Série Insolite. Épisode 28 « Aurélien » : Émilie Une Salope Peut En Cacher Une Autre 7/15

En mai 2007, après la livraison des véhicules, Paul Prévost invita au restaurant, Alban Tessier et son ex-femme, les co-gérants de la société de peinture :
— Je vous présente ma femme Claire, ma fille Sabine et vous connaissez déjà mon gendre Aurélien, mon second au garage.
En apprenant que son amant était marié, le visage de Patricia se liquéfia, elle regrettait déjà d’être venue, elle se faisait une joie d’être à ses côtés et ne comprenait pas pourquoi il lui avait caché sa situation matrimoniale. Elle ne se sentait plus capable de poursuivre cette relation, elle ressentait un sentiment de culpabilité, elle avait subi l’adultère de son mari pendant plus de dix ans, elle ne voulait pas briser la vie de Sabine en lui prenant son mari.

Depuis ce jour-là, Aurélien eut à supporter les assauts de Sabine, de nouvelles tensions réapparurent au sein de son couple. Vu le comportement de son mari et de sa voisine de table, elle s’était bien doutée de quelque chose, elle soupçonnait une nouvelle fois Aurélien de la tromper avec cette femme. Tandis que Patricia, après lui avoir fait la tête une bonne semaine, était retournée auprès de lui, elle avait besoin de prendre ce plaisir que lui seul pouvait lui donner. Dorénavant, les choses étaient claires, ils se rencontraient uniquement pour le sexe. Tous les mercredis après-midi, pendant que ses s étaient en sport, Patricia retrouvait Aurélien qui se libéraient une heure. Leurs ébats devenaient de plus en plus sauvages, après soixante minutes de baise intense, ils repartaient tous les deux épuisés.

Le garage Prévost et la concession automobile, avait pris de l’ampleur avec un nouvel agrandissement, le patron savait très bien que s’il en était arrivé là, c’était en très grande partie, grâce au travail et aux sacrifices de son gendre. Aujourd’hui, l’entreprise employait une douzaine de salariés. Paul Prévost s’occupait de toute la mécanique et du service après-vente, sa fille Sabine gérait le service administratif de toute l’entreprise pouvant ainsi avoir un œil sur l’ensemble de la société.

Thomas gérait l’ensemble des réparations de carrosserie, son épouse Véronique tenait toute la station-service, tandis qu’Aurélien avait la gestion des véhicules neufs et d’occasion mais également des contrats d’entreprises.

À 64 ans, Paul travaillait encore beaucoup, un peu trop au gout de sa femme Claire qui le voyait peu. Sa vie privée était secrète dans la mesure où il avait toujours caché sa fille Stéphanie à son épouse, il le regrettait aujourd’hui et ne savait pas comment il pouvait remédier à cela. Professionnellement, il faisait entièrement confiance à son gendre, il ne prenait aucune décision sans lui en parler, c’était plutôt l’inverse, Aurélien avait beaucoup d’idées et parvenait très souvent à convaincre son patron. Cependant qu’arriverait-il si jamais Paul savait que son jeune protégé trompait sa fille ?

Pourtant c’était ce qu’il se passait depuis qu’il était marié, Aurélien ne savait pas ce qu’était la fidélité, même Véronique, la femme de Thomas, son meilleur ami, revenait régulièrement se faire sodomiser, lorsqu’elle était en manque de plaisirs sexuels. Depuis plus d’an et demi, il baisait encore régulièrement Patricia, sans compter les petites aventures passagères sans lendemain qu’il avait à droite et à gauche avec certaines clientes du garage. Pourtant, il ne négligeait pas son épouse, il aimait sa petite princesse Sabine et la comblait amplement, sur ce point-là elle était entièrement satisfaite.

À 29 ans Aurélien mordait la vie à pleines dents, il ne voyait pas de mal à forniquer tant qu’il donnait beaucoup de plaisir, en faisant l’amour à sa femme de 23 ans. Bien entendu, il connaissait la jalousie de Sabine, c’était la raison pour laquelle il se cachait, il aurait préféré tout lui avouer et vivre en couple libre, mais il savait très bien que c’était impossible, sa femme était tellement possessive qu’elle en serait probablement très méchante. Par contre professionnellement, il était très compétent, il secondait Paul dans tous les domaines, il connaissait tout, rien ne lui échappait, pas même le moindre petit conflit entre salariés avec lesquels, il était très respecté.


Un nouveau rebondissement eut lieu en septembre 2007 lorsqu’Émilie Toussaint, le premier amour d’Aurélien, fit son apparition au garage. Ça faisait cinq ans qu’il ne l’avait pas vu, elle avait quitté la région, voyant qu’elle n’avait plus aucune chance de récupérer Aurélien. Ce jour-là, elle s’était précipitée vers lui, ils s’enlacèrent un long moment avant de se faire la bise :
— Tu es magnifique, Émilie tu es encore plus belle qu’avant.
— Toi aussi Aurel, regarde quel bel homme tu es devenu.

Après plusieurs minutes de discussion, il apprit qu’elle était toujours célibataire, qu’elle revenait dans la région pour occuper un emploi de vendeuse de vêtements, dans la galerie marchande de l’hypermarché et qu’elle avait repris l’appartement que ses parents avait mis en location :
— Je vais voir Véro, tu es dispo ce midi ? On mange ensemble ?
— Sabine bosse ici, je ne pourrai malheureusement pas.
— Toujours aussi jalouse ta Sabine, je vois… Retrouve-moi à mon appart, vers 15 heures. Nous pourrons poursuivre notre discussion en privé autour d’une tasse de café.
— Je suppose que ce n’est pas uniquement pour boire un coup.

Sabine avait les yeux partout, voyant son homme discuter longuement avec cette splendide blonde plantureuse et super sexy en minijupe noire et chemisier blanc avec un décolleté plongeant, sortit de son bureau pour s’approcher d’eux. Lorsqu’elle arrivait, Émilie était déjà avec Véro en train de parler de leurs retrouvailles :
— Qui c’est cette beauté que tu dévorais des yeux ?
— Cette jolie femme est Émilie Toussaint mon amour, c’est vrai, elle est vraiment canon. Te souviens-tu d’elle ?
— Que trop ! Ne t’avise pas à l’approcher mon chéri. Même si c’est ton amie et celle de Véro, je lui crève les yeux.

À 15 heures tapante, Émilie ouvrit sa porte à son ami. Lorsqu’elle l’avait fait pénétrer dans son appartement, beaucoup de souvenirs leur étaient remontés dans la tête, tout en lui disant qu’elle était superbe, Aurélien s’approcha d’elle.
Restant immobile dans le petit couloir, il l’attrapa par la taille d’un bras puissant tout en la fixant puis l’embrassa fougueusement. Elle était sur la pointe des pieds, elle avait les bras autour de son cou, il lui attrapa les fesses à pleines mains en poursuivant son baiser. Elle éprouvait les mêmes sensations que par le passé. Les mains d’Aurélien se posèrent sur ses cuisses et remontèrent sous sa jupe. Sous l’excitation, les pointes de ses seins se durcirent et une certaine humidité envahissait son intimité.

Les doigts du garçon se glissèrent dans la raie de ses fesses en passant sous la ficelle de son string. De son autre main, il massait un sein à travers le fin tissu du chemisier puis titillait le téton tendu vers l'avant. Elle aimait ses mains puissantes qui la malaxait et la caressait. Elle n’attendait qu’une chose, qu'il la prenne, son entrejambe était mouillé à souhait, elle passa une main pour caresser le sexe de son compagnon, sa verge était impressionnante en pleine érection. Lui aussi était pressé de la pénétrer.

Il la souleva en passant un bras sous ses jambes et l'autre dans son dos et la déposa sur la table de la cuisine. Elle s’adossa, gardant les jambes ballantes, il déboutonna tous les boutons de son chemisier un à un, laissant apparaitre au fur et à mesure ses deux seins fermes, libres de tout soutien-gorge et retroussa sa jupe entièrement. Il se glissa entre ses cuisses écartées, puis se pencha en mordant un téton, tout en pinçant l'autre. D’une main ferme, il baissa son string le long de ses jambes, avant de le jeter derrière lui, puis passa ses doigts sur sa toison blonde aux poils soyeux.

Il s’agenouilla sur le carrelage, en écartant un peu plus ses jambes pendantes, avant de plonger son visage entre ses cuisses pour aspirer ce qui s'écoulait de sa vulve en feu. Il titilla de sa langue agile son petit bouton rose, exerçant des aspirations plus ou moins fortes, plus ou moins rapides, pendant plusieurs minutes.
Émilie était aux anges, les yeux fermés, gémissant de bonheur, elle sentait monter le plaisir dans son ventre, ses reins se cambraient puis son ventre se creusait, ses hanches ondulaient dans un mouvement de bassin de plus en plus rapidement. L'orgasme se préparait, Aurélien le savait, il accéléra ses mouvements de langue et introduit un puis deux doigts entre ses lèvres intimes, tout en continuant ses caresses buccales.

Les mains posées derrière son crâne, Émilie gémissait de plus en plus, sous ses caresses, elle se cambra et laissa échapper une jouissance incroyablement longue. Il ne lâchait pas son clito et continuait ses vas et viens rapides avec ses doigts. Elle jouissait encore fortement, ses jambes tremblaient toujours dans le vide, pendant plus d’une minute avant qu’il ne retire sa main et se relève en venant lui déposer un baiser sur la bouche, tout en baissant son pantalon, laissant apparaitre son beau et merveilleux sexe bandant, érigé à la verticale.

Aurélien s’approcha de son visage, Émilie ne se fit pas prier pour avaler la puissante verge placée devant sa bouche. Après quelques minutes de fellation, elle saliva copieusement le gland de son partenaire qui vint se placer entre ses cuisses et déposa son pénis contre son sexe encore trempé de jouissance. Il attrapa ses deux seins, les malaxa tout en frottant son pénis turgescent sur sa vulve ouverte. Délaissant les seins, il attrapa ses jambes et les releva. S'aidant d'une main, il aligna sa belle queue avec son vagin et progressivement la pénétra.

Il entreprit un lent va et vient en s'enfonçant un peu plus loin. Émilie recommençait à sécréter beaucoup de cyprine, il accélérait les coups de piston, coulissant dans son ventre, remplissant à la perfection son vagin. Leur respiration s’accélérait, leurs gémissements se faisaient de plus en plus forts. A chaque coup de rein, ses testicules claquaient sur les fesses de la jeune femme et son gland cognait le fond de son utérus. Il continuait ainsi un long moment, il était prêt à éjaculer, elle se cambra lorsqu’elle eut un nouvel orgasme, pendant qu’il se retira dans un bruit de succion.

Il retira son préservatif, posa son pénis sur son bas ventre, tenant sa queue à la main. Son premier jet de sperme arriva jusqu’au menton d’Émilie, puis les seconds sur ses seins et les derniers sur son ventre. Il s’essuya le gland dans les poils pubiens de la jeune femme. Après s’être rhabillés, il but sa tasse de café froid avant de dire :
— C’était super Émilie mais il faut que je file Sabine va reprendre du service. Je t’appelle, j’ai trop envie de toi.
— Moi aussi, mon chéri, avec toi je suis bien, tu m’as beaucoup manqué, je ne veux plus te perdre.

Cette liaison serait dangereuse, Aurélien en était conscient, il devait redoubler de prudence, Sabine savait qu’Émilie était le premier amour de son homme et qu’il fut très triste lorsqu’elle était partie. En effet, lorsqu’Aurélien arriva dans le hall d’exposition de la concession, Sabine était déjà là bien avance :
— Tu peux me dire où étais-tu ?
— Bon dieu ! Tu me surveilles maintenant, j’étais chez un client, ici, je n’ai aucun compte à te rendre.

Comme il avait haussé le ton et ce n’était pas dans ses habitudes, Sabine comprit qu’il ne fallait pas insister, elle baissa pavillon et rejoignit son bureau. Elle avait passé toute l’après-midi à pleurer, le soir à la maison, Aurélien ne lui parlait presque pas. Elle s’était faite toute câline, en s’excusant de son comportement, ils avaient fini par se réconcilier et avait fait l’amour avant de s’endormir épuisés par leur joute amoureuse. Toutefois, elle essayerait de surveiller son mari, elle appréhendait le retour d’Émilie et elle avait raison.

En février 2008, la relation qu’entretenaient Aurélien et Émilie devenait sérieuse. Si au départ, ils baisaient qu’une fois par semaine, le mois suivant c’était passé à deux et après six mois de liaison dangereuse, ils faisaient l’amour tous les jours de la semaine au risque de se faire surprendre, malgré toutes les précautions que prenait le garagiste. Depuis, Aurélien partait tous les jours à 14h30 de la concession et revenait peu avant la prise de poste de sa femme qui arrivait pour 16 heures.

Ce jour-là, Émilie désirant passer un peu plus de temps avec son chéri, voulait lui demander de venir déjeuner avec elle. Ne pouvant pas joindre Aurélien sur son portable, elle avait fait l’erreur de l’appeler à son bureau, malgré les recommandations de son amant. En effet, ce n’était pas la première fois qu’Émilie essayait de le joindre par l’intermédiaire de sa secrétaire. À chaque fois Aurélien lui faisait la remarque car ce n’était vraiment pas prudent. Il n’avait aucune confiance en Carole, sa secrétaire fraichement embauchée.

Finalement, Aurélien était venu plutôt et après le repas, ils firent l’amour comme à leur habitude. Depuis trois mois, après avoir fait chacun les tests VIH, Aurélien ne mettait plus de préservatif lorsqu’il faisait l’amour avec Émilie, elle aimait tant cette douce chaleur couler en elle que dès le départ, elle lui avait demandé de ne pas mettre de capote. Restant méfiant et prudent, il se déversait dans le rectum mais jamais directement dans le vagin. Il préférait éclabousser le corps de sa partenaire de son sperme. Aujourd’hui, il venait de se vider entièrement entre les seins d’Émilie qui gémissait sans retenu son plaisir en prenant un orgasme, lorsque le téléphone du garagiste sonna. C’était Carole sa secrétaire, il ne décrocha pas.

Il était encore tôt, à 15h10, il avait encore le temps de rester un peu. D’autant plus qu’Émilie en voulait encore, elle s’était penchée, sur sa verge afin de lui redonner un peu de vigueur avec sa bouche. Il n’en fallait pas plus à cet étalon pour reprendre des forces, d'un geste habile et puissant, il la retourna, la fit s’agenouiller sur le divan afin qu’elle lui présente sa croupe. Ses avant-bras posés sur le dossier, les fesses relevées et les reins très cambrés, elle s’offrait à lui en levrette.

Il s'agenouilla derrière elle, de ses mains fermes il écarta ses fesses et plaqua sa bouche sur son petit trou. Elle adorait qu’il lui suce et fouille son anus de sa langue. Elle savait ce qu’il voulait et rien qu’à l'idée de se faire sodomiser, son désir se décuplait. Il poursuivait avec sa bouche et se mit à astiquer sa petite chatte à l’aide de deux de ses doigts. C'était tellement génial, qu’elle gémissait de plaisir. Il se redressa et lui planta à nouveau son beau sexe bien dur entre ses lèvres bien ouvertes, puis la pénétra d'un seul coup, bien en profondeur et enfin, la laboura sans retenu, tel un marteau piqueur. Chacun de ses coups de reins la secouait tellement que sa tête se secouait de bas en haut.

Il enfonça doucement son pouce mouillé de cyprine dans sa rondelle étoilée, elle criait son bonheur. Elle était tellement excitée, que l'intérieur de ses cuisses jusqu'aux genoux était trempé par ses sécrétions vaginales. Son pilonnage ne cessait pas, les râles d’Aurélien se mêlaient aux couinements d’Émilie, dont les seins se balançaient et claquaient légèrement l'un contre l'autre à chacun de ses coups de bassins. Son désir montait dans son ventre, elle était bien. Soudain il retira sa queue et la planta dans son anus dilaté par son pouce, il la saisit fermement par les hanches et poussa fortement pour s'immiscer dans son rectum.

Elle ressentit comme une décharge électrique lui parcourant tout le bas ventre, elle ne se retint pas de crier son bonheur. Lui, reprenait son pilonnage comme si de rien n’était. Au fur et à mesure de ses allers et retours puissants dans son conduit anal, elle exécutait des mouvements de bassin contraires aux siens, tant et si bien que son bas ventre claquait contre les fesses de la jeune femme :
— T'es vraiment une belle salope ! Dit Aurélien en lui giflant la croupe à plusieurs reprises.
— Oui. Vas-y plus fort !

À ces mots, Il mit de plus en plus de cœur à l'ouvrage, jusqu'à n'en plus tenir. Il s'arrêta un moment, sa verge enfoncée jusqu’à la garde, son pubis écrasé contre ses fesses. Plusieurs longues secousses agitaient son pénis en elle, il éjaculait dans son rectum. Émilie ne gémissait plus, elle jouissait en criant. Il était couché sur elle, la prenant par les seins et en lui embrassant l'épaule tout en reprenant lentement son va et vient, se vidant entièrement de tout son sperme, son sexe coulissait parfaitement, lubrifié par son éjaculation interne. Ils restèrent comme ça un long moment, ils étaient bien.

Depuis plusieurs semaines, depuis un diner prit chez Véronique et Thomas, où Émilie était invitée. Sabine eut un gros doute sur la fidélité de son mari. Elle n’avait aucune preuve mais était persuadée qu’Émilie couchait avec Aurélien. La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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