Mes Débuts Avec Chloé 2

Chloé vivait mal les difficultés d'érection de son conjoint. La question de son petit sexe ne se posait pas vraiment. C’était la question de son désir pour elle qui la taraudait. Elle ne connaissait pas de sexe mou et ne parvenait pas à s’y intéresser. Lorsqu’il se masturbait près d’elle elle sentait l’angoisse monter et prenait souvent les jambes à son cou.
Heureusement Chloé savait qu’elle plaisait aux hommes. Son amour passionné lui plaisait mais les actes comptent aussi se disait-elle. Et si il faisait semblant, si il mentait. Chloé l’aimait pour ce qu’il était mais sexuellement ça n’allait vraiment pas. Certes, il la léchait avec appétit, mais quelle frustration ensuite. Chloé l’en empêchait d’ailleurs souvent pour ne pas se sentir encore plus mal après.
Au début de leur relation il lui avait promis de lui offrir de belle queues pour compenser. Parfois il lui faisait part de fantasmes candaulistes. Mais elle ne voyait rien venir.
Chloé trouvait auprès de lui la stabilité rassurante d’un foyer solide. Ses tentatives avec les sex toys ne donnaient rien. Elle avait connu trop de bonnes bites pour se contenter d’un morceau de caoutchouc, aussi volumineux soit-il.
Il était convaincu qu’elle le trompait, fantasmait à cette idée, l’imaginant jouir enfin. Puis il chassait cette idée de sa tête. Chloé n’aimait pas tant le sexe, ce n’était pas sa priorité. Elle avait toujours été fidèle et gèrerait sa frustration. Elle était sa femme. Il ne supporterait pas qu’un autre la touche. Son corps est sacré.
Ils avaient fini par trouver un équilibre sur le plan sexuel. Il pouvait se masturber à loisir, même en sa présence. Son appétit était insatiable et c’est le seul moyen qu’elle avait trouvé pour avoir un peu de tranquillité, mettre fin aux conflits incessants sur leurs manques respectifs : la quantité pour lui, la qualité pour elle. Parfois elle l’aidait en posant sa main entre ses cuisses, plus ou moins négligemment.

Parfois il bandait et il se retournait un peu lourdement sur elle, elle sentait sa petite queue la chatouillait et se surprenait à aimer le moments où il se répandait en elle quand il y parvenait. Ca lui procurait un sentiment de satisfaction sans qu’elle comprenne bien pourquoi. Elle savait qu’après ces moments là il serait de bon humeur, gage de tranquillité pour elle. Parfois il se répandait en la léchant, l’abandonnant à ses envies de bonne bite.
Christophe aussi était frustré. Il rêvait qu’elle le pénètre, qu’elle s’assoit sur sa bouche mais Chloé avait besoin d’un homme, pas d’une lopette.
Un jour au travail un collègue lui demanda si c’était sérieux avec Chloé, si ils formaient un couple libre, si leur histoire était terminé. Il s’étonna de ces questions et ne chercha pas à savoir. Que venaient faire ces questions après 5 ans de relation, formulées par un subalterne avec qui il n’avait aucune affinité ? Les jours suivant il entreprit de creuser, mettant de côté son orgueil. Chloé le trompait. Pire, elle lui mentait. Il eu peur. Peur de la perdre avant tout. Après 5 ans de relation il n’était pas complètement comblé mais il était si bien. Il en avait fait sa femme. Comme une partie de lui. Et il devait se faire à l’évidence. Une grande part de Chloé lui échappait. Elle avait menti, dissimulé, avec un aplomb déroutant. Elle le trompait avec cet homme qu’elle lui avait déjà montré du doigt comme une connaissance, allant jusqu’à dire « il est beau gosse il en joue » sans qu’il ne soupçonne rien. On se sent bien stupide quand on est cocu.