Ma Cousine Amandine 05.

THÉO

- bien sûr que je vais t’aider Marion, et c’est un enchantement de te dorloter ta petite boutique. Je vais chercher un petit coussin pour que tu sois bien installée, et je vais prendre bien soin de toi et faire très attention à opérer tout en douceur.


Pendant qu’elle se couche à ma place sur la serviette étendue par terre, je file dare-dare dans le salon ( jeux de mots car vous verriez le mien rien que de penser que je vais pouvoir toucher au minou de ma sœur ).

Je saisis un coussin et retourne le disposer sous sa tête. Je change les lames de mon rasoir pour disposer d’un matériel neuf. Je me mets à genoux et passe une serviette humide entre ses cuisses. Elle a déjà un terrain bien dégagé, juste une petite pelouse qui émerge légèrement, cela se voit à peine, quelques reflets dorés qui n’entache pas une vue splendide sur une fente cachée entre deux petites collines bien lisses et bien bombées.

MARION

Je suis à l’aise, même si le sol est un peu dur, mais je n’y pense pas, je suis complètement décontractée, et mes yeux ne peuvent se détacher du bâton à colle de Théo, il n’a pas débander depuis que j’ai passé la porte de la salle de bain.
D’une rigidité extrême, il redresse la tête fièrement, son mignon petit col roulé protège son gland gonflé mais me laisse voir le sommet de cette montagne d’un marbre rosé avec une petite coupure comme une gélivure sur une branche d’un arbre qui laisse passer la sève signe de vie.

Il a disposé de la crème sur ses doigts et s’apprête à me l’étaler, même avant qu’il me touche, des frissons me parcourent le corps, j’en ai la chair de poule, sa queue aussi vibre, c’est vraiment craquant, il me jette un clin d’œil complice et un léger sourire et pose ses doigts, le contact est froid et en même temps me brûle la peau.



Il étale la mousse délicatement partout autour de mon cratère et mon mont de Vénus. Il affine la couche pour qu’elle soit uniforme et je crois qu’il se fait un kif proche de son étymologie car il me semble sous l’effet de stupéfiants. C’est moi qui suis sa drogue.

THÉO

Couchée ainsi sur le sol, j’ai un spectacle rare, sa moule est si belle que je ne trouve pas de qualificatifs, elle me fait bander à mort, et c’est moi qui suis chargé de l’embellir si c’est vraiment possible ? une œuvre d’art, Son léger duvet blond n’est vraiment pas un problème, mais elle la veut complètement lisse et je vais avoir le privilège de la chatouiller de mes doigts.

Je dépose de la crème à raser sur l’extrémité de ma main, je voudrais que ce moment se fige à jamais tellement ma queue est tendue, j’ai l’impression qu’elle va éclater comme un ballon de baudruche, j’ai une étrange impression de douleur et de plaisir intense, et peut-être que j’avoisine le monde du SM et que je suis proche de sensations qui mélangent des effets opposés et comme les extrêmes s’attirent je suis intrigué par cette découverte.

Je me tourne vers ma complice pour la remercier de me laisser entrer dans une quatrième dimension, je lui dédicace une oeillade reconnaissante.

Ça y est, je sens le contact, mon système somatosensoriel se met en branle et commande à ma bite de s’auto branler, mais à part s’agiter dans le vide la malheureuse sombre dans le ridicule. Pourvu qu’elle n’éjacule pas d’un seul coup, cela m’est arrivé déjà plusieurs fois, pourtant personne ne l’a touchait.

MARION

Je peux dire qu’il prend son temps et son pied, mais ce n’est pas désagréable si ce n’est que Camille risque de débarquer d’un instant à l’autre, je ne peux tout de même pas lui en vouloir de prendre tant de précautions afin de me satisfaire au-delà de mes attentes.


Il joue sur mon piano toutes les notes de mon clavier du haut de gamme jusqu’au bas de gamme, moi, les yeux fermés, je sursaute quand il appuie sur une touche sensible. Comme c’est bon, même si Camille m’aide souvent à le faire, je crois
qu’avec un garçon c’est encore meilleur. Je crois qu’il a terminé, il a passé dans les moindres recoins et le résultat touche à la perfection.

Malheureusement il faut se presser, je regarde l’heure et nous n’avons pas vu le temps passé, Amandine devrait arriver dans une heure, nous rentrons ensemble sous la douche pour fignoler notre corps, savonnage en entier, Théo frotte ma petite chatte et moi sa bite toujours imperturbablement relevée, même l’eau tiède qui dégringole sur elle ne la perturbe pas. Nous sortons pour nous essuyer, quand soudain, la sonnette retentit.

- va ouvrir, dis-je à Théo, moi je vais m’habiller.

A suivre.

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