Nini, La « Grenouille De Bénitier » Chez Les Tékés Au Congo. 1/3
Julie était toujours à la recherche d'un scénario afin de mettre en scène sa mère dans des histoires de sexe peu banale ? Jai essayé de satisfaire son fantasme.
Depuis la disparition malheureuse de son mari voilà près de dix ans, Nicole cette veuve déplorée de 56 ans, vivait seule. Si avant son veuvage, elle était une bonne chrétienne mais peu pratiquante. Dès le décès tragique de son époux, elle s'était réfugiée dans une pratique fervente de la foi et s'impliquait énormément au service de Dieu, unanimement reconnue pour son dévouement au sein de léglise. Pour bon nombres de paroissiens et de paroissiennes, elle est considérée comme étant le bras droit de l'Abbé Boutin. À tel point quaujourdhui, elle était devenue ce que l'on appelle familièrement une véritable « grenouille de bénitier », certaines très mauvaises langues disaient que le curé du village la baisait dans la sacristie avant de faire sa messe.
En définitive, ce nétaient que ragots colportés, Nini était une veuve d'une fidélité exemplaire à la mémoire de son défunt époux, ayant fait le choix de renoncer définitivement à toute nouvelle relation affective et sexuelle. Elle était très prude, voire littéralement coincée du cul comme il nétait pas permis. Le seul homme quelle pouvait regarder dans les yeux et quelle servait sans compter, cétait le représentant du seigneur, labbé Boutin. Physiquement cette « bigote » aux cheveux châtains et au teint de peau très blanc était considérée comme grosse. Du haut de ses 1m68, elle ne pesait pas moins de 103 kg, avait des seins lourds, des hanches larges, doté dun très gros fessier et pour couronner le tout, elle avait une pilosité pubienne très fournie, voire envahissante.
Labbé André Boutin, était encore en grande forme pour ses 71 ans, cétait le curé de la paroisse, il avait prévu dorganiser une longue expédition à but humanitaire comme il avait déjà fait deux ans plus tôt et recherchait des bénévoles pour laccompagner.
Mbé où devait se rendre la délégation chrétienne de labbé André Boutin, est une petite localité, située au sud dans le département du Pool, à environ 150 km de Brazzaville. Dans cette région, Mbé était jadis la capitale du royaume des Téké qui sétendait sur les plateaux situés sur la rive gauche du fleuve Congo où cette peuplade, fort bien organisée vivait là depuis fort longtemps. Aujourdhui encore près de trois-cent-mille Téké y sont encore installés, disséminés en tribus dans des tout petits villages dans la forêt.
À leur tête il y avait le Makoko (Roi) Ngono Kubwa vivant à Ngabé dans un de ces villages se trouvant au milieu de la forêt sacrée dEbala. Cette réserve alimentaire où la source royale sacrée procure leau de boisson réservée au roi, lui apportant sa longévité mais aussi sa force sexuelle grâce à son pénis hors normes et où leau puisée sur la rivière Lefini provenant du lieu sacré des chutes du Nkouembali, est utilisée uniquement pour le Makoko, lors de son intronisation et pendant les « Jumapili » (Fêtes du Dimanche). Selon la légende, cette eau sacrée donnait au roi le pouvoir de satisfaire pleinement ses épouses jusquà sa mort. Le Makoko serait capable déjaculer trois fois en trente minutes en restant en érection. Ses jets de sperme pouvaient atteindre jusquà 2 mètres et la quantité éjectée à chaque fois était de 12 centilitres.
Toujours suivant cette légende, les jours de « Jumapili » était la fête du sexe pour Ngono Kubwa. Les chefs de chaque petite tribu de Téké lui envoyaient les jeunes femelles qui devaient se marier afin que le Makoko les dépucèle avec uniquement son gland, avant de les arroser de son incroyable éjaculation.
La fête du « Jumapili » permettait aussi au Makoko Ngono Kubwa de récompenser la meilleure de ses épouses en profitant de sa bouche afin quelle avale cette boisson magique amère et visqueuse, sans en perdre une seule goutte, ce qui leur permettaient de jouir plus fort et plus longtemps. Ces jours-là, nétaient pas réservés quaux plaisirs sexuels, selon la même légende, les punitions en public y étaient fréquemment administrées. Lorsquune de leur femelle était désobéissante, les maris amenaient la fautive au Makoko qui se faisait un plaisir de la sodomiser pénétrant ainsi son énorme pénis jusquà la garde, devant toute lassistance et se vidait allégrement dans son rectum pour un lavement salvateur.
L'Église catholique en République du Congo comporte plus de deux millions de fidèles, soit environ la moitié de la population du pays. Les travaux importants de la basilique Saint-Anne à Brazzaville, endommagée au cours des guerres civiles, étant achevés et inauguré le 25 mars 2011 par le Président de la République lui-même, soulignait l'importance de lieux de culte pour le Congo et l'Afrique centrale. Lheure était maintenant, afin de convertir beaucoup plus de congolais à la religion catholique, de construire un peu partout dans le pays des églises. À Mbé le clergé et la commune prévoyaient den ériger une petite mais lendroit idéal pour construire cet édifice se trouvait sur un territoire que possédait le Makoko proche du village de Ngabé.
Il fallait donc convaincre cet homme afin quil accepte loffre des autorités congolaise. Le Makoko Ngono Kubwa était un homme âgé de 104 ans, il était très grand avec ses 1,90m mais squelettique, il semblait n'avoir que la peau sur les os, son visage était osseux orné d'une barbe épaisse, ses cheveux assez longs et clairsemés étaient devenus tout blanc.
Lexpédition des membres de la délégation pour le Congo était prévue dans une semaine mais cette mission destinée au départ humanitaire, par la volonté du Clergé, elle devait être aussi dapporter au sein de cette peuplade isolée en pleine forêt sacrée d'Ebala la parole du Christ. C'est l'Abbé Boutin, qui avait passé pour son sacerdoce plusieurs années en Afrique, qui fut choisi pour mener à bien cette mission capitale. Les autorités congolaises ayant débloqués les fonds, le curé devait concrétiser la vente du terrain afin que la construction dune église sur les plateaux au-dessus de Mbé dans la forêt sacrée se réalise.
Ce roi ne voulait négocier quavec des hommes ou femmes de couleur blanche, avait dit Monsieur le Maire, il nen avait jamais vu et cétait pour lui loccasion den approcher avant sa mort. Pour le Père André Boutin, cétait une aubaine, il avait une bonne excuse pour que Nicole soit du voyage et l'accompagne :
Nini, le seigneur nous envoie un message, il faut vraiment que tu laides, je ne pourrai pas le faire seul.
Monsieur le curé, je suis vraiment désolée mais je nai pas de congé.
Allez Nini, fais ça pour ton Seigneur et Maitre, il te le rendra.
Monsieur le curé ! Bien sûr que jaimerais le faire
Alors viens avec moi, cest Dieu qui te lordonne, sache lécouter.
Lui dit-il en caressant le visage de Nicole. Surprise par cet attouchement, Nini rougit et céda à sa demande. Labbé Boutin était le seul homme avec lequel elle sentendait bien, elle se confiait à lui et lui faisait confiance. Pour le curé, il avait tellement eu lhabitude davoir Nini à ses côtés quil la considérait comme une épouse, elle lui faisait à manger, lavait son linge, laidait dans toutes ses démarches et lassistait tous les jours, simplement il ne lavait jamais baisé et plus lâge avançait, plus il en rêvait, il en avait marre de se masturber après que Nini ait quitté le presbytère.
À ce moment-là, l'Abbé André Boutin était en pleine réflexion : « Peut-être que ce voyage de quinze jours au moins, pourrait être loccasion pour lui de se dépuceler, il était grand temps à 71 ans. » Il fit une génuflexion devant le christ et sexcusa à voix basse de ses pensées malsaines et obscènes puis vint faire une bise sur la joue de Nicole qui rougit de plus belle en faisant un signe de croix :
Monsieur labbé !!!
Ce nest rien mon , cest de la part du Christ, je suis si heureux que tu viennes avec moi à Mbé, ma Nini.
Suivant la tradition, le Makoko pouvait avoir autant de femelles quil le désirait. Néanmoins, le dernier mariage du roi devait être prononcé lorsque celui-ci néjaculait plus au-delà de trois pas (environ 2 mètres). Tous les ans, après la saison des pluies, le sorcier étant le garant de cette tradition, mesurait les jets après que le Makoko ait contenté au moins six de ses femelles. Deux dentre elles le masturbaient avec application à quatre mains et après avoir éjaculé, le sorcier prononçait sa sentence. Cette année-là, Ngono Kubwa venait davoir soixante ans et navait pas atteint pour quelques centimètres la cible. Le sorcier choisit Fula Mampuya âgée de 20 ans à lépoque comme sa dernière femelle.
Malheureusement, le Makoko ruminait, tellement sûr et fier de ses performances quil navait pas bu son aphrodisiaque. Aujourdhui, vu ses 104 ans, Ngono Kubwa avait perdu ses huit dernières femelles, il ne lui restait que Fula Mampuya qui allait sur ses 64 ans. Elle avait beaucoup de difficultés à le satisfaire. Par le passé, cétait trois fois le matin, trois fois à la sieste et trois fois avant daller se coucher, depuis ses 100 ans le Makoko ne le faisait plus que quatre fois, le matin au réveil, le midi et deux fois le soir. Elle était obligée dutiliser sa bouches plusieurs fois avant de saffaler épuisée dans sa couche. Dautant plus quelle était devenue depuis un bon moment, sèche du vagin.
Heureusement que le sorcier avait trouvé un remède. Avec un mélange daphrodisiaque, deux sortes de champignons et de leau sacrée réservé au roi, les femmes qui buvaient cette potion, augmentaient considérablement la sécrétion de cyprine, leur excitation était décuplée, elles ruisselaient, ce qui facilitait le rapport sexuel et lorsquelles atteignaient lorgasme, elles expulsaient une quantité phénoménale de jouissance. Le problème que le sorcier navait pu résoudre, était que Fula Mampuya à force de jouir, se vidait, elle en perdait du poids.
Le sorcier dut trouver une parade, il expliqua au Makoko quil devait prendre en saillie sa femelle quune fois par jour mais autant de fois quil le désirait par la bouche. Pour le reste, il devait se contenter des jeunes femmes du village à tour de rôle mais Ngono Kubwa les trouvait bien trop maigres et sans forme pour lui, il nen voulait pas il lui fallait des femelles avec un gros cul, afin dassouvir ses fortes pulsions sexuelles. Son arrière-petit-fils allait donc chercher des femmes à gros fessiers dans les tribus dépendantes de leur Makoko, afin quelles viennent contenter Ngono Kubwa.
Tous les jours, cétait le même rituel, le matin après que Fula Mampuya avait avalé son petit déjeuner, le gland du Makoko en bouche, il sortait de sa case pour rejoindre la place du village où une jeune femelle lattendait nue à quatre-patte, sous le regard envieux de son futur successeur Mjukuu Ngono, de 18 ans un adolescent qui comme lui avait un pénis de la même taille. Avec la potion que le sorcier lui avait fait boire cette femelle était impatiente, le futur Makoko pouvait voir couler dentre ses jambes ce liquide ruisselant le long de ses cuisses.
Ngono Kubwa préparait la saillie et prenait ces femmes comme les gorilles le faisaient avec leurs femelles. Mais ces célibataires se faisaient de plus en plus rares, elles avaient toutes un mari et son sexe leur faisait peur. Lorsque le petit fils Mjukuu Ngono revenait bredouille cétait sa vieille épouse Fula Mampuya qui recevait ses coups de boutoir, elle ne pouvait pas y échapper et à son âge, elle avait très mal et en avait assez de ce sexe monstrueux qui lui déchirait les chairs sèches. Lorsque le Makoko navait pas de femelle, ça ne le dérangeait pas de sodomiser certains mâles qui se proposaient à lui et ceux-ci repartaient pleinement satisfaits et étaient depuis quelques temps de plus en plus nombreux.
Pierre Mbo Tabafula Maire de Mbé avait rencontré pour la seconde fois le Makoko Ngono Kubwa pour le convaincre de lui vendre ce terrain quil ne lui servait pas mais le roi était têtu et sobstinait, il exigeait que le Maire lui trouve ce quil recherchait tous les jours une femme digne de lui, qui aime son gros sexe et qui sache lui donner du plaisir. Pierre Mbo Tabafula allait chercher des prostitués à Brazzaville ayant un gros fessier mais certaines ne plaisaient pas au vieil homme, elles étaient épilées et avait le vagin tel une . Dautres commençaient à refuser prétextant que le voyage était bien trop long et quelles perdaient de largent pour venir tous les jours se faire baiser dans une jungle hostile, par un vieil homme chétif dont la queue ressemblait à celle dun cheval.
Enfin, le jour J est arrivé, une fois que lavion dair France atterrit sur laéroport de Brazzaville, l'Abbé Boutin demanda au diacre et à deux de ses bénévoles de réaliser la distribution des nombreux dons de vêtements, de médicaments, de nourriture et autres, récoltés lors des journées de kermesse paroissiale, pendant que lui et Nicole quittaient la capitale pour se diriger à Mbé. Après un long périple, ils arrivent à Mbé, où ils furent accueillis chaleureusement par le Maire, Pierre Mbo Tabafula qui les avertit que leur mission ne serait pas de tout repos et que le village de Ngabé était sur des terres sacrées où personnes ne pouvait y accéder sans représailles et quaucun visiteurs blancs ny avaient mis les pieds :
Le Makoko est prévenu de votre visite, il vous attend.
Il est si méchant que cela. Demanda Nini naïvement.
Nessayez surtout pas de vous enfuir, les indigènes vous pourchasseraient et vous violeraient sur place avant de vous manger, comme ils le faisaient depuis toujours.
Il poursuivit en disant que le vieux Ngono Kubwa détestait que lon puisse le contredire et quil valait mieux dire que Nini soit présentée comme la propriété de Monsieur le curé car le Makoko ne comprendrait pas et cela risquait de compromettre sérieusement la mission :
Il en est hors de question protesta Nicole.
Le curé accepta et improvisera le moment venu. Ne voulant pas expliquer ce quil savait de la perversité de Ngono Kubwa devant Nini, le Maire avait pris à part labbé André Boutin pour raconter tout ce que la légende disait de lui. Celui-ci étonné ne regrettait pas davoir amené sa bigote chérie, il allait sans doute être le témoin dune saillie phénoménale en bonne et due forme. Lui aussi nétait pas insensible aux fortes rondeurs de sa paroissienne la plus dévouée mais n'avait jamais eu le courage de lui faire la moindre avance, il en bandait déjà davance :
Ne lui refusez jamais rien, il ne veut discuter quavec des blancs.
Après avoir gravi le chemin de terre pendant plusieurs kilomètres menant sur le haut plateau, aux portes du territoire des Téké avec leur 4x4, ils durent laisser le véhicule sur place où trois guides et le sorcier du village, les attendaient. Nini et labbé avaient marché derrière eux pendant plus de deux heures et demi, elle était épuisée et en sueur, sa petite robe dété était à tordre, elle lui collait à la peau. Lorsquils arrivèrent enfin à Ngabé, ils furent reçus comme il se doit par le géant, ce vieux chef décrépi et dune maigreur sans pareille, torse nu, vêtu uniquement dun long pagne jaune.
Son sourire permettait de sapercevoir quil lui manquait un certain nombre de dents mais cela ne semblait pas le perturber. Le prête se présente en disant :
Je suis Monsieur le curé, voilà Nini, une chrétienne très dévouée, veuve et sans homme depuis plus de dix ans.
Makoko, Ngono Kubwa, heureux de vous recevoir. Dit-il dans un français parfait.
Il faut dire quà 104 ans, il avait eu le temps dapprendre la langue officielle du pays, même sil parlait régulièrement à son peuple en lingala ou en swahili suivant la région où il se trouvait. Surpris de voir cette femelle dont le tissu de sa robe toute mouillée, dévoilait ainsi toutes ses formes, le Makoko avant de les inviter dans sa case pour le repas de bienvenue, ladmira quelques minutes en souriant et sapprocha delle. Il profita que cette femelle nappartienne à personne pour lui soulever sa chevelure en admirant sa peau blanche et laiteuse, la renifla plusieurs fois puis passa ses deux mains sur sa poitrine opulente en soupesant ses gros seins. Nicole apeurée, regarda le sorcier qui lui dit :
Ne vous inquiétez pas, cest notre tradition.
Le Makoko avait vraiment lair satisfait, il continua son inspection en mettant ses mains sur ses larges hanches, faisant toujours face à Nini. Celle-ci remarqua que le pagne de Ngono Kubwa sétait tout dun coup levé à lhorizontal. Elle nosait même pas imaginer ce quil y avait dessous, tellement la bosse formée par son érection était énorme. Il lui souleva sa robe et vit par transparence sous sa culotte blanche trempée par la sueur, une grosse touffe de poils bien plus foncée, puis afin de vérifier à lintérieur, il tira sur lélastique et regarda sous sa petite culotte.
Nicole était horrifiée, elle baissa la tête, elle était devenue rouge de honte, elle se rappelait ce quavait dit le Maire, elle nosait plus bouger et prit peur. Ngono Kubwa passa derrière elle et admira son fessier quelques seconde avant de le toucher, il passa sa main sur toutes les surfaces de son gros cul dont il avait toujours désiré. Une nouvelle fois, il lui souleva sa robe quil décolla de sa peau et lui pelotait désormais ses grosses fesses avec ses deux mains et dit simplement au prêtre :
Dommage que Nini nest pas tienne curé. Cest ça ton nom nest-ce pas ? La femelle est tout ce quil y a de mieux ici-bas. Et en sadressant toujours à lecclésiastique il lui dit :
Allons dans ma case, vous devez avoir soif et faim.
La suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, cette histoire nest pas réelle, elle fut entièrement inventée par lauteur qui la écrite pour mon plus grand bonheur. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Julie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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