Ma Cousine Amandine 04.

MARION

Je m’approche lentement de la salle de bain, en empruntant le couloir qui mène vers elle, j’imagine la scène à venir, je suis persuadée que mon frère est tout nu comme moi, mon petit cœur bat fort, certes ce n’est pas la première fois que je vais le voir dans cet état, mais lui, quel est son humeur ? Décontracté, impatient, excité?
Cela me trotte dans la tête et c’est bon !

La porte est grande ouverte, ça y est j’y suis à droite droite et je découvre la scène.

THÉO

Vite je me positionne pour être en plein cadre de la porte, face à elle, elle ne peut rater ma bite qui dodeline de bonheur pour essayer de grandir encore, mais je suis vraiment au maximum et c’est marrant de la faire bouger comme cela sans la toucher, on dirait qu’elle veut causer, exprimer son bonheur de s’afficher devant ma sœur dans cette condition de dénuement extrême.

Je sens qu’elle s’approche, j’entends le parquet du couloir qui craque, elle apparaît et s’arrête au moment d’entrer. Elle est si belle complètement nue, son petit abricot rebondi m’hypnotise, elle aussi, je la sens émue.

MARION

Oh quelle queue mes amis ! Une ogive sur sa rampe de lancement, bien droite, qui me fait face dans toute sa splendeur, Théo est content de me la montrer comme ça et moi aussi j’ai un grand plaisir à voir son engin dans une forme olympique, et que dire de ses 2 petits réservoirs, bien ronds, l’ensemble complètement dépouillé comme je les aime, nous restons quelques instants silencieux profitant de ce moment figé qui restera gravé éternellement dans notre mémoire.

Au bout d’une ou deux minutes, Théo brise la glace :

- Tu veux vérifier si je suis conforme à tes souhaits et m’aider à rectifier éventuellement des petits défauts ? te plaît-t-elle comme cela ?

Je ne peux répondre tout de suite à la question, car le verbe que j’utiliserai devrait être plus fort que plaire, et je ne suis pas capable de réfléchir pour trouver un autre qualificatif tellement je suis suffoquée et bouleversée par le spectacle.

J’arrive tout de même à dire quelques mots :

- Ta Bibiche est magnifique!

- Oh non, me fait-il, tu sais bien que je n’aime pas que tu l’appelles comme ça, à mon âge j’ai une grosse bite, regarde plutôt dessous je ne suis pas sûr que j’ai tout bien rasé ?

Je suis bien contente de l’avoir titiller, à l’époque je lui demandais souvent de voir sa Bibiche, en échange il m’imposait de voir ma zezette.


Je dispose une serviette sur le carrelage et je fais coucher mon Apollon sur le dos, j’inspecte de près, à genoux entre ses jambes, le travail accompli avec soin sur le devant de sa personne, de visu c’est très réussi, rien à redire je ne remarque aucun défaut, pour m’en assurer complètement, je procède à un examen tactile, la zone du pubis : c’est divin, douce à caresser sans anicroche.
Je passe mes doigts sur la hampe, tout aussi délicat et lisse, cet effleurement redonne vie à son vit qui approuve en secouantde la tête comme pour dire «  oui, oui, oui, encore, encore, encore « cela nous fait beaucoup rire.

Le devant des couilles aussi est parfait, là encore, le juge de paix imparable c’est le frôlement de sa peau qui me donne des frissons et agite une nouvelle fois le bout de sa queue.

Bon maintenant, voyons l’envers du décor, je soulève ses jambes qui passent à la verticale pour revenir à l’horizontale ce qui a pour effet de remonter d’une trentaine de centimètres ses fesses, j’écarte ses cuisses pour avoir encore une meilleure vue du dessous de ces magnifiques roustons bien ronds et sur le canyon jusqu’à son petit trou.

Là, je remarque quelques imperfections, de petits poils solitaires subsistent encore, je lui dis de maintenir ses jambes comme je viens de les positionner et de chercher son équilibre pour rester dans cette orientation pendant que je vais quérir son matériel qu’il vient d’utiliser pour éliminer ses filaments irrévérencieux.

Là encore en étalant la mousse je me régale en touchant le bas de ses irrésistibles boules et le sillon étroit entre ses fesses.


Soudain, je succombe à l’envie de frapper ses fesses ainsi exposées, une grosse claque, il est surpris, mais passé ce moment il adore mon geste.

Pour arriver à mes fins, mes doigts s’invitent sur le milieu de ses couilles pour tirer vers le haut ce qui permet de tendre la peau de dessous et ainsi pouvoir promener le rasoir sur cette partie et ensuite, je pousse les boules de chaque côté pour atteindre ses 2 aines et éliminer les quelques poils restants.

Puis délicatement, j’écarte ses deux fesses et lui demande de les maintenir comme ça pour introduire ma guillotine et supprimer toutes les mauvaises herbes dans cette vallée encaissée, Le travail accompli j’éponge doucement les restes de crème et d’humidité avec une serviette et voilà c’est fini !
J’admire l’œuvre d’art ( ou dard ) sublime et pleine de vie ( ou vit ) et je remercie Dieu qui m’a donné la chance de la contempler de si près.

- tu veux bien m’aider à faire la même chose avec mon minou ?

Et vous, qu’auriez-vous répondu à sa place ?

Lui, il a accepté avec un enthousiasme non dissimulé.

A suivre.

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