Collection Détective Prive. Agence Victoria Détectives Privées. (2/2)

Je suis au restaurant avec une cliente susceptible d’avoir des motifs de demander le divorce d’un vieux mari bizarrement très riche.
J’en savais assez sur son parcours aussi je suis passé à la deuxième phase de ma manière de pratiquer la résistance de la dame face au sexe.
Je savais une chose et j’en avais constaté une autre.
Je savais que Christian et Lauriane lorsque je réservais savaient que j’avais des choses à tester.
Ma table avait une nappe placée de manière qu’aucun client remarque ce qui se passait dessous.
Si possible, toujours attaqué par le dessus.
Odile en me racontant son histoire s’amuse avec son couteau.
Elle le fait tourner entre ses doigts.
Je suis à l’affût car inexorablement, je vais avoir une ouverture.
Elle se produit lorsqu’il lui échappe.
Ma main posée sur la table, je laisse passer le couteau et att sa main comme par inadvertance.
Elle me la laisse un point de gagné.
Je vais attaquer par le bas lorsque Odile me devance et je sens sa jambe me caresser une jambe au début et remonter lentement dans l’intérieur de mes cuisses jusqu'à atteindre ma chatte où elle est surprise de la trouver dénudée.
Alors qu’elle me caresse la vulve avec ses doigts de pied faisant carrément rentrer son pouce dans ma vente qui envoie une petite décharge de cyprine pour la remercier.
Il faut savoir que, lorsque mon excitation est au maximum de temps en temps, je joue les femmes fontaine.
Un temps surpris Odile continue le geste qu’elle a commencé à faire et qui la voie tirer fortement sur quelque chose sans que je voie.
Sa main ressort et un petit morceau de tissu atterrit dans mon assiette à dessert que je viens de terminer.
Je prends ce morceau de tissu rose et je le porte à mon nez.
Il sent la chatte bien mouillée que nos caresses successives à bien alimentée.
En la regardant bien dans les yeux, je prends son string et je le mets dans ma bouche.


Le carré est si petit qu’il entre intégralement dans ma cavité buccale.
Sans la quitter des yeux et toujours en lui tenant la main, je ressors sa petite culotte que je lui rends.
Sans hésiter elle le prend et le fait disparaître sous la table.
Sa main ressort libre où l’a telle placée.
Les quelques secondes où elle a disparu semblent avoir été suffisante pour que si les choses évoluent bien pour qu’elle l’ait mis à l’intérieur de sa petite chatte que j’ai bien envie de voir de plus près.
Son pied sous la table qui continue à me caresser m’oblige à abréger le repas.
Je passe ma main sous la table et en lui caressant le pied, je le sors de ma fente et je le repose au sol.

- Viens suit moi.

Dans le mouvement, je la tire par cette main que je tiens sans la lâcher depuis plusieurs minutes.
Nous embrassons Lauriane et Christian et nous franchissons les quelques mètres qui me séparent de mon chez-moi.
Dans l’ascenseur, je la serre contre moi en nous regardant fixement dans les yeux.
Je pourrai lui prendre la bouche.
Je suis sûr qu’elle dirait bingo mais je crains qu’avant le septième si je plonge sous sa jupe pour retrouver le carré de tissu et que je lui broute son minou dans cet endroit exigu je sois dans de mauvaises situations.
J’aime faire l’amour comme une chienne en chaleur mais à 34 ans, je m’embourgeoise légèrement et mes draps en soie me paraissent plus agréables.
Je la tire par la main dès ma porte ouverte et pendant que je lui enlève ses affaires, elle en fait autant pour moi.
Sa toison contraste avec ma chatte épilée au laser.
Elle est très fournie mais très bien entretenue et coupée à la bonne hauteur pour que, lorsque je mets la bouche sur sa chatte, mon nez trouve une toison douce.
Son clito est bien proéminent et je peux le saisir avec mes incisives. Elle me prend la tête dans ses mains comme si elle souhaite que je continue à lui massacrer son petit bouton.

Les cris qu’elle commence à me faire entendre me prouvent que je suis sûr la bonne voie et que si tout continue sur le même rythme et la même ligne, je vais assurer la pérennité de mon agence pour de longs mois.
Je relâche la pression de mes dents au moment où au cas où Odile ferait un faux mouvement avec ses fesses, je risquerai de lui sectionner son petit attribut.
Loin de moi l’envie de l’handicaper pour le restant de sa vie.
Je passe à la phase lèches en lui soulevant les hanches et en dégageant sa jolie pastille toute fripée qui si comme elle me l’a dit, défloré par son premier amant.
Je le sens lorsque je lui fais une feuille de rose et que ma langue doit énormément forcer pour la pénétrer.
La façon dont elle se tortille m’aide à approfondir les choses jusqu’à ce qu’un petit frisson lui parcoure l’échine.
Elle souhaite me rendre la pareille mais comme je souhaite continuer à brouter sa jolie vulve bien rose quand elle est bien ouverte, nous attaquons un très beau 69 qui nous amène rapidement à un orgasme simultané.

Au matin, le lit est vide et j’ai un instant peur qu’elle met quitter.
Je l’entends chanter mais la voie me semble lointaine.
Je me lève, je la trouve sur la terrasse appuyée nue sur le muret qui me protège des voyeurs lorsque moi-même des jours aussi chauds que ce matin, je bronze nue couchée sur mon transat.
J’arrive derrière elle, j’appuie ma chatte sur ses fesses qu’elle a très belles et je place ma main sur ses seins que j’ai beaucoup aimé martyriser comme son clitoris aux files de notre nuit de plaisirs réciproques.
Même si ce que j’ai fait hier et cette nuit ai été un vrai plaisir pour nous deux, il faut que je me mette au travail.

- Mon cœur vient déjeuner, on va parler contrat.

Je l’installe sur la table de la terrasse et je vais chercher un plateau avec le café et des biscottes sans sel, ligne oblige.

- Odile es-tu sûr que ton mari te trompe ?
- Non, mais j’en suis presque sûr.

- Et où penses-tu que je peux prendre des photos de son adultère.
- Sur son bateau sur la côte.
- Et tu crois que je vais pouvoir avoir accès à ce bateau pendant que pépère tringlera sa copine, tu rêves s’il va en mer pour être tranquille oublie mon agence.
Par compte, si tu veux revenir pour passer de merveilleux moment, je serais à ta disposition pour prendre ton mal en patience en attendant que ton mari casse sa pipe.
À l’âge qu’il a, dans 30 à 40 ans, tu seras libre.
- Tu as raison, excuse-moi pour le dérangement.
- Aucun dérangement grâce à la nuit que l’on a passée.
Tu vois, j’ai une méthode de travail un peu originale comparée à d’autres agences.
Je teste mon client où ma cliente pour savoir si elle me prend pour un jambon en étant elle-même le salop ou la salope qui veut espérer trouver un os dans le jardin de son mari.
J’ai horreur de perdre mon temps en planque et autres filatures, si tu le veux, tu m’as prouvé que tu méritais de recouvrer ton indépendance pour profiter de son argent, je peux t’aider à une seule condition.
- Laquelle ?
- Que mon agence en retire un bénéfice conséquent.
Combien ton divorce vaut-il, dit moi tout si tu veux être gagnante ?
- Son affaire vos 100 millions d’euros, son comptable a dit que je pouvais en tirer 30 %.
- En vendant ?
- Non sa mère peut payer.
- Ce comptable, c’est ton amant.

Le temps qu’elle mette pour répondre me confirme qu’elle se fait sauter par ce type.

- Oui, depuis 6 mois.
- Qui t’a dit que ton mari te trompait ?
- Lui.
- Il est marié ?
- Oui mais il va divorcer pour m’épouser.
- Tu veux que je te dise des histoires comme la tienne, j’en ai réglé des dizaines et chaque fois le gars a pris le fric qu’il a réussi à se faire offrir et c’est tiré sans demander son reste.
Pourrais-tu me donner ses coordonnées ?
Je vais enquêter sur lui.
Deuxièmement, 100 millions d’euros, tu prends 33 millions si tu me signes un contrat pour trois.

Je t’apporte un dossier en béton irréfutable devant le juge des divorces et à toi la belle vie sans t’emmerder avec un mec.
- Si tu m’apportes les preuves sur mon amant, je te signe un contrat de suite pour la somme que tu as dit avec un bonus si j’avais la chance de toucher plus que les 30 %.
- Autre chose ton mari a-t-il des habitudes chaque jour.
- Oui à 18 heures au café de la Paix place de l’Opéra.
- Peux-tu me fournir une photo que je le reconnaisse ?
- Sans problème, je t’apporte tous ces renseignements sur mon amant et mon mari demain à ton agence.
- Non, ma grande, nous avons passé un agréable moment ensemble mais maintenant que je vais travailler pour toi, il faut faire attention car Paris est jonché de caméra et si notre ennemi réussit à récupérer des photos où nous voient ensemble tous été fichus et adieus tes trente millions.

Je l’ai aidé à remettre ses vêtements et sous prétexte de travail, je l’ai raccompagné jusque sur le trottoir.
Je suis rentré à l’agence ou j’ai briffé Carle, mon photographe et Alizé ma secrétaire, filatrice car il en faut de temps en temps et occasionnellement petite maîtresse car si j’aime les hommes, les femmes prennent une grande place dans ma vie.
Carle est le mari d’Alizé depuis deux ans, non mon amant !
Ils travaillent sans tabou.

Dès que je reçois les photos et les adresse, je détache mes adjoints sur un dénommé Tonio comptable et amant de sa patronne.
Nous étions un vendredi et Tonio avait prévenu Odile que les week-ends, ils ne pouvaient se voir car sa femme l’emmenait dans sa maison de campagne.
Le lundi à midi j’étais en possession d’un dossier où Alizé baisait allègrement avec le dénommé Tonio.
Sur la table alors qu’il l’enfilait assise sur une chaise, Carle avait réussi à cadrer le gros titre avec la photo et les amants.
Dans le dossier, ils avaient acheté ce même journal faisant preuve du jour où la photo était prise.
Comment Alizé et Carle ont réussi à passer un moment avec cet homme, je les ai vus faire des choses tellement insensé que j’ai renoncé à chercher à comprendre ?

Preuve en main, je donne rendez-vous à Odile dans un cinéma de son quartier.
« Intouchables » est le film qui vient de sortir mais les salles sont trop pleines pour rencontrer ma cliente et maîtresse en toute discrétion.
Je prends un billet pour « Another Earth » film sorti depuis plusieurs semaines et où à dix minutes du début du film deux tickets sur l’écran de décompte sont vendus.
Je m’installe au dernier rang de la salle.
Les deux autres clients sont assis cinq rangs devant moi.
Odile vient s’asseoir à mes côtés.
Je lui explique que dans le dossier que je lui remets les photos irréfutables avec son amant.
Il est célibataire et a emmené mes collaborateurs dans sa maison de campagne et que le journal prouvera qu’elle est manipulée par l’homme.
Elle prend, le dossier se lève discrètement et quitte la salle.
Lorsque je reviens, elle me donne la dernière partie du dossier avec le contrat que si j’arrive à le réaliser me rapporteront environ 3 millions d’euros dont 10 % dès que le divorce est engagé.
Jolie ma méthode.
Nestor Burma piste des gens pendant des jours pour gagner une misère.
Certes, il me reste à faire tomber son mari dans mes griffes.
Mais la belle pouliche que je suis et la passion que je vais mettre pour récupérer tout cet argent va me donner des ailes et des idées.

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