Ma Belle Mère

Ma belle mère
Je m’appelle Pierre j’ai 33 ans, marié, deux s, un bon travail. Ma femme est une jolie petite blonde, avec des petits seins, un cul d’enfer et très portée sur le sexe. Elle a beaucoup vécu avant moi et quand je dis beaucoup, c’est vraiment beaucoup.

Elle a baisé, tous les mecs qui lui plaisaient, en se disant qu’elle ne voyait pas pourquoi ce privilège serait réservé aux hommes. Une fois même elle a eu une relation avec deux hommes, elle m’a raconté cette soirée en détail pour m’exciter et ce fut réussi. Entre nous, le sexe n’est pas tabou et j’avoue qu’elle m’a bien dévergondé.

Ma femme, était toute excitée, elle avait juste mis un petit string, une jupe courte, pas de soutien-gorge. Elle avait même épilé et parfumé sa chatte avant de sortir, au cas où, mais pas de chance, sauf pour moi, car elle était tellement chaude qu’elle m’a sucé dans la cage d’escalier de notre immeuble en rentrant.

Cette liberté sexuelle vient de la légèreté de sa mère adepte du naturisme l’été, que j’ai découverte aussi il y a quelques années en vacances. Une fois nous sommes allés chez mes beaux-parents passer quinze jours. Un jour que j’étais seul dans la journée, j’en ai profité pour aller fouiller dans la chambre de ma belle-mère. J’ai ouvert les tiroirs, et je suis tombé sur ses sous-vêtements.

Ma belle-mère qui a 58 ans, est petite, 1,60 mètre pour 50 kilos, avec un cul qu’on a envie de caresser, de belles formes, des fesses charnues. Avec ma curiosité, j’allais apprendre qu’en secret ma belle mère était une sacrée cochonne.

Ma femme m’avait bien dit qu’elle avait trompé son mari à plusieurs reprises, je trouvais des strings de toutes les couleurs. Une femme de son âge avec des strings, cela m’étonnait un peu. J’ai donc continué d’explorer les placards, des soutiens-gorge assortis aux strings, et aussi cinq ou six porte-jarretelles.

En poursuivant ma fouille minutieuse de la chambre, j’ai trouvé, derrière une pile de pulls, des photos.

Les premières étaient des photos de vacances au camping, avec des gens que je connaissais. Les photos suivantes montraient trois couples d’amis de mes beaux-parents avec qui nous avions passé l’été, des couples d’une soixantaine d’années très classiques, mais qui là m’étonnaient.

Sur les photos, les femmes sont en sous-vêtements très sexy, bas noirs, porte-jarretelles, guêpières... J’imaginais que c’était une soirée délire de vacances, mais les autres photos montraient ma belle-mère sans culotte, de dos, penchée en avant, écartant bien sa chatte devant objectif.

Deux jours plus tard, ma femme est partie pour la journée voir une copine de lycée. Mon beau-père étant au travail, j’allais passer la journée seul avec ma belle-mère. J’avais en tête les photos, les sous-vêtements. Je savais qu’elle me trouvait beau mec. Désormais, je savais que c’était une sacrée coquine.

Lorsque je me suis levé, vers 9 heures, elle était prête pour aller au marché. Elle avait une petite robe d’été courte. Je me suis assis pour prendre mon petit déjeuner. Je ne portais qu’un bas de pyjama. Ma belle-mère me servit mon café en me demandant comment je trouvais sa nouvelle robe. J’étais extrêmement troublé. Elle sembla le remarquer et me sourit.

Je ne sais alors ce qui m’est passé par la tête, ma main s’est posée sur son genou. Elle me regarda sans rien dire, sans doute surprise. J’ai remonté un peu le long de sa jambe, elle ne disait toujours rien. Lorsque j’ai atteint ses fesses et buté sur la ficelle de son string, elle juste émit un petit :

- Non, arrête, tu es le mari de ma fille.

Elle s’arrêta de parler lorsque je me suis levé. Du coup, sa robe remonta, ma main lui caressait les fesses, de l’autre je lui ai saisi la nuque, emmenant sa bouche vers la mienne. Je lui ai alors murmuré :

- Dis-moi que tu n’as pas envie.

Pour toute réponse, elle colla ses lèvres aux miennes et enfourna sa langue dans ma bouche.
Pendant qu’elle me roulait une pelle bien baveuse, ma main droite lui malaxait les fesses, ma belle mère n’était pas grande et svelte et approchait les 60 ans. Mais cela m’excitait encore plus.

Mon léger pyjama ne dissimulait plus une érection certaine. De ma main libre, j’ai descendu la fermeture éclair de sa robe qui a glissé au sol. Je voyais enfin ma belle-mère en string et soutien-gorge devant moi. J’ai appuyé sur ses épaules, elle a vite compris, s’est baissée et a descendu mon pantalon de pyjama.

Elle a d’abord pris mon sexe dur et dressé dans sa main droite, l’a caressé en le regardant, puis a levé les yeux vers moi, a ouvert la bouche et tout en me fixant dans les yeux, l’a avalé. Elle a commencé un va-et-vient de quelques secondes, puis l’a englouti entièrement dans la bouche.

Elle continuait à me regarder en me pompant. Au bout d’un moment, je l’ai arrêtée, car je ne voulais pas éjaculer, du moins pas tout de suite. Elle s’est relevée, je l’ai prise par la main en l’emmenant au salon tout proche. Elle s’est allongée sur le canapé, toujours sans rien dire, me regardant nu et en écartant les jambes.

Je me suis agenouillé, j’ai commencé à l’embrasser à travers son petit string noir, je sentais qu’il était trempé. Elle a pris ma tête pour l’appuyer sur son sexe à travers le mince tissu. Je lui ai écarté le string ; elle avait le sexe épilé, les lèvres bien dégarnies. Décidément, pour une femme de son âge, elle était très sexy. J’ai commencé à passer ma langue sur ses grandes lèvres, remontant vers son clitoris.

Elle mouillait énormément. Puis je lui ai embrassé carrément le sexe, fouillant du bout de ma langue le plus loin possible. Son odeur de mouille m’excitait de plus en plus. J’ai tiré sur son string, elle a relevé les fesses pour me permettre de le lui enlever complètement. J’en ai profité pour me caler un peu mieux et pour lui embrasser l’anus. Elle s’est laissée faire en gémissant.

J’ai glissé un, puis deux doigts dans sa chatte trempée, allant bien au fond ; sa mouille faisait de plus en plus de bruit.
De mon autre main, je lui ai sorti un sein de son soutien-gorge. Je l’ai malaxé. Puis j’ai enlevé les doigts de sa chatte pour les porter à son nez et à sa bouche, pour qu’elle sente son jus. Elle a léché mes doigts, puis je les ai remis au fond de son sexe.

Ma bouche lui a caressé le clitoris, puis est descendue pour lécher son petit trou. Comme elle ne disait toujours rien, j’ai continué jusqu’au moment où j’ai mis un doigt à l’entrée. Elle a relevé les fesses et j’ai pris cela pour une invitation. Je lui ai massé le petit trou au moment où un jet de cyprine a giclé. Elle venait d’éjaculer puissamment sous l’effet de ma caresse.

Du coup, son petit trou était trempé et j’y ai enfoncé un doigt. J’ai commencé un va-et-vient dans sa chatte et dans son cul, quand elle m’a parlé :

- Oui, baise-moi, prends-moi.

Ces mots sortis de la bouche de ma belle-mère me firent bander encore plus. Je me suis relevé, lui ai fait prendre position à quatre pattes sur le canapé. Elle était là, offerte, les fesses relevées, la chatte dégoulinante, un sein sortant d’un bonnet du soutien-gorge.

J’ai passé ma queue dressée le long de sa vulve et y suis entré d’un coup. Elle a poussé un petit cri. J’ai pris un mouvement régulier et là elle commença à s’exciter de plus en plus, me disant d’y aller plus fort, de bien la baiser. Je me suis mis au fond d’elle et m’appuyant contre son dos je lui ai demandé si elle avait envie que je la prenne par derrière. Elle dit alors :

- Oui ! Baise-moi par le cul, encule-moi, je n’en peux plus, j’ai envie de ta queue.

J’ai mis mon sexe à l’entrée de son petit trou et l’ai rentré sans problèmes. Cela m’avait tellement excité, que j’ai joui très vite, sans me retirer de son cul. Nous sommes restés un moment comme ça, sans rien faire ni rien dire.


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