Collection Escorte. De Mère En Fille (3/5)

La vie est drôle, je viens d’apprendre depuis peu que j’avais une grand-mère maternelle qui m’a fait voir des photos de notre vie à Amsterdam.
Mamy m’a appris que maman elle aussi s’était prostituée dans des vitrines par celui qui semblerait être mon père.
Pour arranger les choses, elle a payé des détectives et un homme s’appelant Charles dont j’ai un vague souvenir dans ma petite enfance.
Après avoir transformé la jeune fille insouciante que j’étais en femme du monde avec robe du soir, Alfred son chauffeur fait le tour pour récupérer les filles et se rendre dans un hôtel ou un buffet est organisé afin que les filles soient affectées à leurs clients.
Mamy valide mes choix en rapport de ce que sont ces hommes grâce à des renseignements que Marie l’organisatrice de cette réunion nous ayant embauchés lui a fournis.
Par suite de la défection de Leila, je pensais que Viviane allait s’occuper des deux hommes restants, car ils semblaient de bons copains.
Mamy avait d'autres vues et me proposa de monter avec cet homme un peu bedonnant
3 000 € d’un seul coup, moi qui ai du mal à tirer 10 € à maman pour de l’argent de poche, c’était une aubaine et surtout je voulais voir où étaient mes limites.
Il est vrai que j’ai eu des amants dont j’ai même oublié le nom.
Je me suis approchée de cet homme qui a semblé apprécier ma venue.

- Chère mademoiselle, je suis heureux de faire votre connaissance !
Voulez-vous une coupe de champagne ?
Christian pour vous servir.

J’ai du mal à trouver mes marques, je m’aperçois que réduire la distance entre les filles et les clients est chose difficile.

- Vous êtes gentil, Julie pour vous servir.

Sans être une fille facile, je suis une jeune femme de mon temps mais porter une robe moi qui suis toujours en jean et en basket ai loin d’être facile.

- Pour la coupe de champagne, j’hésite, car chaque fois que j’en ai bu, je suis devenue une véritable chienne en chaleur.


- Serveur une autre bouteille, je veux voir ça.

Il me sert une coupe, sans être vrai, je veux garder mon contrôle pour avoir mon libre arbitre dans cette expérience que ma grand-mère semble vouloir m'imposer.

- Aimez-vous le bleu.
- Vil séducteur, je parie que c’est la couleur de votre chambre.
- Il se pourrait, alors aimez-vous le bleu.
- Si c’est un saphir que vous souhaitez m’offrir, oui j’aime le bleu.

À partir de ce moment cet homme prénommé Christian est venu se coller contre moi.
Sa main a pris mon bras et je sens sa paume caresser mon sein.
Rapidement, je sens la pointe s’ériger.
Je suis ç deux doigts de louer mamy de faire de moi ce qu’elle souhaitait que sa petite fille soit.
Tous autour de nous flirtent plus que de raison, mamy semblant tous surveiller du regard en discutant avec Marie notre hôtesse.
Je vois Wafae lui faire un signe de la tête et quand elle lui fait comprendre qu’elle peut, c’est en embrassant son client qu’ils partent vers les étages.

- Dis, ce que je vois qui tend ton pantalon, c’est bien ce que je crois.
- Tu veux aller la voir, les femmes l’aiment quand je leur présente.
- Vantard, alors ce saphir, tu me le montres.

À ce moment j’étais aussi excité que la première fois où j’avais suivi ce garçon qui m’a dépucelé.
Et dire que j’ignorais même, comment il s’appelait avant de revoir sa photo.
Quand il m’a embrassé dans l’ascenseur, ce client au moins je savais son nom.
Il me tenait par la taille ayant emmené une bouteille qu’il tenait de l’autre.

- Joli saphir, j’aime vraiment ces teintes de bleues.

Avec mes amants, même s’ils ont été peu nombreux, c’est moi qui ai ôté mes affaires.
Surtout mon jean tellement serré que j’étais dans l’obligation de me tortiller pour qu’il me quitte.
Là, cette robe, je comprends pourquoi ma mamy avait voulu que je l’achète et que je la porte.

Un geste et elle s’était retrouvée au sol m’offrant aux pattes de mon client.
Quand cette soirée a eu lieu me propulsant dans le monde de la luxure tarifée, je me souviens que j’étais incapable de prononcer son nom et que pour moi il était le client.

- Salope, tu es nue sous ta robe, tu es une vraie pro, fais-moi voir, comment tu suces.

À partir de ce moment, il m’a été impossible de faire demi-tour.
J’ai plongé sur cette verge qu’il venait de sortir me montrant que c’était la plus petite jamais vue même s’il y en avait eu peu.

- Tu pompes divinement, tu as un corps de rêve et tu as une bouche divine.
Tient, bois un coup, fais-moi voir la chienne que tu m’as promis d’être.

C’est sur sa queue qu’il a versé le champagne une partie arrivant dans ma bouche.
Avec Carla, certains samedis je carburais à la vodka depuis mes 16 ans.
Un peu de champagne, ça me convenait et je gardais mon self-contrôle.
Je me suis levée certaine qu’une pute restait toujours maître du jeu avec son client et c’est en me couchant sur le lit que je l’avais invité en moi.
J’ai rapidement compris que le jeu allait se terminer trop rapidement.
Il avait posé la bouteille sur la table de nuit.
Je l’avais récupéré et c’est en le faisant sortir de ma chatte que je lui ai fait boire une ou deux gorgées.

- Allez hue, avance dada.
Julie vient, on va faire courir, ces messieurs, ils adorent ça.

Wafae venait d’entrer par la porte de communication entre les chambres assises nues à cheval sur son dada.
Elle se sert de sa cravate qu’elle lui a attachée dans sa bouche pour le guider et elle a une cravache à la main avec laquelle elle lui frappe les fesses.
Le type semble aimer jouer le jeu.

- Un tour d’échauffement pour que vous découvriez le parcourt et on part sur trois tours.

C’était incroyable de voir ces messieurs rivaliser au passage de la porte à l’aller et au retour.

J’aurais été commentateur de course de chevaux, j’aurais commenté cette course.
« La brune en tête, suivi ç une encablure par…»
La seule chose que je peux dire, c’est que j’ai chuté deux fois ce qui a arrêté la course, le cheval de Wafae étant venu me sucer la chatte.
En vieux briscard de ce genre de soirée, alors que j’étais sur le dos elle a changé de monture en faisant une fellation à celui qui s’était présenté en s’appelant Christian.
Plus tard dans la nuit, j’ai entendu les mots, « encule-moi ».
Au matin, je me suis retrouvée dans les bras de Wafae, j’avais baisé toute la nuit moi avec ma chatte, elle avec son cul.
Je me doutais qu’il y avait anguille sous roche avec Wafae, mais j’étais fière d’avoir prouvé à mamy que j’étais dans la droite ligne des femmes de notre famille.
Une famille de putes.

- Allez les filles debout, on part dans une demi-heure.

Nous avions retrouvé notre chauffeur et faisant le chemin inverse qu’à l’aller.
Avenue Victor-Hugo, je me suis écroulée sur le lit dans la chambre où je m’étais préparé sans savoir que j’allais faire ma première soirée d’escorte même si ça avait été pour rendre service à mamy.
Je me suis levée et j’ai rejoint la salle où il y avait les photos.
Je voulais regarder à tête reposé toutes les étapes de ma vie photographiée par personne interposée pour mamy de maman et de moi.
Avoir une photo de son dépuceleur, ça peut servir dans le futur quand j’aurais une fille me demandant comment et avec qui j’avais fait le premier pas dans ma vie de femme.
Une photo de ma mère de celui que je viens d’apprendre qu’il était mon père même si c’était un parfait salopard .

- Tu regardes mes photos, viens dans mon bureau je vais montrer certaines choses.

Je l’avais suivi dans son bureau.
Elle était la même qu’hier droite et fière.
Elle a fait venir Angèle qui nous a servi notre petit déjeuner café croissant chaud pour moi et thé pour elle.


- Je voulais m’excuser pour le petit stratagème de cette nuit.
Leila va bien, mais je voulais voir si tu étais capable d’assumer ma succession.
Je voulais que tu comprennes par où les filles passent afin de satisfaire un client.
C’est pour ça que je t’ai tenu mon discours sur les femmes et les hommes.
On peut croire qu’il y a d’un côté les femmes honnêtes et de l’autre les putes.
Tu peux ajouter les salopes qui baisent à tout va pour le plaisir de baiser.
Tu as vendu ton corps à un homme cette nuit.
Si tu deviens une femme mariée, ce sera à un mari que tu vendras ton corps qui te servira à lui faire des mômes que tu devras torcher.
Mes filles sont libres, tu as vu qu’aucune d’elles ne rechignait à faire ce qu’elle fond pour du pognon.
Tu m’as montré que tu étais digne de me succéder.
Regarde ce classeur, il y a exactement à ce jour 39 photos et fiches de qui elles sont et ce qu’elles aiment et accepte comme escorte.

Je l’avais ouvert et je l’avais feuilleté rapidement.
Je m’étais attardée sur quelques fiches.
Wafae.

- Je vois que tu regardes la fiche de Wafae.
Quand elle est arrivée en France, elle était sans papier.
Elle fuyait une famille tyrannique où les femmes doivent se taire.
Elle a eu son titre de séjour et a voulu travailler avec moi.
La seule condition qu’elle a mise c’était de rester vierge en cas où elle rencontrerait l’homme de sa vie.
C’est pour ça que sur sa fiche j’ai noté que seule la sodomie et sa bouche sont accessibles par ses clients.

Mamy ce matin-là m’a expliqué rapidement son organisation et ce que chaque fille acceptait.

- Ce S veut dire sado Julie, ces filles aiment se faire fouetter.

Je comprends pourquoi Wafae avait une cravache, elle aimait flageller ses clients, mais qu’eux aussi le fassent sur elle.
J’ai quitté mamy, il fallait que je rentre, car il fallait que maman comprenne mon changement physique ayant laissé mon jean dans la chambre de l’avenue Victor-Hugo entraînait des changements dans mes études.

- C’est bien Julie, revient vite, j’ai beaucoup de choses à t’apprendre et le temps est précieux…

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