Série Insolite. Épisode 29 « Aurélien » : Il Baise La Salope De Secrétaire . 8/15
Connaissant son homme et leur amourette dantan, Sabine savait quil ne pourrait résister aux avances de cette si jolie jeune femme quétait Émilie. Le matin-même, elle avait tiré les vers du nez de la secrétaire de son mari. Elle avait appris quAurélien sabsentait souvent en début daprès-midi et avait rendez-vous cet après-midi avec à une cliente :
Vous avez son nom Carole ? Cest pourquoi ?
Melle Toussaint je crois
Certainement pour la vente dun véhicule doccasion, enfin je pense... Dit-elle essayant de rattr sa gaffe.
Après cette discussion, Carole fut très gênée, elle se doutait bien que son patron devait avoir une liaison avec cette jeune femme. Elle savait quelle venait de faire une grosse bêtise, elle regrettait davoir vendu la mèche à lépouse du patron et ne savait pas comment sen sortir. Si elle ne faisait rien, elle risquait sa place, elle nétait quen CCD dune durée de six mois avant dobtenir un CDI. Sabine voulant surprendre son mari en plein adultère, retourna voir Carole afin que celle-ci ne parle de rien à Monsieur en lui promettant de la soutenir lors de son embauche.
Pourtant pleine de remord, la jeune secrétaire appela son responsable pour le prévenir que sa femme le cherchait, mais en vain, il ne décrochait pas. Sabine avait laissé son fils Axel plus tôt à la nourrice et sétait dirigée directement chez Émilie où elle pensait trouver son mari. À quinze heures, elle montait lescalier menant à lappartement de la maitresse présumée. Le doigt sur la sonnette, elle sapprêtait à appuyer lorsquune idée lui vint à la tête : « Si Émilie ouvrait la porte, elle ne la ferait pas rentrer, elle ne saurait donc pas si son homme était à lintérieur. » Dautant plus quelle navait pas vu la voiture du garage Prévost devant limmeuble.
Machinalement, elle mit la main sur la poignée et lactionna. La porte nétait pas fermée à clé, quelle aubaine. À petits pas, elle pénétra dans lappartement et sans bruit savança dans le couloir.
Estomaquée, Sabine resta muette un instant, elle aurait préféré se tromper, elle ne voulait pas en arriver là, elle regrettait dêtre venue constater ladultère dAurélien. Elle avait trop mal, elle sentait pourtant la colère monter dans sa gorge, elle ne put se retenir de crier :
Tu nes quun fumier, tu le regretteras. Et toi tes quune salope.
Hurla-t-elle avant de tourner les talons et quitter lappartement en claquant lourdement la porte. Le sexe dAurélien ramollit dun seul coup et fut expulsé du conduit étroit dÉmilie. Son sperme abondant coulait le long de ses jambes, elle était toute gluante et son anus encore bien ouvert laissait tomber du sperme sur la moquette :
Putain ! Fait chier ! Comment a-t-elle pu savoir ?
Ce nest pas grave mon chéri, je suis là moi ! Viens membrasser. Dit-elle en le prenant par le cou.
Laisse-moi tu veux, je dois filer.
Aurélien était en colère, il sen voulait davoir été aussi stupide et davoir fait confiance à Émilie. Il aurait dû se douter quelle ferait tout pour compromettre son mariage. Cela depuis la soirée chez Véro où ses allusions étaient sans équivoque et ses appels répétés au garage alors que son portable nétait jamais indisponible, aujourdhui, elle navait pas fermé la porte, cétait le comble. Cen était fini, il ne voulait plus la voir, il était parti de chez elle en lui disant que leur relation était terminée. Il avait hâte de voir Sabine pour quelle lui pardonne ses erreurs.
Malheureusement, son épouse nétait pas retournée au garage ce jour de juin 2008, lui pris par le travail, navait pas eu une seule minute à lui. À 19 heures, il était allé chez lui et fut surpris de voir les armoires vides, tous les vêtements de sa femme et se son fils, avaient disparu.
« Ce nest pas la peine de me chercher, je te quitte. »
Il retourna à la concession et parla longuement de sa mésaventure à son beau-père, Paul Prévost :
Je suis au courant mon garçon, Sabine ma téléphoné. Tu es comme moi à ton âge, nous nétions pas prêts à nous marier.
Paul lui expliqua quà lépoque, il allait se marier à une femme quil aimait plus que tout, ils venaient davoir une merveilleuse petite fille mais par imprudence, elle lavait surpris dans les bras dune autre. Elle était partie et ne lavait jamais revu. Heureusement, il eut la chance de revoir sa première fille régulièrement et depuis il entretenait une relation secrète avec Stéphanie :
Tu sais Aurélien, je te comprends, tu es comme mon fils, cela ne changera rien à notre association. Mais pour lamour de dieu ! Que le cul ne te fasse pas perdre la tête.
Il était près de 20 heures, il retourna à son bureau et saffala dans son fauteuil, mis sa tête dans les mains, les coudes posés sur le sous-main, il était perdu dans ses pensées. Il navait pas envie de rentrer dans une maison vide, il avait besoin quune femme le console et lui fasse lamour, il navait pas lhabitude de se retrouver ainsi, seul en se masturbant. Il téléphona à Patricia, mais celle-ci nayant plus de nouvelle de lui depuis plusieurs semaines sans aucune explication, se fâcha et lui raccrocha pratiquement au nez. Il broyait du noir, il avait envie de sortir pour se détendre.
Carole était prête à partir, lorsquelle le vit aussi triste, toujours installé dans son fauteuil, elle osa se présenter devant lui :
Cest votre femme, cest ça ? Cest de ma faute Monsieur, je men veux terriblement. Dit-elle en pleurnichant.
Non Carole ! Jai écouté votre message mais cétait trop tard. Je vous remercie davoir essayé de me prévenir. Lui répondit-il en se levant et en se dirigeant vers elle.
Il prit sa secrétaire par les épaules et lui fit un baiser sur la joue en la consolant. Depuis son arrivée dans lentreprise, Carole étant célibataire, en pinçait pour son patron. À cet instant, pensant quAurélien la désirait, elle se tourna vers lui, lenserra par la taille en se plaquant contre lui et posa sa tête au creux de son épaule en faisant mine de sangloter un peu plus. Aurélien lui releva la tête en la prenant par le menton :
Ne pleure pas Carole, tu es bien plus belle quand tu souris, ton mascara va couler. Dit-il sans aucune arrière-pensée.
Croyant quil désirait lembrasser, la secrétaire avança son visage et déposa un baiser sur ses lèvres. Il nen avait pas fallu plus pour quun début dérection vienne gêner lentrejambe du garagiste, il pénétra sa langue dans sa bouche que Carole lui offrait. Ce nétait pas le type de femme quil préférait, sa secrétaire était un peu forte, avec une grosse poitrine et de bonnes fesses mais elle avait toutefois un beau visage, un peu trop maquillé. Cependant, elle était tout à fait désirable et était très gentille, avenante et compatissante :
Vous ne devriez pas rester seul ce soir. Voulez manger à la maison, jai préparé une blanquette de veau, voulez-vous la partager avec moi ?
Non seulement Carole était une bonne ménagère et une très bonne cuisinière mais que dire sur le plan sexuel. Elle fut titanesque, malgré son léger surpoids, elle avait une souplesse et une agilité sans pareille. Elle avait littéralement épuisé son amant et navait aucun tabou. Sans être une salope, elle adorait le sexe et se donnait à fond et offrait tous ses orifices afin que son partenaire puisse se satisfaire pleinement et se finir dans sa bouche. Cétait son dessert lui avait-elle dit en avalant son sperme à trois reprises cette nuit-là.
Aurélien nétait pas rentré chez lui de la semaine, il partait au travail directement en sortant de chez Carole et ils rentraient ensemble le soir dans son studio.
Quatre mois plus tard, en octobre 2008 Sabine avait officiellement démissionné de son poste à mi-temps au garage et navait plus donné de ses nouvelles à son mari même si celui-ci sut par son père quelle avait trouvé un nouveau petit copain. Une fois tous les quinze jours, elle laissait Axel chez Thomas et Véronique afin de ne pas avoir à rencontrer Aurélien. Le contrat en CDD de secrétaire de Carole ne fut pas renouvelé, Paul avait dautres intentions.
Il avait parlé à Aurélien lui expliquant que sa fille Stéphanie avait perdu son travail depuis quelle sétait séparée de son mari. Paul voulait lembaucher en la prenant comme secrétaire en remplacement de Carole et de Sabine. Aurélien qui ne voulait plus sencombrer de Carole qui prenait un peu trop ses aises, donna un avis favorable à la rupture du contrat et donna son aval pour lembauche de la fille cachée du patron. Paul Prévost avait prévenu Aurélien :
Ne fais pas de connerie avec elle, Steph nest pas une ingénue, elle aime les hommes.
Non Paul, je vous promets de rester correct, je ne veux plus me faire prendre au piège avec les femmes.
Dis-moi mon garçon, avec mes soixante-cinq balai, je ne bande plus comme avant, que penses-tu du viagra ?
Je nen ai pas besoin, mais il parait que ça marche, faites-vous en prescrire avant que Claire aille voir ailleurs. Dit-il en blaguant.
Arrête tes conneries, je nai pas envie de la perdre. Au fait, je vais au restau dimanche avec elle et Alban Tessier, tu veux venir te joindre à nous ?
Non Patron, jai rencart avec sa femme. Répondit-il en rigolant.
Bon ! Lundi Stéphanie arrive vers 9 heures, je préfère que tu sois là pour la recevoir avec moi.
Malgré ses 65 ans, Paul travaillait encore beaucoup, il était plus souvent dans son garage que dans sa maison à lautre bout de la ville. Il laissait Claire trop seule dans sa grande demeure, la routine et la lassitude étaient son quotidien elle sennuyait. De surcroit, à son âge il avait quelques petits problèmes dérection et ne pouvait plus la satisfaire comme elle laurait souhaité et lui en était désolé. Ayant fait la connaissance du voisin lors de son déménagement, Claire sut que ce monsieur Tessier était artisan peintre, cétait une aubaine pour elle car Paul nayant jamais le temps et nétant pas très bon bricoleur, elle cherchait désespérément quelquun pour rénover lintérieur de la maison. Après plusieurs rendez-vous, le devis que lartisan peintre avait établi, correspondait à leurs attentes.
Alban Tessier était un bon client du garage Prévost, il avait une petite cinquantaine, un homme d1,82 m, tout en muscle, étant divorcé, il vivait seul. Il avait son dépôt et ses bureaux en face de chez eux. Il avait une réputation de coureur de jupons dans le quartier mais cela ne la gêna pas, ce nétait que des rumeurs après tout et cet homme était tout à fait charmant, compétant et beau, ce qui nétait pas pour déplaire à Claire qui avait flashé sur lui dès leur première rencontre.
Cette nuit-là, lorsque Claire se réveilla, elle avait vu le visage de Paul au-dessus de sa tête qui lui disait :
Ce nest rien Claire, tu as dû faire un mauvais rêve.
Cen était pas un mauvais, il était magnifique, elle venait de jouir, les draps étaient tout trempés. Paul ne sen était pas douté, il était quatre heures trente du matin, il avait sommeil mais sa femme excitée comme pas deux, voulait faire lamour. Malgré les attouchements précis de ses mains sur son pénis, à lintérieur de son pyjama, celui-ci resta recroquevillé, impossible de se redresser :
Laisse-moi dormir ma chérie, je suis crevé.
Elle se retourna en colère après lui et frustrée, elle essaya bien de retourner dans son rêve mais elle ny était jamais parvenue. Ce dimanche, ils étaient invités au restaurant par lartisan et néanmoins voisin « Alban ». Narrivant plus à dormir, Claire sétait levée tôt et comme toutes les femmes, elle était curieuse. Se demandant bien pourquoi Paul ne la touchait plus beaucoup, elle prit son portable quil laissait toujours à portée de main, sur la table de nuit. Elle regarda lhistorique, chose quelle ne se permettait jamais de faire. Quelle stupéfaction lorsquelle vit ce message quil navait pas effacé, juste avant de se coucher :
« Moi aussi je taime ma chérie. Je suis impatient dêtre à lundi. Je te fais milles bisous, pleins de tendresse. »
Il ny avait aucun doute, Paul la trompait, elle comprenait mieux pourquoi, il était si distant depuis quelques temps, quil rentrait si tard et sabsentait bien plus que la normale. Elle lut et relut ce message en réfléchissant à ce quelle allait faire. Allait-elle faire une scène, une crise de jalousie ? ou ne rien dire, faire linnocente ? Elle était très déçue et très en colère mais dun autre côté, si elle ne disait rien, cela pouvait lui permettre de prendre sa revanche avec Alban, lhomme qui hantait ses pensées les plus érotiques. Elle venait même den rêver toute la nuit. Serait-ce un rêve prémonitoire ?
Lorsque Paul sétait levé, il vint faire un bisou à Claire puis sinstalla à table prendre son petit déjeuner que sa charmante épouse avait préparé comme à son habitude. Son portable quil avait toujours sur lui, signala par une petite sonnerie quil venait de recevoir un message. Discrètement, il le regarda : « Je serai là lundi de bonne heure. Je taime. Ta Stéphanie chérie. » sans y répondre tout de suite, il posa son smartphone et fit mine de rien :
Qui cest Paul ? Demanda Claire, devant son évier.
Rien ma puce, cest le boulot. Lundi je rentrerai très tard.
Il faudrait penser à prendre enfin ta retraite, nous ne sommes plus ensemble en ce moment. Répondit-elle en quittant la cuisine.
Se croyant seul, Paul tout en confiance envoya son texto : « Moi aussi je taime, ne soit pas en retard lundi. ». Assis à sa place, il effaça les deux messages sans sapercevoir que sa femme les avait lus. En effet, elle se trouvait juste derrière lui, elle baissa la tête et lembrassa sur la joue afin quil nait aucun doute, elle ne fit aucune allusion à son adultère présumé :
Dis-moi, Paul ! Tu réfléchiras à ton départ en retraite, je suis vraiment impatiente que lon puisse se retrouver tous les deux. Tu nas quà vendre ce foutu garage qui te bouffe la vie.
Tu sais très bien que je vais mennuyer, je ne suis pas bricoleur et je nai aucune passion, à part la mécanique. Laisse-moi encore un peu de temps que je trouve un repreneur.
Propose-le à Aurélien, il est doué le petit. Bien ! En attendant, préparons-nous pour le resto, ce midi.
Claire avait mis tous les atouts de son côté, elle se voulait belle, élégante et sexy. Elle portait un chemisier jacquard sur ton de gris, motif en losange, petit col chemise ouvert, patte de boutonnage à petits boutons placés par paires, manches courtes avec revers. Le décolleté et la coupe cintrée mettait en valeur sa silhouette sur le devant. Elle avait choisi une jupe noire, assez courte, des bas autofixants et une paire de talons bottier escarpins à bout ouvert avec zip. Ses talons de dix centimètres, la coupe de sa jupe mettaient en évidence ses mollets fins, ses cuisses galbées et son fessier rebondi. Avec son sac assorti, elle était une splendide petite bourgeoise.
Depuis le contrat de vente de véhicules, les deux hommes se tutoyaient, Paul monopolisait la conversation au sujet des travaux de sa maison. Claire essayait bien de se faire remarquer mais Alban prit par son métier donnait toutes les explications et répondait aux questions de Paul assis en face de lui. La sonnerie reconnaissable du smartphone de son mari retentit, il recevait un nouveau message. Claire se sachant cocue, voulait vraiment profiter de cette occasion pour passer laction. Elle choisit se moment pour aller aux toilettes, elle se leva pour emprunter lallée étroite entre les tables. Voyant une serveuse arriver avec des assiettes dans la main, elle sarrêta au niveau dAlban, lui tournant le dos et se serra contre lui pour laisser passer la jeune fille. Elle appuyait ses fesses contre le bras musclé de son voisin, cet instant fut très agréable mais beaucoup trop court à son goût. Elle posa sa main sur son épaule et sexcusa.
Alban avait ressenti lui aussi ce fessier se frotter contre lui. « Était-ce une avance indirecte ? » se demandait-il. « Oui ! » Il en était persuadé, il avait lhabitude avec ces bourgeoises, ces saintes nitouches quil mettait dans son lit un jour ou lautre. Ne voulant pas faire dimpair, il attendrait le bon moment, il se doutait que cette femme ouvrirait une brèche et quil sy engouffrerait volontiers. Claire lui plaisait, son petit côté coquin ne faisait aucun doute.
À la sortie des toilettes, elle attendait, linstant propice pour revenir. Elle vit quune serveuse revenait dans lallée, elle savança et laissa la jeune femme passer, elle sétait arrêtée derrière Alban en lui posant les deux mains sur son épaule en appuyant légèrement sa poitrine contre le haut de son crâne :
Allez-y mademoiselle, passez.
Merci madame.
Le peintre nétait pas dupe, il comprit les intentions de sa voisine et en était enchanté, une nouvelle conquête nétait pas pour lui déplaire. Il ne tarderait pas. Paul ne parvenait pas à séparer de son portable, il était absorbé par ses SMS, sexcusant auprès de son hôte en disant :
Même le dimanche, il faut que lon me joigne, cest pénible.
Que voulez-vous, le travail avant tout. Et vous Claire, jaurais peut-être besoin de vous.
La suite de lhistoire Mercredi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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