Caroline 2

Partie 2

Deux mois ont passé depuis la sortie en boite de Caroline, pendant cette période, elle a continué à sortir boire un verre avec ses copines mais n’a jamais voulu retourner en boite.
Malgré l’insistance de Sophie et ses lourds sous-entendus, elle n’a pas voulu non plus raconter ce qu’il s’était passé avec Paolo.

Cet épisode l’a marquée en profondeur, à chaque fois qu’elle y repense, elle est partagée entre honte, dégout mais une petite pointe d’excitation subsiste en elle. Quelle soirée, jamais elle n’aurait pensé en vivre une si particulière. Honteuse de son comportement, qu’elle attribue en grande partie à l’alcool dont elle n’aurait pas dû r et qui lui a fait perdre le contrôle e la situation.
Dégoût de s’être comportée comme une trainée et d’avoir risqué d’être enceinte à son âge.
Reste cette petite lumière en elle, quelle queue incroyable du videur, quelle jouissance, quel pied elle a pris. Même dans ses fantasmes les plus fous, jamais elle n’aurait imaginé une telle soirée. Elle a toujours eu ce petit fantasme d’être prise de force par un inconnu mais ça restait toujours dans le cadre des jeux avec son ex-mari, elle était trop pudique pour penser le réaliser un jour.
A chaque fois qu’elle se remémore cette queue épaisse qui l’avait rempli comme jamais et qui avait déclenché une intensité de jouissance incroyable, son sexe devient humide et ses doigts viennent glisser dessus.
Tu deviens folle ma grande, pense-t-elle souvent, quand on a goûté à une telle jouissance, on a un peu envie d’y revenir mais il était hors de question pour elle d’y remettre les pieds. Cela restera maintenant un souvenir, un fantasme même s’il la hante souvent quand elle se sent seule dans son grand lit vide le soir.

Encore une nouvelle semaine qui commençait, Caroline finissait de se préparer à aller travailler, petit tailleur strict, chemisier blanc, veste de marque, le costume classique pour la directrice régionale qu’elle était.


De ses deux filles de 18 et 21 ans, seule Valentine la plus jeune vivait encore à la maison, Mathilde était partie, elle, faire ses études dans une autre ville et ne revenait que rarement, souvent les Week end.
Un bisou sur le front de Valentine en guise d’au revoir, Caroline sortit de chez elle et prit sa voiture pour se rendre au travail.

La circulation était dense comme chaque lundi matin mais ce petit trajet de 30 mn lui permettait de se mettre dans la peau de son personnage, de passer de gentille maman douce et aimante à la maison à directrice régionale stricte et autoritaire.
Deux voitures étaient en attente avant elle pour entrer sur le parking, à chaque fois l’agent de sécurité devait contrôler visuellement le badge avant de laisser entrer. La première passa, la seconde avança au contrôle, Caroline prépara son badge. La seconde avança, Caroline montra son badge et ce fut une déflagration, son rythme cardiaque s’emballa d’un coup, elle était blême.

L’agent de sécurité lui fit un geste pour entrer accompagné d’un bonjour, Caroline démarra et stationna sa voiture a sa place attitrée. Le moteur éteint, elle avait besoin de reprendre ses esprits, ses mains tremblaient de façon incontrôlée, elle avait la gorge sèche et ses jambes n’avaient plus la force de la porter.
Non ce n’est pas possible ! Ce n’est pas vrai ! Merde ! Tu te trompes, c’est pas ça, tu deviens folle… Caroline était complètement déboussolée, désorientée par ce qu’elle avait cru voir.
5 bonnes minutes d’exercices de respiration pour se remettre dans le sens de la marche, elle prit une grande inspiration et se dirigea vers l’entrée du bâtiment.
Tout au long du trajet jusqu’à son bureau, elle resta en éveil, scrutant tous les visages sur son passage.

Arrivée dans son bureau, elle posa ses affaires et appela immédiatement son assistante qui accourut.

- C’est qui le vigile du parking ? il est nouveau ?
- Euh… Non, il est déjà venu plusieurs fois … je ne sais pas trop… pour quoi cette question.


L’assistante était un peu désorientée par la question, elle ne voyait pas trop où sa directrice voulait en venir.

- Pourquoi, il y a un problème avec lui ?
- Non, mais pouvez vous me trouver des informations sur lui rapidement. Merci
- Euh, oui d’accord, je vais appeler sa société et je vous ramène le dossier d’accréditation qu’ils nous ont fait parvenir.
- Non, juste le dossier pour le moment. Merci et n’en parlez à personne.
- Oui, d’accord je vous ramène le dossier de suite.

Quelques minutes plus tard, l’assistante déposa le dossier sur le bureau de la directrice accompagné du café qu’elle apporte tous les matins.
Caroline avait allumé son ordinateur, elle commençait toujours par lire tous ses mails. Mais ce matin, il lui était difficile de se concentrer sur sa lecture, ce dossier rouge posé sur le coin supérieur de son bureau la terrorisait à chaque fois qu’elle lui lançait un regard, sa main droite se mettait à trembler.
Et si c’était lui ? Que faire ?

Résolue, elle prit son courage à deux mains et rapprocha le dossier. Une grande inspiration et elle l’ouvrir. La photo d’identité, c’était lui. Sa main tremblait de plus belle, une goutte de sueur coula le long de sa tempe. Pas de doute, c’était lui. Lui qui l’avait prise comme une chienne il y a deux mois, lui qui l’avait contrainte à un rapport qu’elle ne voulait pas. Mais lui aussi qu’il l’avait fait jouir comme jamais. En regardant son visage, c’est sa queue qu’elle revoyait, cette queue bien noire et épaisse qu’elle avait accueillie en elle un soir en boite.
Tut… tut…. Tut…. La sonnerie du téléphone sortit Caroline de ses pensées.

- Oui
- L’équipe commerciale est là pour votre point du lundi matin.
- Euh, non, dites-leur que la réunion est repoussée à plus tard, je les appellerai.
- Ah ! Bon d’accord.

Caroline était au boulot sans y être. Elle avait surtout un grand problème, que faire ? Elle ne pouvait pas ne rien faire, s’il commençait à parler et à raconter partout sa soirée en boite ce serait catastrophique pour elle.
Une petite voix intérieure lui suggérait bien d’y regoûter mais ce n’était absolument pas possible ni envisageable. En entreprise, il n’y a pas de sentiment, il faut agir et vite pour éliminer le problème.

- Lisa !
- Oui madame
- L’agent de sécurité du parking, vous appelez sa boite et il dégage. Je n’en veux plus ici.
- Oui d’accord mais si on me demande la raison, je dis quoi ?
- N’importe quoi, vous trouvez ce que vous voulez, je m’en fiche. Je suis le client, je paie, alors ils font et c’est tout.
- Oui madame, je m’en occupe de suite.
- Et rappelez les commerciaux pour la réunion.

Un bon problème de réglé, Caroline le cœur léger ouvrit le tableau de bord des actions commerciales et commença à étudier les résultats de la semaine précédente en attendant les commerciaux.

La réunion avec les commerciaux fut très productive, les résultats étaient bons mais Caroline en voulait encore plus. Elle était une patronne très exigeante, qui ne laissait rien passer à ses équipes et qui voulait sans cesse pousser ses équipes plus loin. Ses collaborateurs la craignaient, de sa personne se dégageait une autorité naturelle et une force de caractère qui faisait l’admiration de tous.

- Messieurs merci et on se revoit lundi matin. A vous de jouer. Trouvez des solutions plutôt que des excuses. Bonne journée.

Les 8 commerciaux rangèrent leurs affaires et sortirent du bureau en troupeau.

Des cris résonnèrent dans le couloir.

- Non, non, vous ne pouvez pas, non

Caroline se retourna à peine qu’elle le vit dans l’entrée de son bureau.

- Excusez-moi madame, je lui ai dit qu’il ne pouvait pas mais il ne m’a pas écouté.
- C’est bon tu me lâches, je suis pas un chien qu’on jette, je veux une explication.
- Laissez nous - dit Caroline à son assistante avec autorité.

Elle sortit en fermant la porte. Le grand black sembla s’apaiser un peu.


- Ma boite m’a dit que je devais partir d’ici parce que vous ne me voulez pas

Caroline avala sa salive mais sans se départir de son autorité professionnelle, elle lui lança.

- Oui, je suis le client et nous avons d’autres projet dans lesquels vous n’entrez pas. C’est comme cela et pas autrement. Maintenant, veuillez sortir de mon bureau, l’entretien est terminé.

L’homme semblait tout d’abord sonné par les paroles de la directrice puis son regard changea, ce visage, cette voix semblait lui dire quelque chose mais quoi ?

- On s’est déjà rencontré quelque part avant ? Non ?

Caroline avait pris un uppercut en plein visage, elle sentait qu’il fallait rapidement en finir.

- Monsieur vous sortez maintenant ou j’appelle la sécurité. Merci

L’homme sourit, cette même phrase, ce même ton, cette même façon de toiser les gens, maintenant il se remémorait ! Oui, malgré son « costume de cheffe », son air supérieur, il l’avait reconnue.

- Oui…. Je te reconnais…. Tu es la salope qui aime les queues des blacks.

Le visage de Caroline se figea d’un coup puis elle sentait qu’elle se décomposait littéralement. Son assurance et son autorité envolèrent d’un coup en éclat. Elle était atteinte dans sa chair. Tremblante, elle s’assit dans son fauteuil.
Le grand black s’approcha d’elle lentement et se pencha à son oreille pour lui murmurer.

- Oui c’est bien toi. Tu sais que je n’ai jamais rencontré une salope qui aime la bite comme toi.

Caroline restait stoïque, le regard fixe droit devant. Il continua

- Je suis certain qu’en ce moment ta chatte doit dégouliner comme jamais, tu n’as qu’une envie c’est de reprendre ma grosse queue dans ta petite fente de blanche.

Caroline avala sa salive, elle sentait la sueur couler dans son dos. Elle se sentait une petite biche prête à se faire dévorer par un grand fauve. L’homme pianotait sur son téléphone pendant quelques instants.

- Je comprends que tu ais peur pour ta réputation ma petite salope mais quand tu vas y repenser ça ne sera plus ta priorité bientôt…. Je vais partir comme tu l’as demandé… sans faire de vague, en toute discrétion. Si tu changes d’avis, il faudra assumer la salope que tu es. Je t’ai envoyé quelques vidéos de notre dernière rencontre que mon copain avait prises. Je suis certain que ça va te rappeler de bons souvenirs.

L’homme avait parlé tout doucement à son oreille, puis sans un bruit ou un regard, il sortit de la pièce sans se presser.

A peine parti, l’assistante de Caroline entra.

- Ça va madame ? Il ne vous a pas…

Elle n’eut pas le temps de finir que Caroline la coupa en la rassurant et lui dit de sortir.
Seule dans son bureau, elle but un verre d’eau pour se désaltérer. Ouf, c’était fait, c’était fini. Elle en était débarrassée.


La journée reprit le cours normal des choses, passant de réunions à visioconférence ou entretiens.
La montée d’adrénaline passée, la pression retombée, Caroline, soulagée par la tournure des évènements, était d’humeur assez joyeuse. Contrairement à son habitude, elle se permettait des approches plus ouvertes et gentilles avec ses collaborateurs.
L’heure du repas approchant, Caroline fit un tour aux toilettes avant de partir manger.

Assise pour faire pipi, elle vit que sa culotte était toute tâchée. En la touchant avec ses doigts, elle sentait qu’elle était toute humide. Troublée par cette sensation, elle fit glisser sa main vers son sexe mais s’arrêta juste avant.
Non tu es folle ma grande, il avait tort, ce n’est pas cela. Le stress et rien d’autre. Caroline ne toucha pas son sexe, elle s’essuya, remonta sa culotte et partit manger.
Elle mangea comme à son habitude toute seule dans un petit restaurant du quartier. C’était son petit moment de décompression à elle. Cela lui permettait de recharger les batteries pour l’après midi, d’évacuer toute cette pression professionnelle qu’elle adorait mais qui lui pesait beaucoup.

Au retour au bureau elle avait jeté un œil discret vers le parking. Son cauchemar n’y était plus, il avait été remplacé comme prévu. L’après midi allait être plus calme, plus propice au travail.
Quand Caroline voulut se remettre au travail, elle avait un peu de mal à se concentrer. Ces deux vidéos que le black lui avait envoyés la titillait. Elle en connaissait le contenu, elle savait ce qu’elle pourrait voir si elle les ouvrait mais ça l’empêchait d’avancer sereinement.
Sans y faire attention, en regardant ces messages non ouverts, sa main a glissé sous sa jupe, remontant doucement vers sa culotte.
Le tissu était toujours humide. Ces vidéos lui brûlaient les yeux. Que faire ? Les visionner, les supprimer. Difficile de se décider. Une sensation agréable montait, un doigt caressait son sexe par-dessus le tissu de sa culotte. Son doigt, mue par une envie qui la dévorait.

Seule dans son bureau, elle remonta sa jupe sur ses hanches, écarta ses jambes et elle commença à ses toucher plus intensément le sexe par-dessus. Il lui en fallait plus, un doigt passa sous l’élastique et partit à la rencontre de ses lèvres vaginales, suivi d’un second et enfin c’est toute sa main qui écarta la culotte pour se laisser un libre accès à son sexe.
Juste un doigt sur le bord de ses lèvres au début mais il pénétra sans résistance en elle. Il se noya dans sa fente tellement elle mouillait. Un second doigt tenta se sauver le premier mais il se noya également au fond de son sexe. Caroline dégoulinait littéralement.
Elle lança une vidéo et se fût un choc pour elle. C’était un film porno et l’actrice lui ressemblait beaucoup. Cette actrice qui subissait les assauts d’un grand black lui semblait irréelle mais c’était bien elle. Un troisième doigt puis rapidement le 4ème entra pour l’aider à se masturber. Caroline était en transe, cette grosse queue noire elle s’en rappelait au plus profond d’elle, à cet instant elle l’aurait bien reprise avec plaisir, juste pour sentir à nouveau cette incroyable jouissance.
La vidéo était courte, trop courte, elle l’aurait bien regardé pendant de longues minutes. Caroline était moite de plaisir, dans un sursaut de lucidité, elle cessa sa masturbation. Son bureau n’était pas le meilleur endroit pour cela.
La seconde vidéo fut plus longue, elle montrait Caroline se faire baiser contre le mur, elle se voyait le visage déformé par la montée du plaisir. Des zooms étaient fait sur son visage et elle s’entendait distinctement dire qu’elle était une salope à black. Les gros plans sur cette queue qui entraient en elle firent voler en éclat sa volonté, sa main reprit sa masturbation. La vidéo à peine finie, Caroline la relança encore et encore, le temps pour elle de jouir en même temps.
Elle remit sa culotte en place, redescendit sa jupe et se rajusta. Ses doigts luisaient de son jus, un à un elle les lécha avec des pensées lubriques. Ce soir, au calme dans son lit, ces vidéos, elle allait encore les regarder….

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