Vacances Et Découverte (4)

Journée Détente

Je m’entendais vraiment super bien avec Dietrich, trop content de parler allemand avec lui, langue que j’ai toujours adorée, et surtout, de notre franchise réciproque, c’était le seul avec lequel je pouvais aborder tous les sujets, sans aucune honte, ce qui ne m’était jamais arrivé en France.
L’Allemagne (RFA ou BDR de l’époque) avait toujours été plus libérale en matière d’homosexualité, toujours officiellement réprimée, mais tolérée du moment que cela reste toujours discret. Bars, Clubs, Sex-shops et autres, plus ou moins spécialisés dans le domaine existaient dans des endroits plus ou moins cachés, dont les initiés se transmettaient les adresses.

Je comprenais alors les raisons pour lesquelles il était aussi déluré en la matière, et moi, si novice. Il m’a décrit, avec force détails, sa nuit avec ses 3 mecs, et moi, la manière dont je m’étais fait prendre par Luis, avec ses formidables éjaculations, dont, hélas, je ne parvenais pas à contenir sa merveilleuse substance si abondante en moi.

« Tu aimes garder le sperme en toi ? »
« Oh oui, j’adore ça… Mais ça coule, ça part… Quel dommage, c’est tellement bon ! »

Il a jeté un regard autour de nous et a pris un objet dans son sac, de forme bizarre, oblongue, assez large, et resserrée à la base, que je n’avais jamais vu.

« Mais c’est quoi ce truc ? »
« Ca s’appelle un Plug… Tu le mets dans ta chatte avant de te faire baiser pour t’ouvrir un peu, ou après, pour la refermer et garder tout le jus en toi. »
« Et tu l’utilises ? »
« Oui, fréquemment… !!! Il y a plusieurs tailles, mais si tu as envie de t’en servir, et vu ce que t’a mis Mehdi, je te conseille de passer déjà au XL. »
« Tu me montreras ? »
« Pas de soucis mon pote »

Et nous sommes partis pour une balade en mer, que nous avions prévue la veille, faisant quasiment le tour de l’île, avec arrêt barbecue vers 14 h, conduit par un magnifique skipper, hélas, totalement hétéro, mais hyper prévenant… On ne peut pas avoir toutes les qualités… !!!

Rentrés tardivement au Club, assez fatigués et affamés, nous nous sommes rués sur le buffet, avec l’appétit digne des ados que nous étions.

Après un rapide tour autour de la piscine et de la soirée qui se déroulait, j’ai rejoint mon bungalow assez tôt, sans que, pour une fois, une bite n’ait visité mon fondement avant que j’aille dormir.
Je me suis réveillé assez tôt le lendemain, me rendant au restaurant pour le petit-déjeuner, qui était effectivement hyper copieux, rejoint un peu plus tard par Dietrich.

« Alors… Reposé ? »
« Oui, quand même… Je te rappelle que j’étais vierge avant d’arriver et que ça fait pas mal d’un coup quand même… !!! »
« Pourquoi… Tu regrettes ? »
« Oh que non… !!! Je te comprends Mein Freund, que ça fait du bien d’être baisé. »
« Alors… Envie de rester sage aujourd’hui ou non ? »
« Pas vraiment, mais je ne sais pas encore, on verra… !!! »
« Ca te dirait de baiser avec un mec bien monté, pas énorme mais bien large, avec des couilles hyper grosses, et qui éjacule des quantités phénoménales de foutre à chaque fois, et à plusieurs reprises ? »
« Tu rigoles… !!! »
« Non, suis très sérieux, j’ai testé… Inimaginable… Tellement qu’il jute, on dirait qu’il pisse tant il en envoie, et il peut baiser plusieurs fois en jutant toujours autant. »
« Arrête… Tu te fous de moi… !!! »
« Tu veux rester ? Sans problème mais je te file un Plug pour garder tout son jus en toi, ok ? »

Je l’ai accompagné jusqu’à son bungalow où il m’a montré ces objets que je ne connaissais pas. Il en avait 5, de tailles diverses, allant du assez fin à hyper gros, toujours de la même forme, une espèce de cône, plus ou moins large, resserré à la base, permettant de le conserver en soi, grâce aux muscles anaux. Une première pour moi devant ces objets. Il m’a avoué que le club possédait un sex-shop, hyper bien achalandé, mais dont l’accès restait très confidentiel. Du fait se ses nombreux séjours, il y avait un accès libre, mais il fallait qu’il me parraine pour que je puisse y aller, l’Espagne était encore sous Franco, même si, sans que nous le sachions encore, cela n’allait durer que quelques semaines.


« Tu prends le 4, et je préviens Francesco de te rejoindre ce soir, tu verras, c’est un mec sérieux, il va te baiser comme un dieu, en plus, il est bien poilu comme tu aimes. »
« D’accord. » Je n’ai su quoi répondre d’autre et nous avons passé l’après midi à la plage entre potes, nous amusant comme les ados que nous étions, avec des attouchements, mais sans rien de bien sérieux. Après la douche et avoir dévoré le buffet, Dietrich s’est approché de moi en douce.
« Nettoie bien ta chatte avec ta poire à lavement et éventuellement, prépare-toi avec le plug. Il va venir vers 23h. Au fait, je l’ai vu tout à l’heure, il a pas baisé depuis 2 mois… Tu vas dérouiller… Et n’oublie pas de remettre le plug après pour garder tout son jus dans toi !!! » Avec un magnifique clin d’œil.

La soirée s’est passée à flemmarder avec retour au bord de la piscine avant d’aller dîner. Je ne me lassais pas de contempler tous ces hommes, leurs bosses dans leurs maillots, et même quelquefois, des bites et des couilles qui sortaient des shorts de bain. J’étais hyper excité et je pensais à la nuit que j’allais passer avec Francesco.

Vers 22h30, je les ai quitté pour aller me préparer, avec bonne douche et lavement hyper profond, comme Dietrich m’avait appris à le faire. Propre comme un sou neuf, eau hyper claire évacuée à plusieurs reprises, j’attendais avec impatience les saillies avec ce mâle si particulier.

Il est enfin arrivé, pas super beau, mais dégageant une virilité et une puissance qui m’ont scotché de suite. Pas velu comme Medhi, mais néanmoins bien poilu, ce qui m’a interloqué, c’était la bosse à son entrejambe, hyper volumineuse. On aurait dit qu’il avançait à la « Lucky Luke », jambes plus ou moins arquées, comme si cet énorme paquet entre ses cuisses l’empêchait d’avoir une démarche normale.

Il s’est mis à poil de suite, ne gardant que son caleçon dont une énorme touffe de poils dépassait, présentant une proéminence que je n’avais encore jamais vue.
C’est là que je me suis rendu compte que ce n’était pas dû à sa bite, encore au repos mais à sa paire de couilles… Comment dire… De taureau, dont la majeure partie émergeait déjà du fin textile. Si le contenu était aussi plein que son contenant, j’allais effectivement être remplie comme une outre à foutre.

Il ne parlait qu’espagnol, et le mien était très médiocre, nous n’étions pas là pour échanger des discussions philosophiques, mais plutôt nos fluides et nos désirs étaient plus qu’explicites. Quand j’ai baissé le morceau de tissu, je suis resté estomaqué… !!!

Putain de burnes… !!! Elles me rappelaient vaguement celles que j’avais vues lors d’une visite à une exposition d’agriculture dans ma ville, au Parc des Expos, sur certains animaux, grosses, poilues, et surtout, débordant de ce précieux liquide mâle qui ne demandait qu’à fuser.

Quel merveilleux spectacle, dont je me suis empressé d’en profiter au maximum, des couilles à la bite l’amenant à sa taille maximale, pas hyper longue, je dirais 19 à 20 cm mais d’une largeur atteignant presque celle de Mehdi. Et quel fumet… !!! Un vrai concentré de mec, de testostérone, de phéromones qui me rendait dingue que cette énorme touffe de poils emprisonnait. Ma fente suintait déjà que Francesco ne se privait pas de caresser, de malmener et d’écarter mes lèvres anales pour me préparer à l’intromission de son membre que je me régalais à sucer pendant ce temps en caressant ses énormes bourses couvertes de poils longs et duveteux, jusqu’à ce qu’il ouvre mes cuisses, mettant ma chatte à sa disposition, ouvertes au max compte tenu de la taille de ses couilles au milieu. Dietrich m’avait prévenu, il baisait comme un bourrin et en plus, il était hyper en manque… J’allais dérouiller… !!!
Je l’avais déjà aperçu sur la plage, portant un short maillot hyper large, dont je comprenais la raison maintenant.
Il s’est introduit dans moi sans difficulté, mon temple à bites avait été déjà été bien formaté, enduit de crème, jusqu’à ce que je sente cet énorme paquet me taper sur les fesses.
Il m’a laminé bien fort et bien profond et lorsque que je l’ai senti prêt à jouir :

« Dedans ? »
« Oui… et tout… Je veux tout… »

Il s’est lâché dans des énormes jets que j’ai du mal à vous décrire, tellement ça ne s’arrêtait pas. Je savais qu’il avait 2 mois de jus dans les couilles… mais à ce point… Ça me dégoulinait de partout, et lui continuait à me défoncer… Excellent… !!! Heureusement que j’avais pris la précaution de mettre un drap de bain sous moi. Mon deuxième sphincter avait été franchi depuis Mehdi, il a pu dégager jusqu’au fond.
Dès qu’il est sorti de moi, toujours droit comme un « I », je me suis rué sur sa bite pour me délecter de son divin nectar, si parfumé, pour savourer les gouttes, abondantes, qui le revêtait encore… Quel délice… !!!

Sans me laisser le temps d’aller vider mon puits, il m’a tourné sur le ventre, enfonçant son pieu d’un trait, comme dans du beurre. Sa deuxième jouissante a été plus longue à venir, mais avec la même intensité, son foutre me dégoulinait partout le long de mes jambes. J’ai profité d’une faible accalmie pour aller évacuer le plus possible de tout ce qu’il m’avait mis, et au retour, il m’attendait, sur le dos, sexe dressé sur lequel je me suis empalé profondément, mes mains couraient sur tous les poils de son corps.
Je ne sais le nombre de fois qu’il m’a possédé cette nuit-là, dégageant toujours autant de jus. Ce n’étaient pas des couilles qu’il avait, mais une véritable usine à sperme, dont je me suis étouffé la fois où il s’est vidé dans ma bouche.

Dietrich ne m’avait pas menti sur ce point, et je me suis endormi au petit matin, encore couvert et rempli de sa substance retenue par le plug, n’ayant plus eu la force de me passer sous la douche, ma chambre empestant la baise.


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