Série Insolite. Épisode 26 « Aurélien » : Rêve De Baiser Judith, La Vendeuse De Voitures. 5/15

Judith la vendeuse choisit au mois de novembre par la marque, pour ses compétences dans son travail, était une célibataire de trente ans. Dès qu’Aurélien l’avait rencontrée, il fut aux petits soins avec elle. Très vite, il avait fantasmé sur son corps, il était en admiration devant cette femme qui ne lui montrait pas son attirance. Ce n’était pas courant, le jeune mécano se sentait en échec, il s’était lancé le défi de parvenir de la baiser avant la fin de l’année. C’en était devenu une obsession, il ne comprenait pas car elle avait sympathisé avec lui mais sans jamais lui laisser la moindre ouverture.

À 24 ans, Aurélien était un tombeur, il avait tout pour lui, beau, charismatique, ayant un charme fou, nombreuses étaient les femmes de tout âge qui rêvaient d’être un jour dans son lit. Pourtant Judith qu’il désirait de plus en plus, lui résistait encore après trois semaines. Certains signes ne le trompaient pas, au vu des regards qu’elle lui lançait et ses sourires, il pensait que cette jeune femme n’était pas insensible à son charme. Judith était toujours la dernière à quitter la concession, elle avait souvent des clients jusqu’à vingt heures, qu’elle recevait dans son bureau du hall d’exposition.

Ce soir-là, il était 19h50 lorsque le couple Parmentier quittait le garage. Aurélien ayant à finir une voiture, était resté plus tard et fermait son atelier, lorsque Judith l’appela en levant des documents qu’elle tenait dans la main. Il s’approcha d’elle et attendait :
— Je viens de conclure deux ventes d’un coup, Aurel. Ça te dit de fêter ça avec moi ?

Il était franchement déçu de ne pouvoir rester, Sabine l’attendait à la maison et il ne voulait pas rentrer en conflit avec sa jeune compagne. Judith choisissait vraiment mal son moment. Cependant, l’occasion ne se représentera peut-être plus, il était pris entre deux feux. Il fit son choix :
— Bien sûr ! Tu as du champagne ou je vais en chercher à la boutique ?
— Non ! Viens avec moi en ville, je ferme et nous partons.



Toutefois, Aurélien aimait Sabine, la fille du patron de surcroit, il le regretterait probablement mais répondit après un instant de silence qui parut un siècle à la vendeuse :
— Désolé, Judith mais je ne peux te suivre en ville. Fêtons ces ventes ici, attends-moi je reviens. Lui dit-il en courant vers la boutique.
Judith ferma le hall à clé, baissa le rideau de fer et monta dans sa voiture. Aurélien revenait avec à la main, une bouteille de champagne et deux flutes. Arrivée à sa hauteur, elle baissa sa vitre et lui dit :
— Je file, Aurel, je ne te proposais pas une partie de jambes en l’air, juste un moment de détende entre amis. À demain !

Le jeune homme fut vexé, c’était rare qu’il prenne un râteau comme celui-là. Cette fille devenait son cauchemar. Il était pourtant persuadé que ce soir, la vendeuse aurait fini les jambes écartées sous ses assauts mais elle avait une nouvelle fois reculé l’échéance. Excité comme pas deux, en rentrant à la maison, il prit Sabine dans la cuisine avant de diner, tout en pensant baiser Judith :
— Il y a quelque chose qui t’a perturbé aujourd’hui mon chéri ?
— Non Sab ! J’avais très envie de te faire l’amour.

Pendant les dix derniers jours de décembre, avec les fêtes, les clients affluaient au garage. Judith accumulait les ventes, Aurélien, avec les révisions avant les départs en congé et la météo qui tournait à la neige, avait beaucoup de travail également, les changements de pneus se succédaient. Il s’apercevait que la vendeuse était de plus en plus froide vis-à-vis de lui. Sabine étant très occupée par ses devoirs à la Fac, était beaucoup moins disponible pour lui. Heureusement, pour se soulager physiquement, il avait toujours la petite employée de la caisse de la station qui n’attendait que l’occasion pour se faire sodomiser par son responsable.

Agnès savait parfaitement lui vider les bourses, cela se passait bien souvent les midis lors de sa pause déjeuner, les clients se faisaient plus rares, elle passait toutes les pompes en automates et rejoignait son amant dans son baisodrôme à l’arrière de son bureau.
Ce jour-là, la veille du réveillon de Noël, il finissait d’éjaculer une grande quantité de sperme sur les fesses d’Agnès qui venait de jouir, lorsqu’il entendit frapper sur la porte vitrée de son bureau.

Il renfila à la va vite son pantalon et ordonna à sa jeune maitresse de ne pas bouger. C’était Judith qui attendait toute souriante sur le pas de la porte. Il se précipita pour lui ouvrir :
— Je vais déjeuner à côté, je venais te demander si tu voulais bien te joindre à moi ? Lui demanda-t-elle.
— Ouais ! pas de problème, vas-y, je te rejoins dans quelques minutes.

Judith avait besoin de se confier, elle était malheureuse depuis sa séparation au mois de juin dernier. Elle sortait d’une relation de trois ans avec son responsable des ventes à la concession mère, lui étant marié, il lui avait promis de divorcer mais avait voulu rompre. C’était la raison pour laquelle, elle avait demandé sa mutation chez Prévost :
— Tu comprends pourquoi, je n’ai jamais voulu céder à tes avances.
— Tu me plais beaucoup Judith, dès que je te vois, j’ai une envie folle de toi.
— Toi aussi, tu me plais mais tu es casé avec Sabine. Je n’ai pas encore couché avec un garçon depuis ma séparation.
— Tu n’as pas tiré un coup depuis plus de six mois ? Comment fais-tu pour tenir ?
— Et toi ! Pourquoi trompes-tu ton amie ? Comment fais-tu ?
— Ce n’est que sexuel, j’ai besoin de faire l’amour souvent et Sabine n’est pas toujours dispo.
— Oui ! Agnès, Carine et les autres clientes sont là pour te soulager, je ne veux pas devenir une de tes salopes. J’ai besoin d’un minimum d’affection, même si tu restes avec ton amie.

Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd, le soir même, il était resté au garage et avait prévenu Sabine de son retard, prétextant un surcroit de travail avant le réveillon. Vers 20 heures, Judith attendait le départ de son dernier client, avec impatience. Elle avait besoin d’un homme, un vrai car les masturbations du soir avant de se coucher ne lui suffisaient plus, depuis qu’elle connaissait Aurélien, elle pensait à lui en se caressant.
Dans son bureau où ils s’étaient retrouvés, ils s’étaient enlacés, embrasser et caresser sensuellement. Judith avait rarement connu un homme aussi adroit de ses mains et de sa langue, lors d’un cunnilingus mémorable, elle prit un orgasme foudroyant, lui ayant remué autant les entrailles que le cerveau.

Lorsqu’il l’avait pénétré avec son épaisse verge de 17 cm, elle vécut un nouvel orgasme, juste avant qu’il ne retire sa capote pour éjaculer entre ses deux seins. Mais le comble, fut lorsqu’il l’avait retournée sur le bureau et l’avait sodomisée, sa jouissance fut magique sous les assauts puissants de son amant qui lui arrosa de son sperme, la raie de ses fesses déjà trempée de salive et de cyprine. De son côté, Aurélien fut comblé, Judith n’était pas une salope, mais elle faisait l’amour avec passion et sensualité, elle fut divine.

Ils furent si satisfaits, qu’ils renouvelèrent tous les midis leurs étreintes amoureuses et comme cela ne leur suffisait pas, le vendredi soir, au lieu de retrouvé son ami Thomas, il partait chez elle et passait une bonne partie de la nuit où les deux tourtereaux faisaient l’amour comme si c’était la dernière fois. Judith était comblée, avec Aurel, elle avait trouvé un amant formidable, tout en sachant qu’elle ne se mettrait pas en ménage avec lui.

Judith fut très vite acceptée dans l’entourage d’Aurélien, à la fête d’anniversaire de la petite Gaëlle en 2002, il avait convaincu ses amis, Sabine, Véro et Thomas d’inviter la vendeuse. Elle était devenue une très bonne amie de Véro et s’entendait bien avec Sabine également, malgré la différence d’âge. Pourtant la situation était cocasse car Judith couchait tous les jours avec Aurel, leurs étreintes étaient relativement courtes mais endiablées. Les deux amants furent suffisamment discrets afin que leur histoire de sexe passe totalement inaperçue pendant presque huit mois.

Cependant les choses allaient prendre une tournure inattendue, cela faisait près de quatre ans que Paul Prévost, le patron du garage et Claire Bonnet, la secrétaire comptable, vivait leur idylle cachée, seul Aurélien connaissait leur histoire d’amour.
Ils décidèrent de se marier en catimini en septembre 2003. Si Paul n’avait pas encore avoué à sa future femme qu’il avait une fille cachée (Stéphanie), il fut obligé d’avouer à celle-ci qu’il se remariait et lui présenta Sabine qui avait très mal accepté la situation, elle en voulait beaucoup à son père de lui avoir menti sur cette femme pendant aussi longtemps mais se fâcha également avec Aurélien de lui avoir caché cette liaison.

Pour ne pas arranger les choses, le lundi suivant, Sabine fit le plein de sa voiture. Elle prit le temps de discuter avec son ancienne amie à la station. Agnès, qu’Aurélien délaissait depuis qu’il fréquentait Judith, par jalousie et maladresse, avait laissé échapper quelques sous-entendus sans équivoque, sur le comportement de son chef. Le soir à la maison, Aurel put constater que sa compagne était bien plus que jalouse, elle était comme une furie, le harcelant de questions, tout en proposant, ses réponses.

Au départ, Aurélien nia tout en bloc, mais après plus d’une heure d’interrogatoire, il comprit qu’il devait dévoiler quelques écarts de sa part. Tenant beaucoup à Judith et ne voulant pas la mettre en porte à faux, il avoua les parties de baise, sans sentiment qu’il entretenait avec Agnès, tout en l’accablant personnellement : « Cette fille est une vraie salope, elle a tout fait pour que je la saute. » Il était parvenu à cacher son aventure avec la vendeuse, mais Sabine ne lui pardonnait pas d’avoir baiser sa propre amie.

Après cette dispute le couple se sépara, Sabine prit une location en ville à deux pas de la Fac, que son père finança. Cette mésaventure, ne plut pas du tout à Paul Prévost, même s’il aimait Aurélien, il mit les pieds dans le plat. Suite à cela, il rompit le contrat de travail d’Agnès et proposa le poste à la femme de son carrossier Thomas. En effet, depuis quelques temps, Véro voulait retravailler, ils avaient besoin d’argent et sa mère pouvait garder leur petite fille. Elle accepta volontiers de prendre le poste vacant à la station.

Aurélien se sentait coupable, il aimait autant les deux jeunes femmes et ne pouvait choisir, tout en sachant qu’à vingt-cinq ans, sa vie ne s’arrêtait pas là, elle venait seulement de commencer. Il avait beaucoup d’affection pour Sabine qu’il avait connu alors qu’elle n’avait pas encore 14 ans et l’avait même dépucelé plus tard. Aujourd’hui, elle n’avait que 19 ans, poursuivait ses études, elle n’était pas prête à se mettre en couple, il reconnaissait avoir fait une erreur.

De l’autre côté, Judith était une femme sérieuse, accomplie, plus âgée que lui de six ans du haut de ses 31 ans. Il tenait à son travail et savait que son patron Paul le surveillerait et ne lui ferait aucun cadeau s’il découvrait qu’il avait une aventure sexuelle avec la vendeuse. Ça lui creva le cœur, lorsqu’il rompit avec sa maitresse, si au départ, cette relation n’était qu’un besoin physique pour l’un comme pour l’autre, aujourd’hui ils s’aimaient et avaient même parler de se mettre en ménage.

Judith ne comprenait pas, elle ne fit pas d’esclandre, mais espérait qu’Aurélien change d’avis et lui revienne, elle était bien décidée de ne pas baisser les bras. Aurélien retrouvait sa vie de célibataire, il avait la ferme intention de profiter de la vie, travail et plaisirs sexuels serait son quotidien. N’ayant plus de contact avec Sabine, il n’avait aucun problème de ce côté-là, même s’il y pensait tous les soirs au moment de se coucher. Néanmoins tous les jours, il voyait Judith lui faire les yeux doux. Ce fut avec elle qu’il avait le plus de difficultés, il ne parvenait pas à l’oublier.

Il se devait néanmoins d’être le plus distant, malgré les érections journalières qu’elle lui procurait, lorsqu’il la voyait. Il revivait en pensées, leurs baises intenses et secrètes, dans le bureau de la vendeuse. Il se réfugiait alors, dans son atelier car à la boutique de la station, se trouvait désormais Véro, la femme de son copain avec laquelle il connut des moments intimes exceptionnels. Au niveau sexe, les deux ex amants étaient très fusionnels. Heureusement qu’ils avaient fait un pacte et le respectaient depuis la naissance de la petite Gaëlle.

Pourtant lorsqu’Aurélien avait des pulsions, il serait bien capable de dévergonder Véro qui n’attendait que cela. En effet, elle lui avait bien fait comprendre que depuis son accouchement, elle n’avait pas joui dans les bras de Thomas. Cependant, ce n’était pas le moment de se faire surprendre par son ami de toujours. Les sorties en boite les week-end, où il n’avait aucune difficulté à trouver chaussure à son pied, ne lui suffisaient pas. Il avait conservé ses contacts avec les quelques clientes dont Carine et les autres, qu’il ne baisait plus derrière son bureau mais à son domicile.

Agnès avait retrouvé un emploi comme serveuse dans un bar, elle était libre les mercredis-soir, ce fut cette soirée qu’ils avaient choisie pour prendre leur pied, il la baisait sans ménagement et elle en redemandait, c’était bien une belle petite salope. Si sexuellement parlant, Aurélien était comblé et satisfait, se faisant vider les bourses d’une manière ou d’une autre, sentimentalement, il était malheureux, Sabine, Judith et même Émilie lui manquaient.

En décembre, Thomas et Véro organisaient dans leur petit appartement HLM, en petit comité, le réveillon de Noël, avec Aurélien, le parrain de leur fille Gaëlle et Judith, la nouvelle bonne amie de Véro. Une quinzaine de jour plus tôt, Sabine leur téléphona pour prendre de leur nouvelle et parla d’Aurélien. Thom et Véro ne connaissant pas la liaison qu’entretenait leur ami avec Judith, l’invitèrent à cette fête. Le couple voulait bien faire, ils avaient envie que leurs deux amis se réconcilient, c’était pour eux, une excellente occasion de renouer.

Malheureusement, pour Aurélien c’était un véritable piège, il allait se retrouver avec deux des trois femmes qu’il aimait et qui allaient jouer chacune, de leur séduction afin de reconquérir leur amant. Pour Sabine, cela faisait trois mois qu’elle s’était séparée, elle regrettait de s’être emportée, Aurélien lui manquait, elle était encore très amoureuse. Elle désirait revenir lui parler, mais par fierté elle ne l’avait toujours pas fait. Quant à Judith, elle était triste que leur liaison s’arrête ainsi après huit mois de bonheur.

Dès le début de la soirée, Sabine se fit très câline avec Aurélien, elle agissait presque comme s’ils étaient encore ensemble, lui prenant le bras ou l’embrassant sur la joue à chaque occasion. Aurélien avait envie de lui sauter au cou mais était très gêné vis-à-vis de Judith qui était sensée de ne pas dévoiler sa relation avec lui. Voyant le comportement de Sabine et ne voulant pas s’avouer vaincue, elle changea son angle d’attaque. Elle avait pris le taureau par les cornes, en se lançant dans la bataille, ne laissant aucun doute sur ses intentions, à la grande surprise de Sabine, de Véro et de Thomas. La soirée s’acheva comme elle avait commencé, Aurélien avait fui ses responsabilités et était rentré seul à la maison.

Entre Noël et nouvel an, Aurélien était en congés, il avait dragué quelques jours plus tôt au garage, une femme divorcée, en manque de sexe. Il avait pu se satisfaire avec elle, Sophie était une chaude, elle adorait le prendre en bouche dans de longues fellations avant de se faire prendre sauvagement. Cependant, elle ne partait pas de chez lui tant qu’il ne l’avait pas sodomisé, sa jouissance était décuplée lorsqu’elle avait le beau pénis d’Aurélien dans le rectum. Toute la semaine, elle venait après le déjeuner et partait épanouie vers 18 heures afin de récupérer ses deux s chez la nourrice.

Après ce fameux réveillon, Sabine fut très déçue, elle avait espéré que cette soirée serait celle des retrouvailles mais s’aperçut qu’elle avait une concurrente et pas des moindres. Judith était une superbe femme et semblait très attachée à Aurélien qui lui rendait bien. La bataille s’annonçait difficile, voire même perdue d’avance : « Je n’aurais jamais dû le quitter comme cela. » Pensait-elle, il était probablement trop tard, car elle s’était rendu compte qu’Aurel avait beaucoup d’affection et de tendresse dans ses yeux lorsqu’il regardait Judith. Il fallait donc agir vite avant qu’il ne soit trop tard et qu’ils se remettent ensemble.


La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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