Ma Belle-Mère 02

Dimanche nous sommes allés rendre visite à ma belle-mère. Dès que je l’ai vue j’ai eu envie de « m’amuser » avec elle. Corsage et jupe mi-longue légère. Je me voyais déjà la lui retrousser pour lui caresser les cuisses. Heureusement elle avait oublié le pain et ma femme étant toujours prête à rendre service elle nous laissa seuls pour se rendre à la boulangerie. Aussitôt je me plaquais derrière ma belle-mère et lui emprisonnais son pubis à travers le fin tissu de sa jupe. Elle tourna son visage vers moi et nous nous embrassâmes sur la bouche. Je remontais sur sa poitrine et lui serrais ses seins minuscules. Pour les habitués du site, ils doivent se souvenir que Camille a 79 ans et maigre.
Je la retournais face à moi et lui pelotais les fesses sans cesser de lui aspirer la langue et de fouiller sa bouche.
Ma femme en a pour une demi-heure minimum pour se rendre à la ville voisine et revenir. J’entraine donc sa mère dans la chambre où je la renverse sur le lit. Je lui retrousse sa jupe découvrant ses cuisses maigres. Je lui baisse la culotte. Elle écarte les cuisses, je m’agenouille et lui lèche la chatte. Camille gémit et me caresse le crane. Ma langue glisse alternativement de sa chatte à son anus et quand je la juge assez lubrifiée mes doigts prennent le relai. Haletante, ma belle-mère me demande de la prendre. Je me déculotte et m’allonge sur elle. Sans effort, ma bite s’introduit dans son vagin. La vieille remue, gémit, me serre les fesses. Je la pilonne de plus en plus vite pour la faire crier. Je me couche sur elle et l’embrasse sur la bouche.
Le temps est compté aussi m’ordonne-t-elle de cracher mon sperme et de l’inonder. Il me faut encore quelques minutes mais je lui remplis le vagin de mon liquide chaud et gluant. Après quelques câlins, elle se penche vers ma queue qu’elle gobe avec gourmandise et nettoie consciencieusement. Une petite toilette et nous voici sagement assis sur le canapé du salon à attendre ma femme.

Quand je dis sagement, c’est tout de même ma main sous la jupe de ma belle-mère et en nous embrassant goulument sur la bouche.
Un bruit de voiture dans l’allée. Ma femme revient. Il est temps de nous rajuster…
La journée se passe tranquillement mais je ne perds pas une occasion de caresser ma belle-mère dès que ma femme a le dos tourné.
Une idée me traverse l’esprit et je propose :
- Chérie. Si nous accueillions ta mère à la maison pour une semaine ? cela lui changerait les idées…
Ma femme est enthousiaste et Camille n’a plus qu’à préparer ses affaires. Elle me regarde et comprend immédiatement se que j’ai derrière la tête…
Lundi matin. Ma femme part au travail. Je rejoins ma belle-mère dans sa chambre. Je suis nu, aucune ambigüité possible. Je me glisse sous les draps et me colle contre Camille. Je l’embrasse sur la bouche. Elle répond à mon baiser. Pendant ce long baiser je descends ma main sur son ventre, retrousse sa chemise de nuit et lui emprisonne le pubis. Je lui masse la chatte, glisse les doigts dans son fourreau humide. Je me couche sur elle et ma queue fièrement dressée ne tarde pas à s’introduire dans son vieux vagin trempé. Je tringle fort ma belle-mère, je lui pétris ses seins, je l’embrasse goulument, ma langue lui explore la bouche, nos salives mêlées coulent sur ses joues. Elle halète et ne cesse de répéter que nous sommes fous. Rapidement je sens que je vais jouir et je ne me retiens pas. Je lui inonde le vagin et me laisse retomber sur le côté. Camille reprend peu à peu ses esprits et pensant que la séance est terminée tente de se lever pour rejoindre la salle de bain. Je lui saisis le poignet et l’attire contre moi. Nous nous embrassons longuement. je lui montre ma queue et lui fais comprendre qu’elle doit lui redonner vie. Ma belle-mère s’en empare sans se faire prier et me branle tandis que j’introduis mes doigts dans sa chatte encore engluée de mon sperme. Ma bite ne tarde pas à se redresser et Camille la fait disparaitre dans sa bouche.
Elle me pompe divinement et nous réalisons bientôt un 69 de toute beauté. Je lui bouffe la chatte, elle me pompe la queue et me lèche les couilles. La vieille femme me chevauche. Elle écarte sa vulve et de l’autre main, guide ma queue pour la pénétrer. Elle se laisse glisser sur ma verge qui disparait complètement dans son vagin. Nos poils pubiens se frottent. Ma belle-mère remue d’avant en arrière en poussant des râles obscènes. Je la laisse faire. Son clitoris frotte sur le haut de ma verge et cela ne tarde pas à lui déclencher un orgasme, la laissant pantelante, couchée sur mon torse. Je la renverse aussitôt et la baise sans ménagement pour jouir à mon tour.
Vers les 11 heures, nous décidons de quitter la chambre et d’aller faire notre toilette. Je suis Camille dans la douche et lui passe du savon liquide sur tout le corps en insistant entre ses cuisses, ses fesses et sur ses seins. La douche s’éternise. Elle me rend la politesse. Je lui soulève une cuisse et la baise debout tout en l’embrassant sur la bouche. Un peu usé par une matinée de baise je n’arrive pas à conclure cette fois-ci et nous finissons tout de même par sortir de la douche. Une demi-heure plus tard ma femme rentre du travail et nous trouve à la maison sages comme des images, l’incarnation même de l’innocence… hummm, Camille reste une semaine à la maison !...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!