Le Dortoir Du Collège

Qui croit que nos écoles sont peuplées de chères têtes blondes, a tout faux. Je suis blond et j'ai 17 ans à l'époque des faits. j'étais pensionnaire dans un vieux collège privé. Nous avions encore dans les salles de classe, ces vieux bureaux à deux places, séparées par un tuyau métallique.
Pendant un cours de maths pour lequel j'étais passionné, mon voisin de bureau posa sa main sur ma cuisse nue. J'ai repoussé sa main, il l'a remise. Je l'ai repoussée une nouvelle fois avec un geste d'agacement.
Il se pencha alors vers moi, et chuchota à mon oreille.
- Regarde ce que je te donne, si tu dis rien !
Il avait en main un camion jaune et rouge en plastique. J'étais pensionnaire
dans ce collège, parce que mes parents divorçaient et, aucun des deux ne voulaient laisser la garde des s à l'autre. De ce fait, les jouets étaient étaient rares pour moi. Je pris le jouet et il remis sa main sur ma cuisse.
Comme je ne bougeais pas, il passa sa main sous le tissu de mon short. Ne pouvant pas aller bien loin, il la retira et la posa sur mon sexe. Je sentis une vague de chaleur monter en moi, et mon sexe devenir tout raide. Il ouvrit ma braguette, passa sa main dans l'élastique de mon slip et prit mon sexe entre ses doigts. Tout attentif à ce qu'il faisait, je n'avais pas vu que les garçons des autres rangées n'en perdaient pas une miette. Pourtant, personne ne nous dénonça.
Le soir, avant d'aller se coucher, on devait aller à la salle d'eau, pour se laver les mains et les dents. Nous étions tous en slip blanc devant les lavabos. Un gamin de mon âge prit le robinet à côté de moi, se pencha vers moi sur le côté, posa une main sur mes fesses, l'autre sur mon sexe et me dit :
- A tout à l'heure !
Je ne comprenais pas encore ce qu'il voulait dire. Je suis allé me coucher, et le surveillant du dortoir, après avoir fait sa ronde, partit en faire de même.
Quand tout fut silencieux, un garçon s'approcha de mon lit.

Il me tapa sur l'épaule, passa sa main sous les draps et la posa sur mon sexe. Il était déjà raide. Il ressortit sa main, la glissa dans son slip et fit apparaître le sien. Il le tendait vers moi, et de son autre main, il attira ma tête vers lui.
Le gland était sur mes lèvres et j'ai compris qu'il voulait le mettre dans ma bouche. Ca n'avait pas de goût, aussi j'ai sucé ça comme un bâton de sucre.
Il avait l'air d'aimer ça. Pendant que je le suçais, il a demandé à voir mon cul, nu. J'ai repoussé les draps, descendu mon slip, et ai exhibé mes fesses à son regard. Il n'a pas pu s'empêcher d'y mettre la main. Malgré ses 17 ans à peine, le garçon avait un sexe d'une belle taille.
Le lendemain matin, nous étions sous la douche et contrairement aux autres jours, chaque élève vint prendre sa place à côté de moi. Ayant eu vent de mes exploits nocturnes, un par un, ils vinrent palper la douceur, désormais légendaire de mes fesses. J'en ai passé des nuits à sucé des élèves, jusqu'au jour où ça n'a plus suffi. Maintenant, ils voulaient plus. Une nuit, ils sont venus à plusieurs, m'ont tiré hors de mes draps, et m'ont traîné vers le pied de mon lit. Un gars de chaque côté tirait sur mes bras et je me suis retrouvé courbé le torse sur le lit et les hanches
plaquées contre le montant. Des mains ont écarté mes fesses, et une avalanche de sexes m'ont pénêtré. J'ai du dormir à peine deux heures cette nuit-là.
Le lendemain, le surveillant me dit qu'après la nuit que j'avais passé, il n'était pas étonnant que j'ai autant de cernes sous les yeux. Il dit aussi qu'il n'est pas intervenu, parce que j'avais lair d'apprécier et que le spectacle avait été magnifique.

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