Ma Cousine Amandine 01.

Il y a quelques semaines, j’ai reçu une lettre de ma cousine Amandine, nous avons un lointain lien de parenté et dans notre prime jeunesse, habitant pas très loin l’une de l’autre, nous nous rencontrions souvent et jouions ensemble avec mes frères. C’était il y a longtemps, et il n’y a rien eu de sexuel dans nos jeux.

Elle est fille unique, pas de frères et sœurs, et sa famille proche est baignée dans la religion chrétienne, ils sont tous très pratiquants.
Bien sûr elle aussi suis très scrupuleusement tous les dogmes de cette religion. Tous les dimanches elle va à la messe et respecte toutes les fêtes religieuses, mais pas comme la plupart des gens à Noël ou à Pâques où la seule préoccupation : c’est faire la fête.
Elle a même été aux JMJ l’an dernier au Panama, et elle a fait déjà plusieurs pèlerinages à Lourdes, Rome et celui qui l’a le plus marqué Jérusalem.

Comme ses parents ont déménagé depuis quelques années, elle se trouve loin de moi et nous n’avons des relations que de temps en temps, souvent épistolaires, car physiquement nous nous sommes revues que trois fois depuis qu’elle a quitté la région.

Comme à chaque fois, je suis toujours impatiente de lire sa missive, je vais essayer de vous résumer celle-ci dans la partie qui nous intéresse aujourd’hui car elle est bien plus longue mais serait sans doute ennuyeuse pour vous et aussi pour moi car
il faudrait vous expliquer le contexte et notre passé commun pour comprendre le contenu de certains passages de sa lettre, donc je vais vous condenser son courrier et me concentrer sur la partie qui va nous importer.

Amandine est un peu plus jeune que moi, elle est brune avec des yeux noirs, les cheveux mi long qui tombent sur ses épaules, une jolie frange lui arrive au milieu des sourcils, Elle est assez grande et est de corpulence moyenne, des seins pas énormes, mais plus conséquent que les miens, et c’est pour cela que je les envie car même vu d’extérieur, je les trouve très coquets, bien sûr, et c’est bien dommage, je ne les ai jamais vu dénudés car elle est super pudique et ses chemisiers ou ses pulls lui arrivent au ras du cou.

Alors vous la trouvez comment physiquement ma cousine? Vous en voulez un peu plus?

Des souvenirs qui me reviennent, elle avait de jolies jambes car maintenant elle est toujours en robe ou jupe longue qui les cache en grande partie et c’est vraiment regrettable. Mais pour les avoir bien admirer sans qu’elle s’en doute, je pense que ses fesses doivent être bien rebondies et fermes, bref tout ce qu’il faut pour que des garçons la trouvent très accorte. Mais je ne peux pas vous en dire plus, petits vicieux.

De plus, elle a un caractère super agréable, toujours de bonne humeur, elle illumine la journée de son sourire qui ne s’efface jamais quand elle est en société. Avec elle je n’ose pas parler de sexe de peur de la vexer, et elle non plus n’en parle jamais,
je ne sais rien de ses désirs et de ses expériences, mais je me doute que la religion doit la brider.

A-t-elle des envies ou pas ? Mystère, je ne peux pas vous le dire car je n’en sais rien, maintenant je vais vous rapporter sa correspondance dans ses termes à elle que je reprends avec soin.

Dans ce courrier, elle m’a indiqué qu’elle souhaite me rencontrer pour me parler d’un choix qu’elle pense être définitif sur son avenir, et elle voudrait que nous en parlions ensemble, c’est pour cela qu’elle me propose de venir me voir un dimanche de juillet chez moi.

Mes parents seront partis en vacances à ce moment-là et nous pourrons tranquillement discuter ensemble de son projet et je lui donne donc le feu vert pour ce jour là.

À la fin de sa lettre, elle me dévoile sa résolution afin que je puisse réfléchir avant notre rencontre. Et son idée, je vous la donne en mille: c’est de rentrer dans les ordres, une congrégation religieuse dont je tairais le nom ici mais qui me pousse à faire des recherches sur Internet pour avoir quelques notions sur cette institution.

Et mes premières découvertes ne me rassurent en rien: une idéologie très stricte, proche de l’intégrisme, résume bien mes investigations sur le Net. Inutile de vous dire que c’est très loin de ma philosophie, et je suis sur le cul, si je puis dire, mais ne me laissant pas abattre, je décide d’être positive et combative pour tout mettre en œuvre pour cette future visite et essayer de la dissuader de faire cette bêtise pour ne pas dire connerie.

Pour cela, la première personne à qui je demande des conseils, vous l’avez sans doute reconnue : c’est Camille.
Elle est sur la même ligne que moi, elle se dit prête à m’aider. Comme elle ne connaît pas Amandine, je lui en dresse un portrait sommaire et surtout lui parle du contexte familial où elle vit, et sa vision du monde qui en découlent.

Afin d’ établir un plan de bataille, nous nous accordons quelques jours de réflexion séparément, et nous convenons de nous revoir quelques jours plus tard.

À ce niveau de mon récit, chères lectrices et chers lecteurs, je veux vous informer pour que vous ne soyez pas surpris, d’une nouveauté, qui je l’espère vous enchantera, à savoir, qu’au milieu de ma narration je vais la couper par de petites digressions que j’ai demandé, à posteriori aux protagonistes de cette histoire, de m’écrire. Certains ont bien voulu jouer le jeu, et c’est le texte intégral, qu’ils m’ont gentiment confié sans que je fasse une censure ou un rajout, que je vous livrerai afin que vous ayez une version complète avec des détails ou des sentiments personnels que je n’avais pas perçu sur le moment.
J’espère que cela vous amusera comme cela a été le cas pour moi, et n’hésitez pas à me le faire savoir dans vos commentaires.

Quelques jours plus tard, Camille et moi nous revoyons pour mettre en commun nos réflexions.
Nous tombons d’accord pour essayer de faire découvrir à Amandine des plaisirs que nous soupçonnons fortement qu’elle ne connaît pas.
Bien évidemment, ce n’est qu’après son consentement que nous dérouleront notre plan.

Pour cela nous avons besoin de l’aide de garçons bien sûr, et le plus disponible et plus facile à contacter: c’est Théo, mon jeune frère, qui est justement dans sa chambre.

Je propose à Camille d’aller lui demander. Arrivées devant la porte, Camille me demande :

- Et si nous rentrions sans frapper ? S’il était en train de se caresser devant un film porno ce serait marrant !

Toujours aussi coquine, elle ne perd jamais une occasion de se divertir, je lui laisse le choix mais c’est elle qui prend l’initiative et elle devra donner des explications à notre intrusion soudaine et s’ expliquer avec lui.

Finalement, avec sagesse elle n’ose pas et frappe toc toc toc.

- Entrez, nous fait-il.

Avec la célérité avec laquelle il nous a répondu, il n’est pas du tout en train de se branler. En découvrant qui vient le voir, il a un large sourire et nous accueille gentiment.

A suivre.