Vacances Et Découverte (3)

La Plage

Il m’a amené au bord de mer, dans un endroit assez éloigné et discret quand même, où quelques couples d’hommes forniquaient sans complexe. A chaque fois que nous rencontrions d’autres personnes, il ne pouvait s’empêcher de mettre sa main dans mon bermuda, caressant ma chatte qui suintait encore, et au vu de la bosse entre ses cuisses, il était clair qu’il voulait montrer que c’était lui qui en avait pris possession.

Il m’a entrainé vers un endroit pas vraiment à l’écart, mais pas trop visible des autres, et a baissé son short pour que je lui suce la bite. Rapidement, il m’a vite mis à nu pour exhiber ma chatte, encore béante du fait de ses puissantes intromissions successives. Comme je vous l’avais dit, la douleur était encore trop présente, mais le désir l’emportait, bien plus puissant encore. Il m’a tourné, et s’est enfoncé en moi, en totalité dès qu’il en senti que ma vulve l’acceptait.

Tant pis pour la souffrance, mais trop de plaisir de se faire baiser, défoncer par un mandrin aussi puissant et qui m’ouvrait bien, j’attendais ça depuis si longtemps. Il m’a pris en « Doggy » comme on dit maintenant, ses poils collés sur mon dos et ses jambes velues épousant les miennes.

Bien évidemment, le spectacle que nous formions lors de cette intense copulation n’a pas manqué d’attirer certains spectateurs, ce qui ne me gênait plus vraiment, après tout, il m’avait dépucelé devant mes potes. Et ça m’excitait aussi de voir les mecs me mater en train de me faire défoncer par un mâle hors du commun.

L’un d’entre eux s’est approché de nous, membre volumineux et hyper tendu, s’est approché à quelques centimètres de ma bouche et dont je pouvais sentir les merveilleuses effluves viriles. Mehdi m’a pris par les cheveux, pour relever ma tête et rapprocher les lèvres de cette bite.
« Suce… Tu es venu ici pour ça, non ? »
« Oui, mais quand même… !!! »
« Arrête… Je vais te baiser à fond, mais je vais loin d’être le seul… Tu voulais de la bite, et bien, crois-moi, tu vas en avoir… SUCE… !!! »

J’ai ouvert la bouche et j’ai gouté ce nouveau pieu face à moi… C’était vraiment génial, bouche et cul remplis en même temps… Surtout lorsqu’un troisième s’est approché pour que je le branle.

Putain que c’était bon… Pendant deux heures, ils se sont alternés dans mes orifices, Mehdi en dernier, me remplissant encore de son abondante semence, ma chatte en débordait tellement ils s’étaient tous déversés en moi.

« En fait, tu es une belle salope quand même… !!! »
« J’avais super envie de sexe, mais je pensais pas à ce point. »

On s’est un peu rincés dans la mer, pris une douche chez moi et avons rejoint Dietrich et ses potes au buffet du dîner… J’étais affamé, mais quelles difficultés à m’assoir tellement j’avais mal au cul, ce que Dietrich a remarqué de suite avec son sourire ironique et je voyais Mehdi se marrer, sans parole, mais exhibant sa fierté de mâle. Toute notre table avait compris qu’il m’avait défoncé à mort, connaissant tous, son formidable appétit sexuel quand Dietrich s’est approché de moi…

« Alors… tu apprécies ? »
« Trop… »
« Alors, lâche toi complétement… Il n’y a pas que Mehdi, même si il sera souvent là pour te baiser, il aime trop ça, mais pas tout le temps. »

Il m’a appris que Mehdi possédait une petite propriété attenante au domaine, oliveraie et légumes je crois, mais comme cela n’était pas suffisant, il faisait souvent l’homme de main pour le club, le débroussant et l’entretenant régulièrement, ce qui expliquait son accès permanent. De plus, comme il adorait baiser les mecs, il en était ravi, et le club aussi, excellente image de marque.

J’avais tellement été défoncé toute la journée, que j’ai préféré aller me reposer, non sans un passage au préalable autour de la piscine pour mater les bosses dans les maillots, et les fabuleux corps de mâles.
En fait, au fil des années, la clientèle avait évolué. Au vu du peu de succès remporté par ceux d’un certain âge, pour ne pas dire d’un âge certain, on se retrouvait en grande majorité, entre-les 18/40 ans, sauf rares exceptions, et dans une liberté totale. Ce genre d’endroits restait quand même hyper rare en Europe, relativement confidentiels, mais où chacun des résidents savaient qu’ils allaient pouvoir bénéficier d’une sexualité débridée et sans tabou, seule la violence était totalement réprimée, surveillée par des gardes.
Je comprenais donc, le coût relativement élevé du séjour, qui, heureusement, n’avait pas interpelé mes parents… Francs, Pésétas, le change était en notre faveur à l’époque, et ils voulaient un endroit sûr pour moi, le club mettant en avant la sécurité qui y régnait. S’ils avaient su… !!!

Après m’être régalé du spectacle de ces corps d’hommes, j’ai quand même rejoint mon bungalow pour me reposer, me doucher complètement, lavement compris, et laisser ma chatte récupérer. Elle me faisait encore mal, mais elle me démangeait à nouveau.
Réveillé vers 3 heures du matin, je suis sorti prendre l’air, revêtu d’un simple short, nu dessous, et je me suis promené dans le domaine, cherchant la fraîcheur, mais sans doute, inconsciemment, plus que ça. Lorsque je suis tombé sur un trio qui baisait à qui mieux mieux, dans un bosquet, mais pas suffisamment touffu pour que je puisse ne pas les voir.

Medhi m’avait prévenu qu’il ne pourrait sans doute pas revenir avant 2 ou 3 jours, et il me semblait hors de question de rester sans sexe pendant tout ce temps. Sans trop me manifester, chatte encore douloureuse, j’ai repris le plaisir de mater ces hommes s’adonner aux joies de profiter de chaque parcelle de leurs corps virils. C’était à la fois très sensuel et brutal, comme j’aimais, assez surpris de constater que c’était un homme plus âgé, on va dire entre 35 et 40 ans qui se faisait démonter par tous les trous, par 2 jeunes hyper vigoureux et qui encaissait leurs assauts avec une jouissance totale. L’un d’eux s’est allongé sur le dos, l’empalant sur son membre plus que conséquent, pendant que l’autre frayait son passage dans l’antre déjà occupé.

J’avais déjà vu Dietrich se faire prendre en double dans on bungalow, mais là, c’était beaucoup plus fort, bestial, avec une ampleur phénoménale ces deux queues défonçant à mort l’orifice de ce mec qui semblait en retirer une jouissance indescriptible. Ce n’étaient pas vraiment des petits calibres, ni celui de Medhi non plus, mais quand même… !!!

Si je ne suis resté que spectateur, je crois que les neurones de mon cerveau ont joué à plein régime.
Jamais je n’approcherais une fille, des seins, une chatte. Quelles que soient les pressions que j’allais subir, je ne cèderais jamais, ma vie ne serait qu’aux hommes… Exclusivement…

A moi d’expliquer à ma mère, le moment venu, que les goûts sont différents dans la nature. Prenant par exemple qu’elle détestait le chocolat, alors la plupart des gens l’adorait, une grande majorité d’ailleurs, ce qui ne faisait pas d’elle une « anormale ». C’est un exemple que je vous décris là, mais il m’a fallu en user beaucoup d’autres ensuite.

Revenons à Ibiza, et après le spectacle de cette baise torride, je suis retourné dans mon lit, plein d’images dans les yeux et bien décidé à les mettre à profit, avec ou sans Medhi.
Après tout, comme disait Marcel Pagnol, « l’honneur, c’est comme les allumettes, ça ne sert qu’une fois ! » Et en ce qui me concernait, l’allumette avait déjà été bien consumée.
Même si je savais que le petit déj au buffet était superbe, j’avais souvent passé l’heure de m’y rendre, épuisé par mes baises ou mes sorties nocturnes. Le service était vraiment impeccable et lorsqu’une absence était constatée, un plateau était amené en chambre par un serveur, vers les 10 heures, moins copieux, mais conséquent.

Allongé nu sur mon lit, chatte à l’air, j’ai vaguement entendu les trois coups sur ma porte et l’ouverture grâce au passe du steward, selon l’usage en vigueur dans l’établissement. Mon plateau déposé sur ma table, il est resté quelques secondes à me regarder, offert, et ses mains m’ont caressé sur tout le corps, jusqu’à mes fesses, appuyant sur mon calice d’une manière de plus en plus précise. Je voyais la barre qui se formait entre ses jambes, relativement longue, mais surtout très large, qui déformait son pantalon d’une manière… Indécente.

« Je vous ai apporté votre petit déjeuner Monsieur… Avez-vous besoin d’autre chose ? J’ai un peu de temps devant moi, je suis Luis, pour vous servir. »
Les odeurs du café et celles que ce mâle dégageait, m’ont réveillé totalement, et surtout, mon désir de l’homme et de bite.
Il s’est approché de moi, collant ma bouche et mon nez sur son entrejambe, dont la braguette, fermée par juste un bouton, laissait passer ses effluves. Je n’ai juste eu qu’à l’ouvrir pour laisser son pieu apparaitre, comme je le devinais, hyper velu, pas hyper long mais d’une largeur peu commune, sous lequel une magnifique paire de couilles pendait.
J’avais appris par Dietrich que les serveurs étaient recrutés avec des qualités plus qu’exceptionnelles pour satisfaire les résidents, mais la seule condition imposée, était qu’ils pouvaient prendre certaines initiatives, mais en cas de négative, ils devaient rester hyper pro. Luis me plaisait trop, et c’est sans vergogne que j’ai embouché sa bite, le laissant malaxer mon orifice jusqu’à ce qu’il le pénètre vigoureusement, s’enfonçant le plus profond en moi jusqu’à en déverser tout son nectar, hyper abondant, à ma grande surprise. Puis il m’a laissé, me jetant sur le plateau, froid, mais avec sa chaleur dans mon ventre.
« Je suis à votre disposition, monsieur… Marc, je crois ? »
« Oui Luis »

Encore une fois, j’ai été trop heureux de me faire baiser et féconder à deux reprises par ce mâle hyper vigoureux, et après une toilette profonde, j’ai rejoint Dietrich à la piscine qui m’a détaillé sa nuit avec 3 mecs.


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