Caroline 7

Partie 7 :

Le dimanche s’écoulait lentement, peu après le repas, Bienvenu était de retour. Sa présence était devenue normale pour Caroline, peu à peu elle s’était habituée, il faisait partie des meubles. L’attitude de sa fille avait changé, elle la sentait comme une abeille attirée par un pot de miel, tournant autour du black sans y avoir l’air. La petite jeune femme avait envie de butiner ou de se faire butiner.

Bienvenu assis dans le canapé suivait attentivement un match de foot, Valentine s’était posée en face dans un fauteuil, elle le détaillait de la tête au pied sans un mot. Il sentait le regard insistant sur lui mais continuait à regarder son match comme si de rien était.

A la mi-temps, tapotant sur ses cuisses, il lui fit signe de venir s’assoir sur ses cuisses, anxieuse mais contente, elle s’exécuta, passant même un bras autour des épaules de l’homme et le défiant du regard.
Sentant une main remonter le long de sa jambe, elle écarta un peu les cuisses pour faciliter le passage. Le bout des doigts caressait doucement le pubis, glissant de temps en temps sur ses lèvres.

- Pas de culotte et lisse comme il faut, c’est parfait !

Fière d’elle, elle apprécia le compliment et était prête à se donner à l’homme, mais il avait d’autres projets pour elle.

De la cuisine, Caroline jetait un coup d’œil discret sur les deux. Elle le voyait murmurer à son oreille mais elle ne pouvait pas apercevoir la main qui caressait les seins libres sous le tee shirt ni celle qui jouait avec la fente humide de sa fille. Elle vit sa fille lui faire un oui de la tête puis se lever et sortir.

Caroline questionna Bienvenu.

- Elle est partie où Valentine.
- Je ne sais pas, elle avait une course à faire….

Elle n’en croyait pas un mot.

Une heure plus tard, Valentine rentrait à la maison. Bienvenu l’accueillait impatient avec un grand sourire.

Sa mère, elle était un peu plus circonspecte.

- Tu étais où Valentine ?
- Bienvenu m’a posé un défi et je l’ai relevé.

La mère fusilla l’homme d’un regard noir.

- C’est-à-dire…

Valentine s’assit en face du black, sa mère se posa à côté et la jeune femme commença son récit.

« Je suis allé sonner chez le voisin comme Bienvenu m’avait demandé. Au départ, c’est sa femme qui a ouvert, je lui ai demandé si monsieur Henri était là et si je pouvais le voir. Elle m’a fait entrer et l’a appelé, il était à l’étage. Il était surpris de me voir mais j’ai bien vu son regard pervers me détailler de bas en haut. Ma petite jupette courte et mon top dans rien dessous lui plaisaient bien.
Il m’a demandé ce qu’il pouvait faire pour moi, en murmurant et regardant si sa femme n’était pas à côté, j’ai joué à l’ingénue, lui ai dit que c’était un peu délicat pour moi et que je souhaitais sa discrétion la plus absolue. Il m’a assuré que je pouvais compter sur lui.

Je lui ai murmuré que Maman m’avait envoyé acheter un produit pour elle mais je ne savais pas où je pouvais en trouver et j’avais un peu honte de demander à quelqu’un que je ne connaissais pas.
Henri d’une voix mielleuse m’a demandé ce que c’était, un peu gênée, j’ai baissé la tête et je lui ai dit que c’était du gel lubrifiant anal. Dans son regard une petite lueur lubrique est apparue, il m’a demandé de le suivre dans son garage, on allait être plus tranquille pour discuter.

Dans la pénombre du garage, je sentais Henri très proche de moi, il voulait savoir si maman en utilisait souvent, d’une voix douce et timide, je lui ai dit que tu avais de gros besoin sur ce plan-là et que c’est ce que tu préférais. Il m’a demandé si je vous avais déjà vu et je lui ai dit que non, à chaque fois que vous êtes tous les deux, maman me demande de garder la chambre avec interdiction de sortir tant qu’elle ne me le dit pas. A peine fini ma phrase, j’ai senti sa main glisser sous ma jupette et caresser ma fesse.
Il était surpris mais ravi de ne pas trouver de culotte, je lui ai dit que maman ne voulait pas que je porte de sous vêtement pour laisser respirer mon corps.
Sous ma jupette, sa main visitait toutes les parties de mes fesses en faisant des mouvements circulaires, je sentais ses doigts se rapprocher de plus en plus de ma petite minette. Je lui ai dit que ça faisait bizarre ce qu’il me faisait avec un petit sourire. Il m’a demandé si je n’aimais pas mais sans un mot j’ai fait oui de la tête.

Henri m’a montré un tiroir dans son établi et m’a suggéré de l’ouvrir, je me suis penchée doucement et pendant que je tirais sur le tiroir, un de ses doigts s’est posé sur ma minette humide. J’ai sursauté et poussé un petit cri, il m’a rassuré en me disant que ce n’était rien. Penchée en avant, la jupette relevée, je lui ai dit que maman ne voulait pas que je me touche là où il avait son doigt. Elle me disait que c’était sale et qu’il fallait attendre le mariage et que seul mon mari pourrait y toucher.
Une grosse bosse déformait le short du voisin, un petit point de bave suintait à la commissure de ses lèvres, son doigt jouait avec mes lèvres exerçant une fine pression pour essayer de les faire s’écarter.
Henri me demanda si j’étais vierge, je lui confirmais que c’était bien le cas et que maman me disait que je devais le rester. Il voulait savoir si j’avais déjà eu un amoureux, si j’avais déjà fait des choses, je lui jurais grand dieu que non, maman ne le permettait pas.

Mes lèvres trempées s’étaient écartées et laissaient le passage libre à son doigt mais il hésitait à aller plus au fond, jouant avec les rebords de ma minette. Son doigt ne faisait que vérifier si j’étais en bonne santé d’après lui, c’était juste pour me rendre service, il ne fallait pas que j’en parle à maman, cela resterait un petit secret entre nous deux. Quand je lui ai dit d’accord, son doigt a plongé plus profondément dans ma minette, j’ai poussé un petit cri plaintif, il voulait bien vérifier partout que ça allait bien, j’ai écarté un peu les jambes pour lui faciliter le passage.
Il s’est positionné derrière moi, toujours penchée sur son établi, les jambes écartées, la jupette relevée sur mes fesses à l’air, me faisant doigter d’une main.
Son autre main glissa sous mon petit haut, il saisit un de mes seins et le pelota sans vergogne. C’était toujours pour vérifier que tout allait bien. Il n’est pas beau Henri, il ne ressemble à rien mais ses doigts sont diaboliques, ma petite minette coulait d’excitation et mes seins devenaient dur de désir, je sentais le plaisir monter entre mes cuisses.

J’ai dit à Henri que ses doigts me faisaient des choses bizarres dans mon ventre, il sourit me disant que c’était normal et qu’on allait bientôt savoir si j’étais bien en bonne santé comme il le pensait. Encouragé par mes petits gémissements, il travaillait ma minette avec un deuxième doigt et jouait alternativement avec mes deux seins de son autre main. Je haletais de plus en plus, la jouissance venait en moi, comme je lâchais des petits cris, il abandonna mes seins et me colla sa main sur la bouche pour mes cris à venir.
Je jouis ! Ma jouissance s’étouffant dans sa main, ma mouille coulant sur ses doigts. Henri me rassura, j’étais en bonne santé mais pour plus de précaution, il me suggérait de passer les voir de temps en temps pour qu’il m’examine. Je me rajustais et voulait partir mais il me retint par le bras, me montrant sa grosse bosse sur son short. Je lui dis que j’étais désolée et que j’espérais que ça ne lui faisait pas trop mal, il baissa son short pour la laisser respirer.

Sa queue était trapue et épaisse, noyée dans une forêt de poils odorant. Je lui dis que je n’en avais jamais vu, maman ne voulait pas que je fasse quoi que ce soit avant le mariage. Il me proposa de la toucher, je lui répondis que j’avais peur et surtout d’être enceinte si j’y touchais. Me prenant la main et la posant sur sa queue, il me dit qu’il n’y avait pas de risque.
Du bout des doigts, je touchais ce sexe bandé, lui disant que c’était chaud.
Le gland était violacé, du liquide suintait du bout. Je lui fis remarquer qu’il était mouillé du bout, il me demande si je voulais goûter. Je fis non de la tête mais il conduisit mon doigt pour récupérer la coulée et l’accompagna jusque dans ma bouche. Je lui fis remarquer que c’était salé mais pas désagréable.
Il reposa ma main sur son sexe, pour que je le tienne. Gardant sa main sur la mienne, il imprimait un lent mouvement de va et vient puis lâcha ma main. Je continuais toute seule à le masturber. Sa femme ne devait pas être très active, il semblait avoir des couilles bien pleines et ne pas pouvoir se retenir très longtemps, il gémissait de plus en plus, m’encourageant à ne pas arrêter mes mouvements. Ses mains étaient passées sous mon petit haut et trituraient de plus en plus fort ma poitrine. Comme il soufflait et gémissait, je lui demandais si je lui faisais mal, si je devais m’arrêter, mais il grognait de continuer. Il éjacula de trois longs jets blancs, la semence s’écrasa sur des pots de peinture entassés.

Jouant la surprise, je lâchais la queue et lui dis que j’étais désolé de lui avoir fait mal. Il me rassura ; du sperme maculait le gland et coulait le long de la hampe vers les couilles. Henri tenant sa queue vers moi, il posa son autre main sur mon épaule et appuya pour que je me baisse. Accroupie, il me mit son sexe en face de mon visage, une forte odeur de sperme et d’urine se dégageait de sa bite. Il approcha son bassin de moi et j’ouvris la bouche pour le prendre. Il me disait que j’étais un bonne petite et que j’allais vite apprendre ce qu’il faut. Lentement il fit quelques allers et retour dans ma bouche pour nettoyer son sexe, j’avalais le restant le sperme qui s’échappait encore un peu.
Henri se réajusta, il me dit de garder tout cela pour moi surtout, il allait m’acheter mon gel lubrifiant anal et me préviendrait quand il l’aurait. Je l’ai remercié et je lui ai dit que c’est peut-être maman qui viendrait le chercher. Il avait une tête lubrique de pervers, je suis certaine qu’il s’imaginait avec maman dans son garage testant le gel en direct. »

Bienvenu félicita la jeune femme, sa mère, elle, beaucoup plus réservée même fâchée qu’il entraînait sa fille dans sa lubricité. Elle ne voyait pas comment un homme comme Henri pouvait être excitant, elle le voyait plus comme un déchet de la société qu’un Appolon avec lequel on aurait envie de passer du bon temps. Valentine, elle, avaient de plus en plus envie de pratiquer les jeux de Bienvenu.

La mère ayant quitté la pièce, il demanda à la jeune femme si elle voulait toujours continuer, elle est plus que partante.

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