Chris Ou Mes Débuts

Ouf, je suis enfin divorcée. Je ne le supportais plus depuis longtemps, avec ses soupçons plus ou moins réels. Maintenant je n’ai plus à me cacher; je peux vivre la vie que je veux: à 35 ans, il est temps. Je touche une très bonne pension alimentaire qui me permet de vivre plus que convenablement.
C’est vrai qu’il m’arrivait de le tromper avec mon amie Chris. Ce n’était pas méchant, juste une ou deux fois par an.
Pour fêter l’événement j’invite Chris au restaurant. Quand elle arrive je la reconnais à peine. Elle est vêtue très court, presque en transparence. Je reconnais qu’elle est sacrément jolie, pas très belle, jolie simplement. Quand à son corps que je n’ai pas vue depuis longtemps il me semble toujours aussi attirant. Comment rester attirante quand on a presque 40 ans ? Je ne me pose même plus la question: elle est veuve et peut se pomponner comme elle veut. Pourtant elle est naturelle:
les ans passent sur elle comme l’eau sur les plumes d’un canard. En tout cas pour moi, elle reste un bon coup.
Elle aime scandaliser un peu les autres, c’est là le secret de sa tenue.
Nous sommes presque au milieu de la salle à manger. Bien sur Chris commence son numéro en remontant sa courte jupe encore plus haut, en se croisant les jambes pour montrer qu’elle ne porte pas de dessous. Bien sur les yeux des mâles la reluquent avec envie. Ca l’excite terriblement, et moi je suis comme ces hommes, j’ai envie d’elle: je ne manque pas de le lui dire:
- Mangeons vite, j’ai envie que tu me fasse l’amour.
- Ne sois pas comme une petite fille qui veut sa poupée de Noël aussitôt.
- Il n’empêche que j’ai envie de toi.
- Patiente un peu nous en jouirons plus tard.
Il n’empêche que c’est vrai, il me tarde que nous soyons nues, déjà au lit nous faisant des choses agréables. Rien que de penser à cette nuit, je sens que je mouille depuis un moment, depuis que je l’ai vu à son arrivée en fait. J’en suis gênée d’avoir la culotte entièrement mouillée.

Il faut que j’aille aux toilettes pour enlever mon vêtement. J’entre dans une cabine, relève ma robe pour faire descendre ma culotte: elle n’est plus mettable. Je la met à la poubelle, m’essuie comme je peux avec le papier toilette avant de remonter. Je décide de penser à autre chose qu’elle. J’y arrive 5 minutes, pas plus: je recommence à mouiller.
Cette fois Chris veut enfin me satisfaire: nous prenons un taxi dans lequel nous nous tenons fort bien, mis à par sa main sur mon bouton qu’elle caresse pour me soulager. Le chauffeur ne s’aperçoit de rien, heureusement, sinon il nous aurait demandé je ne sais qu’elle masturbation.
Nous sommes chez elle: mon ardeur commence: je la prend contre moi, l’embrasse longuement sur la bouche. Ses main entourent mon cou, pendant que les miennes cherchent déjà un contact plus personnel. Je cherche et trouve un sein que je fait durcir.
Nos langues commencent déjà leur aventure dans les bouches. Elle aussi prend mon sein pour le caresser à peu de chose près comme je le lui fait. Je comprends que notre nuit va être agitée. Elle me lâche pour prendre ma main et me conduire dans la chambre, là où pour la première fois j’avais
fait l’amour avec une femme. A l’époque je cherchais déjà une autre forme de sexualité, déçue par les performances de mon ex, que je ne cherchais plus à satisfaire. C’est à cette époque que je rencontrais Chris dans une galerie d’art. Elle a réussi à me convaincre que les plaisirs entre
femmes étaient supérieurs qu’avec un homme. Pour que j’en soit convaincue elle me menait chez elle.
Au début j’étais réticente! Il lui a fallut énormément de patience avant de me faire jouir avec sa langue. J’étais subjuguée par ce nouveau plaisir. Je me retenais toujours pour la revoir. D’où le petit nombre d’union entre nous. Pourtant je sentais au fond de moi que je devenais homosexuelle.
Nous sommes couchées quand elle passe ses mains entre mes jambes encore fermées. Quand je les ouvre lentement sa main passe à l’intérieur de mes cuisses.
Avant d’aller bien haut elle me donne un immense baiser sur le bouche. Sa langue m’affole complètement: je suis à elle totalement: elle peut faire de moi ce qu’elle veut. Elle ne se gêne pas pour le faire. Elle monte lentement vers ma vallée, trop lentement. Je sens sa main chaude monter de plus ne plus. Enfin elle arrive au but. J’ouvre encore plus mes cuisses. Je sens maintenant ses doigts me fouiller, me fouiller, et trouver des endroits que je ne connaissait même pas. Ces fameux endroit ne font jouir aucune femme, mais apporte une touche imprévue. Elle arrive à son but: mettre un doigt dans la chatte et un autre dans l’anus. Elle les fait manœuvrer ensemble. Pour une première expérience, c’est réussi. Je me tends comme un arc, mon corps ne tient que par ma tête et mes talons. Je sens que je pousse un cri de victoire de jouir ains. Pourtant je n’y suis pour rien, c’est Chris qui m’a faite jouir.
Je pensais qu’elle allait arrêter, elle continue par me caresser les lèvres puis arrive sur le clitoris. Je ne peux que décrire les sensations de bonheur; je sens le plaisir dans tout mon bas ventre, depuis l’anus, jusqu’au pubis, puis par vague va jusqu’à ma poitrine. Mes tétons se
durcissent au point de me faire presque mal. Pour finir cette fois je jouis encore une fois. C’est tout mon corps qui participe à l’orgasme immense que je sens.
C’est bien meilleur qu’une bite.
Je veux lui rendre ce qu’elle m’a donné: elle refuse: je ne suis pas assez entraînée pour lui donner le plaisir qu’elle attend. Elle s’installe à mes pieds, ses jambes écartées tournées vers moi: je peux voir toute sa chatte. Je peux surtout voir comment elle se masturbe. Je ne peux retenir ma main: c’est tellement porno ce que je vois, que je me masturbe aussi en asseyant d’imiter ses gestes.
Quand elle fini de jouir, elle se tourne pour que sa bouche soit contre ma chatte. Maintenant sa langue remplace ses doigts. Elle me caresse en le frôlant le cul et entre sa langue dans ma vulve.

Je ne peux dire ce qu’elle y fait: je ne sais qu’un chose: je jouis encore. Elle aspire le clitoris pour le lécher dans sa bouche. Je ne peux plus me retenir: je jouis.
Je suis obligée de demander grâce: je n’en peux plus. Elle remonte vers moi:
- Je sais que tu a trop jouis. Je vais te caresser les seins et le ventre, même si tu veux tes fesses. Je ne vais pas chercher à l’envoyer dans l’espace encore.
- C’était bon. Comment tu as fait pour me donner tout ce plaisir.
- C’est normal: tu débutes et je veux te laisser une bonne impression de l’amour de Lesbos.

Nous restons sans rien faire, sinon nous embrasser et nous caresser quand j’ai envie de la sucer comme elle a fait. Refus de sa part: un 69 ou rien.
Elle passe sur moi, pose sa bouche sur ma chatte et me donne la sienne. Nous échangeons nos plaisirs. Elle a un avantage sur moi: elle sait fort bien baiser une fille alors que je débute.

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