Ma Belle-Mère

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cette histoire m'est arrivé alors que j'avais tout juste 20 ans.
J'avais beaucoup d'aventures à cette époque, étant plutôt bien membré avec une réputation
de bon amant, les filles de mon bahut se passaient le mot et j'était souvent sollicité
pour des parties de jambes en l'air, parfois même dans l'enceinte du bahut, j'avais même
eu une relation avec une prof qui avait duré quelques temps, mais ceci est une autre
histoire.
Toujours est t'il que j'avais de gros besoins sexuels qu'il était assez facile
d'assouvir.
Seulement voilà, après avoir choppé une grosse crève, j'avais du rester chez moi pendant
plus d'une semaine .
La fièvre étant vite tomber, je tournais en rond à la maison ne sachant que faire. Les
branlettes ne m'ayant jamais vraiment satisfait, j'étais comme un lion en cage et
j'aurais pu me tapé n'importe qui sans hésitations. Ma belle-mère ne travaillant pas, je
n'avais la possibilité ni de sortir, ni d'inviter une copine pour m'amuser un peu. De
plus, la femme de mon père était constamment sur mon dos à me prendre la tête pour des
trucs insignifiants.
C'était une femme de 45 ans, environ 1m60, toute en rondeurs, avec un visage plutôt
jolie. C'était l'archétype parfait de la ménagère de moins de 50 ans, son seul vrai atout
physique était sa poitrine particulièrement volumineuse, je dirais un 110 f ou g, elle
avait des seins absolument énormes.
De plus elle était plutôt chiante, toujours à donner son avis sur tout, me sollicitant
constamment pour l'aider à la maison et surtout elle me demandait de l'appeler maman ce
dont j'avais horreur.
Ce matin là, après avoir pris mon petit déjeuner, je regardait tranquillement la télé au
salon quand j'entendis sa voix venant du sous-sol, m'appellant en criant.
Je me suis donc lever en soupirant, m'attendant encore à quelques remontrances.

Je
n'était vraiment pas près à voir ce que j'ai vu.
Arrivé dans la buanderie d'où provenait sa voix, je ne put m'empêcher d'éclater de rire
en la voyant. Elle était à quatre pattes, la tête coincé dans la machine à laver à
vociférer de venir l'aider.
Je l'aurais bien laisser là quelques heures mais bon, j'aurais du en subir les
conséquences plus tard avec mon père.
Je ne manqua tout de même pas de m'amuser de la situation et lui dit:
- Bah alors Martine, tu fais quoi dans la machine à laver?
- Arrêtes de te moquer et viens m'aider plutôt, j'ai coincé le pendentif de ma chaîne et
je suis complètement bloquée. Passes ta main par dessus mon épaule et essayes de la
décrocher.
Ce que je fit de suite bien qu'un petit peu à contrecoeur. Néanmoins sa position
m'empêchait d'atteindre totalement sa chaîne et après plusieurs essais infructueux dans
différentes positions, le seul accès possible fût de me mettre à  califourchon sur elle
et de tenter de débloquer son bijou en passant mon bras par le dessous.
J'étais donc en train d'essayer de fouiller entre ses enormes seins, mon bassin frottant
contre son dos.
Il ne fallut pas longtemps pour me provoquer une belle érection, ce qu'elle ne manqua pas
de remarquer.
-Dis moi, c'est ton sexe que je sent dans mon dos?
Ne sachant que répondre, elle enchaînat d'un ton moqueur pour me rabaisser comme à son
habitude.
-De toute façon, les jeunes de votre âge, vous ne savez pas satisfaire les femmes, vous
êtes bon qu'à vous branler en cachette. Alors arrête de fantasmé et sort moi de là.
Un mélange de colère et d'excitation s'empara de moi, je ne pouvais pas laisser passer
ça.
-Ne me chauffe pas Martine! Sinon je te jure que je vais me venger!
-Pfffff! Avec ton petit sexe, je parie que tu n'arriverais même pas à donner du plaisir à
une femme!
C'était la parole de trop, et je savait comment lui faire payer.
Jusqu'à lors, même les
femmes plus âgées avec qui j'avais couché m'avais toujours refusé la sodomie, prétextant
que j'avais un sexe bien trop gros. Sans vouloir me vanter, ma queue doit mesurée dans
les 23cm pour un diamètre d'au moins 6cm.
C'était donc Martine qui allait en faire les frais.
Je me précipita à l'étage et me saisit de la bouteille d'huile d'olive qui se trouvait
dans la cuisine. J'avais horreur de l'huile d'olive et ma belle-mère en mettait
abondamment dans tous ses plats donc l'idée de m'en servir pour lui farcir l'oignon m'a
beaucoup amuser.
De retour dans la buanderie, j'ai ôter mon jogging pour libérer ma queue, lui ai remonté
sa robe sur son dos et baissé sa culotte malgré ses protestations.
J'ai ensuite versé une bonne lampée d'huile et ai écarté ses grosses fesses afin de
commencer à lui préparer le petit trou.
Elle était impeccablement épilée, aidé par l'huile mon majeur est rentré comme dans du
beurre, très vite suivit par mon index et mon annulaire. Je l'ai ainsi doigter sans
aucune retenue, les menaces et insultes qu'elle vociferai à mon egard m'encourageant à
continuer au lieu de m'en dissuader.
Une fois que sa pastille me sembla assez assouplie, je me suis enduit la bite d'huile et
tout en écartant ses deux globes fessiers dodues, j'ai présenté mon gland à l'entrée de
son petit trou plissé et lui demanda:
-Alors? T'es prête pour ma petite bite?
Et sans attendre sa réponse j'ai enfoncé d'un coup sec 10 cm de ma bite dans son cul.
Elle hurla et tenta de se dérober mais ses épaules butaient contre l'ouverture de la
machine à laver, elle n'avait aucun échappatoire.
Je suis resté comme ça planté sans bouger pendant de longues secondes le temps que son
étroit conduit s'habitue à mon diamètre et qu'elle s'arrête de gueuler comme une truie.
C'était si serré que j'en avais mal à la queue.

Quand ses hurlements de douleur finirent par se changés en gémissements plaintif, je lui
glissa au plus près de l'oreille comme pour lui dire un secret:
-Je me doute que tu n'as rien senti mais t'inquiètes pas, j'ai même pas rentré la moitié.
Sa seule réponse fut des sanglots et des halletements étouffés par le tambour de la
machine.
Je me suis alors saisit de ses poignées d'amour charnues et ai commencé à effec de
lents vas et viens que j'ai amplifier au fur et à mesure que ses pleurs et gémissements
de douleur devenaient des gémissements de plaisir.
J'écartai par moments ses deux globes fessiers pour contempler ma grosse bite coulisser
dans sa rondelle, faisant juste sortir la corolle de mon gland gonflé pour m'y enfoncer
de nouveau, savourant le massage que me procurait l'étroitesse de ses sphrincters.
Je n'avait encore même pas rentré toute ma queue qu'elle couinait de plus en plus fort en
lachant par moments des mots incompréhensibles.
Et au bout d'une dizaine de minutes, avant même que je commence réellement à la baiser
j'ai senti ses sphrincters se contracter et d'un seul coup, elle fut prise de violents
spasmes et se mit à gueuler:
-Ahhhh! Putainnnnn! Je jouuuuuiiiiiiis! Ahhhhhhh! Mon cuuuuuul! Ahhhhhh Bordeeeeeel!
Son orgasme fut si violent qu'elle faillit me faire jouir rien qu'avec les contractions
de son trou du cul.
Je lui laissa reprendre ses esprits quelques minutes, profitant également de ce moment
pour faire redescendre un peu mon excitation et remettre une lampée d'huile dans sa raie,
puis je vint de nouveau lui glisser ces mots à travers l'ouverture de la machine:
-Et ben t'es vraiment une grosse salope pour jouir du cul comme ça! J'espère que tu en
veux encore parce qu'on va pouvoir passer au choses sérieuses maintenant, je vais te
défoncer le fion!
-Nooonnn! S'il te plaît arrêtes! J'en peux plus je vais mour.
..
Avant qu'elle n'eue terminé sa phrase, je l'ai saisi fermement par les hanches et d'un
coup de rein puissant lui ai enfoncé mon pieu jusque à la garde, mon gland butant au fond
de son rectum, lui arrachant un énième cri de douleur mêlé de plaisir.
Je recommença ainsi plusieurs fois, me retirant à chaque fois lentement afin de reprendre
mon élan pour l'enculer de nouveau brusquement, tel un marteau pilon, mes hanches
s'abattant sur ses fesses en secouant ses chaires.
Elle gueulait comme une bête blessée, n'ayant d'autre ghoix que de subir les assauts de
mon sexe dure comme l'acier qui lui façonnait le conduit anal.
J'augmenta le rythme et me mis à lui ravager le cul frénétiquement comme je n'avais
encore même jamais osé baiser une chatte.
Mes couilles pleines battaient sa vulve trempée d'excitation à chaque vas et viens et mon
pubis claquaient ses grosses fesses charnues, faisant onduler ses rondeurs comme le
ferait les clapotis d'un bateau sur une mare.
Je l'ai défoncée ainsi comme un diable, me cramponnant tantôt à ses hanches, tantôt à sa
robe, sans oublié de lui asséner quelques grosses claques sur les fesses, lui ordonnant
de se cambrer au maximum et de la traiter par la même occasion de grosse chienne ou de
vielle salope.
Son deuxième orgasme ne tarda pas à venir et fut encore plus fulgurant que le premier si
bien qu'elle inonda le sol de cyprine tout en beuglant son plaisir.
Je n'avait encore jamais vu jouir une femme à ce point, qui plus est par le trou du cul
comme était en train de le faire cette vieille catin. Je lui pilonnai la rondelle sans
aucune pitié ni retenue et ça lui faisait prendre son pied. Je la défonçait tellement
fort que ses énormes seins ont même fini par sortir de son soutien-gorge et pendaient au
sol, se balançant au rythme de mes coups de butoir.
Sans sortir mon sexe, je me suis ensuite placé à califourchon sur elle, mes mains posées
en appui sur ses reins pour la forcer à se cambrer davantage, tout en écartant ses fesses
de manière à pouvoir la pénétrer le plus profondement possible.
Je l'ai chevauché comme un cowboy dressant un poney sauvage, lui ramonant l'arrière train
à une allure folle.
Mes couilles étaient devenues douloureuses à force de claquer violemment son cul, j'étais
en nage, comme en transe, il était temps d'en finir.
Je me suis allongé sur son dos, ait agrippé ses seins et tout en pinçant ses tétons, j'ai
continué à la défoncer comme un animal. Ma jouissance devenait de plus en plus proche et
ses mamelons roulant entre mes doigts la faisait gueuler encore plus fort. Elle eut son
troisième orgasme et cette fois ci, les contractions de son anus m'on achevé, après avoir
transpercé son rectum dans un dernier coup de rein, j'ai gueulé mon plaisir en coeur avec
elle, déversant ma semence chaude et gluante en de longues saccades interminables dans
ses intestins, la remplissant littéralement.
Je me suis ensuite affalé sur elle, complètement terrassé, épuisé et vidé dans tous les
sens du terme.
Après avoir repris mes esprits, j'ai déculer doucement en écartant ses fesses, le retrait
de mon sexe provoqua un bruit de succion et lui arracha un dernier gémissement. De son
anus grand ouvert s'ecoula aussitôt mon foutre, qui après avoir dégouliner le long de sa
vulve trempée, alla rejoindre la flaque de mouille sur le sol en carrelage de la
buanderie.
Je suis resté quelques instants à contempler son petit trou complètement béant, comme un
artiste le ferais après avoir achevé un tableau, puis j'ai essuyé mon sexe sur le bas de
sa robe.
Au moment où j'allais sortir de la pièce, elle m'a interpellé d'une voix inhabituellement
douce:
- Merci de m'avoir décoincée, mais n'en parle à personne s'il te plaît, c'est assez
gênant comme ça.
- C'était un plaisir, si tu as encore besoin de mes services n'hésites pas. Lui ai-je
répondu tout en lui faisant un clin d'oeil.

Ma belle-mère est devenue par la suite mon amante, ou plutôt ma bonne chienne soumise, et
m'a avoué qu'elle avait volontairement provoquée cette situation en espérant qu'il se
passe quelque chose. Bien qu'elle était loin de s'imaginer à quel point j'allais être un
salaud ce jour là!

N'hésitez pas à commenter, à me demander une suite.

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