Vacances Et Découverte (2)

Je ne suis plus puceau… !!!

Tellement j’étais heureux de me retrouver dans les bras de Medhi, qu’il me semblait que le monde autour de moi n’existait plus, ou du moins, d’une manière très floue. J’apercevais Dietrich se faire défoncer par les autres, subissant même une double pénétration et je me disais en moi-même qui si lui pouvait supporter 2 grosses bites en même temps dans son trou, je serais bien capable de prendre celle de Medhi, pourtant énorme, et en totalité, même pour un dépucelage… Je le rêvais comme tel, fait par un pieu vraiment démesuré, peu importait ma souffrance initiale.

Curieusement le groupe qui baisait à qui mieux mieux entre eux, nous laissait tranquille Medhi et moi, jetant quand même quelques regards discrets vers nous. Je m’étais enfin décidé à goûter à ce sucre d’orge plus que XXL, ne pouvant pas l’avaler bien sûr, ce qu’il m’a appris plus tard, mais me délectant de ce merveilleux miel que produit le sexe de l’homme… C’était totalement extraordinaire, avec une saveur et un goût, que jamais je n’avais connu auparavant, lors de mes deux précédentes pipes, si fades.

Dietrich jetait souvent un œil sur moi, et il a vite compris que ma bouche ne suffisait pas à Medhi et qu’il voulait mon cul. A l’époque, pas besoin de capotes, mais tous les gels actuels n’existaient pas encore. Il s’est vite relevé, a filé à la salle de bains et a ramené un gros tube de vaseline, seul lubrifiant du moment. Sur ses conseils, lors de ma douche avant de venir, je m’étais nettoyé en profondeur avec le tuyau dévissé dans mon trou, à plusieurs reprises, jusqu’à obtenir une eau parfaitement claire. Un peu douloureux quand même, surtout que c’était la première fois, mais je lui faisais confiance et donc, j’ai suivi ses conseils à la lettre.

Medhi a pris le tube, mais avant ça, il m’a basculé sur la table basse, écartant mes lobes pour embrasser, lécher ma corolle, le pourtour et le plus loin possible.

Puis j’ai senti cette crème visqueuse me badigeonner, de haut en bas, puis un truc énorme, enduit de la même substance, frotter sur ma fente, cherchant à l’ouvrir peu à peu et s’introduisant à petits coups, de plus en plus intenses. L’anneau avait enfin cédé à la pression et son gland m’avait perforé au bout de quelques tentatives. J’avais super mal, ouvert en deux, je me sentais complètement écartelé, mais j’en voulais davantage. J’ai écarté mes fesses à deux mains pour qu’il continue sa pénétration. Il y est allé doucement, mais, mes doigts sur ses poils, au torse, au ventre, sur son pubis et sur ses fesses, hyper velues elles aussi ont fait céder toutes mes barrières. D’une manière douce au début, il est allé de plus en plus fort, en me défonçant comme un fou, sans retenue aucune, dès qu’il m’a senti totalement ouvert et offert, mon conduit s’adaptait à son fabuleux membre, dont il a dépassé le deuxième sphincter au passage, pour s’introduire en totalité dans moi.

Le silence régnait autour de nous, chacun contemplant ce dépucelage et cet accouplement hors normes. J’étais au Nirvana… D’abord, d’être enfin déviergé, en plus par un mâle hors du commun, et devant les amis qui m’avaient aidé et soutenu pour que cela se produise enfin, même si la douleur était colossale.
Medhi a hurlé sa jouissance quand il s’est déversé à long jets au fond de moi, comme moi, quand j’ai cru partir dans les pommes tellement notre plaisir était puissant. J’avais l’impression d’être détruit, d’avoir un gouffre entre les cuisses…. Mais j’étais heureux et comblé. J’avais perdu ma virginité d’une manière sublime. Dietrich m’a accompagné à la salle de bains pour me rincer, j’avais un peu de mal à tenir sur mes jambes,

« Alors ce dépucelage ? Bravo… !!! Tu as pris encore plus gros que la bite de mon frère… Que de la douleur ou du plaisir aussi ? »
« Les deux Dietrich… ça me brûle atrocement, j’ai l’impression d’être dévasté et d’avoir un gouffre entre les jambes, un véritable tunnel… Mais tu avais raison… Beaucoup mieux par hyper gros, une fois la douleur passée, le plaisir était si fort, si puissant.
»

Et nous avons rejoint les amis au salon.

« Dis-moi Marc, tu as ton bungalow, non ? »
« Oui, bien sûr Medhi, pourquoi ? »
« Parce que tu crois que la nuit est finie ? On vous laisse les amis… A plus. »
J’y croyais pas… !!! Il bandait toujours… !!! Avec la même intensité… !!!
« Tu voulais un mec mi espagnol mi arabe, et bien, tu vas te régaler »

Nous avons rejoint mon « chez-moi », assez loin tout de même, d’une manière quasi-indécente, je lui avais bien sucé la bite après notre coït inimaginable, et donc, aucune trace sur son short, sinon l’énorme barre qui la traversait. Sauf qu’on puait le sexe et sa semence qui dégoulinait entre les cuisses montrait à tous ceux que nous avions croisés que je m’étais fait complètement démonter, que j’étais un enculé.
J’avoue que pour un dépucelage, c’était vraiment un VRAI dépucelage. Ma fente était béante comme un véritable vagin ayant subi plusieurs assauts. Malgré la douleur toujours présente, et ma peur de recommencer, elle frétillait encore de désir.

« Au fait Marc, tu sais ce que tu as pris en toi pour la première fois ? »
« Désolé… J’avais oublié mon centimètre… !!! »
« 28 cm de long, 7 de diamètre avec gland plus large et 8 cm à la base… !!! »
« Tu rigoles ??? »
« Non, pas vraiment…. Et c’est la première fois que j’arrive à dépuceler un cul en entier avec mon mandrin. »
« Hmmmm… Ravi… !!! Mais j’ai super envie d’y regoûter… !!! »

Dietrich avait raison, c’est principalement dans la tête que ça se passe. On a baisé presque toute la nuit, le suçant, me délectant de son nectar, son pieu me perforait, dans toutes les positions, toujours plus fort et plus loin, me fécondant à plusieurs reprises, Mehdi était infatigable. Il est parti au petit matin, me laissant me reposer, nu, sur le ventre, cuisses écartées, chatte explosée et dégoulinante, recouvert de son odeur de mâle et de son sperme.

En fin de matinée, encore comateux, j’ai entendu Dietrich rentrer, ma porte n’était pas bouclée, et j’ai vaguement entendu son sifflement.


« Et bien mon Marc, tu as pris cher, on dirait, mais je t’avais prévenu. »
« Pas à ce point quand même… Suis mort… mais trop bon… !!! »

En ouvrant les yeux, je me suis rendu compte qu’un plateau de petit déjeuner, froid bien sûr, était sur ma table. Le serveur avait dû le déposer dans la matinée, en silence, sans doute constaté l’état dans lequel j’étais, complètement défoncé et la chambre empestant le sexe. Le rouge m’est venu aux joues, ainsi qu’une honte que je ne parvenais pas à masquer. Il a de suite compris la situation et m’a pris dans ses bras.

« T’inquiète… Ils sont habitués et ils en ont vu bien d’autres. »
« Oui, mais quand même… !!! »
« Putain…. Il t’a mis cher le Medhi… Tu verrais l’état de ta chatte… !!! C’est ce que tu voulais, non ? »
« Pas à ce point, j’ai encore super mal, mais… Franchement… Trop bon… !!! »
« Alors, remets-toi vite, il va venir vers 16 h pour t’amener à la plage. »
« Bonne idée… Un bon bain de mer me fera du bien… !!! »
« Parce que tu crois que c’est que pour ça ? »
« Suis pas sûr d’être en état de recommencer… !!! »
« T’es con… le passage est plus que fait maintenant, profites-en. »

En milieu d’après-midi, Mehdi est venu me chercher, tous poils dehors, embaumant la pièce de sa fragrance si virile, vêtu d’un simple short « poutre apparente ».
« Allez… Oust… A la plage… Ça va nous faire du bien, surtout là où je vais t’amener, petite crique bien sympa où je vais pouvoir te baiser à mort. »

Devant ce summum du mâle rêvé, toutes mes maigres résolutions de vouloir rester sage se sont effondrées, submergé par ce désir puissant, pourtant si récent, de l’accouplement. Et tant pis pour la douleur… Comme m’avait dit Dietrich, le passage était fait !





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