Stéphanie : Son Troisième Fantasme (Partie 3/3)

Récit proposé par une de mes lectrices dont j’ai la lourde tâche d’écrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles qu’elle a vécues.

Si ce deuxième fantasme fut à la hauteur de son espérance, après cette pluie de sperme qu’elle venait de prendre sur elle, Stéphanie avait besoin d’une queue dans sa chatte, elle eut un énorme besoin de se faire prendre comme une chienne, elle se prenait désormais pour une salope, elle avait une envie folle de baiser. Elle se dirigea naturellement vers son compagnon qui avait la queue dans la main de sa belle-mère qui essayait en vain de le faire bander. Mais après ces cinq éjaculations dans la bouche, la chatte et le cul d’Hélène qui en redemandait encore, celui-ci lui dit :

— Excuse-moi ma chérie mais tu vois que je n’y arrive plus, mes bourses sont vides, elles sont sèches.

Très en colère, elle alla retrouver Jean-Pierre mais celui-ci était en plein dans le cul d’Adèle qui voulait deux hommes. Elle ne connaissait pas suffisamment les trois étalons pour leur demander directement mais elle voyait qu’ils étaient tous les trois occupés à baiser leur partenaire. Stéphanie dépitée, alla au bar prendre une coupe de champagne que mon épouse lui servit. Elle voulait tant que je la baise, c’était à moi qu’elle avait pensé au départ, mais elle savait que mon épouse étant là, je ne pouvais pas lever le petit doigt ni même ma belle queue. Elle resta donc là au comptoir en expliquant son problème à Lili (Ma femme) qui compatissait :

— Je crois que c’est foutu pour toi ma petite pour ce soir. Je pense qu’il ne te reste que tes doigts pour prendre ton pied.
— Oui ! Malheureusement, je ne vois que cela mais ce n’était vraiment pas cela que je recherchais.

Ma femme n’aimant pas me partager, même si elle n’aimait pas le sexe, étant jalouse ne me proposa pas. C’était ce qu’avait espéré Stéphanie mais elle tomba sur un bec.

J’étais dans un de ces état, tout le spectacle m’avait mis dans une telle érection que je croyais que ma verge allait traverser le tissu de mon pantalon. Stéphanie voyait bien cette bosse au niveau de mon pubis, elle se frottait les lèvres avec sa langue. Elle me fit un petit signe lorsque Lili avait le dos tourné et s’était dirigée vers les toilettes, espérant que je la suive. Je me suis tourné vers ma femme en disant :

— Tu vas passer à la casserole Lili ce soir, je vais te prendre comme une bête, regarde dans quel état je suis.
— Certainement pas mon chéri, je rentre je suis crevée. Va te masturber dans les toilettes et après rentrons nous coucher.

Je pris ma mine triste en disant :
— Bon ! D’accord je vais me branler dans les chiottes.

Je sautais sur l’occasion, Stéphanie en petite tenue m’attendait, elle savait que j’allais trouver une solution, elle ne s’était pas trompée. Il n’y eut aucun préliminaire, ma grosse queue enflée s’enfila d’un coup dans sa petite chatte bien trempée et je l’avais limé fortement. Il n’avait pas fallu attendre longtemps pour qu’elle jouisse, elle adorait mon sexe et cria pendant que je jouissais à mon tour lui expédiant mon sperme qui lui refauchait les entrailles. Elle me prit par le cou et m’embrassa en me disant :

— Merci, je suis ta chienne à présent, j’ai besoin de toi. Je suis ta salope à jamais. Pense à mon troisième, mon amour.

Pour son prochain fantasme, Stéphanie voulait se faire mettre par deux hommes en même temps, elle avait incorporé son compagnon Guillaume et pensait à Jean-Pierre pour le deuxième. Elle appréciait cet homme à femmes et sa bite n’était pas désagréable, bien au contraire. C’était la plus grosse verge qu’elle avait connue même si elle n’avait pas eu l’occasion de coucher avec beaucoup d’hommes. Elle avait déjà trouvé mes 20 cm impressionnant mais que dire de sa queue de 22 et des grosses couilles qui allaient avec.

Mais après l’épisode de la veille, elle en voulait à Guillaume et celui-ci après s’être vidé une sixième fois dans le cul de sa belle-mère était incapable de renouveler le lendemain.
Pourtant il était au courant de ce que j’avais réservé à sa compagne :

— Non ! M’avait-il dit, je veux bien être spectateur, mais si tu peux trouver quelqu’un d’autre, ce serait super.

Il était trop tard, j’étais obligé de faire le deuxième et j’aimais beaucoup la jeune et belle Stéphanie, ce n’était donc pas un problème pour moi. Il fallait donc que je trouve une excuse pour Lili. Au restaurant, où nous nous trouvions, Stéphanie, Guillaume, Jean-Pierre, Lili et moi. Nous avions évoqué le fantasme mais nous ne devions pas être présent ma femme et moi. Ce fut Stéphanie qui trouva la solution :
— Lili, pour conserver ce que je vais vivre cet après-midi, je voudrais que ma séance soit filmée. Peux-tu laisser ton mari tenir la caméra ?
— S’il est d’accord, je n’y vois aucun problème, mais ne comptez pas sur moi, je ne viendrai pas voir ça.

C’était inespéré, tout c’était passé comme sur des roulettes, cette jeune fille était tout simplement géniale. Les trois hommes s’étaient ainsi retrouvés chez Stéphanie. Une fois dans la chambre, Jean-Pierre et moi avions délicatement déshabillé la petite, de nos mains expertes, nous l’avions caressé sur tout le corps, de nos bouches et de nos langues nous l’avons embrassée et léchée sur l’ensemble de sa peau qu’elle laissait à notre disposition, elle adorait nos caresses et nos baisers, elle mouillait sans que l’on ait encore accédé à son bas ventre. Ses tétons lui faisaient mal tellement ils furent aspirés, sucés et mordillés. Elle trémoussait de plaisir pendant que Guillaume regardait le spectacle. Il essayait de se branler mais son pénis ne parvenait pas encore à se redresser.

Nous avions positionné Stéphanie à notre convenance, elle était assise au pied du lit, les jambes écartées, nous étions tous les trois nus, nous allions passer aux choses sérieuses. Jean-Pierre et moi allions donner du plaisir à notre jeune partenaire, elle allait connaitre aujourd’hui ce qu’elle attendait et nous étions bien déterminés à lui offrir nos deux grosses bites.
Je me suis agenouillé devant son sexe et vins poser ma bouche sur ses lèvres qu’elle m’offrait pendant que mon ami plaçait son engin encore mou dans sa bouche qu’elle avait ouverte pour le recevoir.

Devant ce spectacle, Guillaume essayait toujours tant bien que mal de prendre des forces mais il en était toujours incapable, les choses allaient certainement s’arrangées. Après quelques aspirations, tours de langue et massages des testicules, Jean-Pierre retrouvait enfin ses 22 cm. Stéphanie était motivée, elle sentait ma langue, mes doigts dans son intimité, ce qui la rendait vulnérable, elle mouillait tant, que j’eus des difficultés à boire son jus entièrement, ses cuisses recevaient le trop plein.

Nous avions interverti les rôles avant que Jean-Pierre n’éjacule car lui aussi s’était beaucoup donné la veille et voulait se préserver un peu. Je me trouvais désormais au plus profond de sa gorge et mon ami avait pris possession de son vagin trempé, elle venait de jouir pour la première fois de l’après-midi et ça venait que de commencer.

La fellation que Stéphanie me faisait était à la hauteur de l’événement, elle adorait ma queue et moi sa bouche. Je jouis rapidement, de longues coulées de sperme se perdaient et disparaissaient à l’intérieur de sa gorge. Elle aimait le goût de ce nectar blanchâtre des hommes, elle jouit une deuxième fois en sentant les doigts de Jean-Pierre prenant sa chatte et son cul en même temps. Elle éjacula aussi de deux gros jets dans les moustaches de celui qui la suçait.

Le temps des préliminaires était fini pour nous deux, elle demanda à Guillaume de s’approcher afin qu’elle lui fasse une pipe comme elle en avait le secret pendant que nous sommes allés boire un coup dans la cuisine. Rien que de penser à ma douce, à mon petit cœur adoré, ma verge reprenait des couleurs, j’étais en forme aujourd’hui et j’étais disposé à me donner entièrement à ce jeu sexuel qui prenait forme, nous allions enfin réaliser son troisième fantasme.


Guillaume n’était toujours pas parvenu à bander complètement mais sa bite reprenait forme, il restait encore comme spectateur voyeur. Je me suis allongé sur le lit, Stéphanie après quelques petits attouchements avait rendu ma queue droite comme un i. Me tournant le dos, elle vint s’assoir devant moi en prenant ma bite et en la posant directement sur son anus, dilaté par le doigté de JP. Sur mon gland gorgé de sang, elle s’enfonçait doucement afin que les vingt centimètres lui transpercent le cul. Une fois jusqu’à la garde, elle se coucha en arrière sur moi.

Offrant ainsi sa chatte grande ouverte à Jean-Pierre qui se coucha sur elle pour la pénétrer en douceur, j’en profitais pour lui masser les seins. Nos aller et retour alternés lui firent perdre la tête, elle vivait un moment inoubliable, ses deux amants la prenant dans les deux trous, elle en avait tellement rêvé, qu’elle jouit une troisième fois, elle criait son bonheur. Ce qui eut pour conséquence la montée en puissance de Guillaume. Oui ! Il bandait de nouveau lorsque nous avons intervertis les rôles. Stéphanie face à moi, cette fois s’empala sur ma queue et faisait coulisser sa chatte sur ma bite, tout en tendant sa croupe à JP :

— Viens Jean-Pierre encule-moi.

Il avait pris possession de son cul, il était énorme, elle poussa un petit cri mais les gémissements avaient repris, elle invita son compagnon à venir lui offrir la troisième bite, cette fois-ci dans sa bouche. Il s’enfonça lui aussi lui bouchant son troisième trou, c’en était trop pour elle, elle hurlait son plaisir mais on ne pouvait pas l’entendre, elle avait la bouche pleine. Nous avons tous jouis ensemble, cela coulait de partout, tout ce sperme déversé, l’avait rendue, une nouvelle fois, folle de joie et de bonheur.

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