Caroline 6

Partie 6

- Maman, il faut qu’on parle.

Ce vendredi soir sur le canapé à regarder une série sur Netlix, Valentine s’était lancée d’un coup.

- Oui ma chérie, je t’écoute

L’attention de Caroline s’était posée sur sa fille, attendant la suite.

- Je m’inquiète pour toi, tu n’es plus la même !

La phrase était sortie d’un coup, à a vitesse d’un coup de fusil.

- Faut pas ma chérie, pourquoi tu dis cela ?
- Je suis allée dans ta chambre et …. Et j’ai ouvert tes tiroirs.

La maman commençait à blêmir, elle se doutait de la tournure de la conversation

- Tu as jeté et brûlé tous tes sous vêtement. Tu ne mets plus de culotte ni de soutif sous tes vêtements. Quand tu pars travailler, on voit tes seins libres qui pointent sous ton corsage. Une femme comme toi ne fais pas ça.

Caroline était à terre, sa fille avait vu, heureusement elle n’avait pas tout saisi. Impossible de tout lui dire, elle ne comprendrait pas et pour quoi passerait elle ? Quand on a 18 ans, on est dans l’amour et le romantisme tout le contraire de l’aventure qu’elle vit qui tend vers la domination et un peu de perversité.

- Je vais tout t’expliquer

Valentine se tut, attendant les explications de sa mère qui semblait avoir du mal à trouver comment commencer.

- J’ai rencontré quelqu’un…
- Je le connais ? Il est comment, quand est-ce que tu ….
- Attends, c’est déjà un peu compliqué, laisse-moi parler….

Valentine frustrée fit une moue un peu vexée mais se tut à nouveau.

- J’ai rencontré quelqu’un…. Et tu sais que ton père et moi sommes séparés depuis plusieurs mois… et …

La jeune fille écarquillait les yeux, cherchant à décortiquer les paroles confuses de sa mère.

- Bon je te parle comme à une femme et non plus ma fille, tu es grande maintenant. Depuis la séparation, je n’ai pas eu une vie amoureuse très fournie si on peut dire.

Ca pèse un peu pour une femme normale dans la force de l’âge. J’ai rencontré quelqu’un et on profite un peu de la vie si tu vois ce que je veux dire….
- Oui mais tes culottes…
- Ben, on a fait un jeu et j’ai… et puis je ne les aimais plus trop, je voulais les changer…. Ben bref on a fait un pari et j’ai perdu alors j’avais un gage…. Enfin rien de très grave.

Plus Caroline parlait, plus elle devenait confuse, sautant du coq à l’âne en revenant en arrière, ses explications n’avaient plus vraiment de cohérence mais elle continuait à essayer de faire illusion. Valentine même si elle n’avait pas tout compris était rassurée par sa mère, elle se contenta de cet échange un peu surréaliste.

Le lendemain matin, Valentine était encore couchée quand sa mère partit faire un footing, elle avait retrouvé une brassière qui lui maintenait à peu près la poitrine. A son retour à la maison, Henri le voisin jardinait dehors. Le temps était beau, même si la température était encore un peu fraîche.

- Bonjour Caroline

Caroline par politesse lui répondit avec un sourire mais elle ne l’aimait pas ce voisin.

- Bonjour Henri

Caroline cherchait sa clé pour ouvrir la porte de la maison, Henri s’était approché, pensif.

- Caroline, je me demandais…
- Oui ?
- Vous semblez avoir de l’énergie et si vous le vouliez, je pourrais, enfin…
- Que voulez-vous dire Henri ?
- Samedi dernier, par mégarde, je vous ai entrçu et je me suis dit que si vous vouliez, on…

Caroline le coupa net.

- Non merci, ça ira très bien.

Elle s’engouffra en vitesse dans la maison, n’attendant pas la réponse d’Henri. Le saligaud, nous seulement il avait bien tout vu le samedi précédent mais en plus il lui demandait s’il pouvait aussi en profiter. Rien que l’imaginer mettre des sales mains sur elle, lui donnait envie de vomir. Pas lui, pas ce gros con.
Valentine était levée et prenait son petite déjeuner, Caroline la salua et partit prendre une douche.


Une fois propre, elle partit comme tous les samedis matin faire ses courses.

A son retour, une voiture était garée devant chez elle, un sac de course chaque bras, elle entra et ce fut un choc. Caroline lâcha ses sacs, il était là, discutant avec sa fille dans le canapé. Bienvenu l’accueillit d’un large sourire.

- Maman, tu veux que je t’aide.

Valentine se leva pour aller aider sa mère qui restait figée, pétrifiée par le regard du black.

- J’ai fait entrer ton ami, il m’a dit que tu lui avais demandé de passer pour bosser.
- Euh, oui… c’est bien.

Elle ramassa ses sacs et les emmena pour les ranger à la cuisine.
Quand elle revint dans le salon, il discutait avec Valentine tranquillement. Qu’avait-il dit, que savait elle, de quoi avaient ils parlé ?

- J’ai proposé à ton collègue de rester manger comme il n’avait rien prévu, ça ne te dérange pas.

Caroline était furieuse, mais elle ne laissait rien paraître.

- Oh mais je suis certaine que monsieur N’Tonogo avait prévu autre chose malgré tout.

Elle attendait une réaction positive de sa part espérant qu’il allait avoir assez de tact pour partir aussi tranquillement qu’il était arrivé.

- Pourquoi tu ne lui donne pas l’objet de ma visite ? Elle est majeure, elle peut comprendre

Une goutte de sueur coula dans la nuque de Caroline. L’intérêt de sa fille fut attisé par la remarque piquante du visiteur. Il la fixait droit dans les yeux, la défiant du regard. Lentement, elle fit non de la tête, murmurant d’une voix quasiment inaudible

- Non pas ma fille, laissez la en dehors.

Valentine sentait l’intensité monter dans les échanges de deux autres mais elle ne comprenait pas où cela allait finir.

- Valentine, tu peux nous chercher une bouteille de champagne et deux verres s’il te plait.
- Oui mais trois verres, je veux trinquer avec vous.


La jeune fille se leva et partit dans la cuisine.

- Ne la mêlez pas à ça, s’il vous plait, tout sauf ça, pas ma fille.

Il la regardait, la jaugeait, elle semblait faible, sans ressource, attendant la décision du black.

- Je vais baiser ta fille et c’est toi qui vas me l’offrir sur un plateau.
- Non pas elle, tout ce que vous voulez de moi mais pas elle.

Bienvenu ne répondit pas, Valentine était revenue avec la bouteille et les verres.

- De quoi parliez-vous ?

Caroline était livide, incapable de réagir.

- Je disais à ta mère que je buvais juste un verre et que j’allais y aller.
- Ah bon ! Dommage, je croyais que vous restiez manger.
- Une autre fois surement
- Oui une autre fois – conclut Caroline.

Les trois trinquèrent parlant de tout et de rien et Bienvenu prit congés, promettant de revenir continuer la conversation qu’il avait eu avec la jeune fille.

- Il est bizarre ton collègue, il semble vivre sur une autre planète.
- ah bon, pourquoi tu dis cela.
- On a parlé de tout et de rien puis je ne sais plus comment, on est arrivé sur le thème de la relation homme femme et là, il m’a sorti des énormités !! Il se croit encore dans son pays ou je ne sais où mais il est un peu à côté de la plaque.
- C’est-à-dire Valentine ?
- Ben il me disait que les femmes étaient à ses pieds, qu’elles lui étaient soumise et qu’en gros il ne concevait pas une relation autre que celle où il dominait entièrement la ou les femmes. Oui parce que aussi, pour lui les sentiments ne comptent pas, il n’y a que le charnel et une femme qui est passée entre ses bras n’en ressort plus.

Caroline sourit jaune.

- Tu sais les africains, ils sont tous un peu vantard, il ne faut pas prendre à la lettre tout ce qu’ils disent.

Les deux femmes rigolèrent de bon cœur, pensant à Bienvenu l’africain qui n’était pas en phase avec la réalité de son temps.


- Le pire c’est quand il m’a affirmé qu’il mettait ses maîtresses enceinte pour le plaisir parce qu’après pendant la grossesse elles étaient beaucoup plus actives encore. Je lui ai dit qu’en France ça ne marchait pas comme cela, qu’un bébé se faisait par amour et c’était un projet commun pour fonder une famille. Je n’ai jamais entendu un truc comme cela, il a fumé la moquette ton Bienvenu !

La mère sourit mais ne dit rien, elle avait déjà entendu Bienvenu lui dire qu’il allait l’engrosser et c’est même pour cela qu’il lui avait fait arrêter sa contraception. Un vent de panique s’empara d’elle, elle aurait voulu tout dire à sa fille mais elle avait honte de se laisser traiter de la sorte. Elle était cette femme que sa fille traitait d’arriérée, se laissant dominer voire envouter par ce démon d’un autre âge.

Le repas passé, Valentine prit congé de sa mère et alla rejoindre ses amies au centre-ville. La mère se posa sur le canapé pour se laisser lobotomiser par les émissions télé du samedi après-midi.

17h, la sonnerie retentit, Caroline se leva et ouvrit la porte.

- Comme ta fille n’est pas là, je viens te baiser ma salope.

Elle le laissa entrer, il fit passer son tee shirt par-dessus ses épaules, dévoilant son corps musclé et se posa dans le canapé.

La femme restait interdite dans l’entrée, le regardant prendre ses aises.

- Bouge ton cul, viens ici !

L’ordre ne souffrait d’aucune contestation, elle obtempéra et s’assit à côté de lui. Il passa une main sous son chemisier, remonta pour peloter un de ses seins.

- C’est bien que tu écoutes ce qu’on te demande. Tu aimes avoir les seins libres.

Elle fit juste oui de la tête.

Il prit les deux bords du chemisier et tira pour les écarter. Sous la pression, les bouteilles sautèrent un à un, volant un peu partout dans la pièce.

- Toi j’adore tes mamelles, quand tu seras enceinte, ça sera quelque chose !

Elle murmura dans un acte désespéré qu’elle ne voulait pas être enceinte. Il la regarda, se leva.

- Soit tu es ma salope à black et tu acceptes tout ce que je veux, soit je me casse et tu ne me revoies plus jamais.

Il la toisait de son mètre quatre-vingts dix, elle n’osa pas lever les yeux vers lui. 5 bonnes minutes passèrent sans un mot, sans un geste, Bienvenu souriait conscient de l’ascendant qu’il avait sur cette femme blanche. Il baissa lentement son short et son caleçon, son sexe à moitié bandé surgit à hauteur du visage de sa soumise. Elle le prit dans sa main, commença un lent va et vient puis sa bouche prit le relai suçant le bâton d’amour sur tout son long.

- Bien ma grande, continue, ta bouche est trop bonne.

Sous les compliments de son amant, Caroline redoublait d’ardeur dans sa fellation, aspirant le gland, suçant les couilles ou léchant sur toute sa longueur la tige. L’homme bandait dur, il appréciait les efforts de sa partenaire.
Il la prit par la main, la forçant à se lever et l’emmena dans la cuisine.

- Fous toi à poil.

Elle s’exécuta, laissant tomber ses affaires au sol.

- Agrippe-toi à moi.

Elle plaça ses mains autour de la nuque et se laissa guider. Il passa un bras sous la cuisse droite de la femme et la souleva. Elle ne touchait plus le sol, se retenant à sa nuque, une jambe relevée par le bras musclé de son partenaire, la seconde jambe connu le même sort. Elle sentait le sexe dur contre sa fente détrempée, doucement, il faisait coulisser les deux corps pour essayer des les emboiter. Plusieurs fois, elle sentit que le bout du gland se plaçait bien dans l’entrée de son vagin mais il ripait et ressortait.
Impatiente, elle lâcha une main pour saisir la colonne de chair et la guider vers sa grotte d’amour. Le gland entra, suivi du reste de la tige, elle poussait un soupir de plaisir. La position ne lui permettait pas de contrôler la pénétration, elle ne pouvait que la subir, c’est l’homme qui choisissait la profondeur et la vitesse mais ça lui allait bien. Il allait profondément et mettait toute sa science pour lui donner du plaisir, elle haletait de plaisir, fermait les yeux, ouvrant la bouche pour laisser sortir ce qu’elle ressentait.

- Alors tu aimes ce que je te fais.
- Oui continuez, c’est trop bon, je vais… je vais…

Il s’arrêta d’un coup, frustrant Caroline d’un orgasme puissant qui se présentait. Il posa le corps féminin sur la table de la cuisine, gardant les jambes relevées sur ses épaules massives. La fente était luisante de mouille et toute gonflée, l’interruption de cette montée de jouissance était insupportable pour elle, ses doigts venaient toucher ses lèvres pour les écarter et réclamer le retour de la verge.

- Continue, baise-moi, j’ai envie de jouir… encore…
- Tu m’offriras ta fille ?

Semi-inconsciente, dans une torpeur moite de désir, Caroline répondit sans réfléchir. Seule l’introduction de la verge dans son sexe lui importait.

- Oui, mais baise moi encore

Le sexe de l’homme réinvestit sa place au chaud dans Caroline qui l’accueillit d’un gémissement de plaisir. Totalement désarticulée, il la prenait avec passion, faisant monter une jouissance indescriptible en elle. Bienvenu la baisait de toute sa science, l’insultant, la traitant de salope ou de pute, elle l’accompagnait à chaque fois, confirmant que c’est bien ce qu’elle était. Elle jouit profondément en criant, il se cabra et éjacula en elle. Repue de plaisir, elle rouvrit les yeux, soufflât d’épuisement et tourna la tête vers l’entrée de la cuisine. Une larme coula sur sa joue. Valentine sa fille était dans l’entrebâillement de la porte, les mains portées à sa bouche horrifiée par le comportement de sa mère. A peine sa mère avait tourné sa tête que la jeune fille était partie en courant dans les escaliers, claquant la porte de sa chambre.
Qu’avait-elle vu ? Depuis combien de temps était-elle présente. Caroline se laissait aller, allongée sur la table, le temps n’avait plus d’importance, elle avait encore joui comme jamais. Bienvenu était reparti vers la salle de bain, ses jambes pendaient le long de la table, le sperme s’écoulait de sa chatte, goutant sur le carrelage noir de la pièce. Deux doigts frottèrent sa fente pour récupérer de la semence et elle les mit dans sa bouche contente de goûter cette liqueur d’homme. Elle laissa tomber dans un demi-sommeil, euthanasiée par son orgasme.

Bienvenu la remua la secouant par les épaules.

- Bouge-toi et va voir ta fille, je pense qu’elle a besoin de parler.

Caroline se redressa, honteuse de s’être donnée en spectacle de la sorte.

- Tu l’avais vu ?
- Ben oui – lui répondit il avec un grand sourire.
- Ça faisait longtemps qu’elle était là ?
- Oui, elle a bien profité du spectacle !
- Salaud, tu aurais pu le dire, c’est ma fille quand même.

Il rigolait de plus belle.

- Ah ça oui, elle ne verra plus sa mère de la même façon maintenant. Allez va la voir.

Caroline ramassa ses affaires pour les remettre mais elle n’en eut pas l’occasion.

- Non, tu vas la voir à poil, au point où tu en es, ça ne change plus grand chose.

Elle laissa tomber ses vêtements et monta l’escalier. A l’étage, elle entendait les sanglots de la jeune fille à travers sa porte fermée. Elle toqua mais n’obtint pas de réponse, alors elle entra.
Valentine était prostrée en boule sur son lit, tournant le dos à la porte d’entrée.

Sa mère s’assit à côté d’elle sur le lit.

- Valentine, je…
- Pars….
- ….
- Ma mère est une pute, elle se fait tringler comme une salope !
- Valentine, ce n’est pas…
- T’es qu’une grosse salope qui n’arrive même pas à être honnête avec sa fille
- J’aurais dû….
- Sors de ma chambre

Caroline s’exécuta, elle se leva et partit. Juste avant de sortir, elle retenta d’ouvrir le dialogue mais c’était peine perdue. Elle redescendit l’escalier, rejoignant Bienvenu qui sirotait une bière dans la cuisine. Elle était dépitée. Voyant sa tête, toute question était inutile, il avala son café et monta à son tour dans la chambre de la fille. Contrairement à Caroline, il ne toqua pas mais entra directement d’un pas énergique.

- Sortez de ma chambre !

Il ne s’en laissa pas compter et répliqua sur le même ton.

- La petite pucelle, elle va se calmer et arrêter de brailler comme un goret.

Valentine se retourna furieuse, les yeux rougis par ses larmes.

- Vous n’êtes qu’un gros porc qui baise ma pute de mère !
- Et toi tu es juste une petite oie blanche pucelle qui ne connait rien à la vie.
- Je ne suis plus pucelle, j’ai déjà couché !
- Tu sors à peine des jupes de ta mère et si on te presse le nez, il y a du lait qui sort, t’es juste une gamine qui a vu sa mère prendre son pied !

Valentine était mouchée !

- Si tu étais si outrée, tu ne serais pas restée à mater aussi longtemps, je t’ai bien vu moi.
- Ma mère c’est….
- Ta mère c’est une femme qui a envie de vivre et de prendre du plaisir. Tu connais quoi de la vie, petite merdeuse ! Tu as joué à touche pipi avec ton copain et tu crois que c’est baiser ça !
- Je ne joue pas à touche pipi, on fait même des trucs très cochon avec mon mec ! On s’éclate au lit !

Bienvenu se gaussa d’elle. Elle prit la mouche.

- T’as raison, continue à t’éclater avec le vermicel de ton mec, une petite nouille comme la sienne c’est bien pour toi. En revanche soit sympa avec ta mère, elle a aussi le droit de vivre elle.

Il se leva et sortit de la pièce en rigolant et répétant.

- Elle s’éclate avec la biztouquette de son mec…. Quelle blague….

Dans la cuisine, il ouvrit le frigo et se servit une bière.

- Alors… ?
- Ça va le faire, ne t’inquiète pas pour ta fille ! Son regard ne disait pas la même chose que sa langue.

La mère fit la moue, mi convaincu, mi septique, elle connaissait un peu sa fille. Amusé par la situation, Bienvenu décida de rester pour la soirée, il prit sa bière et se posa devant la télé.

Caroline était parti sous la douche quand Valentine apparut et se posa le visage fermé dans le fauteuil face au canapé.

- Je peux vous poser une question. – demande sèchement la jeune fille.
- Mouaih…. – grogna Bienvenu en avalant une gorgée de bière.
- Vous voulez vraiment mettre ma mère en cloque ?
- Mouaih, j’y compte bien.
- Mais si elle ne veut pas, vous allez la forcer !?
- Non, elle le fera ou je me casserai.
- Ça, ça serait bien pour elle !
- Mouaih, t’as raison mais elle a trop besoin de ma bite pour cela.
- Elle peut en retrouver une autre après tout !
- J’ crois pas. Elle a un goût de reviens y la mienne !
- Vantard !
- Pucelle !

Valentine examinait son interlocuteur du regard, cherchant la faille pour arriver à le faire changer d’avis, lui restait stoïque regardant la télévision et sirotant sa bière, ignorant la présence de la jeune fille.

- Et si je prenais la place de ma mère ?

Il sourit puis rigola à pleine dents.

- Tu veux te faire engrosser ?
- Non, ce n’est pas ce que j’ai dit, je vous propose de laisser ma mère tranquille sur ce point et à la place vous pouvez me faire l’amour mais hors de question que je tombe enceinte.
- Non, je ne joue pas à touche pipi avec les pucelles.
- Connard !
- A ta santé !

Il vida d’un trait la canette, partit en chercher une autre et se reposa dans le canapé. Cet intermède avait frustré Valentine. Comment aider sa mère malgré elle, elle ne pensait qu’à cela mais se méfiait de ce drôle de coco.

Valentine releva son tee-shirt dévoilant ses seins, puis elle souleva sa jupe et écarta l’entrejambe de sa culotte, dévoilant sa minette recouverte de sa toison.

- Vous baisez ma mère comme vous voulez mais vous ne la mettez pas en cloque et je vous offre tout cela en contrepartie.
- Je n’aime pas les vierges effarouchées, j’aime les vraies femmes qui ont de l’expérience et qui aiment baiser sans limite. Je ne vais pas m’emmerder avec une oie blanche comme toi. Et enfin j’ai horreur des poils.
- Apprenez-moi alors, faites de moi votre jouet sexuel et je vais m’épiler le sexe s’il le faut.

Valentine commençait à titiller Bienvenu, il sentait qu’elle progressait comme il le voulait, encore un peu et la petite serait à sa botte.

- Tu dis n’importe quoi, c’est pas de ton âge, à peine je te toucherai que tu iras pleurer dans les bras de ta mère, t’as pas de potentiel à être une bonne salope, tu vis dans ton monde de licornes et de bisounours.

Caroline sortait de la salle de bain, une serviette dans les cheveux pour les écher, elle s’assit à côté du black.

- Vous parliez de quoi ?

Valentine se lança d’un coup, avec le début d’une mitraillette pour ne pas se laisser interrompre.

- J’ai proposé un pacte à ce connard, il peut me baiser comme il veut mais en contre partie il ne te met pas enceinte. Je suis prête à assumer complètement ce que j’ai dit, je sais que je n’ai que 18 ans et peu d’expérience en la matière mais je serai son apprentie salope.

Caroline regarda son amant impassible puis sa fille.

- Attend, je ne t’ai rien demandé, ma vie ne te regarde pas, tu ne te mêles pas de ça.

Bienvenu posa sa main sur la cuisse de la mère, il stoppa net son élan, les deux femmes attendaient la suite.

- Valentine va dans ta chambre, on en reparlera !

L’ordre de sa mère ne souffrait pas d’aucune contestation. La jeune femme monta les escalier quatre à quatre.

Bienvenu baissa son pantalon, enleva son tee shirt pour se retrouver nu sur le canapé, se tournant vers la mère, il lui demanda

- Montre-moi ce qu’est une bonne suceuse.

Elle se pencha, attrapant la verge molle dans sa main et commença à titiller le gland de sa bouche. Caroline prenait son temps et s’appliquait à jouer avec le sexe qui durcissait doucement. Bienvenu tira sur le top de la mère pour mettre sa poitrine à découvert. Le regard tourné vers la télé, il pelotait la mère qui le suçait goulument.

- Arrête, viens et mettre sur ma queue et tu écartes bien pour que laisser l’accès à mes doigts dans ta chatte

La mère vint se mettre sur son amant et elle absorba dans toute sa longueur la hampe de son amant. Ses mains puissantes posées sous les fesses de Caroline, il la faisait monter et descendre sur son mat dressé.
Bienvenu fixait toujours la télé, sa mère, les yeux mi-clos gémissait sous l’impulsion de ce mouvement vertical, la tige noire luisante de mouille coulissait dans la fente imberbe de sa mère.

- Alors ça te plait ?

Caroline ne disait rien mais continuait à s’empaler sur la hampe dressée
Valentine jouait la voyeuse du haut de l’escalier, cachée pour ne pas être vue, elle glissa sa main entre ses cuisses, elle cherchait son petit bouton, son regard fixait le couple qui s’ébattait.

Le mouvement cessa, il tenait la mère en position haute, la queue était sortie de la fente rougie qui l’accueillait si bien. L’homme regardait la mère et lui dit simplement.

- On change de trou, regarde Caroline ce que j’aime.

La mère ne disait rien, il prit son sexe et le plaça sur l’œillet brun. Le corps de la femme descendit doucement, le gland s’écrasait contre cette entrée interdite qui résistait puis d’un coup, le sphincter céda et le laissa entrer dans un cri de douleur poussé par la mère.

- Aïe, attends, ça brûle.

C’était la première fois qu’elle laissait quelqu’un emprunter ce chemin. La pénétration n’était pas naturelle et la queue avait un peu de mal à glisser.

- T’as du gel lubrifiant ?

La mère fit non de la tête.

- Tu vas à la cuisine et tu ramènes la bouteille d’huile d’olive, ça fera l’affaire.

Caroline était assise sur la cuisse de son amant, soulagée que la pénétration n’ait pas eu lieu.

Elle fila à la cuisine et revit avec la bouteille d’huile, elle la tendit à Bienvenu.

- Non, c’est toi qui vas en mettre plein sur ma bite.

Elle ouvrit la bouteille et en fit couler sur la verge en érection, malaxant de ses deux mains tout l’engin pour qu’il soit bien lubrifié. Bienvenu jouait avec le corps de la mère et le souleva pour rendre accessible l’entrée. Il mit de l’huile sur ses doigts et massa tout l’extérieur de l’orifice.

- Si je veux que ça passe bien il faut que tu t’en mettes dedans.

Il remit de l’huile sur ses doigts et positionna son majeur sur la pastille. Caroline sentait les lents mouvements circulaires du doigt puis une légère pression qui allait en augmentant. Sous l’effet de l’huile, le passage s’ouvrit vite et sans résistance. Le doigt entrait et sortait doucement en elle.

Pas un mot dans la pièce, Bienvenu regardait en souriant le cul de sa mère où avait disparu son doigt. L’homme remit de l’huile et deux doigts se présentèrent à l’entrée, encore une fois il n’y eut pas de résistance, leur introduction fut accompagnée d’un soupir plaintif de la mère, il en rajouta un troisième puis rapidement un quatrième, tout en continuant ses mouvements de va et vient. La mère sentait son anus qui s’étirait, la sensation n’était pas désagréable, elle gémissait doucement de ces introductions.

- Allez, je remets ma queue.

Il sortit ses doigts, reprit la queue lubrifiée à l’huile et plaça dans l’axe d’entrée. Bienvenu fit descendre doucement le corps, cette fois ci, le gland entra sans forcer. Caroline lâcha un gros soupir accompagné d’une grimace.

- Pose tes pieds en appui, c’est toi qui vas te le faire entrer toute seule.

Il avait lâché l’étreinte sur Caroline, le gland fiché entre ses fesses, de tous petits mouvements faisaient coulisser ce petit bout de sexe. Une certaine douleur l’accompagnait, elle avait un peu peur d’aller plus loin et bougeait juste sur une poignée de centimètres.

- Allez vas-y, descend sur ma queue, tu peux la prendre en entier.

Elle mettait un peu de mauvaise volonté, peu pressée d’être entièrement enculée par ce sexe dressé, elle limitait l’introduction au minimum.

- Attends, je vais t’aider.

Bienvenu mit ses mains sur les hanches de la mère et appuya pour qu’elle coulisse un peu plus, relâcha la pression quand elle remontait.

- Non Bienvenu, argh… ah…

Le sexe était rentré de moitié au premier coup, Caroline avait senti ses boyaux s’écarter pour l’accueillir. La douleur l’avait fait crier. La deuxième descente fut encore plus profonde et à la troisième, Caroline se retrouva enculée jusqu’à la garde, Bienvenu n’avait pas relâché la pression et la maintenait en bas.

- Oh mon dieu, ça fait mal, elle va me déchirer.

Les yeux clos, complètement empalée, la mère grimaçait de douleur fulgurante, le black, le regard lubrique la maintenait en bas. Il appréciait la tournure de la situation, sodomisant la mère était jouissif.
L’intensité de la douleur baissait, les sphincters de Caroline se détendaient, son cul commençait à accepter cette pénétration. Lentement, la verge coulissa pour se déboiter puis revint à sa place tout au fond. La douleur faiblissait, remplacée par une autre sensation que la mère ne pouvait pas encore définir. Bienvenu entama un lent mouvement dans ce trou serré, il savait qu’il n’allait pas tenir très longtemps tellement elle lui comprimait le sexe.

Valentine regardait de loin sa mère subir cette pénétration anale, elle était stupéfaite qu’une telle chose puisse disparaître entièrement dans son cul. Les doigts de l’homme jouaient en cadence avec la fente trempée.

- Ton cul c’est de la bombe !

Maintenant son enculée d’une seule main, il la doigtait de l’autre. Sous l’action conjuguée des deux, Caroline s’abandonnait à la montée du plaisir. Au fur et à mesure que ses gémissements se faisaient de plus en plus fort, la mère redoublait d’ardeur, l’homme lui continuait son lent va et vient anal. L’air venait à manquer à la mère, une énorme sensation venant du plus profond de son être l’emporta, elle jouit comme jamais, hurlant son plaisir. Bienvenu se vida en elle juste après, elle se décula et s’allongea de tout son long sur le canapé, les fesses en l’air, du foutre coulait de son trou non refermé.

Valentine quitta sa cachette et se glissa dans la chambre.

Ce samedi soir, Bienvenu prit rapidement une douche et partit au boulot pour toute la nuit.

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