Collection Détective Prive. Agence Victoria Détectives Privées. (1/2)

Je m’appelle Victoria belle brune de 1m76, j’ai 34 ans, je suis célibataire et j’aime mordre la vie à belles dents.
Tous les détectives privés au cinéma sont des machos hommes mais dans la vie, c’est exactement identique.
Qui trompe qui, tel, est la question ?
Ils où elles viennent me voir alors que souvent, ils sont plus pourris que celui ou celle qu’ils souhaitent me voir trouver des preuves de leurs turpitudes ?
J’ai mis au point une méthode qui m’évite bien des soucis au moment de rendre mes rapports aux clients m’ayant engagé.
Je vais vous donner un exemple.
Ce matin une magnifique jeune femme vient me voir pour me demander de lui confirmer que son mari Aurélien PDG du groupe Aurélien and Co, fondé par son père la trompe.
Si oui, elle aimerait en avoir la preuve matérielle.
D’entrée mon instinct de chasseuse me fait flairer le loup.
Je suis typiquement dans le cadre de la femme ayant épousé un vieux richard voulant se servir de mon agence pour empocher les bénéfices engagés lorsqu’elle a réussi à se faire passer la bague au doigt.
La plupart espèrent concrétiser leur investissement souvent après le décès du vieux mari, mais certains s’accrochent, alors elles passent au plan B, le divorce.
Outre l’adresse et les mensurations de la soi-disant amante, ce type de renseignements est important la plupart des fois.
La petite boulotte mariée depuis vingt ans avec un homme bardé de millions qui va sur son yacht se promener en Méditerranée a plus de risques de la tromper que la grande blonde bardée de ses nichons proéminents comme les miens et qui adore se faire malaxer, triturer, martyriser.
Neuf fois sur dix, la petite grosse un peu moche a raison et rejette la trahison de celui qui souvent a gagné ses millions soit par l’héritage de sa famille soit par les bons conseils qu’elle lui a apportés.
Ma méthode est la suivante, je prends très chère pour la première enquête que je diligente.


Reprenons l’exemple d’Odile femme d’Aurélien and CO.
Je lui ai demandé ses coordonnés pour la rappeler pour fixer les modalités et le montant de ma prestation.
Pour gagner gros, il faut savoir investir.

- Allo Madame Odile, je suis Victoria de l’agence VICTORIA.
- Oui, que puis-je pour vous.
- Je vous rappelle comme je vous l’ai dit hier.
Seriez-vous disponible ce soir afin de régler les dernières modalités de votre dossier.
- Bien sûr, à votre bureau ?
- Non, je vous invite au restaurant « Le Parfait », à 21 heures Boulevard Saint-Honoré, c’est l’heure ou je suis libre.

Complètement faux, mais voire cette belle fille hors du cadre professionnel va m’en apprendre beaucoup sur elle.

- Bien sûr, cela me ferait plaisir.
J’y serai, à ce soir et c’est moi qui vous invite.

Le plan est en place et tout est à portée de main pour moi, surtout le repas payé.
Mes bureaux sont au 52, le restaurant est très discret et les tables permettent une certaine indépendance dans les propos et les gestes.
D’autant plus qu’entre les deux au 46 je suis propriétaire d’un appartement de cinq pièces au dernier étage d’un immeuble qui en compte sept avec une terrasse dominant Paris.
J’appelle Christian cuisinier et patron pour lui réserver la table.
Christian est un de mes anciens amants avec qui je travaille et chez qui j’ai investi afin qu’il s’installe.
Le repas de ce soir va m’être offert et peut me rapporter gros.
À vingt heures, je suis dans mon bain.
Je me prépare en tenue « salope » comme j’aime à le dire.
Mini avec porte-jarretelles et bas résille, chemisier transparent qui laisse voir mes aréoles assez grosses et très brunes.
Le tout avec veste ouverte sur le devant faisant apparaître la beauté de mes seins lorsqu’elle s’entrouvre.
Le tout perché sur des talons hauts où il m’a fallu des jours de travail pour arriver à tenir dessus et surtout marcher.

Ah ! j’oubliais, c’est drôle au moment de sortir de chez moi, je m’aperçois que j’ai oublié de mettre mon string.
L’air frais sur ma chatte me le rappelle.
L’ai-je fait exprès ?
Que je suis bête, il y a longtemps que j’oublie d’en mettre.
Arrivé près de chez Christian, je vois arriver Odile dans une tenue un peu moi provocante, mais pas loin.

Il faut aller vite dans la vie, dès que nous sommes assez proches, je lui fais la bise.
Elle semble apprécier, bon point pour moi, je suis en face d’une femme belle certes, mais peu farouche.
Je l’invite à entrer.
Lauriane, femme de Christian assume l’arrivée des gens pendant qu’il cuisine.
Après m’avoir fait la bise elle en fait de même avec ma cliente.
Elle nous emmène en fond de salle le long du jardin d’intérieur où nous avons la vue sur la cascade et les plantes exotiques.
C’est toujours à cette table qu’elle me place.
La décoration est mon œuvre, car j’ai longtemps hésité entre la décoration et l’agence de détectives privées.
La décoration trop aléatoire.
L’agence, il y a toujours des cocus et des hommes ou des femmes qui souhaitent avoir des preuves d’adultères.
Mon agence couvre bien d’autres domaines, mais les tromperies sont de loin la majeure partie de mon chiffre d’affaires.
Le repas commencé, j’oublie de parler de notre affaire pour recueillir un maximum de renseignements sur Odile ce soir en poursuivant mon exemple.

- Depuis combien de temps es-tu mariée ?
Pardon, je t’ai tutoyé.
- Continue, j’aime !
Mon mariage, cinq ans.
- As-tu des s ?
- Non, la nature m’empêche de m’en offrir.
- Quel âge a ton mari ?
- 52 ans.
- Avant-toi était-il marié ?
- Oui, il a divorcé.
- Pour t’épouser ?
- Oui.
- J’ai oublié de te demander, entre femmes, je pense que nous pouvons !
- Quel âge as-tu ?
- 27 ans dans huit jours.

Bien sûr, ces questions en rafale son faite pour récupérer des renseignements que la dame aurait plus de mal à me donner dans une relation normale.

De plus, je pointe ou j’écris ces renseignements qui peuvent m’être utile pour la suite de mon enquête.
Je viens d’avancer, une femme de 27 ans mariés depuis 5 ans à un homme de 52 ans veut dire qu’elle s’est fait sauter vers 19 ans par un homme qui aurait pu être son père et qui le temps passant commence à moins l’amuser.
Le renseignement le plus important qui revient presque 100 % des fois, c’est que le manque d’ est dû à une pilule pour la protéger ou un mari stérile.
J’en ai démasqué une qui était devenue la maîtresse du médecin de son mari en échange de résultats d’analyse avait doublé la mise.
Pilule et analyse de sperme bidonné alors qu’il était très fécond.
Bonjour la déontologie.

Le repas avançant et le vin aidant, je deviens plus indiscrète et plus frôlante.
Indiscrète sur les questions posées.

- À quel âge t’es-tu fait dépuceler, moi, j’avais 17 ans.

Je pose cette question intime en ajoutant l’âge ou je l’ai perdu.
Elle est en confiance et sans se méfier me répond.

- Je t’ai battu, j’avais 16 ans.
- Moi, c’était à l’arrière d’un taxi qui m’avait ramené au bas de chez mes parents et que j’ai payé avec mon pucelage car j’étais sans argent pour le régler.
Le plus drôle c’est qu’il a dû découvrir le sang sur sa banquette.
Pourquoi pas sa femme en l’aidant à nettoyer son taxi.
- Moi, c’est le copain de mon père qui m’a fait voir sa queue dans le salon de chez nous un soir où il savait mes parents partie et qu’il a débarqué alors que je sortais de ma douche pour aller me coucher.
Je lui ai ouvert la porte pour lui dire qu’ils étaient absents et quelques minutes après j’étais les jambes en l’air la chatte offerte à sa bouche et mon clitoris parfaitement stimulé.
Pendant quinze jours, il m’a fait du chantage de tout dire à mon père sauf si je venais chez lui l’après-midi, car il était en arrêt-maladie et moi en vacances.
- Il t’a sodomisé ?
- Bien sûr, il a profité de ma peur au début pour tout me faire.

À la fin, il avait une bonne grosse queue et j’étais toujours disponible.
J’étais tellement accroc que je devançais ses désirs, il avait fait de moi une parfaite salope.

Et voilà, j’ai 80 % de mes renseignements pour fixer mon prix.

- Et ton mari ?
- Plus compliquée, la femme de mon amant a débouché un jour et je me suis retrouvée nue sur le palier.
Une petite mémé est montée avec un cabas bien lourd et m’a proposé de venir chez elle pour me prêter ce qu’elle pouvait et surtout des effets de sa fille.
Je lui ai promis de lui rapporter les affaires.
En entrant chez moi, ma valise m’attendait car la femme de son copain est venue dire la pute que j’étais.
Il me restait qu’une issue revenir chez la mémé et lui demandé de m’héberger.
Elle était contente de parler à quelqu’un.
Rapidement j’ai vu qu’elle était amnésique sur ce qui s’était passé peu de jours avant car lorsqu’un monsieur est venu la voir, elle a été incapable de lui dire, comment nous nous étions rencontrés.
Elle se souvenait de tout ce qui s’était passé plusieurs années avant et après sa deuxième visite.
Elle m’a dit que lorsque le petit avait 18 ans pour fêter son anniversaire, elle l’avait dépucelé avec sa copine de travail qui en avait aussi profité.
Elle était au service d’une famille aisée ou elle tenait lieu de femme de compagnie auprès de la maîtresse de maison mère de mon futur mari.
Un jour il est revenu avec la jeune fille du notaire de la ville et il l’a épousé.
C’est quelques années plus tard qu’il est venu voir cette femme qui avait pris sa retraite et qu’il venait voir car il avait la reconnaissance du ventre.
Un jour il est venu, revenu le lendemain et encore le surlendemain et c’est là qu’il m’a dit qu’il divorçait pour m’épouser…

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