Le Train Est Bondé

Promiscuité et opportunité dans un train de banlieue.
Le quai de la gare est bondé ! Il fait chaud ce vendredi en fin d'après midi. Le train à peine arrêté, les voyageurs qui arrivent descendus, c'est la cohue pour trouver une place assise. Je suis malgré moi transportée dans la voiture. Bousculée, j'atterri du côté quatre places assises, deux par deux en vis-à-vis. Je réussis tout juste à m’asseoir sur le siège au bord de la rangée côté couloir de circulation au centre du wagon.
Pas idéal car cet espace va se remplir très vite. En effet, ça se serre de plus en plus ! Des éclats de voix, des rires, des moqueries fusent. Les passagers compressés finissent même, poussés, par se glisser entre les personnes assises. Entre nous.
A ma droite une jeune adolescente, juste face à elle, un vieux monsieur, voisin d'une jeune femme toute essoufflée. On se regarde sans aucune expression comme souvent dans ces moments là !
Je me retrouve rapidement encadrée par deux hommes debout. Un sur mon côté gauche et un autre en face de moi, un gros bonhomme qui finit maintenant entre mes jambes que je suis obligée d’écarter pour lui faire de la place. Impossible de les refermer. On est vraiment à touche-touche !
Il fait chaud, je porte une jupe d’été courte bleu nuit et un teeshirt noir au profond décolleté en V avec des franges délicates. Je n’ai pas mis de soutien gorge et déjà je le regrette car au dessus de moi j’imagine que mes deux voisins collés et qui me surplombent doivent se rincer l’œil, bien innocemment, peut-être.
Mes jambes écartées ont bien sûr fait remonter ma jupe jusqu’à la naissance de ma culotte. Impossible de bouger et de la recouvrir.
A ma droite la jeune femme semble dormir la tête appuyée contre la vitre. Face à elle une personne debout nous tourne le dos, encastrée également entre les jambes du passager qui a réussi comme à moi à trouver une place assise.
Heureusement que je ne souffre pas d’agoraphobie ! Je me sens prisonnière, dans l'impossibilité de me sauver, de fuir.


La fermeture des portes est annoncée et la pression se fait encore plus forte avec les derniers passagers qui tentent de monter.
L’homme à ma gauche est plaqué contre mon épaule. Il est grand et je réalise que la braguette de son pantalon est à quelques centimètres de mon visage. Face à moi ce n’est pas mieux, je suis presque contre celle de mon compagnon glissé entre mes jambes. Embarrassée, je ne trouve rien de mieux que de baisser la tête. Ma voisine sur ma droite est endormie le visage plaqué contre la vitre de la voiture.
Alors que le train s’ébranle lentement, des idées lubriques me traversent l’esprit et me feraient sourire s’il n’y avait pas la chaleur et l’inconfort de la situation. Mais je fais contre mauvaise fortune bon cœur car malgré tout, moi, je suis assise. Sans compter que les vibrations du train, loin de me bercer ont tendance à m’exciter. L'espace semble encore s'amenuiser. A ma gauche l'homme contre mon épaule ne peut presque pas bouger tant il est serré, compressé contre moi. Sa main coincée le long du corps jouxte mon sein gauche. Il ne peut guère faire mieux que bouger les doigts pour ne pas se faire repérer. Sauf par l'autre qui me fait face. Lui a tout loisir de voir. Et si ces deux là se connaissaient ?
L’homme en face bascule son bassin un peu vers l’avant et cette fois, il vient frotter son pantalon contre mon visage. Je détourne la tête pour m’esquiver, mais je le fais sur la gauche pour me retrouver contre celui plaqué contre mon épaule.
Je réalise soudain que je suis encadrée de face et sur le côté par deux braguettes de pantalon d’hommes dont je ne vois même pas le visage. Heureusement, je suis dissimulée à la vue des autres passagers. A ma droite ma voisine semble toujours endormie, indifférente à la situation tendue du moment.
Le train roule maintenant à vive allure. A chaque secousse, je n’y peux rien mais le contact avec mes deux voisins se fait plus appuyé. Le feraient-ils en toute conscience ou suis-je en train de fantasmer ? Non, ce n'est pas possible, je me fais des idées.

Mais très vite, une certitude m'envahit quand je sens que celui à ma gauche se frotte ostensiblement contre mon épaule et que ce que je sens de dur n’est rien d’autre que sa bite derrière le fin tissu de son pantalon. Je panique ! Je jette un regard autour de moi. Rien ! Personne ne semble se rendre compte que je suis prise en sandwich entre deux « frotteurs ». Deux sexes d'hommes. Impossible de bouger, encore moins de manifester mon indignation. Je ne vois pas comment m’échapper.
A ce moment un sentiment étrange s’empare de moi. Je suis victime et en tant que tel, innocente devant tous les préjugés et condamnations de bonne morale éventuelle. Alors je fais fi de ma bonne éducation et de mes tabous : je laisse faire et j’accepte déjà ce qui peut advenir. La situation est si particulière et pas prête à se renouveler.
Aussi je ne fais rien quand celui qui est devant moi avance très légèrement sa main et me frôle la pointe d'un sein, comme si de rien n’était ! Aussitôt mon téton réagit à ce simple contact. Mon peloteur s'en rend immédiatement compte. Il ne se gêne plus pour le prendre dans sa main et le malaxer fermement mais discrètement pour éviter de se faire repérer. Mon voisin de gauche a saisi l'aubaine et à son tour il caresse de ses doigts le sein proche de lui. Je ferme les yeux, excitée par le contact de ces mains et la promiscuité des autres voyageurs dont je ne peux croire qu'ils ne se rendent compte de rien !
Les frottements commencent à me donner chaud. Je me sens de plus en plus prête à m’abandonner. La peur du danger s’estompe avec l’excitation qui croît. Je ferme les yeux pour goûter la main à peine posée sur mon sein gauche et l’autre sur son jumeau par l’inconnu devant moi. Ils me touchent à peine mais cela me suffit. Mes pointes sont dures et me font presque mal !
Soudain un bruit m’interpelle. Juste devant mon visage l’homme ouvre sa braguette. Panique ! Il ne va pas sortir sa queue. Pas possible. Et bien si ! Lentement, toujours avec des gestes à minima, pour ne pas se faire repérer par l’entourage, je vois sa main descendre et le pantalon s’ouvrir.
Il passe une main à l’intérieur et extirpe sa bite toute molle, comme recroquevillée sur elle même. Il ne bande pas contrairement à son complice à ma gauche qui frotte une verge dont la dureté et la taille ne laissent aucun doute sur son niveau d’excitation. Devant moi, l’homme se cambre encore plus jusqu’à amener son gland encore caché par son prépuce au niveau de mes lèvres. Je ne me défile pas. Au contraire je reste là, bloquée à attendre qu’il approche. Il vient doucement se poser sur mes lèvres. Je n’ose pas bouger mais je ne peux résister à cet appel. Alors lentement comme pour ne pas éveiller des soupçons ni réveiller le diable, je sors ma langue et viens délicatement lécher cette bite qui m’est offerte. De petits coups sur le méat dont j’adore le goût et l’odeur. L’odeur ! Soudain je me dis que si l’entourage ne peut rien voir, il peut sentir ces odeurs de sexe. Surtout que je sens parfaitement que je suis en train de mouiller ma culotte. Peu m’importe, j’ai envie de sexe, de bites, de queues et je perds maintenant la tête. L’homme à la bite sortie en profite pour décalotter son gland. Il est tout luisant de sécrétions et très vite sous l’effet de mes petits coups de langues, il augmente de volume pour finalement se dresser jusque devant mes yeux. Son propriétaire s’en saisit et le passe sur mon visage l’enduisant de sa mouille. Sur mon côté gauche, l’homme ne perd pas une miette de la scène irréelle qui se déroule dans ce wagon de train de banlieue. Il accentue les caresses sur ma poitrine tout en se frottant contre mon bras. Ces simples caresses m’excitent tellement que je sens que je vais jouir. Il se saisit de la pointe du sein à sa disposition et le pince un peu fortement. Je dois serrer les dents pour ne pas crier au bord de la jouissance !
Le tableau est irréel. Serrée dans un train, un homme frotte sa bite contre mon bras et me pince un téton à m'en faire mal, un autre, en face, me donne sa bite à lécher tout en me caressant l'autre sein. Et moi je suis au bord de la jouissance, soumise à ces caresses et exposée en public ! A aucun moment je cherche à me dérober, complice abandonnée soumise à ces deux inconnus et à ma jouissance naissante.


Mais soudain, le train ralentit. On arrive à une station. En face l'homme cache rapidement son sexe encore tout droit. Nous sommes tous les trois paniqués.
Tout ceci n'a duré que dix minutes, le temps d'arriver à la première station où des voyageurs descendent. La voiture se vide en partie. Mes deux violeurs s'écartent, me sourient.
Ils ne s'éloignent pas. Je suis angoissée. Je n'ai pas le courage de regarder autour de moi, affolée à l'idée que ma débauche a eu des témoins.
A mon arrivée à la gare de destination, je me lève et j'ose un regard dans le wagon presque désert maintenant. Horreur, une femme BCBG est assise juste derrière ma place. Elle me fixe avec un sourire qui ne fait aucun doute sur sa signification. Je me sens rougir de honte. J'ai déjà rencontré cette femme qui prend souvent le même train que moi. Je vais pour lâchement détourner mon regard quand elle me fait un petit clin d'œil de complicité. Les jambes tremblantes je me précipite hors du train, paniquée.
Sur le quai maintenant, je sais qu'ils sont aussi descendus en même temps que moi. J'ai peur et en même temps j'espère qu'ils me suivent. J’ai bien conscience que je risque une agression mais tant pis je ne veux pas me dérober. Je suis trop frustrée de ce plaisir interrompu.
Je regagne le parking où mon auto est garée. Il fait nuit et elle est dans une zone d'ombre non éclairée par les réverbères. Arrivée à sa hauteur, je me retourne et m'appuie sur la portière. Ils sont là, s'approchent souriants. Je leur fais face, soumise. Je suis rassurée et seule l'excitation est présente. Je ferme les yeux. Je sens des mains soulever mon teeshirt et caresser mes seins mis à nu. Une autre main s'est glissée entre mes cuisses sous ma jupe, s'est glissée dans ma culotte et me doigte le minou sans ménagement. Je sens que je vais jouir. Alors, je les écarte et je m'accroupis devant eux. Ils comprennent ce que je désire : poursuivre et terminer la scène du train. Tous les deux ouvrent leur braguette et sortent leur bite. Je commence par les caresser toutes les deux. Je tire sur la peau fragile pour découvrir les glands turgescents gonflés de sang et de désir. Puis ivre d'envie je les engloutis l'un après l'autre en leur faisant subir une branlette rapide. Je veux les faire jouir tous les deux en même temps et vite. Cette folle idée m'excite. Je glisse ma main libre entre mes cuisses écartées et je me caresse le sexe. Quand je sens les tiges palpiter prêtes à lâcher leur jus, je les engouffre dans ma bouche et j'aspire les joues creuses la semence tant attendue.
C'est au moment où je sens le sperme jaillir simultanément des deux bites, qu'à mon tour je jouis. Je reste les lèvres enserrées autour des deux bites pour ne rien perdre et avaler jusqu'à la dernière goutte cette liqueur céleste.
Repus les deux hommes m'aident à me relever, m'adressent un sourire de complicité. Puis sans un seul mot, ils s'éloignent, me laissant comblée et heureuse.
En conduisant vers la maison, je réalise que dans quelques minutes je serai devant Monsieur avec la bouche encore imprégnée du sperme des deux inconnus. Je devrai lui donner ce baiser pour accompagner mon bonsoir. Au lieu d'angoisser, je réalise que cette idée m'excite. Perverse j'ai la preuve sur moi de mon infidélité, et je n'ai nullement envie de m'en affranchir. Je glisse une main entre mes cuisses et la confirmation que je suis chaude ne laisse aucun doute tant je mouille. Dans la logique de cette situation, je range l'auto, et la ceinture enlevée, je relève ma jupe et en me contorsionnant je fais glisser ma culotte pour l'enlever. Je redémarre. La maison n'est plus très loin. Cette sensation de liberté de savoir mon cul et ma chatte nus, me portent presque à la jouissance. Alors, je passe devant la maison et continue mon chemin pour faire durer ce moment d'extase initié par cette séance dans le train. Je file vers le parking du super marché où nous allons régulièrement avec Monsieur. Je me gare et je remonte ma jupe découvrant mon ventre qui apparaît dans sa blancheur à la lumière des éclairages nocturnes. Je dégage une bretelle du haut de ma robe pour dévoiler presque ce sein tant excité par les caresses tout à l'heure. Je reste là de longues minutes à l'affût d'un inconnu qui viendrait mater mon corps. Une main entre les cuisses je me caresse. Au bord de la jouissance, je quitte le parking. Une fois sur la route j'ouvre la fenêtre de mon côté et je jette ma culotte. J'ai décidé de rentrer sans culotte pour retrouver Monsieur. Je me rends compte que ces situations à risque m'excitent.
Merci messieurs. Merci de ce moment dans ce train bondé qui a révélé une autre facette de ma sexualité que je ne manquerai pas d'explorer avec ou sans Monsieur.
Effrontée

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