Le Collègue De Boulot

Aujourd’hui après que nous ayons fait intensivement l’amour Nora éprouve le besoin de me parler, petit à petit elle me met sur la voie
- J’ai besoin de me libérer d’un poids chéri
- Ah ? sache que je ne te demande rien, je t’aime comme au premier jour Lisa
- C’est grave …
- A ce point ? de quoi s’agit-il ?
- Tu te souviens du stage que j’ai effectué l’an dernier
- Oui très bien, tu es partie deux jours à Bordeaux en voiture avec Yannick ton collègue de boulot ?
- Aussitôt ce stage il a été promu et muté à Lyon
- C’est ça
- Tu as des nouvelles de lui ?
- Aucunes et je n’y tiens pas
- Ah ? vous vous êtes embrouillés ? c’était pourtant un charmant garçon
- Oui …
- Ne me dis pas que ….
- Si ….
- Ça s’est passé où, quand, comment ?
- Au retour du stage, après déjeuner sur l’autoroute il faisait très chaud dans sa voiture, avec la digestion je somnolais à moitié, à un moment j’ai senti une main effleurer mon genou, je rêvassais à nos retrouvailles que j’espérais torrides et c’est toi que j’ai imaginé me caresser comme tu le fais souvent au volant
- Et j’imagine que comme d’habitude ta jupe n’était pas bien tirée et tes genoux ouverts ?
- Sans doute, c’est pourquoi je n’ai pas réagis lorsque la caresse s’est faite plus précise, j’ai simplement soupiré d’aise, je crois même avoir murmuré ton prénom
- Évidemment pour lui c’était un encouragement ?
- Bien sûr et il en a profité pour remonter plus haut, j’ai enfin ouvert les yeux lorsque mon slip poisseux a été repoussé sur un coté ….
-- --- ---
- Yannick ? mais que fais-tu ?
- Eh bien je te caresse, c’est bien ce que tu veux non ?
- Mais non voyons !
- Ou tu joues les allumeuses Lisa ou tu te fous de moi ? tu es trempée, cette mouille n’est pas seulement due à la chaleur ambiante que je sache !
- Mais tu as aussi sorti ta queue ?et tu bande ?
- Ce que tu me montre généreusement y est certainement pour quelque chose, tu es une vraie blonde ! ça ne sert plus à rien de tout cacher j’en ai trop vu
- Et tu vas t’en venter ?
- Rassure toi je sais tenir ma langue.

.. à tous points de vue d’ailleurs !...
- Tu ne range pas ton ‘matériel ‘ ?
- Impossible, regarde, il est trop raide, si je lâche le volant nous risquons l’accident, faisons-nous plaisir ? je te caresse et tu me masturbe ?
- Si je le fais, tu vas me prendre pour une salope ?
- je te respecte trop pour ça, après tout nous somment deux adultes consentants dans cette voiture, à l’ abri des regards indiscrets, tu tends la main je tends la mienne, on se masturbe, c’est facile non ? aller Lisa …ce soir c’est oublié

--- -- --
- J’étais tellement excité que ce beau parleur a fini par me convaincre, je me suis avancée sur mon siège pour qu’il puisse mieux me toucher et j’ai saisi son membre qui battait fort entre mes doigts
- Une belle queue ? soit franche, plus belle que la mienne ?
- Un peu oui …
- Je ne suis pas jaloux d’autant plus que vous n’avez pas eu l’occasion de le faire deux fois ? il t’a faite jouir finalement ?
- Oui … plus tard, mais lui a déchargé plein mes doigts et sur son pantalon
- Bien fait !
- Si tu le dit …

--- --- ---
- Nous allons faire un brin de toilette à la prochaine aire de repos Lisa
- J’en ai besoin, et tu vas laver aussi cette tache sur ta braguette
- Tu m’aideras ?
- Si tu veux, ah voilà un parking
--- --- ---

- Je ne sais pas si s’arrêter là était la bonne solution, je me trompe ?
- Non …. Surtout que j’étais encore sur ma faim
- Je me doute, pas question d’arrêter les galipettes si tu n’as pas joui, tu as été te laver ?
- Oui, j’avais laissé ma culotte sur le siège pour ne pas la tacher davantage
- Ben voyons …
- Je te jure que c’était sans arrière-pensée, mais Yannick m’a appelée depuis les WC hommes

--- --- ---
- Lisa ? je suis là, mouille un mouchoir et entre
- Tu es sérieux ?
- Y’a personne, viens vite ! referme la porte, tu t’es lavée toi ?
- Oui, avais tu vraiment besoin de retirer ton jean ?
- C’est plus facile pour nettoyer la braguette
- Je rêve ou tu es encore en érection ?
- Non, je suis même bien raide, regarde …
- Yannick !! range ça !
- Touche-moi encore, ensuite nous roulerons plus sereinement jusqu'à destination, sans s’arrêter
- Tu es incorrigible et moi ? tu te fous de mes envies ?
- J’y pensais figure-toi … relève ta jupe Lisa….
Aaaaaaahhhhhh merci de ne pas avoir remis ta culotte, tu permets ?

--- --- ---
- Laisse-moi deviner, tu as à nouveau accepté qu’il fourre ses doigts dans ta moule en eau
- Et il m’a pénétrée debout le long du mur en carrelage
- Salope !!
- Il fallait que je jouisse sinon je n’aurais pas été de bonne humeur en arrivant à la maison
- Vu comme ça, ça change tout, je dois te dire merci en plus ? TRAÎNÉE !
- Tu m’en veux ? je comprends, alors je vais partir chez mes parents …
- Idiote ! si je ne t’avais pas pardonné tu ne serais plus là depuis ce fameux soir
- Mais ?comment as-tu su ?
- Figure-toi que même bien lavée une chatte porte les traces d’un accouplement tant que les chairs bousculées n’ont pas retrouvées leur place initiales, ça peut demander des heures ! de plus les parois sont encore maculées de foutre, ce qui était ton cas pour les deux phénomènes
- Alors tu m’as fait l’amour deux heures sans poser de questions ?
- L’état de ta moule et mon imagination ont suffi à comprendre la vérité, et, à me faire bander comme un âne durant trois heures
- C’est vrai, je me souviens que tu étais infatigable ce soir-là, alors c’est oublié ?? …..
- Je tire définitivement un trait sur ton adultère... surtout que je ne suis pas blanc comme neige …
- Salaud ! tu m’as faite cocue ?
- Oui …
- Dis-moi vite qui est cette putain ?
- Pas ‘elle’ mais ‘il ’
- Un homme ? où ? quand ? pourquoi un mec ? TU ES HOMO ???
- Houlà, si tu veux je peux recommencer avec une femme !
- Dis-moi tout ! qui c’est ?
- Je ne connais pas son nom, ça c’est fait durant mon jogging un samedi matin
- Dans la forêt ?
- Oui, je courais, tranquille, à trente mètres un homme derrière moi courait aussi à la même allure, lorsque j’ai eu envie de pisser alors je me suis arrêté en bordure d’un sentier et j’ai baissé mon jogging, d’ailleurs je ne comprends pas pourquoi ces putain de futals ne comportent pas de braguette ! obligé de se foutre le cul a l’air pour sortir sa pine
- Tu as raison, mais de là à ce faire enc….

- Il ne m’a pas sauté dessus ! je l’ai bien voulu !
- Tu l’as sifflé pour qu’il s’arrête ??
- Idiote, j’urinais lorsqu’une main douce s’est posée sur le haut de mes fesses nues, ça parait incroyable mais j’ai trouvé ça excitant alors j’ai laissé faire ‘pour voir ’
- Et t’as vu quoi ?
- La deuxième main s’est emparée de ma quéquette encore à l’air, et … du coup j’ai compris que c’était un homme lorsqu’il s’est collé à moi, j’ai senti ….. une sacrée érection
- Ensuite ? ensuite !
- Ah ça t’excite à présent ?
- Ça m’a toujours intriguée la drague entre mecs !
- Eh bien il m’a décalotté à fond et a commencé à me branler
- Comme ça ?
- Lâche moi la bite, une femme caresse moins bien qu’un homme, a part toi bien sûr !
- Et sucer ?
- Pareil … a part toi bien sûr !
- Arrête de te moquer !
- En me caressant la queue il a passé une main sous mon maillot pour pincer mes tétons
- Comme tu me le fait lorsque nous faisons l’amour ?
- Nous réagissons pareil des nichons, ils étaient tout durs et long comme ça !
- Je sens les miens qui s’allongent avec ton histoire …
- Tout en me masturbant, sans dire une parole, il me poussait lentement vers un buisson afin de nous isoler du chemin, j’allais jouir, il l’a senti et m’a lâché sinon je déchargeais et mon excitation retomberait
- Ah bon ? et ?
- Il a fini de baisser mon jogging et m’a fait comprendre de m’agripper un arbre et de me pencher à l’équerre, d’instinct j’ai écarté les pieds au maximum, c’est alors que j’ai senti un souffle chaude entre mes fesses avant qu’une langue lèche mon anus avant de se faire pointue
- Il a fait ça ? un vrai pro ! c’est à peine si tu oses me le faire pourtant je prends mes précautions avant l’amour
- J’ai trop envie de te pénétrer par la chatte, la sodomie n’est pas mon fort
- Et pourtant tu t’es fait sodomiser ?
- Oui mais là j’étais passif, ça me faisait un bien fou quand ses doigts ont remplacés sa bouche, je me sentais prêt, il l’a senti et s’est relevé pour étaler un gel froid sur ma cible
- Tu me fais mouiller salaud …
- Aussitôt il a posé son gang que je devinais gros, je me suis arc-bouté, la douleur devenait a peine supportable, j’ai serré les dents pour ne pas passer pour une mauviette
- Tu vois quand je te dis d’arrêter c’est que ça fait mal !
- Finalement une fois le nœud passé le reste de la queue a suivi sans peine, c’est même moi qui ai donné le bon rythme, j’ai joui après deux minutes, je peux même te dire que mon sperme a coulé de ma bite sans la toucher
- Mon cher mari sodomisé, comme j’aimerais assister à ça !
- Quand tu veux, je suis partant, mais certainement pas avec le même gars car finalement je n’ai pas vu sa tête, le temps de m’essuyer il avait disparu ! je le croise peut être tous les jours ?
- Et si nous allions draguer deux mecs un de ces jours ?
- Pourquoi deux mecs ?
- Beeennn… un pour toi et un pour moi pardi !!!!!!
- SALOPE !!!!!

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!