Stéphanie, Partie 3

…

Stéphanie venait de jouir dans ma main. J’avais laissé mes doigts au fond de sa grotte intime de longues minutes pendant lesquelles elle s’était blottie contre moi. Je sentais ses seins chauds et durs contre ma poitrine.
Ces quelques instants paisibles à lui caresser les cheveux furent un véritable réconfort. Un moment que je ne voulais pas voir s’arrêter. Pourtant, il faudrait bientôt penser à vider les lieux.
Dans un murmure, Stéphanie me glissa à l’oreille :
– J’ai envie de toi…
Il n’en fallait pas plus pour satisfaire la dame. Jamais je n’aurai pensé cette fille si avide de sexe. Je la voyais plutôt rangée, limite pudique, genre de gonzesses coincées qui ne croient pas aux plaisirs charnels. Oui, le genre de femmes propres sur elles qui refusent de s’assumer.
Mais non, Stéphanie se livrait, se déchaînait même et s’offrait à moi pour mon plus grand plaisir.
Elle n’avait pas bougé et avait commencé à me masturber, lentement. La coquine prenait son temps. Visiblement, elle n’était pas inquiète d’être surprise, là, sur son canapé, dans les bras d’un autre.
Je ne mettais pas longtemps à bander. Avec la main soyeuse de Steph, il fallait dire que c’était facile. Elle était douce avec ma queue, la caressait lentement, remontait la peau sur le gland et l’étirait bien jusqu’au fond. La sensation était formidable. Mais pas autant que lorsqu’elle mettait mon sexe dans sa bouche. Je sentais sa langue passer tout autour avant de sucer mon gland. Elle passait sa langue sur le bout, sur la fente. C’était exquis. Là encore, elle prenait son temps.
Alors qu’elle s’occupait magistralement de ma queue, je lui caressais la chatte. Deux doigts sur son clitoris qui le massait légèrement avant de s’enfouir entre ses lèvres pour trouver l’entrée de son vagin. Je la fouillais et repassais sur son clito, la faisant gémir et soupirer à la fois. Stéphanie cessa de me sucer au moment où j’allais jouir.

Elle vint se mettre sur moi, s’asseyant sur mes cuisses, les mains sur mon torse, ses yeux dans les miens. Mes mains, quant à elles, elles caressaient ses cuisses, remontant jusqu’à ses hanches, continuant sur ses côtes puis redescendaient. Je ne pris ses seins fermement que lorsqu’elle se pencha sur moi pour m’embrasser tendrement. Je commençais alors à embrasser sa poitrine, massant ses seins et mordillant ses tétons.
Elle, elle se soulevait légèrement sur ses genoux et redescendait. Ma queue se frottait à elle, entre ses fesses. C’était divin. Et j’en voulais plus.
Encore une fois, Stéphanie répondit à mon appel sans même que je lui demande quoi que ce soit. La complicité était parfaite. Elle prit ma queue et la frictionna à l’entrée de sa grotte d’amour, l’imprégnant de sa mouille qui recouvrait sa chatte en feu. Guidée par ma déesse, je pénétrais ce sexe et glissais délicatement au fond d’elle, la serrant contre moi. Stéphanie entama sa danse divine sur moi. Elle frottait son bassin contre le mien. Ses cuisses, que je caressais toujours, se frottaient contre les miennes. Steph avait ses mains sur mes épaules, montait et redescendait doucement, pour bien sentir ma queue la remplir. A chaque fois, qu’elle se rasseyait, c’était une explosion intense de bonheur qui m’envahissait.
Elle m’empêchait de jouir en m’embrassant (en cessant ses mouvements par la même occasion) et probablement qu’elle évitait aussi d’atteindre l’orgasme tout de suite, laissant le plaisir durer encore et encore.
Ma coquine reprit sa danse, plus intense cette fois. Elle se dandinait d’avant en arrière, puis de droite à gauche dans des cercles toujours plus intenses. Cette danse la rendait plus sensuelle encore, plus attirante.
Je me concentrais sur sa poitrine, sur ses seins qui dansaient eux aussi, sur son corps chaud que je voulais couvrir de baisers. Je prenais ses cuisses fermement et les caressais jusqu’à son cul que je prenais tout aussi fermement. Je l’embrassais fougueusement, retardant l’orgasme et elle en redemandait.

Vint alors le moment où je ne pus me retenir. Je finis par jouir en elle, la serrant tout contre moi en un râle puissant. En sueur, soupirante, Stéphanie se blottit contre moi. Je restais en elle quelques instants et la caressait délicatement. Elle aimait cela. Moi aussi.
– Tu vas me quitter ? demanda-t-elle soudainement.
– Je vais devoir partir, oui, mais certainement pas te quitter.
– Ne m’enlève pas tout ça, j’en ai besoin.
– Et tu en auras encore. Tu en auras autant que tu le désireras.
On s’embrassa avant de se quitter. Je repartis avec deux choses : la vue féérique de Stéphanie dans sa nuisette et la promesse de nous revoir très vite pour consommer une fois de plus nos envies les plus sexuelles.

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