Le Train De Nuit

Il y a longtemps, vers 1970, il existait un train auto-couchette qui menait de Toulouse à Bruxelles de nuit. Départ vers 21 heures, arrivée vers 12 heures le lendemain. Pour partir en vacances avec mon épouse nous avons emprunté ce moyen de transport. Après un détour par le wagon bar, nous avons rejoint nôtre compartiment. Est ce voyages ou le fait de nous trouver seul dans ce train, toujours est-il que nous en étions tout excités, surtout ma femme. Vers 22 heures donc nous nous préparons pour nous coucher. Mais voilà, mon épouse voulait baiser. L'insolite de la situation a fait que la voyant nue assise sur le bord de sa couchette les jambes écartées et une main qui rodait vers son sexe m'a fait bander. Ma bite sortait du pyjama et ma moitié la prise dans sa bouche pendant que ses mains jouent avec son con. Elle suce très bien et adore le goût de mon sexe. Je ne sais comment elle s'y est prise mais elle a jouit avant moi et s'est ensuite consacrée uniquement sur ma pine dans sa bouche : je sentais ses lèvres aller et venir, sa langue caresser mon gland. Elle ma fait jouir, elle assise et moi debout. Sa bouche pleine encore de mon sperme elle en a prit dans sa main pour s'en servir de crème de beauté. Son visage avait un brillant que je ne lui avais jamais vu.
Sa masturbation ne suffisant pas elle voulait avoir une bite au con ou au cul. Dans le con cela baisait simplement, dans le cul elle se branlait à la fois et finalement ne choisissait pas, elle voulait les deux.
Pour me faire bander elle prenait ma bite entre ses seins et faisait en sorte de s'en servir comme d'un excitant : ça marchait très bien puisqu"elle me faisait bander rapidement. Mais avant d'aller plus loin je lui demande d'aller s'asseoir sur la couchette supérieure, les jambes écartées vers moi. Je pouvais la sucer debout : son con juste à portée de ma bouche. Ma langue la fouillait de bas en haut du clitoris. J'aimais faire cette chose et elle me disait de la sucer à tel ou tel endroit.

Je finissais toujours avec son clitoris dans ma bouche en l'aspirant et le léchant : elle jouissait toujours comme ça.
Ensuite je suis monté à coté d'elle. Elle me demandait de la baiser ce que je faisais toujours parait-il avec bonheur. Comme elle venait de jouir déjà elle ne tardait pas à partir à nouveau bien avant que j'ai moi même eu un orgasme. Mais le meilleur pour elle arrivait : je devais encore l'enculer. Elle était sur le dos, moi sur son coté gauche, nos jambes entortillées et elle avait les cuisses écartées pour d'une main écarter ses lèvres et de la main droite, avec de la salive elle caressait son clitoris. Quand elle était toute mouillée je posais ma bite sur son cul et à sa demande j'y pénétrais. Je sentais tous les mouvements de sa masturbation. Comme souvent elle jouissait avant moi et j'aimais sentir autour de ma bite les spasmes de son orgasme. Je me lâchais entièrement en elle.
Nous nous sommes endormis serrés l'un contre l'autre. Et le matin en arrivant à hauteur de Paris, le serveur du wagon restaurant venait nous avertir de l'heure du déjeuner, nous lui avons demandé de nous le faire porter. Comme nous nous prélassions nus, l'un contre l'autre, moi bandant déjà et elle une main entre ses cuisses se masturbant lentement, le serveur arrivait. Nous avons tout juste eu le temps de nous couvrir pour cacher nos nudités. Je disait à mon épouse qu'il était dommage qu'il ne soit pas venu pendant que nous baisions. Cette réflexion lui donnait encore envie de baiser. Et c'est pendant que j'étais en elle et qu'elle jouissait que nous avons passé Paris !

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