Stéphanie, Partie 1

Cela fait quelque temps que Stéphanie change de comportement. Mariée, deux s (c’est ma mère qui les garde), et même si elle a un air enjoué à chaque que je la vois (naturel chez elle), ces derniers temps, elle semble vouloir se rapprocher. Des petits gestes attentionnés et des sourires qui n’existaient pas avant, cela veut tout dire. Et ce n’est pas la vue plongeante sur son décolleté qu’elle m’offre qui me fera m’écarter.
Ce jour-là, je suis chez ma mère. Elle vient de partir. Elle en a pour une bonne heure. Et le petit de Steph est avec elle. En somme, je suis seul. Stéphanie arrive, prétextant je ne sais quoi à son travail qui lui aurait permis de s’éclipser plus tôt. Quel dommage ! Sa fille ne sort pas de l’école tout de suite et son fils vient de se faire malle avec la nounou.
Stéphanie n’est pas très grande. Brune, avec des formes là où il faut, les fesses bien rebondies, les cuisses bien ferme. Elle est tout de noir vêtue aujourd’hui, avec un sweet décolleté mettant magnifiquement en forme sa poitrine généreuse. Sa jupe courte passe par dessus un pantalon moulant qui épouse parfaitement ses formes. Je ne peux résister à l’envie de regarder ses cuisses et d’imaginer la douceur sous ce pantalon.
Elle me parle mais j’avoue ne pas suivre la conversation. Mes yeux remontent lentement le long de ce corps qui me fait envie depuis quelques temps maintenant. Ils ralentissent quelque peu lorsqu’ils arrivent sur sa poitrine. Je vois la naissance de ses seins qui se perdent dans son sweet. Nos yeux se rencontrent alors, ce qui coupe court à la conversation. Se rend-elle compte que je n’écoute pas ? Je ne vois aucune rancœur en tout cas dans ces yeux brillant. Sans réellement savoir ce que je fais, je viens l’embrasser. Je m’attendais à ce qu’elle me repousse avec force mais au lieu de cela, elle s’abandonne complètement entre mes bras. Je la traîne vers le canapé. J’ai conscience que l’on a peu de temps devant nous.
Elle s’allonge et mes mains passe déjà sur tout son corps et elle ne tarde pas à soupirer d’envie elle aussi.

Elle retire son sweet et j’occupe de lui dégrafer son soutien gorge. Ses seins libérés, je peux les embrasser à pleine bouche et les masser tout mordillant ses tétons.
Elle met ses mains dans mes cheveux et appuie sur ma tête. Puis elle m’attire à elle pour m’embrasser fougueusement.
Je prends conscience que tout ceci est survenu si vite alors qu’elle devait en mourir d’envie elle aussi, secrètement.
Je redescends sur sa poitrine et fait passer ma langue entre ses seins avant d’atteindre le nombril. Je remonte sa jupe et tire sur son pantalon en espérant ne pas embarquer sa culotte avec. Même si on a peu de temps, je ne veux pas brûler les étapes. Stéphanie a suffisamment serré les cuisses pour garder ce tissu fin qui me sépare de son intimité jalousement gardée jusqu’ici.
Je plonge la tête entre ses cuisses, embrassant l’intérieur de celles-ci, lentement, délicatement. Je caresse son entre-jambe, appuie sur sa chatte et la voie se cambrer de plaisir.
– Ne me fait pas languir, suce-moi ! dit-elle alors.
Cela fait bizarre de l’entendre parler ainsi mais l’invitation n’est que plus excitante. Je fais glisser sa culotte jusqu’à ses chevilles et plonge à nouveau ma tête entre ses cuisses. C’est chaud et Steph se cambre une fois quand ma langue passe sur sa chatte et les poils bruns de son pubis. Je lui caresse le clitoris, le masse, l’embrasse, l’aspire, le suce, le relâche et recommence la manœuvre.
Elle est délicieuse et je sens déjà arriver sa mouille. J’introduis deux doigts en elle, les pousse doucement au plus profond et la masturbe, redoublant ses gémissements. Mes doigts tournent en elle et ma langue suce son clito. Ses doigts se perdent dans mes cheveux et elle appuie sur ma tête comme si elle ne voulait pas me laisser partir. Ça ne risque pas d’arriver ! Je n’ai aucune intention de me retirer de ce paradis.
Tout la masturbant intensément, recourbant mes doigts dans son vagin, je lui dis :
– J’ai envie de te prendre.

Elle me regarde, me force à venir l’embrasser et je sens ses mains fouiller sur mon pantalon. Je l’aide à le retirer, puis mon boxer et lorsqu’elle a mon sexe en main, elle le masturbe lentement.
Nous sommes les yeux dans les yeux. Je viens de retirer mes doigts de sa chatte et je la goûte enfin. Elle imprègne ma queue de sa mouille avant de la présenter à son vagin. Je m’enfonce doucement en elle, sentant bien ma queue glisser le long de vagin détrempé. Je me penche sur elle. Elle croise ses mains sur ma nuque, ses jambes sur mon dos. J’entame un lent va et vient, dégustant chaque mouvement, profitant de chaque instant où je suis en elle. Ma peau sur la sienne, mon bas ventre sur le sien, ses cuisses sur mes hanches. J’aimerai que ça ne s’arrête pas. J’aimerai reste en elle, sur elle et sentir sa peau douce sous mes doigts.
Je lui caresse les cuisses et le cul, je l’embrasse, chaque coup de rein étant plus intense, accompagnant ses soupirs et gémissement plus forts.
– Ah c’que t’es bonne Steph ! lui dis-je.
– Continues ! Prends-moi encore !
Je redouble la cadence et Stéphanie commence à lâcher des petits cris de plaisir. Je me redresse bien au dessus d’elle, la regarde gémir, les yeux mi-clos alors que j’enfonce ma queue plus profondément en elle. Je sens l’orgasme arriver. Il monte progressivement et je suis partager à l’idée d’en terminer avant que l’on nous surprenne et de ralentir, de faire tomber la pression pour rester un peu plus longtemps dans ce corps de déesse. J’ai envie de sa chaleur, de sentir ma queue bien logée au fond de son vagin humide, de rester en elle et lui donner encore du plaisir, jusqu’à la faire jouir.
– Je vais jouir, dis-je alors.
– En moi, mets tout en moi ! supplie-t-elle.
Je finis par éjaculer, m’enfonçant le plus loin possible. Je la regarde pendant que je jouis. Elle sourie. Je fais quelques vas et vient, lents, pour laisser s’échapper tout le sperme. Je reste encore un moment en elle, je l’embrasse, on se caresse.

– C’était bon, dit-elle. On recommencera ?
Je ne peux dire non. J’ai même déjà hâte de me retrouver entre ses cuisses.
Pour l’heure, nous nous rhabillons. Peu de temps après, les troupes débarquent. Avant de partir, elle me glisse un petit signe de la main et un baiser lointain. Elle repart, mon sperme coulant dans sa petite culotte. Ça m’excite d’imaginer cela.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!