01-Mes Débuts

Mes débuts


Depuis longtemps déjà j'étais tenté par le sexe masculin, je voulais le gouter,
l'avoir en bouche pour savoir l'effet que ça fait.
Je me suis rendu dans un lieu propice à la chose, un sauna gay. Très vite je cherche
sur le net et je choisis un établissement sur Lille. Un samedi après-midi je me décide
à tenter l’aventure. J'arrive devant les lieux et le trac me prend soudainement, j'ai
presque envie de repartir, je souffle un bon coup et rentre enfin.
Un beau p'tit minet en tee-shirt moulant blanc et au short très moulant lui aussi me
reçoit au guichet. Je suis un peu troublé et j'ai du mal à rester moi-même. Je règle
mon droit d'entrée. Il ouvre un sas qui donne sur un bar légèrement camouflé derrière
quelques plantes. Là il me donne une clef de vestiaire et me tend deux serviettes.
Voyant que j'étais nouveau il me dit d'une voix suave « Les casiers sont au premier »
avec un sourire coquin.
Je monte sans regarder autour. Devant mon casier je me déshabille prestement. Très
vite j'enlève mon boxer pour le remplacer par une serviette. Je redescends sans trop
savoir où je vais. Je découvre petit à petit ce lieu magique.
Devant moi s'ouvre un petit couloir qui donne sur la pièce du jakkuzi et du sauna. Le
sauna est vide et quatre mecs trempent dans le bain à bulles. Je poursuis
l’exploration, contigüe au jakkuzi, la salle des douches communes. Un écriteau
indique "Prendre une douche avant d'utiliser les installations". Deux types sont sous
la douche, j'attends d’être seul. Enfin seul j’enlève ma serviette, je prends la
douche du fond. Je me savonner, l'ambiance et les lieux m’excite je me caresse un peu
dos à l'entrée pour ne pas être surpris dans cet état.
Plongé dans mon plaisir solitaire, je ne me suis pas rendu compte que quelqu’un c’est
joint à moi.

C’est un garçon de taille moyenne bien brun le teint mate et les yeux
clair vert-noisette. Un corps assez jeune et sec. Je n'ose me retourner. Je suis
honteux de "ma forme" bien visible et je le sens qui s'approche de moi. Je panique mon
cœur s'emballe. Il vient juste prendre du savon au distributeur. Nos bras se touche,
je suis électrisé par le contacte de sa peau douce et chaude. Toujours de dos je
l'entends me demander : « Tu peux me savonner le dos ? ». Je suis pétrifié, sans un
mot je tire quelques noix de savon au distributeur et je m’exécute sans trop
descendre. Je veille bien à ne lui laver que le dos rien que le dos même si je suis
tenté de descendre sur ses fesses. Une fois fini « A mon tour! » me dit-il. Je me
retourne pour ne pas croiser son regard. Ses mains sont expertes et très sensuelles.
Ces gestes sont de plus en plus amples jusqu'à me caresser les fesses. Je suis
pétrifié et excité. Mon état ne laisse aucune équivoque. Il vient se plaquer contre
moi et me savonne la queue. « Il ne faut pas oublier le principal » Je n'ose plus
bouger, sa queue callée contre mes fesses. « Retournes-toi que je te rince » Le jet
dirigé sur ma bite il me décalotte le gland, fait quelques va et vient. « Je peux? ».
Pris par la panique et l’audace de ce garçon, je réponds par un oui timide, la voix
cassé par le stress, le trac et l'excitation. Il s'agenouille et me gobe le sexe. Je
n'en reviens pas, un mec me taille une pipe. Tellement excité par la situation, la
nouveauté et sa façon de faire j'ai juste eu le temps de reculer pour ne pas jouir. Il
me sourit, me fait un petit bécot et me dit "Viens on va s'isoler".
La serviette autour de la taille je le suis. Nous montons à l'étage qui n'est rien
d'autre qu'un couloir et une multitude de portes. Ce sont en fait des petites pièces
où trône une banquette pour une personne en similicuir dans 2 mètres carré tout au
plus, juste la place pour deux.
Nous rentrons dans une de ces "Back-room" (j'ai appris
le nom après). Il referme la porte derrière moi avec le verrou et jette sa serviette
sur le lit. Son sexe en érection lui touche presque le ventre.
Il s'approche, défait ma serviette, me dévore les lèvres et me masturbe lentement.
Troublé je réponds à son baisé n’osant pour le moment toucher sa queue. Je me décide
enfin à le caresser aussi. Il s'assoit sur le bord de la banquette les cuisses bien
écarté me dit : « C'est la première fois ? » Je lui réponds timidement « Oui ». Il en
ri… « Viens, je vais t’apprendre. »
Les pieds posés sur la banquette, il se branle, me regarde « Tu veux me la sucer ? »
Mon envie est trop grande pour refuser et je prends cette belle pine en bouche. Le
premier contact avec mes lèvres est très agréable, je joue avec la langue autour du
gland. Je le suce, le pompe, le lèche, le branle, j'ai maintenant très envi de la voir
cracher. La queue se raidi, je me retire pour continuer manuellement. Cette pine est
prête à exploser, je ne veux rien rater du spectacle. Dans un râle son premier jet
vient s'écraser sur mon cou, les suivants sur mon torse. L’éjaculation est fournie et
n'en finit plus. Je suis couvert de sa semence. Il s'écroule sur la banquette, je que
continue de le branler lentement jusqu'à ce qu'il m’att la main pour me stopper.
Essoufflé et en sueur, il se relève et me demande : « Tu es sur que c'est la première
fois? », « Oui la première fois! », « Et bin tu te débrouilles bien pour une première
». Quelques feuilles d’essuie-tout plus tard, nous sortons nous rafraichir sous la
douche. Nous discutons un peu, c’est que j’ai appris son prénom, Axel.
Il me fait à présent la visite guidé des lieux. Nous commençons par le sous-sol. Nous
empruntons un petit escalier, croisant quelques garçons profitant de l'exigüité des
escaliers pour nous frôler le sexe.
Il débouche dans couloir sombre tout juste éclairé
par la lueur d'un poste de télévision pausé dans une pièce qui fait office de pseudo
salle de cinéma où est projeté un film gay. Là trois garçons se masturbent sous leurs
serviettes. Au bout du couloir un labyrinthe dans le noir quasi-total et en son milieu
deux pièces aux cloisons percées.
Il me pousse dans l'une d'elle et me dit « Tu vas voir quelques chose !». Il me
caresse un peu et me plaque contre une des parois. D’un des orifices jaillit une bite.
Axel me chuchote alors à l'oreille « Tu veux la sucer? ». Mon envie est trop grande et
je m'exécute. Je m'agenouille et je m'applique à le sucer du mieux que je peux. Je
sens bientôt mon compagnon de chambre s'agenouiller pour en faire tout autant.
Cette atmosphère m'enivre et je me donne sans compter pour satisfaire mon invité
surprise. Le traitement infligé fini par donner ses fruits, il grommèle, crachant de
longs jets de foutre que l’on entend s’écraser sur le sol carrelé. Juste le temps de
me nettoyer la main qu’une nouvelle queue pointe déjà. Je m'agenouille et là, surprise
! Celle-ci est bien plus longue avec un gland énorme. J'ai du mal à le gober. Je fais
de mon mieux, mais la chose est trop énorme pour moi et je cède la place à Axel qui en
avait fini avec la sienne. Les trous ne restent jamais inoccupés bien longtemps. Une
autre bite vient se glisser entre mes doigts. Je m’exécute, je sens que j'aime ça de
plus en plus j’ai l’impression d’avoir pompé depuis toujours. La noirceur du lieu
laissera anonyme nos visiteurs, ce qui finalement est très bien, j'ai pu fantasmer sur
de beaux apollons sans être déçu à la fin. Nous continuons la visite guidée. Nous
remontons à l'étage par un autre escalier prolongé d’un petit couloir qui nous ramène
à la pièce d'eau. De là il faut encore emprunter un escalier qui mène au dernier
étage.
C’est un couloir en U avec d’autres portes donnant accès à d’autre pièce encore
plus petites qu’en bas. Il y a juste la place d'un matelas posé à même le sol. Dans un
angle du couloir un autre poste de télévision perché tout en haut du mur retransmet le
même film qu'en bas puis enfin au bout un autre escalier pour redescendre vers le bar.
Après une bonne douche, direction le bar.
Visiblement le petit minet de l'entrée, qui s'occupe aussi du bar, connait mon
initiateur et viens lui faire la bise, se retourne vers moi et me dit « Toi je ne te
connais pas c'est la première fois que tu viens? » « Oui ! » Avant que je n'ai pu dire
un mot de plus il me fait un bécot « Bienvenu, moi c’est Denis », sympa l’accueil. On
commande nos boissons et n’étant pas débordé à cette heure-ci, le barman vient
s'assoir avec nous discuter un moment. Le sujet tourne autour de la clientèle qui
fréquente le lieu et visiblement ils connaissaient beaucoup de monde. De celui qui est
monté comme un dieu en passant par le chiant, le timide, l’indécis, tout le monde
passe au crible. Se tournant vers moi, notre barman me déclare, « Mais avec toi chéri
c'est quand tu veux » et joignant le geste à la parole il entre ouvre ma serviette
pour jaugé le "matériel", « Mumm !!! » dit-il. « Je te la pompe quand tu veux » puis
se tourne vers mon hôte lui fait un clin d'œil : « Alors c'est comment quand il est en
forme? ». « Très bien et en plus très bon suceur ». Ces mots m’excitent beaucoup,
maintenant il peut juger de la chose. Denis, discrètement vient y déposer un baisé et
en profite pour la pomper 30 secondes. Il se rajuste très vite, les relations sont
interdites avec la clientèle. Maintenant bien excité, je me tourne vers Axel : « On
remonte ? ». « Lâcheuses ! » grogne Denis, « Vous me laissez là toute seule! ». « Vous
pourriez faire partager les copines ! ». Son short hyper moulant laisse entrevoir une
belle poutre apparente. Je la caresse du bout des doigts mais un client arrive, il
doit le servir et file derrière son bar.
Excité nous revoilà montant les escaliers où là encore quelques mains tentent une
approche que nous refusons. Nous nous enfermons très vite et sans un mot je pompe mon
initiateur. Sa vitalité est au rendez-vous et je me délecte de cette colonne de chair
qui soubresaute à chaque coup de langue. Je le pompe avidement dans un bruit de
succion. D'un coup mon amant se retire, me tourne le dos et me tend les fesses qu'il
écarte de ses mains. Son œillet palpitant me provoque. Je ne réfléchis même plus,
j’entame un pétale de rose comme j'aime le faire à ma femme. Je sens cette rose éclore
de plus en plus à chaque lapé. J'introduis ma langue, Axel lâche un long râle de
satisfaction. Cela m'encourage encore plus et du majeur je remplace la langue. D'un
doigt je passe à deux. Une longue série de jets impressionnants le transcende. Il
s'agenouille m'embrase d'un baisé long et tendre auquel je réponds sans résistance
bien au contraire. Il m'allonge sur le matelas, se place entre mes cuisses et me
gratifier du même traitement. J'écarte le plus possible les cuisses pour l'inviter à
me dévorer. Il relève encore plus mes jambes, donnant un meilleur accès à la visite de
ma rosette. C'est vrai que c'est délicieux, il me branle, me lèche, me suce jusqu'à ce
que je libère ma crème.
Nous nous sommes quitté et je ne l'ai plus jamais revu mais le barman oui. C'est une
autre histoire..... Je ne regrette rien au contraire depuis je suis bi à 200%.


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