Collection Escorte. De Mère En Fille (5/5)

11 500 € en une nuit.
10 000 pour être une pute pour une nuit et 1 500 de pourboire net d’impôt pour avoir satisfait le client qui avait emprunté mon sexe pour la nuit.
C’est ce que j’ai gagné en une soirée chez cet homme qui malgré toute ma patience s’est épanché avant que je puisse faire quoi que ce soit.
Sur le coup j’ai eu l’impression de voler mon argent, mais quand il a ouvert une boîte et en a sorti ces 1 500 € de pourboire, je me suis satisfaite qu’il soit satisfait.

- Bonjour ma chérie, veux-tu te reposer avant de continuer à apprendre ton travail ?
- Mamy, mon client a rapidement déchargé et nous avons dormi une partie de la nuit comme si nous étions un couple légitime.
- Ça arrive quelquefois, des hommes font venir des escortes simplement pour se promener à leur bras en les emmenant dans les restaurants les plus huppés de la capitale.
Va chez Ducasse, parle-lui de moi, il te dira les ardoises que j’ai fait laisser à des clients avec lesquelles j’ai simplement mangé.
Fiche suivante princesse.
- Léonora.
Mamy, quel âge à cette femme.
L’âge de ma fille, c’était une copine de lycée.
Mia a suivi son fumier de mari à Amsterdam.
Léonora a rejoint mes filles.
Elle a trois s du même père qui ignore toujours que sa femme se prostitue.
Sa passion, ce sont les belles voitures, il change de modèle tous les ans, sans se rendre compte du coup que ça représente et comment sa femme gagne son argent.
- Le salopard, es-tu sûr qu’il ignore vraiment ce que sa femme fait.
- Je m’en fiche du moment, qu’il la laisse aller à ses rendez-vous, la vie privée de mes filles je m’en contrefiche.
- Julietta.
30 ans, célibataire.
- Julietta, c’est une bonne baiseuse.
- Tous les clients en sont satisfaits, mais toi tu vas devoir prendre du poids sur elle.
Elle s’est persuadée qu’elle reprendrait mon affaire un jour.
Elle ignore que j’ai une fille et une petite fille.


Tu vas la rencontrer au Fouquet’s dans un salon privé à midi.
Je suis sûr que tu sauras rapidement dompter cette tigresse.

Le téléphone a sonné, les clients semblaient être nombreux à vouloir s’encanailler.
À 11 heures, vingt filles seront au turbin ce soir.
Vingt filles qui feront tourner la boutique, je comprends pourquoi mamy habite ou elle habite et dans un tel luxe.

- Tu vois Julie, je savais que ça tournerait aujourd’hui.
Il y a un congrès de dentiste à la Défense et ces messieurs ont économisé pour cette soirée sans que leur femme le sache.
- C’est Marie qui laisse traîner des bristols de notre agence dans chaque chambre.

À l’heure dite, Alfred me déposait devant le Fouquet’s.
Un majordome m’a conduit dans un salon où la jeune femme qui s’y trouve est aussi belle en plus âgée, comme il se doit.

- Julietta, je suis Julie, la petite fille de Sonia.
- J’ai appris qu’elle avait une famille et qu’elle allait passer son entreprise à sa petite fille.
- Et ça t’a étonné toi qui briguais sa succession.
- Je me suis assez donné pour avoir ce droit.

Quand nous avons cette conversation, elle était assise et moi debout à ses côtés.
Elle a un magnifique casque blond.
J’ai souvent fait le coup de poing au collège quand j’ai commencé à avoir des poils à ma chatte.
Je l’ai saisie par ses cheveux que j’ai tirés en arrière.

- Julietta, une affaire comme celle de mamy, il faut savoir la tenir de main de maître.
Je sens malgré ma jeunesse, que je saurais très bien m’en sortir si une emmerdeuse comme toi évite de me mettre des bâtons dans les pattes.
Ce soir tu veux bosser.
- Oui, Julie, j’en ai besoin.

Mamy avait raison quand elle m’a dit que sa pute était du genre dépensière et pleurait souvent les clients pour se remettre à flot.
Je me suis assise en fasse d’elle satisfaite qu’elle comprenne le message que je venais de lui passer.

J’ai fait commencer à servir le repas.
Je voulais qu’une nouvelle fois cette fille sache que la future patronne s’était moi.

- Lève-toi et enlève ta culotte.

Contre toute attente, elle l’a fait, elle était épilée.

- Remets-toi à table.

Elle le fait et rapidement j’ai gardé mon avantage.
J’ai enlevé mon talon haut à semelle rouge, j’ai tendu ma jambe.
On aurait dit qu’ils avaient calculé la longueur de la table pour que mes orteils caressent sa fente.
Je sentais son clitoris sensible, car chaque fois que mon pouce le caressait j’ai senti que, rapidement elle a mouillé.
Elle serait les lèvres, je suis sûr qu’elle voulait garder son self contrôle pour éviter de me céder.
Le plaisir est sournois quand il démarre et s’est en comprimant sa poitrine qu’elle a émis un râle.

- Lève-toi et vient jusqu’à moi.
As-tu déjà sucé une chatte !
- Oui, avec les autres filles avec des clients.

Je voulais sa soumission totale, j’ai soulevé ma jupe lui montrant mon carré pubien.

- Suce.

Elle s’est agenouillée m’a saisi par les cuisses et sa langue est venue caresser mon clito.
Contrairement à elle, accepter de jouir devant moi ressemblait à une faiblesse.
Pour moi jouir devant elle assoyait sa soumission.
Nous avons fini notre repas jusqu’au moment de nous séparer.

- Tient, voilà à quelle heure et l’hôtel ou tes clients t’attendent.
Ils seront trois, amuse-toi bien, tout est réglé.
Si tu as un problème d’argent, je suis prête à te faire un prêt.
Mais…
- Je te serais redevable, je suis contente de travailler pour toi.

Elle a tout compris même si dans l’avenir, je devrais me méfier d’elle.

En quelques jours, j’ai la plupart des affaires en main.
Mamy est de plus en plus taciturne.
Je lui ai narré ma rencontre avec Julietta.

- Je vois que mon choix était le bon.

Mais un conseil méfie-toi quand même.

Dans les jours qui ont suivi, j’ai continué à rencontrer les filles.

- Mamy, Paola, je vois qu’elle habite Bordeaux !
- Oui, elle est institutrice, le ministère de l’Éducation l’a nommé là-bas, alors qu’elle travaillait dans le 93.
C’est la première de nos filles qui travaille en province, je voulais développer notre agence dans ce sens, mais la maladie m’a rattrapée.
- Je te promets de développer cette branche de nos activités.

Le lendemain, mamy m’apprend à gérer sa comptabilité.
Je fais, les feuilles de payent de nos filles.
Sans dévoiler les gains de chacune, certaines dont Leila et Julietta sans oublier Wafae sont celles qui gagnent le plus, nous faisant gagner un maximum.
C’est là en faisant celle d’Alfred que je me rends compte qu’il s’appelle en réalité Gilles.
Angèle elle aussi est bien payée.
Quand on voit, son travail et sa loyauté je sais que de ce côté-là, les choses resteront en l’état.
Quand je regarde le chiffre final, certes, avant impôts, la prostitution grâce à Internet à de beaux jours devant-elle.

Ce matin, je me lève, Angèle sort de la chambre de mamy, à son faciès, je comprends qu’un malheur vient d’arriver.
C’est devant le crématorium que je retrouve maman.
Aujourd’hui, le chiffre d’affaires sera nul.
J’ai demandé à la société qui gère notre site de le fermer pour faire quelques modifications que je sens utile.
Genre, il faut que les clients donnent leur avis afin d’attirer d’autres clients.
Il est possible aux filles de nous joindre pour travailler avec nous.
Je coupe le portable pour 24 heures.
C’est aussi par respect pour ma grand-mère.
Mon amie Carla est là, elle me réconforte.
Je lui demande de me rejoindre avenue Victor-Hugo pour gérer notre affaire.

Quelques jours plus tard, Alfred nous conduit à une soirée partouze organisée par Marie qui bien sûr était là à la crémation de mamy Sonia.


Dans la voiture, Wafae, Léonora, Julietta et surtout deux autres filles.
Carla, qui comme moi fait sa première ce soir et une nommée Mia, maman elle a décidé à me rembourser le prix de sa boutique.
La boucle est faite, de mère en fille, nous sommes programmés pour être des filles de joie au service de nos clients.

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