Série Insolite. Épisode 24 « Aurélien » : Il Dépucèle Sabine, La Fille De Son Patron. 3/15

Il y a quelques mois, j’avais commencé à écrire les récits sur la vie sexuelle tumultueuse d’Aurélien. Vous les retrouverez dans la série insolite épisode 8 (son adolescence) et dans la même série épisode 9 sous le prénom de Bertrand (lorsqu’il baisa sa patronne).

En septembre 1997, Aurélien et Thomas son meilleur ami, âgés tous les deux de 18 ans, travaillaient comme apprentis dans deux entreprises différentes. De ce fait, ils ne se voyaient plus que les week-end et quelques fois lors de soirées nocturnes. Si Thomas choisit la carrosserie dans une grosse concession Renault en ville, Aurélien, grâce à son grand père qui connaissait bien le patron d’un petit garage dans de la commune où il habitait, fut embauché comme apprenti mécanicien.

Pendant son apprentissage dans le garage Prévost, il avait eu le loisir de baiser Denise la femme de son patron Paul qui se doutait comme tout le village qu’elle le trompait. Ne sachant pas que son protégé faisait partie de ses nombreux amants, il l’avait même mis en garde afin que le jeune homme ne tombe pas dans les griffes de son épouse. Aurélien appréciait trop son patron pour le faire de nouveau cocu et avait décidé de ne plus toucher Denise qui avait compris la situation.

Néanmoins deux ans plus tard, un nouveau problème surgit, Sabine leur fille, qui depuis son embauche, ne le quittait jamais d’une semelle, lui avoua un mercredi soir, qu’elle était follement amoureuse. Bien entendu, il ne voulait pas coucher avec cette ado, même si celle-ci était très attirante, il ne voulait surtout pas avoir de problème avec Paul, d’autant plus qu’il n’avait qu’à lever le petit doigt pour obtenir ce qu’il voulait avec les femmes de son âge et plus âgées quelques fois. Après avoir gentiment refusé ses avances, la jeune fille pleurait et ça lui fit mal au cœur. Aurélien consola Sabine dans ses bras, il savait que l’amour pouvait être cruel parfois.

En rentrant à la maison, il réfléchissait encore à cette histoire, c’était surprenant, cela faisait plus de trois ans qu’il connaissait Sabine et il ne l’avait pas vu changer.

Au début, c’était encore une , aujourd’hui elle était devenue une très belle femme et en étant très souvent avec elle, il ne l’avait pas vu ainsi. Il la considérait comme une petite sœur, tant il était à l’aise avec elle, il lui apprenait ce qu’il savait sur la mécanique, sur la vie en général, lui racontait même la sienne et en blaguant ensemble sur tous les sujets, même question sexe.

Dorénavant, il devait faire attention à ses propos et à ses gestes afin de ne laisser aucune illusion à sa jeune amie. Sabine fut persévérante, elle ne lâchait rien, elle faisait tout pour le séduire, sans qu’Aurélien tombe dans le piège. Plus les semaines passaient, plus il voyait en Sabine une belle jeune fille, telle qu’il aimait mettre dans son lit. Elle était de plus en plus désirable et s’habillait en conséquence, toujours de plus en plus sexy. Elle était vierge et voulait que ce soit Aurélien qui lui fasse perdre sa virginité, elle l’avait décidé ainsi et rien ne s’y opposerait.

En juin 1999, ça faisait plusieurs mois que le jeune apprenti essayait de s’éloigner de la fille du patron, elle de son côté, venait de moins en moins près de lui car sa mère lui demandait de la remplacer à la station. Les disputes entre Paul et son épouse Denise devenaient courantes au garage et de plus en plus violentes. Ce vendredi après-midi, Paul était parti en intervention de dépannage, Denise était partie en course. Sabine venait de dire à Aurélien que ses parents ne tiendraient plus longtemps ensemble, elle était triste de voir ses parents se déchirer et ne savait pas quoi faire pour les aider.

Paul en passant devant l’écluse à une dizaine de kilomètres du garage, sur une route déserte, vit en contre bas sur un petit parking improvisé, deux voitures stationnées à cet endroit isolé, réservé le plus souvent aux pêcheurs et aux promeneurs. Sur les deux véhicules, il reconnut immédiatement la voiture de sa femme. Il gara son camion le long de la route et descendit à pied le petit chemin.
Dans la Peugeot de Denise, personne ne s’y trouvait. Il s’avança sans faire de bruit vers la voiture immatriculée en Moselle et vit les fesses nues d’une femme qui chevauchait son amant. Il n’y avait aucun doute, sans voir son visage de face, il reconnut tout de suite sa femme. Honteux et très en colère, il ne fit pas scandale en allant frapper à la vitre, il se retourna et reprit le sentier pour monter dans son camion et faire son dépannage.

Aurélien et Thomas organisaient ce soir-là une petite fête entre amis afin de célébrer l’obtention de leur CAP. La fête battait son plein, Thomas s’étant brouillée avec Véronique sa petite amie, se trouva vite une copine pour la remplacer, tandis qu’Aurélien avait le choix entre deux filles rivalisant pour le séduire. Deux autres couples de jeunes fricotaient sur les sièges de la grande salle. Vers 23 heures, il entendit tambouriner à la porte, il lâcha les poitrines de ses deux amies, interrompit ses baisers et se dirigea pour ouvrir.

Sabine en pleur, tomba dans les bras de son ami, il l’emmena dans le petit bureau à l’écart des autres, elle était inconsolable. Il apprit entre deux sanglots que Denise n’était pas retournée au garage ce soir-là et qu’une énorme dispute entre ses parents éclata :
— Mon père a surpris ma mère en train de baiser dans la voiture d’un type à l’écluse. Ils n’arrêtent pas de s’engueuler.

Jalouses, les deux prétendantes étaient venues prendre des nouvelles. Aurélien était vraiment triste d’apprendre cela, surtout pour Sabine. Ayant d’autres chats à fouetter, il leur dit d’attendre que ce n’était pas le moment. Sabine resta de longues minutes dans les bras de son amoureux, elle se sentait bien, même si tous les deux étaient silencieux. Il se leva et d’un ton ferme, il annonça à tous ses amis :
— Pour ce soir, la fête est finie vous pouvez rentrer chez vous.

Ce fut dans un grand calme que chacun d’entre eux s’éclipsèrent sans poser de question, ils connaissaient suffisamment Aurélien, la situation devait être grave pour qu’il agisse ainsi.
Une fois seul avec Sabine, il l’avait prise dans ses bras, l’embrassa passionnément et l’avait entièrement dévêtue. Ce fut avec délicatesse, qu’il lui fit perdre sa virginité. Si Sabine était pucelle en arrivant, ce n’était pas une novice en matière de sexe, trente minutes plus tard, elle lui fit une fellation magistrale et demanda rapidement de recommencer.

Deux heures plus tard, ce fut Paul Prévost qui ouvrit la porte à sa fille, lorsque qu’elle était rentrée accompagnée d’Aurélien :
— Après la mère, tu prends la fille. C’est ça Aurel ? Dit l’ancien à son apprenti.
Sabine voulut intervenir en prenant la parole, son père l’interrompit immédiatement et d’un ton sec :
— Toi ! Monte au lit.

Aurélien était parvenu à convaincre son patron en lui expliquant que Sabine était venue pendant leur dispute et qu’elle était restée à la fête qu’il avait organiser pour célébrer son examen. Le lendemain Paul demanda le divorce, le couple se sépara. Denise et Sabine déménagèrent sur Metz, le divorce fut prononcé en 2000.


Aurélien ne revit pas Sabine durant tout l’été, il avait travaillé comme un fou le mois de juillet avec Paul, pendant que Claude était en congé. Thomas s’était remis avec Véronique qui eut des difficultés à oublier son incartade lors de la fête de célébration des CAP. Pour ce faire pardonner, Thomas lui offrait des vacances en camping à Barcarès. Il avait loué un bungalow pour quatre personnes qu’il partagerait avec leur amie Émilie, l’ancienne petite copine d’Aurélien :

— Tu ne crois pas que nous devrions inviter Aurel ? Depuis deux ans, nous nous sommes un eu éloignés. Ça pourrait donner une chance de réconciliation entre eux deux.
— C’est vrai ! Émilie est seule en ce moment et à encore des sentiments pour lui, par contre, Aurélien change de filles toutes les semaines. Je t’avoue que cela ne m’enchante pas plus que ça. Rétorqua Véro.
— Pourquoi ? Tu t’entendais bien avec lui par le passé, tu l’aimais bien pourtant.


Véro était un peu gênée, depuis qu’elle avait couché avec Aurélien, elle n’avait pu lui refuser ses avances et elle avait refait l’amour avec lui à trois reprises. C’était charnel, elle ne pouvait pas lui dire non, c’était l’homme qui la faisait jouir comme jamais et elle appréhendait qu’il parvienne une nouvelle fois à lui faire perdre la tête :
— Tu sais bien qu’il va encore lui faire du mal, il ne l’aime pas.
— Écoute, je leur ai demandé et ils sont d’accord tous les deux. Après tout, ce n’est pas nos affaires.

La semaine avant son départ en congé, Paul finissait la voiture d’un client qui venait la chercher avant la fermeture du garage, lorsqu’en fin d’après-midi, il reçut un appel d’urgence d’une cliente en panne. Aurélien qui avait désormais le permis PL fut chargé de ce dépannage. Une demi-heure plus tard, arrivé sur place, il vit cette femme ravissante avec des yeux magnifiques. Elle avait environ 45 ans, portait une jupe dévoilant de longues jambes bien galbées et un bustier dont le décolleté, ne cachait à peine ses seins dense et ferme : « au moins du 95C » pensa tout de suite Aurélien qui adorait ce genre de poitrine. Claire était encore bien faite, elle était très sexy et pleine de charme.

Lorsqu’il déchargea le véhicule au garage, il fut surpris de ne pas voir son patron qui avait déjà fermé boutique. Madame Claire Bonnet posa quelques questions sur les réparations et voulait savoir quand pourrait-elle récupérer son bien. Ne pouvant se permettre de lui prêter un véhicule de sa propre initiative, gentiment, Aurélien lui proposa de la raccompagner en attendant le lendemain que Monsieur Prévost fasse le nécessaire. N’ayant pas de véhicule et habitant à plus de 12 kilomètres de là, elle ne refusa pas la proposition du jeune homme, il l’a fit patienter le temps de se préparer et de se changer et l’emmena jusqu’à son appartement en ville à Nancy.

Par courtoisie, Madame Bonnet invita ce jeune homme à boire un verre chez elle, Aurélien était aux anges, il avait l’intention de faire bien plus que de prendre une bière. Et ce fut ainsi qu’Aurélien passa toutes les nuits de la semaine, dans le lit de sa nouvelle conquête. Ils n’étaient ni l’un ni l’autre amoureux, néanmoins Claire fut comblée par son jeune amant. Elle savait que cette aventure ne serait que passagère mais en attendant, cet homme de vingt ans lui avait appris beaucoup de choses et lui avait permis de reprendre confiance en elle. Le samedi matin lorsqu’il avait quitté son appartement pour rejoindre ses amis pour le départ en congé, ils s’étaient embrassés en se disant adieu :
— Tu es une femme formidable Claire, je te souhaite que du bonheur tu le mérites. Je suis sûr que tu vas trouver l’homme de ta vie.
— Merci Aurélien pour tout le bien que tu m’as apporté. Toi aussi, trouve la femme qu’il te faut. J’espère que l’on se reverra.

Aurélien voulant rester indépendant pendant les deux semaines de vacances, voulut prendre sa voiture, ce qui avait contrarié Émilie qui pensait renouer rapidement avec son ancien petit copain. Elle fut contrainte de monter avec Véronique dans l’espace Renault de Thomas. À l’arrivée dans le bungalow, le couple régulier choisit une chambre, il restait donc à définir qui occuperait la seconde.
— Prends là Émilie, tu sais, je vais souvent faire la fête, je dormirai sur la petite banquette sans problème. Proposa Aurélien.
— Arrête de faire l’idiot Aurel, tu peux dormir avec moi. Nous ne sommes pas obligés de faire les fous.

La route avait épuisé tout le monde, après avoir pris ensemble le diner au petit snack du camping, ils s’étaient retrouvés à faire une partie de cartes et à 23 heures, les deux couples se couchèrent et s’endormirent rapidement. Le soleil n’était pas encore levé, lorsqu’Émilie ouvrit les yeux, elle vit Aurélien en slip à plat dos, au-dessus des draps. Elle se retourna, doucement elle se rapprocha de lui, passa son bras sur son ventre et posa sa joue sur son bras. Elle n’arrivait plus à dormir, elle lui caressait les abdominaux passant ses doigts dans la toison de poils doux recouvrant tout son ventre. Ce fut ainsi qu’il ouvrit les yeux :
— Arrête Émilie, tu me fais bander. Murmura Aurélien, ne voulant pas réveiller Véro et Thom.
— Tu sais que je t’aime Aurel, je regrette de t’avoir laisser tomber, je m’en mords les doigts depuis.
Il se tourna vers elle, la prit dans ses bras et lui répondit à l’oreille :
— Tu sais très bien que je ne suis plus amoureux, Émilie. Tu te fais du mal. J’adore baiser avec toi. Ça, je te l’accorde mais je ne suis pas l’homme que tu mérites. Je ne serai jamais fidèle et toi tu es jalouse comme un paon.

Elle le repoussa et vint se mettre à genoux sur lui et l’embrassa. Très câline, elle frottait doucement son bassin sur son sexe en érection, pendant que lui, prit possession de sa poitrine d’une main, l’autre étant posée sur ses fesses. D’un geste prompt, elle défit sa petite chemise de nuit pendant qu’Aurélien retira son boxer. Elle se retourna et se positionna pour un tête-bêche qu’ils affectionnaient tous les deux. Après plusieurs minutes de caresses buccales, ne pouvant plus se retenir, elle le chevaucha et vint s’empaler sur la verge tendue de son amant.

Aurélien avait éjaculé entre les deux seins pendant qu’elle reprenait ses esprits suite à sa jouissance. Après être allé aux toilettes à tour de rôle, ils s’étaient rendormis jusqu’à 10 heures du matin :
— Allez les tourtereaux ! Nous allons à la plage avant qu’il ne fasse trop chaud. Cria Thomas en ouvrant la porte de leur chambre.
Émilie remercia Aurélien, mais fut très vite déçue car celui-ci lui annonça que cette nuit il n’était pas dispo :
— J’ai rencart avec la serveuse du bar, elle doit me faire visiter Perpignan après son service.
— Comment ? Tu as déjà fait une conquête hier soir, au resto ?
— Je te l’ai dit, je suis ici pour m’amuser. T’inquiète, si ce n’est pas un bon coup, j’en trouverai d’autre sur la plage.

Émilie s’était enfin fait une raison, elle n’avait pas vu Aurélien de toutes les vacances, elle avait rencontré un garçon auprès duquel elle put se consoler. Quant à lui, il passa les nuits de la première semaine, avec la petite serveuse et avait visité les quatre tentes du camping qu’occupaient quatre jeunes célibataires voulant profiter de leur congé et faire une cure de sexe. Avec lui, les quatre jeunes femmes après avoir pris leur pied, le renvoyait au petit matin finir sa nuit dans son bungalow.

Entre temps, le dimanche, Thomas devait faire les courses au supermarché, Émilie fut de corvée et alla avec lui, pendant que Véro faisait à manger. Il était dix heures trente du matin, Aurélien finissant sa nuit, se réveilla lorsqu’il entendit la voiture démarrer. Vu l’heure, il essaya de se rendormir. Véro ouvrit la porte de sa chambre, elle était dans un maillot deux pièces plus sexy que jamais :
— Peux-tu te lever Aurel, je suis en panne de gaz, il faudrait que tu changes la bouteille.
— Putain Véro ! Tu es vraiment bandante comme ça.
— Oui ! Je vois ça ! Dit-elle en voyant Aurélien nu sur le lit.

Elle s’excusa et ressortit gênée. Il s’était levé et l’avait suivi, il changea la bouteille de gaz toujours nu comme un ver. Il passa derrière elle, se trouvant devant l’évier et passa ses bras autour d’elle et lui fit une bise dans le cou puis lui mordilla l’oreille :
— T’as pas peur de laisser ton homme seul avec Émilie ?

Véro était bien décidée de ne pas céder, elle ne voulait plus recommencer les mêmes bêtises mais le contact de son sexe en érection contre ses fesses pratiquement nues, l’excita fortement. Elle trouva le courage, se retira de son emprise, se retourna prête à lui refuser et avant qu’elle ne dise quoique ce soit, Aurélien l’avait déjà plaqué contre lui et l’embrassa. Ils passèrent une demi-heure de folie, il avait sodomisé Véro qui adorait qu’il la prenne ainsi, en se promettant mutuellement que ce serait la dernière fois.

De retour de congé le lundi soir, juste avant la fermeture du garage, quelle ne fut pas la surprise pour Aurélien, lorsque Paul, son patron présenta la femme qu’il avait invité au restaurant :
— Claire, je te présente Aurélien. Mais je crois que vous vous connaissez, c’est lui qui était venu te dépanner.

La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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