Caroline 3

Partie 3

Le lendemain, Caroline se mit en route avec une petite boule au ventre mais au passage du contrôle du parking, il n’était pas là. Elle se rendit à son bureau d’un pas léger et sa journée se passa bien comme d’habitude. Malgré tout un petit soupçon de nervosité ne la quittait pas. Elle était très attentive à son entourage, dès qu’une silhouette passa, elle regardait, elle scrutait.

Les réunions s’enchaînaient aux rendez vous et la journée fila à une vitesse folle.

Quand chaque soir avant de partir, Caroline mit un peu d’ordre sur son bureau, en voulant ranger les différents dossiers, elle tomba sur la pochette rouge au nom de Bienvenu N’Tonogo.
Il avait quitté le site de son entreprise mais il était encore bien présent dans son esprit malgré tout.

Caroline ouvrit doucement le dossier, elle le parcourut rapidement et finit en insistant un peu sur la photo. Elle referma le dossier et alla faire un tour aux toilettes, juste avant de rentrer chez elle.
Assise, elle glissa un doigt vers sa fente qui lui semblait humide. Ses lèvres étaient gonflées, le doigt ne rencontra pas de résistance, tellement elle était trempée qu’il pénétra de tout son long sans difficulté.

De retour à son bureau, elle appela son assistante.

- Lisa, pouvez vous rappeler la société de sécurité à propos de l’agent d’hier.
- Oui madame et ?
- Je ne suis pas sûre d’avoir été très correcte, dites-leur que je n’ai pas d’objection à son retour. Je me suis peut-être … bref, vous brodez, un truc qui passe bien… merci et bonne soirée

L’assistante de Caroline n’avait pas réussi à finir sa réponse que Caroline était déjà partie.

- Euh, ok … bonne soirée madame.

Une petite soirée tranquille devant la télé avec sa plus jeune fille Valentine conclut cette journée classique.

Un pantalon classique, un chemisier accompagnés d’une veste, la tenue de Caroline ne souffraient d’aucune ambiguïté, Caroline un peu stressée ne voulait laisser aucune place à de la séduction ou autre futilité professionnelle.



Au parking, il état là, à son passage, il lui fit un signe de la tête pour la saluer, elle passa sans répondre, le regard fixé sur la route.

- Bonjour Lisa.
- Bonjour Madame
- Appelez moi monsieur N’Togono , N’To…. Bref le gars de la sécurité du parking.
- Oui madame.

Caroline s’installa à son bureau, l’attendant de pied ferme.

- Madame, monsieur N’Tonogo est là.
- Faites entrer merci.

L’homme entra, il la dévisagea, elle le scruta de bas en haut.

- Je vais être brève monsieur, ne pensez pas que ma décision est motivée par je ne sais quoi. Je me suis peut-être un peu emportée alors j’essaie juste d’être juste et je vous redonne une chance de travailler ici. Merci vous pouvez disposer.

L’homme ne bougea pas, il continuait à la fixer de longues secondes. Au fur et à mesure de cette éternité, Caroline sentait son autorité et son assurance s’étioler. Comme une proie sous la menace de son prédateur, elle était maintenant vulnérable. Le petit jeu qu’elle avait voulu jouer se retournait contre elle.

L’homme s’approcha d’elle, se mit à côté et se pencha à son oreille.

- Les salopes à black ne portent pas de pantalon.

La respiration de Caroline s’accélérait mais elle ne bronchait pas

- Leur sexe est tout lisse, sans poil pour ne rien cacher…. Compris ?

Caroline hocha de la tête.

- Dès que je t’ai vue, j’ai compris que tu avais du potentiel. Je vais m’occuper de toi comme personne ne s’est jamais occupé de toi…

Puis Bienvenu se redressa et d’un pas lent se dirigea vers la sortie. Elle le regarda franchir le pas de porte sans un mot. Ses mots l’avaient électrisée, elle aurait été prête à se laisser prendre sur son bureau s’il l’avait demandé, sa volonté et sa résistance étaient anéanties, les désirs de son corps commandaient son esprit.

- L’équipe de la gestion est là madame, je les fais entrer ?

Lisa l’assistante la tira de sa torpeur.


- 5 minutes, laissez-moi 5 minutes, merci.

Caroline prit un peu de temps pour se remettre de ses émotions, sa journée allait grandement être perturbée par cet entretien. Elle y pensa toute la journée, alternant périodes de travail et de rêveries.
Elle sentait bien se faire entraîner vers des chemins tortueux mais à quoi bon lutter, tout effort pour en sortir ne servait à rien, elle revenait irrémédiablement sur cette route. Cette route qui lui faisait peur mais la fascinait aussi.

Les deux jours suivants, des déplacements pour des réunions au siège national lui donnèrent un peu de répit, mais elle appréhendait d’autant plus ce dernier jour de la semaine.

Le vendredi était souvent une journée particulière, peu de réunions, peu de rendez-vous, les bureaux étant assez vides entre ceux qui prennent un week-end prolongé ou ceux qui basculent en télétravail.
En arrivant le matin, Caroline était un peu anxieuse, quand elle passa le poste du gardien du parking, il n’était pas là. Elle oscillait entre regret et soulagement, sans que l’un ou l’autre sentiment ne prenne le dessus sur l’autre.
Le temps de se garer et elle volait littéralement jusqu’à son bureau. Avant d’entrer, elle fut interpellée par son assistante qui souhaitait pourvoir prendre son après-midi, ce que Caroline lui accorda sans soucis.

La matinée passa vite à traiter tout le retard engendré par ces deux jours au siège à Paris. Le vendredi était aussi la journée un peu plus cool qui permettait de ne pas courir et de prendre le temps de fignoler les dossiers complexes.

- Si vous permettez, j’y vais madame, je vous souhaite un bon week-end.
- Merci à vous aussi.

Le repas du midi passé, le bâtiment résonnait encore plus creux que le matin, sur les 250 collaborateurs seule une petite vingtaine peuplait les 4 étages.

17h, pour une fois, Caroline ne voulait pas rentrer trop tard, elle avait commencé à ranger son bureau quand on frappa à sa porte.


- Oui entrez.

La porte s’ouvrit et elle le vit entrer. Un frisson parcourut tout son corps. Bienvenu s’immobilisa à l’entrée de la pièce.

- Une salope, ça ne reçoit pas assise, elle se lève.

Caroline se leva de son fauteuil. Bienvenu fit un site de la tête pour lui indiquer de se placer devant le bureau, elle obéit et se plaça comme il avait demandé.
Le grand black s’approcha d’elle et se plaça à 10 centimètres d’elle. Il plaça ses mains sur les hanches de la directrice.

- J’aime pas ta jupe, elle est un peu trop longue il faudra faire un effort la prochaine fois.

Caroline sentit les mains ouvrir la fermeture de sa jupe, dans une réaction de panique, elle voulut s’esquiver mais l’étreinte de l’homme l’en empêcha, elle était coincée entre le black et son bureau

- Tss, tss, du calme…

Sa respiration s’était accélérée, elle sentait son cœur battre de plus en plus fort dans sa poitrine au fur et à mesure que sa jupe glissait sur ses hanches.

- C’est quoi cette culotte de vieille ?

Caroline ne bronchait pas.

- Donne-moi des ciseaux.

Elle se retourna et se pencha pour attr sa paire de ciseaux, quand elle voulut pivoter à nous, l’étreinte de Bienvenu la bloqua.

- Reste comme cela, j’aime bien.

La jeune femme se retrouvait penchée, accoudée sur son bureau en culotte, sa jupe au sol entre ses chevilles.

- J’aime bien ton cul, il a ce qu’il faut la où il faut.

Tout en maintenant d’une main son étreinte sur son corps, bienvenu en profitait pour lui caresser les fesses de son autre main.

Il prit les ciseaux des mains de Caroline et s’en servit pour lui couper sur les deux côtés sa culotte. Le morceau de tissu tomba au sol, la jeune femme se retrouva les fesses à l’air.
Bienvenu lui glissa à l’oreille,

- Une salope, sans culotte c’est quand même mieux. Non ? Qu’en penses-tu ?

Caroline acquiesça d’un hochement de la tête.


- En fait tu pourrais te passer d’en mettre pour me faire plaisir… oui c’est bien ça….. plus de culotte pour ma salope à black… Si tu en mets un, je le découperai à chaque fois….

Elle ne dit rien mais cette injonction lui faisait peur autant qu’elle l’excitait. Un doigt la pénétra entre deux caresses sur ses fesses, elle soupira.

- Tu mouilles comme une grosse salope ma grande, ça te plait tout cela…

De son autre main, le black fit sauter l’attache du soutien-gorge.

- Si tu n’as pas de culotte, ce n’est pas la peine de mettre un soutif non plus….

Caroline se laissa faire quand il défit les boutons de son chemisier un à un et qu’il le lui enleva. Il lança le vêtement un peu plus loin, le soutien-gorge le suivit de peu.
La jeune femme était nue penchée sur son bureau. Bienvenu se colla à ce corps offert et soumis, elle sentait son érection à travers son pantalon contre ses fesses et ses mains qui lui pelotait les seins avec vigueur.

- Tu veux qu’on passe au sexe maintenant ? – lui murmura-t-il à l’oreille.

Elle ferma les yeux et opina d’un mouvement de tête.

- Tu veux une grosse queue noire dans ta chatte, c’est bien cela…
Sans un mot, elle redit oui de la tête. Bienvenu pianota sur son portable et reprit les caresses sur le corps de la directrice.

On toqua à la porte du bureau. Caroline sursauta et fut prise de panique mais Bienvenu la bloqua à nouveau en disant d’entrer. Le cœur de la femme s’emballait de peur, ses jambes se dérobaient à elle.
Un homme de ménage entra, Caroline le connaissait, il faisait tous les soirs le nettoyage des bureaux sur son étage, il était d’origine africaine et avait des cheveux tous gris.

- Entre, on a besoin de toi. Viens ici.

L’homme s’approcha du bureau et regardait cette femme blanche nue penchée sur son bureau. Voir la directrice dans le plus simple appareil dans cette position le bloquait un peu.

- Montre-lui ta queue !

L’homme semblait hésitant.

- Allez, elle attend.
Elle avait fermé les yeux, des larmes coulaient sur ses joues.

L’homme dégrafa son pantalon et sortit son sexe à moitié en érection. Il l’approcha du visage de la directrice.
Bienvenu se pencha à nouveau à son oreille.

- Alors… elle t’attend…

Caroline ouvrit les yeux, le sexe pendait à deux centimètres de son visage, elle le prit d’une main et amena le gland dans sa bouche. A chaque fois qu’elle aspirait le gland, un doigt de Bienvenu accompagnait ce mouvement. Très vite les caresses et les sussions de la directrice ont eu de l’effet sur l’homme de ménage, son sexe était maintenant complètement dur en érection.

Les premières appréhensions étaient tombées de chaque côté, la jeune femme le suçait avec ardeur et l’homme s’était enhardi à lui caresser les seins en même temps. Bienvenu s’était reculé pour mieux apprécier la scène, il semblait satisfait.

- Elle t’attend, viens prendre cette femelle blanche.

L’homme le regarda, son sourire édenté illumina son visage. Il bougea et se plaça derrière la directrice le sexe en main. Il jouait avec la fente dégoulinante de la directrice qui l’impressionnait tant. D’un coup, il la prit par les hanches et la pénétra de tout son long. Elle soupira de plaisir et se laissa retomber sur son bureau. L’homme ne cherchait pas le plaisir de la jeune femme mais juste le sien. Cela lui semblait irréel, il ne savait pas combien de temps son rêve pourrait durer mais il y mettait tout son cœur.
Sa queue entrait et sortait avec force et vitesse dans cette poupée blanche désarticulée, à chaque passage, l’entendre gémir de plaisir décuplait sa force et renforçait encore la montée de la jouissance de la femme.

D’un coup, la jouissance de Caroline explosa, elle fit tout son possible pour ne pas crier mais elle jouit très intensément encore une fois. L’homme grogna, se colla son bassin à ses fesses et jouit bruyamment dans sa chatte en la remplissant de son sperme abondant.
Après quelques instants à reprendre ses esprit, l’homme se retira, la queue molle dégoulinante de sperme.

Bienvenu lui dit quelque chose dans une langue que Caroline ne comprenait pas, l’homme se plaça face au visage de la directrice et lui présenta son sexe. Elle comprit et prit ce sexe gluant en bouche pour le nettoyer.
Après quelques sussions, l’homme se réajusta et sortit de la pièce en remerciant Bienvenu.

Caroline restait immobile sur le bureau, de sa fente coulait la semence de l’homme de ménage.
Bienvenu l’embrassa sur le front et lui fit un grand sourire.

- Je te souhaite un bon week-end ma petite salope à black, tu peux passer à la boite si tu as envie.

Il quitta aussi la pièce, laissant seule la jeune femme dans son bureau.

La pièce était redevenue silencieuse, la directrice voulut remettre sa culotte mais Bienvenu l’avait coupée, alors elle s’en servit pour éponger les sécrétions qui suintaient de son sexe.
Elle remit sa jupe et son chemisier, rassembla ses affaires et quitta son bureau. Au cours du trajet, le sperme coulait entre ses jambes, arrivée chez elle, sa fille Valentine remarqua une grosse tâche sur la jupe et lui en fit la remarque. Caroline éluda le sujet par une pirouette.

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