Ma Cousine Amandine13.

AMANDINE

Hugo, m’ implore de passer à Théo, signe que je me débrouille pas mal, en quelques minutes je dois l’avoir si bien sucé qu’il bat en retraite pour mieux revenir un peu plus tard, je saute donc à celle de Théo, je vais pouvoir faire une comparaison, voir la différence, s’il y en a une, entre deux belles queues de garçons, déjà la direction n’est pas la même, celle de Théo je dois la diriger de la main vers ma bouche tellement elle se redresse.

L’itinéraire que j’empreinte est identique à celui que j’ai suivi précédemment : ma langue se promène tout le long du chemin qui relit le bout du gland aux deux petites balles douces comme celle de ping-pong.

L’exploration est tout aussi agréable, plus bosselée au début car le terminus de sa bite est plus volumineux, le parfum, bien enivrant est un peu différent mais impossible de le comparer à une odeur familière je n’ai jamais senti quelque chose d’approchant, mon cobaye est très docile, il ne bouge pas, me laisse entièrement diriger la manœuvre tel le capitaine d’un navire qui commande la grand-voile de coulisser sur le grand mat, je m’applique pour continuer le merveilleux voyage.

Ces petits poings crispés témoignent de l’action de grâce qu’il semble ressentir, et pourtant je ne suis pas Dieu, loin de là, plutôt un mélange de Belzébuth et de Marie-Madeleine.

En voulant communier ensemble d’un même regard, je distingue qu’il ferme les yeux énergiquement pour peut-être ne pas voir la pauvre pécheresse qui sévit à ses pieds. Quelle drôle de grimace me fait-il ! Mais j’en déduis nullement qu’elle traduit un sentiment de mépris ou de douleur mais plutôt d’extrême bénédiction.

Passons à la phase suivante : mes lèvres se collent au sommet de sa queue et je joue un peu de la langue sur sa petite coupure qui me fait penser à une minuscule bouche avec ses deux lèvres lilliputiennes. Et je dois ouvrir la mienne en grand pour faire disparaître la terminaison proéminente de sa virilité qui réussit tout de même à franchir la porte, elle est au chaud sur ma langue, et mes joues et mon palais la serrent alors que mes lèvres moins distendues entourent le manche rigide comme le bois d’un vieux chêne ( normal après avoir avalé le gland ).



Et un va et vient s’amorce initié de concert et simultanément par les deux impurs recherchant uniquement le strupe.
Un mouvement qui s’accélère de plus en plus.

- Venez de chaque côté les garçons qu’elle vous branlent pendant qu’elle suce Théo, dit Camille, j’aimerais te prendre en photo comme cela. Tu veux bien ?

Je ne sais pas ce qu’elle a compris de ma réponse, ayant du mal à dire juste oui avec la bouche pleine. Mais ne voyant pas de mouvement hostile, elle fait placer les deux autres garçons de manière à ce que je puisse saisir leur matériel.
Elle en profite pour bien leur toucher les fesses et tenant leur bite d’une main et ma main de l’autre elle remplace la sienne par la mienne sur chacun des garçons. Elle se place ensuite de trois quarts pour avoir l’ensemble du tableau dans le cadre de son téléphone, et dit :

- Faites un beau sourire, le petit oiseau va sortir !

Les garçons n’ont aucun mal à suivre ses commandements, et leur visage s’illumine, ils ont la banane, moi aussi j’ai une banane mais coincée entre les lèvres et je fais plus une infâme mimique qu’un beau visage plaisant malgré ma volonté de bien faire. Subjuguée par ma hardiesse et la situation échauffante où je me trouve, je sens que ma fente se liquéfie de nouveau, j’ai tellement de plaisir à faire du bien à ses trois garçons, finalement il y a un peu de ce but dans mon ex religion.

La photographe, en plus de me mitrailler de tous les côtés, fait un petit film de cette mémorable scène de dépucelage buccale.
Les trois adolescents forment un triangle équilatéral si vous voyez l’image.

- Faites comme une noria, ordonne Manon.

Et un petit manège de chevaux de bois s’anime, les bites des jouvenceaux passant de ma bouche à ma main et ainsi de suite pendant que Marion à son tour filme la scène.

- Oh ! J’ai trop envie de regoûter ta chatte, elle doit être juteuse à souhait en ce moment, dit Camille, fais-moi une petite place.


Et elle se met sur le dos derrière moi, et crapahute de son mieux pour glisser sa tête entre mes jambes. Quand elle arrive à destination, j’éprouve de nouveau le merveilleux picotement d’une bouche fouillant ma chatte. Sa langue s’insère dans ma fente et me gratouille pour que ruisselle un petit filet de mouille qui afflue et se combine avec sa salive. Elle colle alors ses lèvres aux miennes et aspire le tout dans un bruit de succion fracassant. Elle continue à me laper la chatte lisse et je me rends compte que je continue à ruisseler sur sa langue, mes yeux se brouillent, ma tête ne peut plus rien contrôler, je suspend tout mouvement, incapable de faire un geste, ça y est mes mains tremblent, mes jambes flageolent tout mon corps subit une vague de secousses comme tout à l’heure et là j’ai l’impression de décharger 1 litre de jouissance dans la bouche de Camille.

Peu à peu je reprends mes esprits et je peux à nouveau sucer et branler de la bite. Mais je perçois un petit écoulement transparent qui émerge au bout de la queue d’Alexis. Surprise, je ne sais pas trop ce que c’est. Jouit-il ? Pour en avoir le cœur net je pose la question :

- C’est du sperme ?

- Non pas encore, c’est du liquide pré-éjaculatoire, dit Marion la plus rapide à me répondre ayant suivi mon regard, leche-le !
Tu verras c’est sans goût mais cela va le préparer pour bien envoyer la sauce.

Effectivement, je trouve ce jus insipide en suçant sa bite, mais c’est quand même du jus de bite, et cela me donne envie de goûter du vrai sperme de garçon. Camille, abreuvée à sa soif, se redresse et voyant les garçons à bout de forces, prêts à défaillir, s’improvise metteuse en scène.

CAMILLE

Il est plus que temps de bien contrôler les choses avant qu’une catastrophe n’arrive et que les garçons n’envoient la purée dans tous les sens et que nous perdions de si bons produits bios et locaux. Marion, ma camérawomen à qui j’ordonne de tourner en plans serrés, est tout de suite opérationnelle.
Il faut être très réactif à ce moment-là car impossible de retourner la scène, il ne peut y avoir qu’une seule prise.

Je fais allonger Amandine sur le dos, je place Théo derrière à genoux pour maintenir sa tête légèrement relevée. Alexis estaccroupit, les jambes de chaque côté d’Amandine, délicatement assit sur ses seins, sa bite est face à elle et je dirige moi-même son membre que je le branle avec force.

- Tu veux goûter du jus de garçon c’est bien ça ? demandé-je à Amandine.

- oui, me fait-elle.

- Bien, prépare-toi, ouvre la bouche, je sens que l’instant est proche, regarde moi cette cambrure magnifique, ça vient, les heureux spermatozoïdes font leurs valises des boules où ils ont séjourné, et ils se bousculent dans l’étroit couloir pour enfin voir le jour au bout du petit tunnel et c’est parti mon kiki !

A suivre.

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