Belle Mère

Belle mère,
Voici l'histoire tellement plaisante qui m’est arrivé cet été, et bien qu’elle puisse paraître pour nombre d’entre nous un grand « classique » des anecdotes coquines…

C’était un samedi tout à fait ordinaire, où nous avions décidé de flemmarder avec ma copine et moi (à quelques années de la trentaine) au bord de la piscine de ses parents. Le mois d’août s’y prête bien, et le soleil de la journée s’annonçait généreux.

Nous allions donc chez ses parents, en début d’après midi, situés à la campagne, au calme, et en vue d’y passer la soirée pour manger avec eux.

Comme souhaité, nous nous sommes munis de nos maillots, nos magazines, et notre crème solaire pour aller se rafraîchir et prendre un bain de soleil au bord de l’eau.

Ma belle mère était présente, mais pas mon beau père, qui travaille le samedi. Elle nous laissa nous installer librement en vacant à ses occupations dans la maison.

Ma copine, toute belle dans son maillot deux pièces, et moi, rentrons tranquillement dans l’eau, pour quelques mouvements et brasses. Un bisou par ci, puis par là, venait agrémenter notre baignade. C’est si bon.
Puis nous sommes sortis de l’eau pour bronzer. Ma belle mère passait parfois dans les allées au bord de la piscine, occupée à ses affaires et nous demandant si tout allait bien. Pour nous. Oui.
Ma copine me demanda de lui étaler de la crème dans le dos. Je le fis avec plaisir et simplicité, comme d’habitude, mais rapidement la vue de cette petite sirène sur le dos, bien formée, me laissa aller dans mes pensées, et j’appliquais alors la crème avec douceur. Elle me dit que c’était bon, et elle tendit sa main en arrière pour me faire une petite caresse simple, sur la jambe. Celle-ci éveilla néanmoins mes sens, ce qui fit gonfler à mon insu le devant de mon maillot. Ma copine le senti, et m’attisa un peut, par taquinerie. Cette fois c’était franc, et je lui dis de ne pas me provoquer car l’endroit était mal choisi, du fait de la présence de sa maman.

J’avais alors une érection marquée, que l’on ne pouvait pas rater.
C’est à ce moment, que la mère de ma copine arrive, préparée aussi pour nous accompagner dans l’eau, avec son deux pièces et un paréo.
Mon geste gêné pour tenter de dissimuler mes émotions s’est alors un peu fait voir, et j’adoptai une position moins naturelle.
Ma belle mère, ayant semble–t-il senti qu’elle nous surprenait peut être, ne laissa entrevoir pourtant aucun arrêt dans son élan. Elle s’assit à côté de nous et commença à discuter de choses courantes sur la semaine écoulée. La discussion était engagée, légère, mais ma copine avait prévue d’aller acheter un gâteau pour le soir dans l’après midi. Elle se retourna donc et profita du fait que je discutais avec sa mère pour nous dire :
- « je vais aller chercher le gâteau, ça ne vous gène pas ? ».
- « Non, tu veux que je vienne ? ».
- « Ho, c’est pas la peine, tu peux rester en profiter un peu, et puis ce n’est pas une sortie palpitante ».
- « c’est parce qu’il te faut bien une demi-heure pour faire ta course, vu où est la boulangerie »
- « c’est pas grave, on est pas pressés ».
Puis elle se leva, me fit un bisou et nous dit « à toute, je vous laisse, je reviens vite ».

Sa maman en profita pour ôter son paréo, et décida d’aller piquer une tête, avant d’aller cueillir les légumes du jardin pour le soir.
Ma belle mère est une femme assez bien conservée, sans être un canon, mais avec des formes sensuelles et de bonne compagnie. Nos rapports étaient tout à fait standards, agréables.
Elle partie donc dans l’eau, délicatement, rentrant en gonflant un peu la poitrine à certains moments, en réaction à la fraîcheur de l’eau. Je la trouvais séduisante dans cette scène, et la regarda faire du coin de l’œil quelques mouvements dans l’eau.
Rapidement elle se sentait rafraîchie, et décida de sortir pour aller faire sa cueillette. Le soleil était bien chaud à cette heure, et elle ne s’essuya pas pour se sécher au naturel.
Les gouttes étaient encore suspendues sur son corps, c’était frais.
Je lui dis : « je vais vous aider à récupérer les légumes, attendez ». Je mis mes tongues.
Elle décida de remette ses chaussures d’été, qui présentaient une attache rebelle à ce moment. Sans trop s’en apercevoir, elle leva sa jambe face à moi, sur la chaise où elle était alors assise, pour ragrafer sa sandale. Elle me présenta alors son entrejambe, moulée par son maillot opaque, certes, mais qui me fit m’attarder une seconde sur cette vison peu fréquente. Ma belle mère ayant fini, releva la tête et s’aperçu de sa position indélicate en croisant mon regard. Pour décoincer la situation, elle fit un trait d’humour un peu maladroitement : « excuse moi, je suis un peu nature et en plus ce spectacle n’est certainement pas du goût d’un jeune homme comme toi ! ». Ne sachant pas trop quoi comprendre j’eu moi aussi une réaction bizarre, et je lui dis accompagné d’un sourire « il y a pire comme tableau, pour un jeune homme en particulier ».
Je l’ai alors vu s’arrêter dans son action sourire, un peu flattée, puis me dire : « je vais ramasser ses légumes, si tu veux m’apporter la bassine s’il te plait ».
« Ok, je la prends ».

Je la retrouvais dans le potager ou elle était au niveau des tomates. Nous nous sommes mis de chaque côté du rang pour les ramasser. Après plusieurs fruits chacun, nous nous sommes baissés en même temps sur l’un que nous souhaitions chacun ramasser, et je butai sur sa main. Elle fit « oups » et stoppa son geste, et me dis « prends – là, elle est bien mûre celle-ci ». En la regardant je tombai alors sur son décolleté de maillot, en pleine ligne de mire, et je souri à nouveau instinctivement en disant « désolé, mais vous me mettez décidément dans l’embarras avec toutes ses vues volées ». Un silence ponctua la scène, puis son regard se fit sentir plus interrogatif : « tu ne va pas me dire que je te trouble quand même… ». Là, je sentis quelque chose passer en moi, et lui répondit en détournant le regard : « ben, à force, ça ce pourrait si vous insistez… ».

J’ai senti qu’un changement s’était alors produit, dans cet instant, alors qu’aucune anecdote antérieure ne m’avait fait porter cette attention sur ma belle mère, et inversement je crois.
Caché plus ou moins au milieu des rangs de tomates, elle prit alors un pas auquel je ne m’attendais pas et dégrafant son haut de maillot pour laisser apparaître ses seins bien faits, et ses tétons encore ferme de la baignade toute récente. « Voyons, si j’insiste alors… » Elle souri avec un degré supplémentaire de malice.
« Madame, je crois que vous envenimez la situation…». « mais ils sont ravissants sous cet angle, je le reconnais ». Nous avons eu un regard coquin l’un pour l’autre et elle a tendue sa main vers la mienne, pour la rapprocher de sa poitrine et ajouta « s’ils te plaisent tu as même le droit de les toucher si tu veux ».
L’excitation montai brusquement en moi, je ne réalisais pas tellement ce qu’elle me disait. Puis contre toute attente, je lui saisi un sein bien dans ma main, commençant à le caresser pour juger de leur douceur, de leur fermeté.
Elle me dit « y’a pas de mal à se faire du bien, non ? », puis elle approcha à nouveau sa main pour constater délicatement les rondeurs de mon maillot, à ce moment bien saillantes. A qui la faute !
La sensation de sa main, qu’elle avait alors appliqué sur mes parties intimes, même à travers le maillot, ma fait basculer dans un état d’excitation intense. Elle décide alors de franchir le rang qui nous sépare, et sans un mot prononcer, me fait assoir sur les fesses, elle devant moi, accroupie, la poitrine gonflée, et passe alors sa main sous mon maillot, par le bas. Arrivée jusqu’à ma verge qu’elle saisie dans sa main elle ajouta « effectivement, il se pourrait que je te fasse de l’effet …».
Elle me glisse alors « profitons de ce malentendu pour faire plus ample connaissance finalement ? ». « Maintenant je vais avoir du mal à résister, pardonne moi… ». Elle att alors l’élastique de mon maillot, qu’elle détend vers le haut, afin de ne pas toucher mon sexe alors très tendu, et le descend ensuite de façon à laisser pleinement accessible à sa vue mon organe.
Elle s’appuie alors à genoux et s’approchant de lui, la langue remuant me demande : « je peux goûter ? ». Je lui dis du coup « en plus c’est bien l’heure du goûté ». Je la vois alors ouvrir grand sa bouche pour m’avaler au plus loin, et en commençant des mouvements de va et viens appuyés. « Elle me plait bien je crois… et toi ? ». Je lui dis « Je suis un peu gêné du contexte… mais le plaisir est bien réel ». Puis je la saisie naturellement par le cuir chevelu et l’accompagne dans ses goulées… franches à ce moment. Elle me fit tellement de bien que rapidement je sentais monter en moi le plaisir. Je lui lâche alors un « attention, ça va monter… ». Elle saisie alors mon sexe tout tendu, et se retire la bouche ouverte devant mon gland et dit « va-y, je m’en occupe cette fois… avec grand plaisir… » Et tout d’un coup les saccades arriva et mon sperme lui giclait copieusement dans la bouche, qu’elle maintenait ouverte, sans avaler. A la fin du feu d’artifice, elle ferma la bouche pour extraire mon jus, qu’elle laissa couler dans le creux de ses seins, désormais secs et doux. Je ne pu m’empêcher de récolter ce sperme, et le répandre sur sa poitrine toute entière, lui caressant de l’autre main son minou qui mouillait alors le textile de son maillot encore bien plaqué contre ses lèvres. Elle respirait profondément, laissait entendre des gémissements qui en disaient longs sur ses désirs.
Après quelques instants de plaisir, elle décida de récupérer son haut, de le remettre collant sur sa poitrine recouverte de semence, et me dit d’un air très complice, avec un clignement coquin de l’œil : « nous devrions aller nous rincer dans l’eau avant de poursuivre peut être… ». Je lui dis « … heu… oui, ce n’est pas l’envie qui m’en manque mais votre fille risque de rentrer bientôt ? ». Elle me dit : je te retrouve dans la piscine, on a bien le droit de prendre un bain ensemble ? ». « Heu oui, on le fait régulièrement c’est vrai ». Elle me reculotta gentiment et me dit : « je te rejoints ». Elle se leva, attrapa la bassine de légumes ramassés. Je ne pu m’empêcher de lui faire une caresse bien appuyée à travers son maillot, entre les cuisses. Elle se retourna et me dit « tu vois mon coquin, on n’a pas dit notre dernier mot… ».
Je la vis s’éloigner par l’allée de la piscine, un peu pressée, et entrer dans la maison.
Rapidement, souillé moi aussi, je rejoignis la piscine dans la quelle je m’enfonce plus vite que d’ordinaire.
Là dessus, ma belle mère revient, dans sa tenue de bain, et plonge aussi dans le bain. Arrivée dans l’eau, elle s’approche de moi et me dit que l’on doit frotter pour nettoyer tout ça. Nos mains baladeuses prennent alors volontiers le pas sur les paroles, et nous voilà déjà en train de nous tripoter dans l’eau, cachés des regards. Elle s’occupe de mon sexe, dont la vigueur est vite revenue, et je lui presse les seins dans mes mains, lui lèche même l’un deux lorsqu’elle se dresse légèrement au dessus de l’eau, avant de replonger pour m’agripper le manche fermement sous mon maillot. Dans ses manipulations de pur bonheur, je découvre un préservatif caché dans son bas, qu’elle avait déballé et glissé dans son maillot avant de retourner dans l’eau. Elle le sens, et je lui dis alors : « ha oui, vous voulez continuer le jeu si je comprends bien… ». Elle ne dit pas un mot, souri et me fait glisser le maillot pour libérer mon pénis dressé par l’excitation intense qu’elle me procure. « Je ne soupçonnais rien de tout ça chez vous » je lui glisse au creux de l’oreille dans un moment de proximité. « Moi non plus me dit-elle, mais autant ne pas s’arrêter en si bon chemin… ».
Je rêvais littéralement à ce moment, constatant la situation que je vivais. Inquiétude évidente au vue du contexte et de ma copine, c’est clair, mais quel désir ! Délectable !

Elle me fait alors reculer sur le bord de la piscine, de façon à ma rapprocher avec elle des marches d’entrée dans l’eau. Puis là elle se retourne, s’accoude sur cet escalier aquatique, face à moi, et att le préservatif. Saisissant mes fesses par derrière, elle pose la capote sur mon gland bien accessible sous l’eau, et le déroule avec une pression régulière de tout son long, de façon à bien l’enfiler. Là dessus je me mets à bonne hauteur et lui caressant les jambes, elle ne montre aucune résistance à les ouvrir en grand, me libérant un espace magistral pour parfaire notre acte. Je décide de glisser son maillot d’un côté, sans l’enlever pour rester discrets (si tant est que nous soyons discrets dans une telle posture !) et approche ma verge contre ses lèvres bien ouvertes. Elle me dit alors « tu m’as tellement fait monter, que j’ai envie que tu donnes tout ce que tu peux, que tu m’empales bien fort, avant que nous soyons interrompus ». Ces paroles déclenchèrent une véritable fougue en moi, et je m’enfonçai alors lentement mais profondément, d’un aller sûr et déterminé. Elle laissa échapper un râle de plaisir à ce moment, comme faisant abstraction de l’entourage et me dis « vas-y, fait moi du bien, c’est délicieux… ». J’ai donc commencé à la pénétrer de plus en plus fort, variant les rythmes entrée/sortie pour accroître le plaisir. Je lui malaxais la poitrine avec ma main libre en même temps… nous gémissions tous les deux de plaisir. Puis elle souhaita se tourner, pour que nous nous placions en levrette sur les escaliers, ce que j’acceptai volontiers. Une fois en place, je la pilonnais de tout mon possible, lui agrippant les tétons et les hanches par moment, afin de rentrer au fond de son intimité. Elle haletait de plaisir, moi aussi, puis je senti mon éjaculation arriver. Je la préviens et elle se rapproche les jambes pour enserrer mon pénis contre ses muqueuses, afin de profiter des spasmes de mon sexe en elle. Plusieurs coups sont donnés, et je me détends petit à petit, pour marquer une pause contre son dos.
Elle me caresse par derrière, je me retire et nous nous faisons vis-à-vis à ce moment, dans une position redevenue « normale » depuis l’extérieur de la piscine. Nous marquons un temps d’arrêt, rassasiés, puis elle me déclare : « je vais presque envier ma fille du copain qu’elle à trouvé finalement. En bonne mère je vais tenter d’être sage après cet extra». « Nous nous connaissons un peu mieux maintenant », me dit-elle pour rappeler le tout début de notre conversation.
Là dessus, j’entends la voiture de ma copine arriver, puis se garer dehors. Ma belle mère me récupère alors le préservatif qu’elle dissimule habilement dans son maillot, puis s’éloigne de moi en reprenant quelques brasses conventionnelles, tout comme moi.
Ma copine est alors venue nous rejoindre et nous dit : « tranquilles, le bain était bon si vous y êtes encore ». « J’ai pris le gâteau, c’est bon, mais il y avait de la circulation, puis la chaleur est terrible ». « Je vais aller me rafraîchir avec vous ». Ma belle mère lui dit : « profites-en, c’est vrai, il fait chaud…. moi je vais sortir préparer le repas ».
Ma copine se mis en tenue, et vint me rejoindre. Ma belle mère était alors repartie, me décochant un regard discret en sortant de la piscine.

Incroyable… depuis ce moment, les choses sont différentes, et peut être que les dérapages vont se reproduire un de ces quatre … ? Difficile de gérer la suite….

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