Dans Le Train (Suite Et Fin)

J’avais dormi et à mon réveil mon compagnon n’était plus dans la cabine.
« Peut-être est-il entrain de marcher un peu » pensai-je. Une minute plus tard il était de retour.
Quelque chose avait changé dans son accoutrement...
En lieu et place de son pantalon et sa chemise, il portait un boubou de couleur sombre.
Quand il s’assit en face de moi, il me fixa des yeux et se mit à se caresser le sexe à travers le vêtement. Son pénis dressé se dessinait à travers le tissu et je compris qu’il ne portait rien d’autre.
Sans dire mot, je me suis approchée et accroupie, j’ai passé ma tête sous son boubou qui était très ample.

Son sexe entrait et sortait de ma bouche à mon rythme et cela dura quelques minutes. Puis pendant que j’étais occupée à donner du plaisir et à en tirer, j’entendis mon compagnon dire :
- voulez-vous vous joindre à nous ?
Il y avait sûrement quelqu’un qui regardait notre manège mais je n’eus pas envie de m’arrêter pour voir. Je continuai donc.

Deux mains passèrent sous ma jupe par derrière et me caressèrent. Je compris que c’était celui à qui Serge venait de parler. On souleva ma jupe et je me mise à quatre pattes sans arrêter la fellation. Je mouillais comme une folle à l’idée de faire l’amour dans ces conditions et je n’eus pas longtemps à attendre...
On me pénétra par derrière après m’avoir léchée et ce fut une baise qui me fit exploser tellement c’était bon.
Serge se vida dans ma bouche en me maintenant la tête tandis que l’inconnu me releva la croupe en accélérant ses va-et-vient. Je tenais Serge par les cuisses et la tête en bas, j’apercevais les jambes de l’inconnu qui me labourait la chatte.
Il se retira et gicla son sperme chaud sur mes fesses et mon dos alors que je jouissais pour la sixième fois au moins.

Le train était rentré en gare quand je me retournais pour m’ajuster et voir l’inconnu. Je pense que quelques personnes avaient dû entrevoir par la fenêtre nos ébats car nous roulions très lentement.

Tout cela n’était pas pour me déplaire, au contraire...

A ma descente, ma copine m’attendait déjà sur le quai de débarquement. Elle me serra très fort et dit : - vite, on a seulement une semaine à passer et tu traîne encore à la gare ?
Toutes deux on éclata de rire et nous rendîmes à sa voiture.

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