Le Train De 8h16 Est Supprime

L’autre jour, en attendant sur le quai bondé mon train de banlieue de 8H16 (qui une fois de plus était supprimé), une femme que j’avais l’habitude de remarquer (pour ne pas dire reluquer), s’exclama près de moi :

- Oh, ils sont pénibles, ont en a assez de leurs retards à répétition, nous on travaille !

Tout de suite je me dis :

- tiens ne serait-ce pas là un signal inconscient qui veut dire j’ai besoin de parler, de revendiquer, voir même d’être rassurée, d’être comprise ?!…

Gentiment je me tourne vers elle, et me dis :

- elle approche la cinquantaine, elle prend soin d’elle ça se sent, ça se voit. Les détails sont là, ses ongles sont longs, impeccablement manucurés, sa frange est joliment tirée, son gloss rouge vif donne du relief à ses lèvres charnues et appel déjà à la débauche…

Mais pour être honnête, ce qui a surtout focalisé mon attention, c’est son cul ! Ce cul haut perché, si magnifiquement bombé dans ce tailleur droit. D’emblé je me dis qu’avec le froid qui règne sur ce quai, et malgré les épais bas noirs qui moulent ses belles cuisses, cette dame doit bien avoir besoin d’être réchauffée...

Je ne tarde donc pas à fantasmer sur elle, ni à sentir une bosse se former dans mon boxer… Surtout que ses gros mamelons sont là tout près et se collent peu à peu à moi en raison de la cohue ambiante, à l’approche du train de 8H26…

Impeccable dans mon costume avec mon long manteau, ma petite sacoche et ma petite gueule bien rasé, je savais qu’un petit "frottis frotta" passerait comme une lettre à la poste.

J’ai remarqué que l’habit faisait souvent le moine, et que lorsque j’allais au travail, avec mon air de garçon bien élevé, je récoltais moult sourires qu’il m’est difficile d’obtenir le week-end lorsque je sors en jean baskets. J’ai donc surtout remarqué que l’habit pouvait favoriser le contact, et appuyer le premier échange corporel.



Sur de mon fait j’en profite. Je me frotte peu à peu à ses gros seins, certes cachés derrière un beau manteau mi-long en cachemire, mais dont l’on devine aisément le galbe. Je sens qu’ils sont charnus, j’imagine qu’ils ont vécus, qu’ils ont donnés du plaisir, et qu’ils veulent en donner et en recevoir encore plus.

Je les sens lourds, prêt à remplir une bouche ou prêt à astiquer un manche bien raide jusqu’à le faire reluire…

Je commence à avoir la trique, mon cœur bat légèrement plus vite, mon instinct bestial et mon excitation croissent aussi rapidement que ma queue. Je suis aussi émoustillé qu’un ado de 13-14 ans qui vient de voir pour la première fois une "hôtesse" derrière une vitre de bar à pute, rue Jean Baptiste Pigalle !

Elle sait que je la matte, elle sait qu’elle m’excite sous son faux air de bourgeoise perdue sur un quai de gare, mais elle sait surtout que je suis conscient de l’exciter elle aussi !

Faisant mine de regarder ma montre l’air agacé, j’effleure de mon avant bras droit son sein gauche, et malgré l’épaisseur de son manteau je sens son téton qui pointe. Je visualise ce téton qui ne demande qu’à être sucé, léché, titillé, branlé du bout de mes petits doigts préalablement humidifiés de sa salive ou de son jus !!!

Hypocritement je me confonds avec un grand sourire, d’un malicieux :

- Excuser moi Madame.

- Mais il n’y a pas de mal Monsieur, répond-t-elle en me rendant ce coquin sourire.

Après ce majestueux échange de commodités, je sais alors que la conversation peut venir tout naturellement…

Le train de 8H26, arrivant enfin à quai, comme tout garçon bien éduqué, je l’invite à passer devant moi afin qu’elle puisse monter la première :

- Allez y Madame, je vous en prie.

- Merci bien Jeune Homme, vous êtes bien aimable.

Cette marque de galanterie de ma part, était avant tout un stratagème afin que je puisse frotter entre ses fesses mon sexe déjà bien dur.
Ce chibre qui est si bien tendu dans mon pantalon, et qui jusque lors était contenu derrière ma sacoche (il faut bien qu’elle me serve à quelque chose de temps à autre !).

Elle sent alors mon gland congestionné et elle ne se tourne pas pour me lancer un regard noir ou même me coller une gifle. Bien au contraire, elle cambre légèrement ses fesses en dandinant son magnifique cul contre moi, feignant de reculer pour ne pas être happé par le train. On dirait qu’elle me tend sa cible, comme une cigarette qu’on aimerait écraser, voir passer au travers d’un cendrier.

Mon sexe pointe juste sur son petit trou, il est déjà tout lubrifié, je sens ce liquide séminale qui coule et mon gland brille ! Mes yeux et mon esprit sont fixés sur cette jupe qui ne demande qu’à être relevée, arrachée, là toute suite, maintenant, dans le froid et devant tout le monde. Je veux lui ôter ce bout de tissus, pour une seule et unique raison : lui DEFONCER son anus à grands coups de va et vient. Je l’imagine déjà hurlant sa douleur, pour rapidement laisser place à sa joie et son plaisir, lorsque je lui ferais sauter son petit verrou…

Mais l’appel du chauffeur du train me ramène à la réalité :

- VEUILLEZ LAISSER LES GENS DESCENDRE AVANT DE MONTER, MERCI !

Je patiente avec un réel plaisir, je me frotte encore et encore sous les effets de la bousculade. J'ai la tête au dessus de son épaule, elle aime çà, je le sens, je le vois, je le sais. Elle sent mon souffle chaud et cette bite qui tente de la pénétrer à travers ses vêtements.

Soudain son odeur de parfum m’envahit, "Allure de Chanel", la cochonne veut éveiller tous mes sens. Je suis en ébullition comme un volcan, prêt à exploser ! J’imagine ses seins sentant le parfum, je me vois les sentir, les humecter, les renifler, tel un chien prêt à les lécher à grands coups de langue, et prêt à léchouiller ses petits tétons gonflés et durs…

Elle prend son temps elle aussi pour monter la petite marche qui la sépare du train, je l'entends gémir, apprécier.


Et personne ne remarque rien, sauf moi l'obsédé, qui aimerait baiser cette femme mûre, aguicheuse et provocante, sous ses airs un peu "prout prout".

Elle est l'objet de mon désir et de mon fantasme du jour, au moment de monter dans le train, je me colle à elle encore plus, et dans la confusion générale, j'en profite pour glisser ma main sous sa jupe…

Et là, à mon grand bonheur mes suppositions se vérifient, le fantasme rejoint la réalité !!!

J'entends un :

- HummmOhhh!ouiii ! Elle inspire, Hhheuuuhein heuh...

Un susurrement qui en dit long, sur l'état de cette dame qui dix minutes plutôt était vindicative et à bout de nerfs...

Madame la Cochonne est inondée, la ficelle qui lui sert de culotte est complètement trempée de cette cyprine chaude. Malgré les apparences, notre inconnue est déboussolée elle ne s'attendait sûrement pas à une telle "audace".

Tout le monde est là mais personne n'a rien vu, et cela nous excite tous les deux... Elle le sait et je le sais !!!

Une fois dans le train je la suis, je reste collé à elle. Elle m'entraîne tant bien que mal entre les wagons, là ou il y a les toilettes et là où peu de monde pense à se faufiler. Dans ses trains de banlieue à deux étages les gens pensent souvent à s'agglutiner dans ou devant les escaliers, mais ils pensent rarement à se mettre entre deux rames, par peur peut être...

Tel un chien je me suis frotté à elle comme j'ai pu dans la cohue générale. J'ai même réussi à soupeser discrètement un de ces mamelons lors d'une bousculade et à lui pincer son gros téton, sans qu’elle ne bronche.

Prêt des toilettes je me dis qu'elle veut se faire prendre à l'intérieur des chiottes, j'étais prêt à dégainer mon braquemart !

Mais non. Madame est trop précieuse pour ce faire "limer" par un jeune inconnu dans les toilettes d’un train de banlieue...

Nous nous retrouvons entre les deux wagons, là ou le bruit est le plus assourdissant.
Madame devait penser que je n'irais pas plus loin que de simples caresses, c'était mal connaître votre serviteur !

Je lui souffle alors à l'oreille :

- Vous être trempée Madame, je sens même votre forte odeur...

- Vous n'y êtes pas étranger jeune homme, et sachez que j’apprécie. Je dirai même que j’aime çà…me répond elle d'une voix suave et excitante

J'en profite alors pour lui passer à nouveau la main sous sa jupe et lui caresser son petit bouton.

Son clitoris est gonflée il va exploser, elle gémit de toutes parts, mais à l'endroit ou nous sommes confinés personne ne remarque son état second ni même ses yeux révulsés ! Nous sommes pris en sandwich entre le paroi des toilettes et celle du wagon, il n’y de la place que pour nous deux…

Je me dis alors que le lieu est propice pour tenter quelque chose…

A l'approche d'un tunnel, je baisse ma braguette, relève d'un seul geste la fente de sa jupe et d'un coup sec je lui enfonce mon gland dans l'anus tout en lui caressant la vulve !!! Ma bite est idéalement calée entre ces fesses !!!

Je sens tout d’abord sa surprise et sa douleur, elle mordille ses lèvres pour ne pas crier trop fort. Elle fait ses lèvres qui deviennent encore plus rouges, mais avec le gloss rien n’y parait.

Puis, comme je l’avais fantasmé, plus je m’enfonce entre ses fesses, et plus la douleur laisse place au plaisir…

Elle crie :

- Ahhh!ahhh!oh oui allez-y Jeune Homme défoncez moi ma petite rondelle !

Elle s’empale avec violence sur mon phallus, elle le suce, elle l’aspire même avec son cul, comme si il s’agissait de sa bouche !!!

Elle prend son pied et moi aussi…. En cadence elle laisse échapper des :

- OuiOuiOui, baisez moi ! BAiiiiiiiSEZ moi Monsieuuur ! Encore ! Encore ! OuiOuiOui COMME ça !!!!

Dans le vacarme et dans la pénombre, personne ne remarque rien. La personne la plus proche de nous est une jeune femme avec un Ipod sur les oreilles, et elle n'a rien vu...

Ses mots me chauffent, son air distingué et sa façon de m’appeler "Jeune Homme" ou "Monsieur", ou même de me vouvoyer m’excite encore plus…

Conforté par ce sentiment d'impunité, je la pilonne alors à grands coups de reins. Sa bague anale est de moins en moins serrée, elle se détend peu à peu sous mes coups de boutoirs, voila mon chibre au chaud serré dans son petit tunnel, et là je me lâche :

- Hé han !han !han ! T'adores qu'on te sodomise, je savais bien que tu étais une sale garce ! Finit les "Madames", tu veux la sentir ?! Tu vas la sentir ! Tu veux du sexe hein ?!

Elle en demande, elle en réclame, elle me supplie presque ! Mes mots l’excitent encore plus :

- OuiOuiiiiii ! Déchirez moi !! HhsssAhhahhh, déchirez moi l'anus !! Doigtez moi, DOIGTEZ moi comme une chiiiiiienne !!! Jeune Homme, je vous l’ais dis J’AIMmme çaaa aaH !!!

- Alors si tu aimes ça, bouges, BOUGES !!! Encore et encore plus ton gros cul petite traînée, colle toi ! COLLE TOI !!! Je te dis, que je te l’ENFONCE jusqu’au couilles mon gros dards !!!

- Ouiii, Jeune Homme enculez moi jusqu'au fin fond de ma caverne !!!! Déchhhhirez mon ptit œillet !!!

- Alors écarte ! EééCARTE le MOI ton derrière ! que je t’embroche sale garce !!!

Là elle s’exécute comme une chienne. Elle passe sa main sous la fente de son tailleur, et att avec fermeté le haut de sa cuisse droite pour me tendre ses fesses tel une offrande… Sa main gauche lui permet de se caller contre la paroi du wagon et de cacher son visage rougit et perlant de sueur.

Puis elle me grogne :

- RÉGALEZ moi le trou du cul Jeune Homme, COGNEZ au fond et REGALEZ-VOUS !

Il n’en fallait pas temps pour que je me déchaîne et que j'exhausse son vœu…

Là elle déguste, elle savoure, c’est une vraie salope, elle le vit comme tel car cela l’excite car elle sait que cela m’excite. Plus je la matraque et plus elle jouit, mes caresses son incessantes, ma main est pleine de son jus, j’ai réussi à enfoncer trois doigts dans son abricot qui se contracte pour mieux apprécier !!!

Avec mon pouce je constate que son clitoris est gonflé comme une bite de singe, je sens que l’orgasme est proche pour Madame ! Je la caresse frénétiquement et continue à la bourrer avec force et vigueur.

Elle va prendre son pied la petite Dame, là dans ce train de banlieue de 8H26, avec une bite bien fourrée dans son cul, trois doigts actifs dans sa chatte et un pouce qui lui titille le clito !!!!

L’inconnu du quai, à l’allure de gendre idéal est sur le point de faire EXPLOSER de plaisir !!! Madame la Bourgeoise …

Qui aurait pu penser cela d’une femme aussi distinguée ?! Elle qui donne son joli derrière à un inconnu, là devant tout le monde, sans que quiconque ne remarque quoi que se soit.

Ses paroles crues, son excitation, le frottement et l’intensité de cette pénétration anale, n'ont pas tardées à me faire venir.

Mon gland se contracte au maximum et j'explose presque en silence dans son trou du cul !!!!

- ahhhh,ouiiii, ça vient ! Ça vient !! Ça viiiieeennt !!! aahhhhhh…

J’expulse un jet puissant et incessant qui inonde ses entrailles, son anus est empli de mon sperme chaud, des gouttes perlent sur ces bas ou coulent sur ces cuisses, pour se loger dans ses chaussures à talons, en cuirs…

Je l’entends elle aussi :

- OhOui !Ohhouiii !OOOHHOUIiiii !!! Je jouiiis, je JOUISSSS !!Aahhhaaaaaaaaah !!!

Mon SEXE dur, mes DOIGTS agiles, mes MOTS cochons et mon SPERME chaud l’ont fait chavirer, c’est pour elle l’explosion de son volcan sacré, la jouissance, en un mot l’ORGASME !!!

Et je l'entends dans un dernier râle :

- Aaaaaaahhh! Ouiiiii, c’est trop bon....je suis une vraie catain !!!!!

Le liquide chaud l’envahi ses entrailles, elle sent mon foutre qui la souille, il est partout en elle…

Je me retire alors comme je suis entrée, brutalement et sans précautions !!!

Ma main est trempée, et laisse échapper la forte odeur de la mouille de Madame la Garce...

Le train passe sous un dernier tunnel, je range discrètement ma queue dans son fourreau, et je lèche le bout de mes doigts imbibés de son jus salé, avant de mettre ma main dans la poche de mon manteau.

Nous échangeons à peine un regard, comme les parfaits inconnus que nous étions il y a vingt minutes...

Je la vois là devant moi vidée, titubant presque. Je l’imagine surprise par la tournure des évènements. Son visage se "recompose", elle reprend peu à peu ses esprits…

Je me mets enfin près d’elle comme un quelconque voyageur, qui attend d’arriver en gare.

Personne n’a rien remarqué, j’avais l’impression que cela avait durer une éternité et que l’on s’était donnés en spectacle à l’ensemble des passagers du train. Mais non rien, tout c’est fait dans la plus grande discrétion, les uns et les autres étaient pris par leurs livres, leurs musiques ou juste focalisés sur le trajet et les perturbations… Le vacarme et la lumière sombre ont pour une fois parfaitement joués leurs rôles. En un mot tout c’est fait dans la totale INDIFFERENCE !!!

Il est 8H42, le train arrive en gare de Saint Lazare, tout le monde redevient pressé.

Au moment de descendre du train, je lâche un :

- Au revoir Madame, passée une bonne journée…

- Au revoir Jeune Homme, elle à déjà bien commencé, malgré les apparences… me répond-t-elle avec un large sourire.

Puis elle rajoute d’un air coquin :

- Et j’espère à bientôt, peut être pendant les grèves !

PS : les mots crus ne sont pas un manque de respect vis-à-vis de la femme, mais bien au contraire. Il témoigne juste de l’esprit bestial que nous avons plus ou moins chacun en nous et surtout il anime le texte et son contenu.

Si cette lecture vous a inspiré, n’hésiter à laisser vos commentaires…

Bien à vous !

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