Caroline

Caroline, tout juste la quarantaine, est une belle blonde élancée avec un corps athlétique, directrice régionale pour une grande entreprise dans une ville de province, elle est aussi la mère de deux filles de 18 et 21 ans. Après des années en couple, elle a divorcé quand elle a découvert que son mari la trompait à la moindre occasion.
En cinq ans de célibat, elle a eu peu d’occasions de renouer une relation sentimentale ou physique. Son travail étant très prenant et ses filles lui laissant peu de temps libre jusqu’à présent, heureusement, ses amies étaient là et la sortaient de temps en temps pour lui changer les idées.
Quand vendredi après-midi elle a reçu un appel de Sophie qui lui proposait d’aller boire un verre, elle ne réfléchit pas longtemps pour accepter. Sophie c’était sa grande copine, tout son contraire, une petite brune un peu délurée avec le verbe haut qui aimait faire la fête jusqu’au bout de la nuit.
De retour à la maison, Caroline cherchait une petite tenue décontractée pour la soirée. Quelque chose de sympa et simple mais pas trop strict ni trop déluré, pas facile de se décider. En prenant du classique elle allait s’attirer les moqueries de Sophie et si c’était un peu sexy, elle n’allait pas se sentir trop à l’aise. Compliqué de trouver la tenue dans laquelle elle se sentirait à l’aise mais qui lui permettrait aussi de ne pas apparaitre trop classique aux yeux de Sophie.
Après deux heures d’essayage, le choix était presque fait, ce sera une petite robe légère qui lui arrive mi-cuisse, restait le problème du soutien-gorge. En mettre un, serait un peu disgracieux car on le verrait beaucoup avec cette robe mais ne pas en mettre ferait danser sa belle poitrine ronde à chacun de ses pas. L’heure avançait très vite, trop vite, plus le temps de réfléchir trop, Caroline allait jouer la sécurité, le soutien-gorge allait rester tout simplement en place, elle trouvait déjà sa petite robe assez osée pour la soirée.



Arrivée à la terrasse du bar, Caroline retrouva Sophie qui était accompagnée d’une amie, Maéva. Belle rousse avec un regard perçant et surtout une magnifique chevelure bouclée qui lui donnait du chien.
A peine assise avec ses amies, Caroline se fit apostropher par Sophie.

- T’es incroyable, Caro, tu trouves une robe sympa qui te va bien et tu rajoutes un soutif qui gâche tout ! On dirait une fille qui sort de la campagne.

Caroline était gênée, elle jeta un regard à Maeva et vit que cette dernière acquiesçait en étouffant un sourire.

- Les toilettes sont là-bas, va l’enlever, ne me fais pas honte, s’il te plait ! Allez …

Sans un mot, Caroline se rendit aux toilettes, retira son soutien-gorge et l’enfouit dans son sac à main.
En revenant à la table de ses amies, elle avait bien senti la différence, ses seins ballotant librement au grès de ses pas.

- Ben voilà, c’est mieux quand même, ça fait moins cruche et je suis sûre qu’avec tes tétons qui pointent tu vas attirer l’œil de ses messieurs.

Caroline rougit, le frottement de ses seins avec le tissu avait fait durcir ses tétons qui pointaient bien sous la petite robe. Sophie avait parlé assez fort pour que les tables à côté puissent l’entendre et les regards masculins se sont tout naturellement posés sur sa poitrine.

- Je suis sûre que tu peux avoir son 06 si tu veux…. Lui glissa à l’oreille Sophie.
- T’es conne…. Lui répondit Caroline en jetant quand même un petit regard intéressé à un voisin de table.

La soirée continua plus tranquillement pour Caroline, après cette entrée en matière un peu brusque pour elle, les discussions du reste de la soirée tournèrent autour de sujets qu’elle maitrisait mieux, boulot, s, loisirs, décoration, seul le sujet du couple et des relations intimes étaient source d’embarras, sa vie amoureuse n’étant pas très active à la suite de son divorce.
Minuit et demi, l’ambiance était détendue, Caroline se laissait bercer par cette douce nuit de fin d’été, les 3 verres avaient fini de lui faire oublier les soucis du boulot, elle était bien avec ses copines.


- Bon allez, on ne va pas se quitter comme cela, on va en boite et tu viens avec nous Caro !

Cette injonction de Sophie sortit Caroline de sa douce torpeur, elle songea à refuser un instant mais Sophie ne lui en laissa l’occasion.

- Allez bouge, on y va, ça va te changer un peu.

Sophie se leva, suivie par Maéva. En se levant à son tour, Caroline sentit à nouveau sa poitrine bouger librement sous sa robe.

- Attendez les filles, il faut que je passe chez moi me changer…

Caroline n’avait pas fini sa phrase que Sophie refuse net.

- Non tu es très bien comme cela, arrêt de vouloir te changer à chaque fois pour un rien allez on se bouge.

Caroline suivit un peu contrariée, elle se dit qu’elle allait remettre au moins son soutien-gorge dans la voiture pour plus de confort.

- On prend ma voiture Caroline, je vous amène.

Sophie pris le volant, Caroline monta à l’avant, Maéva derrière.
Remettre son soutien-gorge en roulant sous les lumières de la ville gênait Caroline, elle le ferait plus simplement et plus discrètement dans les toilettes de la boite.

Arrivée sur le parking, Sophie se gara.

- Donnez-moi vos sacs les filles, je les mets dans le coffre, c’est plus sûr.

Maéva donna le sien à Sophie, Caroline interdite restait un peu sans réaction.

- Allez donne ! Quelle gourdasse tu fais quand même.

Caroline ne résista pas, son sac fila dans le coffre qui se referma dans un bruit qui sonna le glas de son espoir de remettre son soutien-gorge.
Sophie prit ses deux copines par la main et se dirigea vers l’entrée. Entrée gratuite pour les filles jusqu’à 1h du matin, à 5 mn près, elles auraient dû payer.

La boite était déjà bien pleine, Caroline n’était plus allée en boite depuis plusieurs années, elle aimait cela aller danser mais quand on est divorcée, ce n’est plus pareil.

- Sophie, il faudrait que je retourne à la voiture, j’ai oublié de prendre ma carte bleue….


Sophie rigolait à la remarque de son amie.

- T’inquiète Caro, on va se faire payer des coups à boire sans soucis. Je ne paie jamais en boite. Viens….

Et Sophie l’entraina sur la piste de danse.

A chaque mouvement Caroline sentait ses seins qui bougeait sous sa robe, inquiète, elle regardait à droite et à gauche, mais personne ne semblait se soucier d’elle.
Maéva avait disparu, où était-elle, seule Sophie était juste à côté mais un peu collée par deux gars. Ils lui souriaient, elle leurs souriait. Caroline regardait le jeu de séduction de sa copine, ces corps qui se frôlaient, ces yeux qui se cherchaient, ces mains qui se touchaient…. Sophie s’éclatait sur la musique.
Rapidement un des gars se fit plus pressant avec Sophie, elle avait fait son choix. Sophie prit Caroline dans ses bras, l’embrassa dans le cou et retourna danser avec son cavalier sans oublier un petit sourire coquin pour son amie.

Par ce geste, elle avait ouvert la voie à son deuxième cavalier, désignant sa future proie par ce baiser dans le cou. Caroline se sentait un peu perdue et trahie par sa copine, qui disparut dans la foule avec son cavalier, la laissant seule au milieu de la foule avec celui qu’elle n’avait pas choisi.
Longtemps qu’elle n’avait pas dansé de la sorte, longtemps qu’elle n’avait pas senti le désir d’un homme si fort sur elle, longtemps qu’elle n’avait pas été frôlée par des mains d’un homme… Caroline était partagée par un début d’excitation et une certaine retenue qu’elle avait depuis longtemps. Son cavalier ne se gênait plus pour la coller ou la prendre par la taille, doucement, elle se laissait apprivoiser doucement.

- On va se poser et boire un verre, Yanis est parti chercher une bouteille.

Sophie avait sorti Caroline de sa bulle, son cavalier avait disparu, mais pas celui de Caroline. Sophie fendit la foule et se dirigea vers un coin canapé table libre, Caroline lui emboita le pas, suivi de près par son cavalier.
Le temps de quitter la piste de danse, les mains de ce dernier s’étaient posées sur elle pour l’accompagner.
Sophie se posa dans un coin un peu sombre à l’écart, Caroline s’assit dans le canapé en face, son cavalier se mit juste à côté.

- Comment tu t’appelles ?
- Caroline
- Moi c’est Paolo.

L’arrivée de Yanis interrompu le début de conversation entre les deux. Il posa une bouteille de vodka sur la table, servit les 4 verres et proposa de trinquer.
Sophie et les deux gars vidèrent cul sec leur verre mais la moitié était déjà beaucoup pour Caroline.

- Allez cul sec ma grande, ne me fais pas honte !

A contre cœur, Caroline reprit son verre et le finit d’un trait. L’alcool lui brulait la gorge, les 3 verres au bar et celui-ci ça commençait à faire beaucoup pour elle, qui ne buvait pas trop d’alcool.
Yanis remit une tournée mais Caroline ne toucha pas son verre alors que les autres le vidèrent aussi tôt.
Difficile avec le bruit d’avoir une conversation à quatre, rapidement, Sophie ne discutait plus qu’avec Yanis et Caroline avec Paolo. Au fur et à mesure, Caroline voyait bien que Sophie et Yanis se rapprochaient doucement, mais de son côté, elle faisait de son mieux pour ne pas laisser la voie libre à Paolo qui devenait de plus en plus insistant.
Paolo resserrait son étreinte, pour se dégager un peu, Caroline se pencha pour récupérer son verre. Un regard vers son amie la fit basculer, Sophie était assise sur les genoux de Yanis, le couple s’embrassait avec ferveur. La main droite de Yanis avait disparu sous le chemisier de la jeune femme, jouant avec son sein à même la peau.

Ce petit moment à observer son amie mit à mal les défenses de Caroline, Paolo en profita pour l’embrasser dans le cou, sa main caressait doucement sa cuisse nue. On ne vit qu’une fois ! Caroline vida d’un trait le verre de vodka et le reposa. L’alcool lui tournait un peu la tête mais les assauts affectifs de Paolo commençaient à la chauffer. Trop longtemps qu’elle n’avait pas connu un tel moment, sa raison disait non mais tout son corps réclamait le contraire.
Paolo se colla complètement, elle succomba et sa bouche s’ouvrit pour accepter ce baiser fougueux. Les bouches se séparèrent, Paolo la regarda en souriant, il sentait qu’elle avait enfin abdiqué, c’est elle qui revint chercher sa bouche pour un baiser. Entre chaque baiser, Paolo regardait sa proie, elle était à lui. A chaque baiser, Caroline sentait cette main qui remontait sur sa cuisse, elle ne cherchait plus à l’empêcher au contraire, elle l’attendait. Sentir ces doigts d’homme massant l’entrée de son sexe à travers sa culotte humide l’excitait énormément. Elle devenait impatiente de la suite. En la regardant, Paolo passa un doigt passa sous l’élastique de la culotte, pas de réaction, puis un deuxième, toujours rien, avec le troisième doigt il fit glisser l’élastique sur le côté. Les deux se fixaient du regard, un doigt pénétra le sexe trempé de la jeune femme, Caroline ferma les yeux et sa bouche lâcha un soupir.
Elle s’abandonnait à ce doigt qui coulissait dans sa fente d’amour détrempée. Un deuxième doigt puis rapidement un troisième accompagnèrent ce mouvement et Caroline sentait le plaisir monter en elle. Jamais elle ne s’était laissé aller de la sorte en public, jamais elle ne s’était faite branlée dans un coin sombre d’une boite sordide, mais elle était en manque et pour rien au monde elle aurait voulu que cela s’arrête.
Caroline sentait qu’elle allait partir, le mouvement s’arrêta net, Paolo la prit par la main.

- Viens j’ai trop envie de toi

Caroline se laissa guider, sa chatte en feu n’était plus que désir. Le couple traversa une partie de la piste de danse et Paolo poussa une porte de sortie de secours. La porte se referma, claquant dans un bruit sourd. Il faisait noir et frais, le couple était dehors dans une espèce de cou intérieur sur l’arrière de la boite. Un haut mur en béton les cachait du parking, le bruit du dancefloor résonnait contre les murs.
Paolo embrassa fougueusement Caroline, il dégrafait en même temps son pantalon et sortit son sexe en érection. Caroline le prit en main, il était chaud et dur, elle voulait cette colonne de chair en elle mais pas à n’importe quel prix.

- Attends, je n’ai pas de contraception, je ne veux pas tomber enceinte !

Paolo la fit pivoter, Caroline se retrouva face au mur.

- J’ai des capotes, j’en mets une.

Caroline était rassurée, sa culotte glissa de ses fesses à ses chevilles, elle se cambra un peu pour accueillir son amant.

- Ough ! salop, fais doucement !

Paolo avait empalé Caroline d’un coup, il était trop excité pour être doux. Elle l’avait trop excité, il n’avait qu’une idée, la baiser comme une salope qu’elle semblait être.

- Alors ma salope, tu l’aimes ma queue ?
- Répond, tu aimes te faire baiser par ma queue ?

A chaque question il faisait sortir entièrement son sexe avant de le refaire coulisser brutalement jusqu’au fond. Caroline ne répondait pas, elle gémissait à chaque coup de bite. Paolo se sentait dominateur et avait compris qu’elle n’attendait que cela.
Les mains sur les hanches de la belle, Paolo accélérait son va et vient, il voulait jouir et la faire jouir.
La montée inexorable du plaisir submergeait Caroline, elle perdait pied avec cette jouissance qui arrivait.

Un bruit de porte et soudain plus rien….. 10 secondes, 20 secondes, une éternité… Caroline n’avait pas bougé, restant offerte en attente de la suite du coït mais plus rien !

- Toi tu te casses, t’as rien à faire là !

Caroline sortit de son plaisir et ouvrit les yeux. Paolo était au sol, le pantalon sur les genoux, il se leva rapidement et partit sans demander son reste. Quand elle tourna la tête, elle vit deux grands blacks qui la regardaient en souriant.
Prise de panique, elle se releva puis elle se pencha pour remonter sa culotte mais un des blacks mit le pied dessus pour l’en empêcher.

- Laissez moi ou je crie pour appeler la sécurité.
- Vas y crie, c’est nous la sécurité ma belle.

Caroline reconnut l’uniforme des videurs de la boite. Elle était partagée entre crainte et soulagement.

- Vous n’avez rien à faire ici madame !
- Je … je vais partir tout de suite.

La porte était refermée, Caroline n’avait pas de moyen de quitter cette petite cours.

- Par où je peux aller pour partir messieurs ?

Les deux blacks sourirent.

- Il vous suffit de faire un petit coucou à la caméra là au-dessus et il va ouvrir la porte.
- Une caméra…..

Caroline se liquéfia d’un coup, elle avait été filmé. Paniquée, elle demanda

- Cela reste entre nous bien sûr….

L’air lui manquait, sa respiration se faisait de plus en plus rapide.

- Ben à chaque fois qu’un couple vient ici, nous pour le dissuader de ne plus le refaire on balance les vidéos sur internet…. Comme cela ils ne recommencent plus.

Le plus grand avait répondu calmement avec une grande conviction. Caroline se sentait mal.

- Non ce n’est pas possible, vous n’avez pas le droit….

Les deux blacks restaient impassibles et la fixaient doit dans les yeux.

- On peut surement trouver une solution ou un arrangement….

Caroline essayait de réfléchir et trouver une échappatoire.

- Certaines dames nous font des offres qu’on apprécie, comme elles après aussi….

Caroline avait trop bien compris le sens de la phrase mais non, cela lui paraissait inconcevable.

- Non ce n’est pas possible….
- Alors bonne soirée madame….

Un des videurs ouvrit la porte, les deux souriaient à pleine dent. Caroline était pétrifiée. Soit elle partait en prenant le risque de la diffusion de la vidéo sur le net et cela risquait de lui coûter cher dans sa vie professionnelle et personnelle, soit…..
Elle baissa les yeux et d’une petite voix fluette elle lança :

- Je veux bien trouver un arrangement s’il vous plait

Le videur referma la porte. L’autre s’approcha de Caroline, souleva délicatement son menton pour capter son regard.

- C’est vrai que tu es une salope qui aime les queues des blacks ?

Caroline baissa à nouveau la tête et hocha pour acquiescer.

- Je n’ai pas entendu ta réponse et regarde les gens quand on te parle.

Caroline releva la tête, avala sa salive et lui répondit droit dans les yeux :

- Oui je suis une salope qui aime les queues des blacks.

Le visage du videur restait impassible.

- Et la salope que tu es, aime faire quoi aux queues des blacks ? Dis-moi en détail pour voir si ça peut m’intéresser….
- Je suis une salope qui aime branler les queues des blacks.
- Mouaih….
- Je suis une salope qui aime sucer les queues des blacks
- C’est tout ?

Caroline avait espéré juste le branler ou le sucer au pire mais elle ne voulait pas aller plus loin.

- C’est déjà pas mal contre la vidéo – essaya-t-elle !
- Ça ne m’intéresse pas, casse-toi !

L’autre videur ouvrit à nouveau la porte. Caroline céda.

- Je suis une salope qui aime me faire baiser par des blacks.

La porte se referma, celui qui était proche de Caroline ouvrit sa braguette et sortit son sexe à moitié bandé. Sans un mot, elle le prit en main puis se mit à genou pour le prendre en bouche. Le goût était fort et surtout elle n’avait jamais vu un sexe aussi gros. Au fur et à mesure qu’elle suçait cette queue, elle grossissait, sa bouche ne lui permettait pas de la prendre entièrement en bouche.

- T’es pas une bonne suceuse de queue

Caroline s’arrêta. Elle leva les yeux, il la regardait avec insistance. Elle avait espéré réussir à le faire jouir avec sa bouche mais elle n’allait pas y couper.
La jeune femme se releva, se tourna vers le mur contre lequel elle posa ses mains et cambra ses reins, offerte dans une position obscène.

- Il faut mettre une capote, je ne prends pas de contraception, s’il vous plait.

L’homme se mit juste derrière elle, il prit de ses mains les bords de la robe et souleva pour la dénuder complétement. Elle n’opposa aucune résistance, elle était à présent nue offerte contre un mur dans une cour sordide avec deux grands blacks.
Caroline entendit le pantalon tomber sur les chevilles, sentit le souffle chaud quand il baissa son caleçon. Elle sentit la main droite se poser sur ses hanches, l’étreinte était forte. Un doigt commença par jouer avec sa fente humide, il savait y faire, la chaleur remontait dans son sexe malgré elle.

- Je vais te la mettre et je veux que tu me parles tout au long. Dis moi ce que ça te fait et ce que tu ressens. D’accord ?

Caroline fait un signe de la tête.

- Et si jamais tu veux qu’on arrête, tu me le dis mais dans ce cas, on arrête définitivement et tu te casses, compris ma salope à black.

En lui parlant, le doigt était entré profondément dans sa chatte et elle avait lâché un soupir de plaisir.

- Oui compris…. Compris…. Non on n’arrête pas, je suis une salpe à black qui veut me faire baiser.
- Bien ! J’aime cela.

En même temps qu’il avait fait sa réponse, son sexe commençait son introduction. Caroline mouillait comme une folle, la queue épaisse glissait sans problème dans son fourreau étroit.

- Oh mon dieu ! Elle est grosse…. Je la sens… mon dieu, elle m’écarte….
- Tu veux que j’arrête ?
- Non , continue je la veux entièrement, je suis une salope à black qui veut se faire baiser.

A peine la moitié entrée, le videur se retira complètement.

- Non, reviens, baise-moi comme une pute, je veux ta queue au fond. Argh ! oooohhhhh !

Caroline n’avait pas fini sa phrase que la grosse queue était revenue aux trois quarts en elle.

- Elle est énorme, j’en ai jamais pris d’aussi grosse… mon dieu, elle me déchire….

L’homme se retira et revint à la charge. Caroline avait la chair de poule, elle haletait de douleur et de plaisir, ce sexe lui donnait des sensations qu’elle n’avait jamais ressenties avant.

- J’arrive pas à tout te mettre, tu es trop étroite. Mais si tu reviens je t’apprendrais ma petite salope.

Caroline continuait à parler, certains de ses propos n’avaient pas de sens mais elle prenait de plus en plus de plaisir. L’homme la tenait fermement par les hanches et faisait coulisser son sexe en elle.
Caroline jouit intensément en criant qu’elle était une salope et qu’elle aimait se faire baiser par des blacks.

- J’ai pas de capote et je vais bientôt éjaculer…. Tu préfères qu’on arrête, que je reste frustré et tu te casses ou tu veux que je prenne mon pied dans ta chatte.

Les larmes coulèrent sur les joues de Caroline en même temps qu’elle lui donnait sa réponse.

- Non n’arrête pas, jouis dans ma chatte.

Elle n’avait pas fini sa phrase qu’elle sentit ce corps d’homme si puissant se coller à elle et les jets de sperme envahir son vagin. Trente secondes à se vider en elle, quand il se retira, un long filet de semence sortit de sa fente et coula le long de ses jambes.
Caroline était sonnée, le temps qu’elle reprenne ses esprit, l’homme s’était déjà rhabillé. Elle remit sa culotte, essuya les trainées de sperme avec ses doigts et se dirigea vers la porte. L’autre videur lui ouvrit avec un sourire et elle entra à nouveau dans la boite.
Caroline retrouva rapidement Sophie et Maéva, les deux cavaliers avaient disparus.

- T’étais où Caro, ça fait un moment qu’on te cherche ! Et Yanis et Paolo sont partis précipitamment, tu sais pourquoi ?
- Non Sophie, par contre si on pouvait rentrer, je ne me sens pas trop bien ? merci.

Les trois femmes quittèrent la boite de nuit, en partant Caroline reconnu son black qui avec un grand sourire lui souhaita une bonne soirée et les remercia de leur visite. Caroline ne dit rien et partit la tête basse.

- Hé Caro, je pense que t’a un ticket avec le videur ma grande…

Caroline ne releva pas la remarque de son amie mais dans sa tête tournait en boucle « je suis une salope à black » pendant que le sperme continuait à se déverser de sa chatte dans sa culotte.

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