très chaud ce jour-là, après cette caresse intimes, voulant être plus à l’aise, elle s’exclama :
— Viens dehors Aurel nous y seront bien mieux.

Ce fut elle qui prit toutes les initiatives, elle était déjà sortie, elle ouvrit la portière arrière et s’allongea sur la banquette laissant ses jambes à l’extérieur. Elle remonta sa robe jusqu’à la taille, pendant que lui descendait son string. Il s’accroupit devant elle et lui fit un cunnilingus comme il aimait faire, très vite elle eut un orgasme, elle lui serrait la tête fortement contre son pubis, elle n’avait pas envie qu’il retire sa langue. Mais son excitation était à son paroxysme, mouillée comme elle l’était, il n’eut aucune difficulté à la pénétrer, elle était prête pour que sa verge aille et vienne dans sa petite chatte trempée de désir.

Il avait les mains sur ses hanches, elle essayait de l’attirer le plus possible, il résistait en retardant au maximum l’explosion. Sabine ne se retenait plus, elle criait sa joie, à chaque fois qu’il était planté au plus profond de son ventre. Aurélien savait y faire, mais il ne pouvait attendre, il sentit venir sa jouissance, il retira son préservatif et éjacula sur son ventre, elle en avait partout, jusqu’à son décolleté, sa robe était souillée.

Arrivée à la salle des fêtes, avant la séance de photos, Émilie et Véronique voyant les tâches sur la robe de Sabine comprirent très vite ce qui venait de se passer. Elles proposèrent à la jeune fille de l’aider à s’en débarrasser mais ce fut avec son ami qu’elle était allée aux toilettes. Aurélien la voyant pratiquement nue, lavant sa robe qu’elle venait de retirer, vint se coller à elle et l’embrassait dans le cou pendant qu’elle frottait sur les tâches. Ne pouvant se retenir, elle étendit sa robe, se pencha devant la vasque, écarta les jambes, laissant ainsi à Aurélien, tout le loisir de la prendre pour la deuxième fois de la soirée.

Cet épisode aux sanitaires, avait bien plu à Sabine, elle avait demandé à son cavalier de renouveler l’expérience, Aurel toujours partant s’en était donné à cœur joie peu avant le dessert. Cette nuit-là, lorsqu’ils étaient rentrés au petit matin, elle avait couché dans le lit de son amant et firent l’amour, avant de s’endormir épuisés jusqu’à midi. Le lendemain, Sabine et Aurélien arrivèrent en retard au repas chez les mariés. En effet, avant de prendre la douche, voyant sa jeune amie nue, Aurélien n’étant jamais rassasié, demanda à Sabine de faire le nécessaire pour que son amoureux retrouve force et vigueur. Ils connurent un nouveau moment de bonheur avant le déjeuner chez leurs amis.

Depuis deux, une grande marque automobile française voulant s’implanter dans cette banlieue recherchait un concessionnaire. La réputation de Paul Prévost n’étant plus à faire, le garage fonctionnant parfaitement et étant idéalement placé, des pourparlers furent engagés. Les seules conditions importantes étaient de créer une salle d’exposition et d’avoir un atelier de carrosserie. Avec les aides financières de la marque, l’importance de la surface du terrain, Paul n’eut aucune difficulté à réaliser les travaux et devenir dépositaire de la marque de véhicules.

Aurélien ayant obtenu son Bac Pro de mécanicien, son patron avait tenu promesse, il embaucha son apprenti. Afin d’augmenter le chiffre d’affaire, il avait transformé et amélioré la station-service avec une station de lavage toute automatique et un atelier de mécanique rapide et légère. En carrosserie, Aurélien recommanda à son patron, son ami Thomas qui avait comme lui son diplôme. Fin juin 2002, les travaux terminés c’était la petite fête pour célébrer l’inauguration.

Après avoir obtenu son bac, Sabine en avait fini avec ses études à Metz, dès septembre elle devait intégrer la Fac à Nancy. Après en avoir discuté pendant une semaine avec Aurélien, le vendredi suivant, elle profita de cette fête au garage, pour annoncer à son père qu’elle aimait son protégé et qu’ils se mettaient en ménage. Paul était tout heureux, sa fille chérie aimait le garçon qu’il considérait comme un fils.

Ayant hérité d’une petite maison d’une vieille tante, inoccupée depuis plus de trois ans et en piteux état, à deux pas de la station, il fit le nécessaire pour prendre en charge le plus gros des travaux et leur confia les finitions qu’ils firent pendant les congés. Dans leur nid d’amour, Sabine et Aurélien passèrent tout l’été à la réfection de leur appartement et à faire l’amour, ils avaient pris du plaisir dans chaque recoin de toutes pièces de la maison y compris le couloir.

Tandis qu’après leur mariage, Véronique et Thomas résidaient toujours dans la commune, ils avaient trouvé un joli petit appartement en HLM. Émilie, ayant perdu sa colocataire, ne pouvant se payer le loyer seule, devait retrouver un appartement. Déçue une nouvelle fois par Aurélien, elle avait quitté définitivement la région après avoir trouvé un emploi de saisonnière.

Ayant perdu sa meilleure amie, Véronique en voulait beaucoup à Sabine, de ce fait, les deux copains ne se voyaient désormais que très peu. Mais cela avait changé car Véro comprit que son homme avait retrouvé du travail grâce à la fille du patron. Toutefois, Thomas et Aurélien se voyaient au travail mais se retrouvaient, comme par le passé en célibataire, dans l’ancien atelier du grand père, tous les vendredi soir où leurs conjointes respectives n’était pas les bienvenues.

Suite à la nouvelle organisation, Aurélien s’occupait du service mécanique rapide et de la station, Paul du service après-vente avec une secrétaire, Claude se chargeait de la grosse mécanique avec un apprenti et Thomas de la carrosserie. Pour les ventes des voitures neuves, il y avait dans le hall d’exposition deux vendeurs de la maison mère. Pendant trois mois, l’histoire d’amour d’Aurélien avec la fille du patron fut sans faille, mais chassez le naturel, il revient au galop. La première incartade du jeune mécano fut avec une femme divorcée, dès le mois octobre.

Cette cliente régulière qu’Aurélien rencontrait à la station très souvent, était venue pour la vidange de sa petite citadine. Carine était le type de femme qu’il affectionnait particulièrement, pulpeuse à souhait avec des formes qui le faisait craquer. Pendant la demi-heure de travaux, elle était restée à côté de lui et n’avait pas arrêter de lui parler en faisant quelques allusions. Il n’y avait aucun doute, Carine le draguait ouvertement.

Au moment du paiement de l’intervention, elle était dans son bureau, assise les jambes écartées lui dévoilant sans pudeur le petit morceau de tissu rouge de sa culotte. Ayant déjà un décolleté suffisamment ouvert, Aurélien avant qu’elle ne quitte son bureau se leva, vint vers elle et lui posa délicatement la main sur son épaule puis la descendit peu à peu :
— Ça te dirait de passer un petit moment avec moi dans l’arrière salle de mon bureau. Lui dit-il en lui malaxant le sein.

Carine était une chaude, sans répondre elle se leva et le suivit. Elle était sortie du garage toute épanouie, heureuse d’avoir trouvé ce qu’elle était venue chercher. Aurélien fut à la hauteur de ses attentes, il était parvenu à la faire jouir en moins de vingt minutes. Mais tout ceci ne s’était pas arrêté là, Sabine qui s’était donné sans compter à son compagnon tout l’été, avait repris ses études et ne pouvait plus contenter son amant sexuellement. Il avait ce besoin de faire plusieurs fois l’amour par jour. Aurélien dut, pour se satisfaire, recommencer comme par le passé, à baiser à droite et à gauche.

Après Carine, la cliente se fut au tour de la jeune fille que Paul avait embauché à la station-service. Agnès, une bonne amie de Sabine était belle et bien faite mais très naïve et quelque peu salope. Dès son embauche au mois de septembre, elle avait des vues sur son chef. Tous les matins à la prise de poste, Agnès venait un peu plus tôt et se faisait baiser dans tous les sens par Aurélien qui s’en donnait à cœur joie.

Il faisait ce qu’il voulait avec elle qui adorait la sodomie, Agnès fut entièrement comblée de ce côté-là. Cela avait duré un mois, mais il savait désormais que s’il avait un besoin urgent, il n’avait qu’à lui demander et il pouvait ainsi se vider les bourses à tout moment. Entretemps, il renouvelait régulièrement avec quelques clientes à la recherche d’un peu de plaisir dans l’adultère. Tout ceci sans que cela gêne la vie sentimentale et sexuelle qu’il vivait avec Sabine qui ne se doutait absolument de rien. Elle-même épuisée par la fougue de son ami, elle était dans l’obligation de lui refuser quelques fois ses demandes.

Fin novembre, un vendeur de voitures neuves, fut remplacer par une vendeuse. La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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